Accueil
A partir de cette page vous pouvez :
Retourner au premier écran avec les dernières notices... |
Résultat de la recherche
2 résultat(s) recherche sur le mot-clé 'PERICARDITE CHRONIQUE CONSTRICTIVE'
Affiner la recherche Faire une suggestion
LA CHIRURGIE DE LA PERICARDITE CHRONIQUE CONSTRICTIVE : A PROPOS DE 23 CAS. / OUIJDANE ZAMANI
Titre : LA CHIRURGIE DE LA PERICARDITE CHRONIQUE CONSTRICTIVE : A PROPOS DE 23 CAS. Type de document : thèse Auteurs : OUIJDANE ZAMANI, Auteur Année de publication : 2009 Langues : Français (fre) Mots-clés : PERICARDITE CHRONIQUE CONSTRICTIVE PERICARDECTOMIE SUBTOTALE MORBIMORTALITE FACTEURS PRONOSTIQUES CALCIFICATIONS. Index. décimale : WA SANTE PUBLIQUE - PROFESSION MEDICALE Résumé : Introduction :
La péricardite chronique constrictive est une pathologie méconnue et grave dont le diagnostic est fondé sur la démonstration échographique et hémodynamique d’un syndrome d’adiastolie et d’une interdépendance ventriculaire accrue .le traitement symptomatique repose uniquement sur les diurétique et la péricardectomie est le seul traitement efficace sous réserve de l’absence de facteurs de mauvais pronostic .
Matériels et méthodes :
Notre travail a consisté en une description de 23 cas opérés dans le service de chirurgie cardiovasculaire de l’hôpital militaire d’instruction Mohammed V de Rabat sur une période de 15 ans (1994-2009).
On a noté une prédominance masculine de la pathologie dans 73% des cas.La moyenne d’âge était de 40 ans .Le signe fonctionnel le plus fréquemment rencontré est la dyspnée d’effort chez 82% des cas et le signe physique le plus fréquent était la turgescence spontanée de la veine jugulaire qui a été observé chez 95% des malades.
Deux grandes étiologies ont été retrouvées :idiopathique 57% , tuberculeuse 43% .
Les calcifications péricardiques ont été objectivés sur la radiographie thoracique de profil chez 56% des cas, et se sont révélées un facteur de mauvais pronostic .
Tous les patients ont bénéficié d’une péricardectomie subtotale par sternotomie médiane ,le recours a une circulation extracorporelle n’a jamais été nécessaire.
Resultats :
Les suites opératoires étaient simples dans 60% des cas. Les troubles du rythme et le bas débit cardiaque représentent les complications postopératoire les plus fréquemment rencontrés avec un taux de 17% suivi de l’accident vasculaire cérébral ischémique avec un taux de 9%.La mortalité hospitalière était de 17%(n=4) . Sur un suivi étalé sur 15 ans ,11 patients sont toujours asymptomatique,7 patients sont perdus de vue et une patiente est décédée 4 ans plus tard suite à un hépatocarcinome.
conclusion:
La péricardite chronique constrictive est une pathologie rare ,la tuberculose demeure sa principale cause dans les pays orientaux alors que l’origine idiopathique est la plus fréquente dans les pays occidentaux. Le diagnostic est évoqué devant un tableau clinique d’insuffisance ventriculaire droite associée à un tableau échographique et hémodynamique d’adiastolie. Le seul traitement logique d’une constriction péricardique est la péricardectomie subtotale. Le pronostic dépend de la précocité du diagnostic et d’une résection péricardique le plus tôt possible avant l’installation de la déchéance myocardique.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M2382009 Président : SAID MOUGHIL Directeur : ABDELLATIF BOULAHYA Juge : YOUSSEF EL BEKKALI LA CHIRURGIE DE LA PERICARDITE CHRONIQUE CONSTRICTIVE : A PROPOS DE 23 CAS. [thèse] / OUIJDANE ZAMANI, Auteur . - 2009.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : PERICARDITE CHRONIQUE CONSTRICTIVE PERICARDECTOMIE SUBTOTALE MORBIMORTALITE FACTEURS PRONOSTIQUES CALCIFICATIONS. Index. décimale : WA SANTE PUBLIQUE - PROFESSION MEDICALE Résumé : Introduction :
La péricardite chronique constrictive est une pathologie méconnue et grave dont le diagnostic est fondé sur la démonstration échographique et hémodynamique d’un syndrome d’adiastolie et d’une interdépendance ventriculaire accrue .le traitement symptomatique repose uniquement sur les diurétique et la péricardectomie est le seul traitement efficace sous réserve de l’absence de facteurs de mauvais pronostic .
