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TRAITEMENTS IMMUNOSUPPRESSEURS EN TRANSPLANTATION RENALE. / MARTINE LOKOMBE BABOLA
Titre : TRAITEMENTS IMMUNOSUPPRESSEURS EN TRANSPLANTATION RENALE. Type de document : thèse Auteurs : MARTINE LOKOMBE BABOLA, Auteur Année de publication : 2012 Langues : Français (fre) Mots-clés : TRANSPLANTATION RENALE IMMUNOSUPPRESSION INHIBITEURS DE LA CALCINEURINE INHIBITEURS DE MTOR MYCOPHENOLATE MOFETIL Résumé : La transplantation rénale tient une place fondamentale dans la prise en charge de l’insuffisance rénale terminale, elle améliore la qualité de vie et la survie des patients comparativement à la dialyse. Cela est rendu possible grâce aux progrès considérables d’immunosuppression. Longtemps, l’objectif principal de l’immunosuppression a été de diminuer l’incidence du rejet aigu cellulaire en inhibant la fonction des lymphocytes T et lymphocyte B. Les épisodes de rejets aigus prédisposent au rejet chronique et à la perte du greffon au long cours. Dans ce travail nous avons décrit, l’insuffisance rénale terminale qui indique la greffe, le déroulement de la réponse allo-immune par les différentes voies de signalisation ainsi que la classification des différentes thérapeutiques immunosuppressives selon leurs sites d’action. Cependant, les traitements immunosuppresseurs présentent certaines complications immunologiques et non immunologiques, conduisant à une mauvaise fonction rénale, réduisant la survie du greffon et la survie du patient. A cet effet, différentes stratégies ont été adoptées dans le but de préserver la fonction rénale. Parmi les traitements actuellement disponibles, on associe classiquement : un inhibiteur de la calcineurine, un antiprolifératif avec ou sans corticoïde ou alternativement un inhibiteur de signal de prolifération. Aussi pendant la période initiale de la greffe, un traitement d’induction par des globulines anti-lymphocytaires polyclonales ou anticorps monoclonaux anti-récepteurs de l’IL2 est utilisé. De ces stratégies immunosuppressives, les protocoles d’immunosuppression ont été mis au point pour mieux répondre aux besoins des patients. Ce qui permet d’envisager la perspective d’une individualisation du traitement immunosuppresseur.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : P0792012 Président : BAYAHIA.R Directeur : ESSAKALLI.M Juge : RHOU.H Juge : NAYA.A TRAITEMENTS IMMUNOSUPPRESSEURS EN TRANSPLANTATION RENALE. [thèse] / MARTINE LOKOMBE BABOLA, Auteur . - 2012.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : TRANSPLANTATION RENALE IMMUNOSUPPRESSION INHIBITEURS DE LA CALCINEURINE INHIBITEURS DE MTOR MYCOPHENOLATE MOFETIL Résumé : La transplantation rénale tient une place fondamentale dans la prise en charge de l’insuffisance rénale terminale, elle améliore la qualité de vie et la survie des patients comparativement à la dialyse. Cela est rendu possible grâce aux progrès considérables d’immunosuppression. Longtemps, l’objectif principal de l’immunosuppression a été de diminuer l’incidence du rejet aigu cellulaire en inhibant la fonction des lymphocytes T et lymphocyte B. Les épisodes de rejets aigus prédisposent au rejet chronique et à la perte du greffon au long cours. Dans ce travail nous avons décrit, l’insuffisance rénale terminale qui indique la greffe, le déroulement de la réponse allo-immune par les différentes voies de signalisation ainsi que la classification des différentes thérapeutiques immunosuppressives selon leurs sites d’action. Cependant, les traitements immunosuppresseurs présentent certaines complications immunologiques et non immunologiques, conduisant à une mauvaise fonction rénale, réduisant la survie du greffon et la survie du patient. A cet effet, différentes stratégies ont été adoptées dans le but de préserver la fonction rénale. Parmi les traitements actuellement disponibles, on associe classiquement : un inhibiteur de la calcineurine, un antiprolifératif avec ou sans corticoïde ou alternativement un inhibiteur de signal de prolifération. Aussi pendant la période initiale de la greffe, un traitement d’induction par des globulines anti-lymphocytaires polyclonales ou anticorps monoclonaux anti-récepteurs de l’IL2 est utilisé. De ces stratégies immunosuppressives, les protocoles d’immunosuppression ont été mis au point pour mieux répondre aux besoins des patients. Ce qui permet d’envisager la perspective d’une individualisation du traitement immunosuppresseur.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : P0792012 Président : BAYAHIA.R Directeur : ESSAKALLI.M Juge : RHOU.H Juge : NAYA.A Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité P0792012 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesPharm2012 Disponible