Titre : | LES PERICARDITES CHRONIQUES CONSTRICTIVES : EXPERIENCE DU SERVICE DE CHIRURGIE CARDIOVASCULAIRE B, A PROPOS DE 11 CAS | Type de document : | thèse | Auteurs : | Max LĂ©andre KEDY NZONDO, Auteur | AnnĂ©e de publication : | 2011 | ISBN/ISSN/EAN : | M1082011 | Langues : | Français (fre) | Mots-clĂ©s : | PERICARDITE CHRONIQUE CONSTRICTIVE ADIASTOLIE TUBERCULOSE PERICARDECTOMIE SURVIE. | RĂ©sumĂ© : | Rapporter l’expérience de notre service dans le diagnostic et la prise ne charge de la PCC et comparer nos résultats à ceux de la littérature.
Introduction : La péricardite chronique constrictive est une affection rare. L’étiologie tuberculeuse est la principale cause dans les pays du sud, et la chirurgie cardiaque en occident. L’échocardiographie doppler avec la TDM ou l’IRM, et le cathétérisme cardiaque ont facilité le diagnostic. Le traitement médical est limité ; la péricardectomie reste le seul traitement curatif.
Matériel et Méthode : Etude rétrospective de 11 observations de patients opérés pour PCC sur une période de 15 ans (1996-2010).
Résultats : La moyenne d’âge des patients était de 32,5 ans ; 63,6% étaient des hommes. La dyspnée d’effort (63,6%) était le signe le plus fréquent. Les signes périphériques : turgescence des veines jugulaires (100%) et hépatomégalie (90,9%). Examen cardiaque ont à la tachycardie (54,5%) et l’assourdissement des bruits du cœur (45,5%). La radiographie : cardiomégalie (63,6%) et calcifications péricardiques dans 36,4% des cas. Un épaississement péricardique (72,7%) et des signes d’adiastolie au doppler et au cathétérisme cardiaque. Deux étiologies ont été retrouvées : tuberculose 45,5% et idiopathique 54,5%. Tous nos patients ont bénéficié d’une péricardectomie partielle par sternotomie médiane sans CEC. Les suites opératoires étaient simples chez 63,6% des patients. La mortalité péri-opératoire était de 9,1%.
Conclusion : La PCC, bien que rare devrait être évoquée devant des signes d’insuffisance cardiaque droite associés à des signes hémodynamiques d’adiastolie. L’étiologie tuberculeuse reste fréquente sous nos cieux. Le traitement essentiel reste la péricardectomie, avec de bons résultats à moyen et à long terme.
| Numéro (Thèse ou Mémoire) : | M1082011 | Président : | ABDELLATEF BOULAHYA | Directeur : | MOHAMED LAAROUSSI | Juge : | CHAKIR SELKANE |
LES PERICARDITES CHRONIQUES CONSTRICTIVES : EXPERIENCE DU SERVICE DE CHIRURGIE CARDIOVASCULAIRE B, A PROPOS DE 11 CAS [thèse] / Max LĂ©andre KEDY NZONDO, Auteur . - 2011. ISSN : M1082011 Langues : Français ( fre) Mots-clĂ©s : | PERICARDITE CHRONIQUE CONSTRICTIVE ADIASTOLIE TUBERCULOSE PERICARDECTOMIE SURVIE. | RĂ©sumĂ© : | Rapporter l’expérience de notre service dans le diagnostic et la prise ne charge de la PCC et comparer nos résultats à ceux de la littérature.
Introduction : La péricardite chronique constrictive est une affection rare. L’étiologie tuberculeuse est la principale cause dans les pays du sud, et la chirurgie cardiaque en occident. L’échocardiographie doppler avec la TDM ou l’IRM, et le cathétérisme cardiaque ont facilité le diagnostic. Le traitement médical est limité ; la péricardectomie reste le seul traitement curatif.
Matériel et Méthode : Etude rétrospective de 11 observations de patients opérés pour PCC sur une période de 15 ans (1996-2010).
Résultats : La moyenne d’âge des patients était de 32,5 ans ; 63,6% étaient des hommes. La dyspnée d’effort (63,6%) était le signe le plus fréquent. Les signes périphériques : turgescence des veines jugulaires (100%) et hépatomégalie (90,9%). Examen cardiaque ont à la tachycardie (54,5%) et l’assourdissement des bruits du cœur (45,5%). La radiographie : cardiomégalie (63,6%) et calcifications péricardiques dans 36,4% des cas. Un épaississement péricardique (72,7%) et des signes d’adiastolie au doppler et au cathétérisme cardiaque. Deux étiologies ont été retrouvées : tuberculose 45,5% et idiopathique 54,5%. Tous nos patients ont bénéficié d’une péricardectomie partielle par sternotomie médiane sans CEC. Les suites opératoires étaient simples chez 63,6% des patients. La mortalité péri-opératoire était de 9,1%.
Conclusion : La PCC, bien que rare devrait être évoquée devant des signes d’insuffisance cardiaque droite associés à des signes hémodynamiques d’adiastolie. L’étiologie tuberculeuse reste fréquente sous nos cieux. Le traitement essentiel reste la péricardectomie, avec de bons résultats à moyen et à long terme.
| Numéro (Thèse ou Mémoire) : | M1082011 | Président : | ABDELLATEF BOULAHYA | Directeur : | MOHAMED LAAROUSSI | Juge : | CHAKIR SELKANE |
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