Matériels et méthodes :
Notre travail a consisté en une description de 23 cas opérés dans le service de chirurgie cardiovasculaire de l’hôpital militaire d’instruction Mohammed V de Rabat sur une période de 15 ans (1994-2009).
On a noté une prédominance masculine de la pathologie dans 73% des cas.La moyenne d’âge était de 40 ans .Le signe fonctionnel le plus fréquemment rencontré est la dyspnée d’effort chez 82% des cas et le signe physique le plus fréquent était la turgescence spontanée de la veine jugulaire qui a été observé chez 95% des malades.
Deux grandes étiologies ont été retrouvées :idiopathique 57% , tuberculeuse 43% .
Les calcifications péricardiques ont été objectivés sur la radiographie thoracique de profil chez 56% des cas, et se sont révélées un facteur de mauvais pronostic .
Tous les patients ont bénéficié d’une péricardectomie subtotale par sternotomie médiane ,le recours a une circulation extracorporelle n’a jamais été nécessaire.
Resultats :
Les suites opératoires étaient simples dans 60% des cas. Les troubles du rythme et le bas débit cardiaque représentent les complications postopératoire les plus fréquemment rencontrés avec un taux de 17% suivi de l’accident vasculaire cérébral ischémique avec un taux de 9%.La mortalité hospitalière était de 17%(n=4) . Sur un suivi étalé sur 15 ans ,11 patients sont toujours asymptomatique,7 patients sont perdus de vue et une patiente est décédée 4 ans plus tard suite à un hépatocarcinome.
conclusion:
La péricardite chronique constrictive est une pathologie rare ,la tuberculose demeure sa principale cause dans les pays orientaux alors que l’origine idiopathique est la plus fréquente dans les pays occidentaux. Le diagnostic est évoqué devant un tableau clinique d’insuffisance ventriculaire droite associée à un tableau échographique et hémodynamique d’adiastolie. Le seul traitement logique d’une constriction péricardique est la péricardectomie subtotale. Le pronostic dépend de la précocité du diagnostic et d’une résection péricardique le plus tôt possible avant l’installation de la déchéance myocardique.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M2382009 Président : SAID MOUGHIL Directeur : ABDELLATIF BOULAHYA Juge : YOUSSEF EL BEKKALI Réservation
Réserver ce document
Exemplaires
Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M2382009 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2009 Disponible LES PERICARDITES CHRONIQUES CONSTRICTIVES : EXPERIENCE DU SERVICE DE CHIRURGIE CARDIOVASCULAIRE B, A PROPOS DE 11 CAS / Max Léandre KEDY NZONDO
Titre : LES PERICARDITES CHRONIQUES CONSTRICTIVES : EXPERIENCE DU SERVICE DE CHIRURGIE CARDIOVASCULAIRE B, A PROPOS DE 11 CAS Type de document : thèse Auteurs : Max Léandre KEDY NZONDO, Auteur Année de publication : 2011 ISBN/ISSN/EAN : M1082011 Langues : Français (fre) Mots-clés : PERICARDITE CHRONIQUE CONSTRICTIVE ADIASTOLIE TUBERCULOSE PERICARDECTOMIE SURVIE. Résumé : Rapporter l’expérience de notre service dans le diagnostic et la prise ne charge de la PCC et comparer nos résultats à ceux de la littérature.
Introduction : La péricardite chronique constrictive est une affection rare. L’étiologie tuberculeuse est la principale cause dans les pays du sud, et la chirurgie cardiaque en occident. L’échocardiographie doppler avec la TDM ou l’IRM, et le cathétérisme cardiaque ont facilité le diagnostic. Le traitement médical est limité ; la péricardectomie reste le seul traitement curatif.
