Titre : | Les envenimations vipĂ©rines graves : physiopathologie, clinique, prise en charge et Ă©volution. | Type de document : | thèse | Auteurs : | Adil RAIHANE, Auteur | AnnĂ©e de publication : | 2015 | Langues : | Français (fre) | Mots-clĂ©s : | Envenimation vipĂ©rine Cerastes cerastes Coagulopathie de consommation ImmunothĂ©rapie | RĂ©sumĂ© : | Les envenimations vipérines graves constituent un problème de santé publique dans le monde. En effet, parmi les 4 à 5 million de morsures de serpents enregistrées dans le monde, environ 100000 sont mortelles. Nous présentons 4 cas d’envenimations vipérines graves et à travers une revue de la littérature nous précisons leur aspect épidémiologique, physiopathologique, clinique et thérapeutique.
Il s’agit d’une étude rétrospective qui a intéressé 4 hommes d’âge moyen de 45 ans. Les morsures étaient dues à des vipéridés, l’espèce était connue de type cérastes cérastes dans un cas. Tous les patients avaient présenté un tableau de coagulopathie de consommation avec un cas d’embolie pulmonaire, un AVC ischémique, un choc hypo-volumique et une défaillance multiviscérale qui avait causé le décès dans un cas.
Le venin des vipères est une substance chimique de type protéique avec 2 composants essentiels : les toxines et les enzymes. Ces protéines sont responsables de la symptomatologie observée. Mais, toute morsure de vipère ne signifie pas envenimation, car dans environ la moitié des cas il n’y a pas d’injection de venin. La gravité des morsures est liée surtout à la quantité du venin injecté. Les formes graves sont caractérisées par un œdème extensif atteignant le tronc avec une coagulopathie de consommation voire une défaillance multi viscérale. La prévention de ses formes commence sur le lieu de la morsure par les gestes à éviter et par l’immunothérapie précoce qui reste le seul traitement efficace.
| Numéro (Thèse ou Mémoire) : | M0242015 | Président : | CHANI.M | Directeur : | CHANI.M | Juge : | BAITE.A | Juge : | ABOUZAHIR.A | Juge : | HASSANI.R-MESSAOUDI.N |
Les envenimations vipĂ©rines graves : physiopathologie, clinique, prise en charge et Ă©volution. [thèse] / Adil RAIHANE, Auteur . - 2015. Langues : Français ( fre) Mots-clĂ©s : | Envenimation vipĂ©rine Cerastes cerastes Coagulopathie de consommation ImmunothĂ©rapie | RĂ©sumĂ© : | Les envenimations vipérines graves constituent un problème de santé publique dans le monde. En effet, parmi les 4 à 5 million de morsures de serpents enregistrées dans le monde, environ 100000 sont mortelles. Nous présentons 4 cas d’envenimations vipérines graves et à travers une revue de la littérature nous précisons leur aspect épidémiologique, physiopathologique, clinique et thérapeutique.
Il s’agit d’une étude rétrospective qui a intéressé 4 hommes d’âge moyen de 45 ans. Les morsures étaient dues à des vipéridés, l’espèce était connue de type cérastes cérastes dans un cas. Tous les patients avaient présenté un tableau de coagulopathie de consommation avec un cas d’embolie pulmonaire, un AVC ischémique, un choc hypo-volumique et une défaillance multiviscérale qui avait causé le décès dans un cas.
Le venin des vipères est une substance chimique de type protéique avec 2 composants essentiels : les toxines et les enzymes. Ces protéines sont responsables de la symptomatologie observée. Mais, toute morsure de vipère ne signifie pas envenimation, car dans environ la moitié des cas il n’y a pas d’injection de venin. La gravité des morsures est liée surtout à la quantité du venin injecté. Les formes graves sont caractérisées par un œdème extensif atteignant le tronc avec une coagulopathie de consommation voire une défaillance multi viscérale. La prévention de ses formes commence sur le lieu de la morsure par les gestes à éviter et par l’immunothérapie précoce qui reste le seul traitement efficace.
| Numéro (Thèse ou Mémoire) : | M0242015 | Président : | CHANI.M | Directeur : | CHANI.M | Juge : | BAITE.A | Juge : | ABOUZAHIR.A | Juge : | HASSANI.R-MESSAOUDI.N |
|