Titre : | L’HEPATOTOXICITE DES ANTI-INFLAMMATOIRES NON STEROIDIENS | Type de document : | thèse | Auteurs : | HANANE MOUL EL BAB, Auteur | AnnĂ©e de publication : | 2009 | Langues : | Français (fre) | Mots-clĂ©s : | AINS FOIE HEPATOTOXICITE MECANISME DE L’HEPATOTOXICITE | Index. dĂ©cimale : | WA SANTE PUBLIQUE - PROFESSION MEDICALE | RĂ©sumĂ© : | L’hépatotoxicité des anti-inflammatoires non stéroidiens (AINS) demeure un problème majeur. L’incidence des atteintes hépatiques liées aux AINS est estimée entre 3,1 et 23,4 pour 100.000 patients traités par an. Le diclofénac, le nimésulide et le sulindac sont les plus pourvoyeurs d’hépatite toxique.
La nature de l’hépatotoxicité des AINS est très polymorphe. En effet les AINS peuvent causer tous les types d’hépatopathies aigues et/ou chroniques. Les hépatites aiguës (cytolytiques, cholestatiques ou mixtes) restent néanmoins les formes les plus prédominantes.
Les 2 principaux mécanismes de l’hépatotoxicité des AINS sont l’hypersensibilité immunologique et l’aberration métabolique généralement associée à un polymorphisme génétique.
Le diagnostic est souvent difficile en raison de l’absence de signes spécifiques. Il nécessite la présence d’une chronologie compatible ou évocatrice ainsi que l’absence des autres diagnostics différentiels.
La prise en charge de l’hépatotoxicité des AINS est surtout symptomatique et peut aller jusqu’à la transplantation hépatique.
Malgré les progrès avancés en toxicologie et en génétique qui ont permis de mieux connaitre les mécanismes de l’hépatotoxicité liées aux AINS, de nombreux éléments inconnus restent à élucider par des recherches ultérieures
| Numéro (Thèse ou Mémoire) : | P0762009 | Président : | YAHYA CHERRAH | Directeur : | TAOUFIQ DAKKA | Juge : | ABDELAZIZ AOURARH |
L’HEPATOTOXICITE DES ANTI-INFLAMMATOIRES NON STEROIDIENS [thèse] / HANANE MOUL EL BAB, Auteur . - 2009. Langues : Français ( fre) Mots-clĂ©s : | AINS FOIE HEPATOTOXICITE MECANISME DE L’HEPATOTOXICITE | Index. dĂ©cimale : | WA SANTE PUBLIQUE - PROFESSION MEDICALE | RĂ©sumĂ© : | L’hépatotoxicité des anti-inflammatoires non stéroidiens (AINS) demeure un problème majeur. L’incidence des atteintes hépatiques liées aux AINS est estimée entre 3,1 et 23,4 pour 100.000 patients traités par an. Le diclofénac, le nimésulide et le sulindac sont les plus pourvoyeurs d’hépatite toxique.
La nature de l’hépatotoxicité des AINS est très polymorphe. En effet les AINS peuvent causer tous les types d’hépatopathies aigues et/ou chroniques. Les hépatites aiguës (cytolytiques, cholestatiques ou mixtes) restent néanmoins les formes les plus prédominantes.
Les 2 principaux mécanismes de l’hépatotoxicité des AINS sont l’hypersensibilité immunologique et l’aberration métabolique généralement associée à un polymorphisme génétique.
Le diagnostic est souvent difficile en raison de l’absence de signes spécifiques. Il nécessite la présence d’une chronologie compatible ou évocatrice ainsi que l’absence des autres diagnostics différentiels.
La prise en charge de l’hépatotoxicité des AINS est surtout symptomatique et peut aller jusqu’à la transplantation hépatique.
Malgré les progrès avancés en toxicologie et en génétique qui ont permis de mieux connaitre les mécanismes de l’hépatotoxicité liées aux AINS, de nombreux éléments inconnus restent à élucider par des recherches ultérieures
| Numéro (Thèse ou Mémoire) : | P0762009 | Président : | YAHYA CHERRAH | Directeur : | TAOUFIQ DAKKA | Juge : | ABDELAZIZ AOURARH |
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