Titre : | PANCREATITE AUTO-IMMUNE : ASPECT ANATOMO-PATHOLOGIQUE ET DIFFICULTE DIAGNOSTIQUES | Type de document : | thèse | Auteurs : | BELBERNOUSSI Hamza, Auteur | Année de publication : | 2020 | Langues : | Français (fre) | Mots-clés : | Pancréatite auto-immune anatomopathologie difficulté diagnostiques | Résumé : | INTRODUCTION : La pancréatite auto-immune est une maladie rare (2 a 5% des pancréatite chronique), différencié en deux type dont chacune se distingue par une présentation qui lui est propre, le défi majeur reste la distinction avec le cancer du pancréas vu les nombreuses similitude entre ce dernier et la PAI
OBJECTIFS: Mieux cerner cette pathologie dans le but de pouvoir la différencier du cancer du pancréas, afin d’épargner au patient des résections chirurgicales inutile
MATERIRLS ET METHODES : Etude rétrospective portant sur 05 cas ayant une « pancréatite auto-immune » recueilli au niveau du service d’anatomopathologie du CHU de Rabat. Sur une période de 07 ans (de 2012 à 2019)
RESULTATS : l’Age moyen de nos cas est de 47,4ans avec une nette prédominance masculine (sex-ratio Homme/femme de 4)
La totalité de nos cas sont en faveur d’une PAI de type 1
Les données cliniques sont pauvres non spécifiques et trompeurs
La paraclinique chez certain patient était en faveur d’un cancer du pancréas et c’est le résultat anatomopathologique qui a redressé le diagnostic.
Le diagnostic était porter suit au résultat anatomopathologique de duodénopancréatectomie céphalique (40%), splénopancreatectomie caudale (20%), extemporané (20%) et biopsie réalisé lors de l’intervention (20%)
Discussion et Conclusion: La PAI est une maladie rare et récemment individualisée, de diagnostic difficile, dont les avancées récentes en ce qui concerne les critères histologiques et cliniques qui sont devenus plus précis, ont permis de limiter une prise en charge inadaptée, mais malgré ces avancés demeurent encore des lacunes concernant nos connaissance en physiopathologie et l’identification de biomarqueurs spécifique.
La corticothérapie constitue le gold standard pour le traitement de La PAI, cependant son protocole n’est pas encore standardisé.
| Numéro (Thèse ou Mémoire) : | M0852020 | Président : | BENAMR.S | Directeur : | ZOUAIDIA.F | Juge : | JAHID.A | Juge : | MDAGHRI.J |
PANCREATITE AUTO-IMMUNE : ASPECT ANATOMO-PATHOLOGIQUE ET DIFFICULTE DIAGNOSTIQUES [thèse] / BELBERNOUSSI Hamza, Auteur . - 2020. Langues : Français ( fre) Mots-clés : | Pancréatite auto-immune anatomopathologie difficulté diagnostiques | Résumé : | INTRODUCTION : La pancréatite auto-immune est une maladie rare (2 a 5% des pancréatite chronique), différencié en deux type dont chacune se distingue par une présentation qui lui est propre, le défi majeur reste la distinction avec le cancer du pancréas vu les nombreuses similitude entre ce dernier et la PAI
OBJECTIFS: Mieux cerner cette pathologie dans le but de pouvoir la différencier du cancer du pancréas, afin d’épargner au patient des résections chirurgicales inutile
MATERIRLS ET METHODES : Etude rétrospective portant sur 05 cas ayant une « pancréatite auto-immune » recueilli au niveau du service d’anatomopathologie du CHU de Rabat. Sur une période de 07 ans (de 2012 à 2019)
RESULTATS : l’Age moyen de nos cas est de 47,4ans avec une nette prédominance masculine (sex-ratio Homme/femme de 4)
La totalité de nos cas sont en faveur d’une PAI de type 1
Les données cliniques sont pauvres non spécifiques et trompeurs
La paraclinique chez certain patient était en faveur d’un cancer du pancréas et c’est le résultat anatomopathologique qui a redressé le diagnostic.
Le diagnostic était porter suit au résultat anatomopathologique de duodénopancréatectomie céphalique (40%), splénopancreatectomie caudale (20%), extemporané (20%) et biopsie réalisé lors de l’intervention (20%)
Discussion et Conclusion: La PAI est une maladie rare et récemment individualisée, de diagnostic difficile, dont les avancées récentes en ce qui concerne les critères histologiques et cliniques qui sont devenus plus précis, ont permis de limiter une prise en charge inadaptée, mais malgré ces avancés demeurent encore des lacunes concernant nos connaissance en physiopathologie et l’identification de biomarqueurs spécifique.
La corticothérapie constitue le gold standard pour le traitement de La PAI, cependant son protocole n’est pas encore standardisé.
| Numéro (Thèse ou Mémoire) : | M0852020 | Président : | BENAMR.S | Directeur : | ZOUAIDIA.F | Juge : | JAHID.A | Juge : | MDAGHRI.J |
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