Matériel et Méthode : Etude rétrospective de 11 observations de patients opérés pour PCC sur une période de 15 ans (1996-2010).
Résultats : La moyenne d’âge des patients était de 32,5 ans ; 63,6% étaient des hommes. La dyspnée d’effort (63,6%) était le signe le plus fréquent. Les signes périphériques : turgescence des veines jugulaires (100%) et hépatomégalie (90,9%). Examen cardiaque ont à la tachycardie (54,5%) et l’assourdissement des bruits du cœur (45,5%). La radiographie : cardiomégalie (63,6%) et calcifications péricardiques dans 36,4% des cas. Un épaississement péricardique (72,7%) et des signes d’adiastolie au doppler et au cathétérisme cardiaque. Deux étiologies ont été retrouvées : tuberculose 45,5% et idiopathique 54,5%. Tous nos patients ont bénéficié d’une péricardectomie partielle par sternotomie médiane sans CEC. Les suites opératoires étaient simples chez 63,6% des patients. La mortalité péri-opératoire était de 9,1%.
Conclusion : La PCC, bien que rare devrait être évoquée devant des signes d’insuffisance cardiaque droite associés à des signes hémodynamiques d’adiastolie. L’étiologie tuberculeuse reste fréquente sous nos cieux. Le traitement essentiel reste la péricardectomie, avec de bons résultats à moyen et à long terme.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M1082011 Président : ABDELLATEF BOULAHYA Directeur : MOHAMED LAAROUSSI Juge : CHAKIR SELKANE LES PERICARDITES CHRONIQUES CONSTRICTIVES : EXPERIENCE DU SERVICE DE CHIRURGIE CARDIOVASCULAIRE B, A PROPOS DE 11 CAS [thèse] / Max Léandre KEDY NZONDO, Auteur . - 2011.
ISSN : M1082011
Langues : Français (fre)
Mots-clés : PERICARDITE CHRONIQUE CONSTRICTIVE ADIASTOLIE TUBERCULOSE PERICARDECTOMIE SURVIE. Résumé : Rapporter l’expérience de notre service dans le diagnostic et la prise ne charge de la PCC et comparer nos résultats à ceux de la littérature.
Introduction : La péricardite chronique constrictive est une affection rare. L’étiologie tuberculeuse est la principale cause dans les pays du sud, et la chirurgie cardiaque en occident. L’échocardiographie doppler avec la TDM ou l’IRM, et le cathétérisme cardiaque ont facilité le diagnostic. Le traitement médical est limité ; la péricardectomie reste le seul traitement curatif.
Matériel et Méthode : Etude rétrospective de 11 observations de patients opérés pour PCC sur une période de 15 ans (1996-2010).
Résultats : La moyenne d’âge des patients était de 32,5 ans ; 63,6% étaient des hommes. La dyspnée d’effort (63,6%) était le signe le plus fréquent. Les signes périphériques : turgescence des veines jugulaires (100%) et hépatomégalie (90,9%). Examen cardiaque ont à la tachycardie (54,5%) et l’assourdissement des bruits du cœur (45,5%). La radiographie : cardiomégalie (63,6%) et calcifications péricardiques dans 36,4% des cas. Un épaississement péricardique (72,7%) et des signes d’adiastolie au doppler et au cathétérisme cardiaque. Deux étiologies ont été retrouvées : tuberculose 45,5% et idiopathique 54,5%. Tous nos patients ont bénéficié d’une péricardectomie partielle par sternotomie médiane sans CEC. Les suites opératoires étaient simples chez 63,6% des patients. La mortalité péri-opératoire était de 9,1%.
Conclusion : La PCC, bien que rare devrait être évoquée devant des signes d’insuffisance cardiaque droite associés à des signes hémodynamiques d’adiastolie. L’étiologie tuberculeuse reste fréquente sous nos cieux. Le traitement essentiel reste la péricardectomie, avec de bons résultats à moyen et à long terme.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M1082011 Président : ABDELLATEF BOULAHYA Directeur : MOHAMED LAAROUSSI Juge : CHAKIR SELKANE Réservation
Réserver ce document
Exemplaires
Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M1082011 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2011 Disponible