Titre : | Intérêt de la cholangiopancréatographie rétrograde endoscopique dans le syndrome du Mirizzi. | Type de document : | thèse | Auteurs : | DOUNI Sohail, Auteur | Année de publication : | 2018 | Langues : | Français (fre) | Mots-clés : | syndrome de Mirizzi lithiase ictère cholestatique cholangiopancréatographie rétrograde endoscopique. | Résumé : | Introduction : Syndrome de Mirizzi est une cause rare de sténose bénigne de la voie biliaire principale, causée par un calcul biliaire impacté dans le collet de la vésicule biliaire ou dans le canal cystique qui par une réaction inflammatoire associée, comprime partiellement ou totalement la voie biliaire principale ; dans certains cas l’évolution se manifeste par l’apparition d’une fistule bilio-biliaire et/ou fistule bilio-digestif.
L’objectif de notre travail était d’analyser les données épidémiologiques, cliniques, évolutives, thérapeutiques et l’intérêt en particulier de la cholangiopancréatographie rétrograde endoscopique dans le syndrome de Mirizzi.
Patients et méthodes : Nous avons colligés 5 cas de syndrome de Mirizzi à partir du registre d’endoscopie interventionnelle du service de gastro-entérologie II. Ont été recueillies les données épidémiologiques, cliniques et paracliniques des patients ainsi que les résultats thérapeutiques.
Résultats : l’âge moyen des patients était de 55 ans avec un sexe ratio de 1,5. L’antécédent de cholécystectomie était présent dans 40 % des cas ; Les signes cliniques révélateurs étaient un ictère cholestatique dans tous les cas. Une angiocholite a été notée dans 2 cas. La Bili-IRM a permis de retenir le diagnostic dans 80 % des cas. La cholangiopancréatographie rétrograde endoscopique a permis de redresser le diagnostic dans 40 % des cas. L’approche thérapeutique dans notre série était exclusivement endoscopique dans 60% des cas et combinée dans 40% des cas.
Conclusion : à la lumière de ces résultats et d’une revue de la littérature, nous concluons que la cholangiopancréatographie rétrograde endoscopique reste l’un des examens clés pour le diagnostic des cas difficiles qui peuvent échapper à l’imagerie et pourrait avoir une place dans la stratégie thérapeutique du syndrome de Mirizzi.
| Numéro (Thèse ou Mémoire) : | M3742018 | Président : | BENKIRANE.A | Directeur : | SEDDIK.H | Juge : | AIT ALI.A | Juge : | SALIHOUNE.M | Juge : | RABHI.M |
Intérêt de la cholangiopancréatographie rétrograde endoscopique dans le syndrome du Mirizzi. [thèse] / DOUNI Sohail, Auteur . - 2018. Langues : Français ( fre) Mots-clés : | syndrome de Mirizzi lithiase ictère cholestatique cholangiopancréatographie rétrograde endoscopique. | Résumé : | Introduction : Syndrome de Mirizzi est une cause rare de sténose bénigne de la voie biliaire principale, causée par un calcul biliaire impacté dans le collet de la vésicule biliaire ou dans le canal cystique qui par une réaction inflammatoire associée, comprime partiellement ou totalement la voie biliaire principale ; dans certains cas l’évolution se manifeste par l’apparition d’une fistule bilio-biliaire et/ou fistule bilio-digestif.
L’objectif de notre travail était d’analyser les données épidémiologiques, cliniques, évolutives, thérapeutiques et l’intérêt en particulier de la cholangiopancréatographie rétrograde endoscopique dans le syndrome de Mirizzi.
Patients et méthodes : Nous avons colligés 5 cas de syndrome de Mirizzi à partir du registre d’endoscopie interventionnelle du service de gastro-entérologie II. Ont été recueillies les données épidémiologiques, cliniques et paracliniques des patients ainsi que les résultats thérapeutiques.
Résultats : l’âge moyen des patients était de 55 ans avec un sexe ratio de 1,5. L’antécédent de cholécystectomie était présent dans 40 % des cas ; Les signes cliniques révélateurs étaient un ictère cholestatique dans tous les cas. Une angiocholite a été notée dans 2 cas. La Bili-IRM a permis de retenir le diagnostic dans 80 % des cas. La cholangiopancréatographie rétrograde endoscopique a permis de redresser le diagnostic dans 40 % des cas. L’approche thérapeutique dans notre série était exclusivement endoscopique dans 60% des cas et combinée dans 40% des cas.
Conclusion : à la lumière de ces résultats et d’une revue de la littérature, nous concluons que la cholangiopancréatographie rétrograde endoscopique reste l’un des examens clés pour le diagnostic des cas difficiles qui peuvent échapper à l’imagerie et pourrait avoir une place dans la stratégie thérapeutique du syndrome de Mirizzi.
| Numéro (Thèse ou Mémoire) : | M3742018 | Président : | BENKIRANE.A | Directeur : | SEDDIK.H | Juge : | AIT ALI.A | Juge : | SALIHOUNE.M | Juge : | RABHI.M |
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