Titre : | LA DOULEUR POST OPERATOIRE CHRONIQUE | Type de document : | thèse | Auteurs : | JEBBAR NOURDDINE, Auteur | AnnĂ©e de publication : | 2012 | Langues : | Français (fre) | Mots-clĂ©s : | FACTEURS DE RISQUE DOULEUR NEUROPATHIQUE TRAITEMENT LA PREVENTION. | RĂ©sumĂ© : | La douleur postopératoire chronique est définie par une douleur qui survient au décours d’une opération chirurgicale qui persiste plus de 2 mois après la procédure.
Depuis une dizaine d’année, la douleur postopératoire chronique suscite un intérêt croissant et tend à être considérée comme un aspect important de suite de la chirurgie.
Au cours de ce travail, nous avons passé en revue l’incidence des douleurs postopératoires chronique en fonction du type de chirurgie, les principaux facteurs de risque à savoir ceux liés au patient ainsi que les facteurs liés à la chirurgie, la physiopathologie, une description clinique, l’évolution, le retentissement ainsi que les moyens de traitement de ces douleurs.
La prévention semble être possible par des substances anti-hyperalgésiques comme la kétamine en postopératoire, une anesthésie locorégionale ou par la chirurgie mini-invasive, bien que des études ultérieurs soient nécessaires pour le confirmer.
| Numéro (Thèse ou Mémoire) : | M2722012 | Président : | MAHMOUDI.A | Directeur : | HANAFI.S.M | Juge : | EL KARTOUTI.A |
LA DOULEUR POST OPERATOIRE CHRONIQUE [thèse] / JEBBAR NOURDDINE, Auteur . - 2012. Langues : Français ( fre) Mots-clĂ©s : | FACTEURS DE RISQUE DOULEUR NEUROPATHIQUE TRAITEMENT LA PREVENTION. | RĂ©sumĂ© : | La douleur postopératoire chronique est définie par une douleur qui survient au décours d’une opération chirurgicale qui persiste plus de 2 mois après la procédure.
Depuis une dizaine d’année, la douleur postopératoire chronique suscite un intérêt croissant et tend à être considérée comme un aspect important de suite de la chirurgie.
Au cours de ce travail, nous avons passé en revue l’incidence des douleurs postopératoires chronique en fonction du type de chirurgie, les principaux facteurs de risque à savoir ceux liés au patient ainsi que les facteurs liés à la chirurgie, la physiopathologie, une description clinique, l’évolution, le retentissement ainsi que les moyens de traitement de ces douleurs.
La prévention semble être possible par des substances anti-hyperalgésiques comme la kétamine en postopératoire, une anesthésie locorégionale ou par la chirurgie mini-invasive, bien que des études ultérieurs soient nécessaires pour le confirmer.
| Numéro (Thèse ou Mémoire) : | M2722012 | Président : | MAHMOUDI.A | Directeur : | HANAFI.S.M | Juge : | EL KARTOUTI.A |
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