Titre : | LES MYCOSES OCULAIRES | Type de document : | thèse | Auteurs : | CHERIF EL HARRAK KHAOULA, Auteur | Année de publication : | 2010 | Langues : | Français (fre) | Mots-clés : | Å’IL MYCOSE KERATITE ENDOPHTALMIE ANTIFONGIQUE | Index. décimale : | WA SANTE PUBLIQUE - PROFESSION MEDICALE | Résumé : | Les champignons occupent une place de plus en plus importante en pathologie infectieuse, notamment en ophtalmologie. On distingue plusieurs types de mycoses oculaires, d’évolution généralement lente.
Certaines atteintes péri-oculaires restent bénignes (blépharomycoses, infections de l’appareil lacrymal). En revanche, les mycoses orbitaires sont toujours graves et souvent mortelles. Elles surviennent principalement chez les diabétiques et les immunodéprimés.
Les kératomycoses représentent une entité de diagnostic et de traitement difficiles, de pronostic parfois sévère. Les kératomycoses à Aspergillus et Fusarium concernent surtout les populations des zones tropicales, et font suite à un traumatisme par un végétal. Les kératites à Candida prédominent dans les régions tempérées, et sont sous l’influence de facteurs de risque systémiques.
Les endophtalmies mycosiques, toujours graves, ont une origine exogène (post-traumatique, post-chirurgicale) mais plus fréquemment endogène. Les endophtalmies endogènes concernent surtout les patients immunodéprimés, et sont consécutives à une septicémie. La toxicomanie intraveineuse est également propice au développement de ces infections.
Le diagnostic des mycoses oculaires repose sur la mise en évidence du champignon au sein des prélèvements biologiques.
Les traitements reposent avant tout sur l’administration d’antifongiques (amphotéricine B, 5 Fc, azolés), bien que la chirurgie occupe une place importante. Le choix de la molécule dépend principalement de sa possibilité à pénétrer la zone infectée et de la sensibilité de la souche isolée
| Numéro (Thèse ou Mémoire) : | M1152010 | Président : | WAFAA MELLOUKI | Directeur : | BADREDDINE LMIMOUNI | Juge : | ABDELBAR OUBAAZ | Juge : | ABDELKADER BELMEKKI |
LES MYCOSES OCULAIRES [thèse] / CHERIF EL HARRAK KHAOULA, Auteur . - 2010. Langues : Français ( fre) Mots-clés : | Å’IL MYCOSE KERATITE ENDOPHTALMIE ANTIFONGIQUE | Index. décimale : | WA SANTE PUBLIQUE - PROFESSION MEDICALE | Résumé : | Les champignons occupent une place de plus en plus importante en pathologie infectieuse, notamment en ophtalmologie. On distingue plusieurs types de mycoses oculaires, d’évolution généralement lente.
Certaines atteintes péri-oculaires restent bénignes (blépharomycoses, infections de l’appareil lacrymal). En revanche, les mycoses orbitaires sont toujours graves et souvent mortelles. Elles surviennent principalement chez les diabétiques et les immunodéprimés.
Les kératomycoses représentent une entité de diagnostic et de traitement difficiles, de pronostic parfois sévère. Les kératomycoses à Aspergillus et Fusarium concernent surtout les populations des zones tropicales, et font suite à un traumatisme par un végétal. Les kératites à Candida prédominent dans les régions tempérées, et sont sous l’influence de facteurs de risque systémiques.
Les endophtalmies mycosiques, toujours graves, ont une origine exogène (post-traumatique, post-chirurgicale) mais plus fréquemment endogène. Les endophtalmies endogènes concernent surtout les patients immunodéprimés, et sont consécutives à une septicémie. La toxicomanie intraveineuse est également propice au développement de ces infections.
Le diagnostic des mycoses oculaires repose sur la mise en évidence du champignon au sein des prélèvements biologiques.
Les traitements reposent avant tout sur l’administration d’antifongiques (amphotéricine B, 5 Fc, azolés), bien que la chirurgie occupe une place importante. Le choix de la molécule dépend principalement de sa possibilité à pénétrer la zone infectée et de la sensibilité de la souche isolée
| Numéro (Thèse ou Mémoire) : | M1152010 | Président : | WAFAA MELLOUKI | Directeur : | BADREDDINE LMIMOUNI | Juge : | ABDELBAR OUBAAZ | Juge : | ABDELKADER BELMEKKI |
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