Titre : | Cholestase intrahĂ©patique gravidique | Type de document : | thèse | Auteurs : | Kasmi FERDAOUS, Auteur | AnnĂ©e de publication : | 2018 | Langues : | Français (fre) | Mots-clĂ©s : | Acide ursodĂ©soxycholĂ©que (AUDC) cholestase dĂ©clenchement mort fĹ“tale in utĂ©ro(MFIU) prĂ©maturitĂ©. | RĂ©sumĂ© : | La cholestase intrahépatique gravidique est une hépatopathie spécifique de la grossesse. Elle survient le plus souvent au cours du 2ème et du 3ème trimestre et disparait après accouchement. Sa prévalence augmente avec l’âge maternel et grossesse multiple.
Sa physiopathologie est complexe. Elle fait intervenir des facteurs hormonaux : effet cholestatique des œstrogènes et de la progestérone dont la concentration augmente pendant la grossesse, des facteurs génétiques : des mutations des gènes codant les transporteurs hépatobiliaires impliquées dans la sécrétion biliaire ont été mis en évidence au cours de CIG et enfin des facteurs exogènes sont invoqués.
La pathologie se manifeste cliniquement essentiellement par un prurit rarement par un ictère et biologiquement par augmentation des transaminases et des acides biliaires.
La choléstaseintrahépatique gravidique est un diagnostic d’élimination d’où l’importance de rechercher les autres causes d’une hépatopathie.
Le pronostic maternel est bon. Sur le plan fœtal, les complications les plus redoutées sont la prématurité et la mort fœtal in utéro.
La prise en charge thérapeutique est basée sur un acide biliaire : acide ursodésoxycholéque (AUDC) qui améliore le prurit et normalise le bilan biologique. Un déclenchement est systématique à 38 SA pour éviter le décès in utéro.
| Numéro (Thèse ou Mémoire) : | M3562018 | Président : | ZOUHDI.M | Directeur : | SEKHSOKH.Y | Juge : | DAMI.A | Juge : | JEAIDI.A |
Cholestase intrahĂ©patique gravidique [thèse] / Kasmi FERDAOUS, Auteur . - 2018. Langues : Français ( fre) Mots-clĂ©s : | Acide ursodĂ©soxycholĂ©que (AUDC) cholestase dĂ©clenchement mort fĹ“tale in utĂ©ro(MFIU) prĂ©maturitĂ©. | RĂ©sumĂ© : | La cholestase intrahépatique gravidique est une hépatopathie spécifique de la grossesse. Elle survient le plus souvent au cours du 2ème et du 3ème trimestre et disparait après accouchement. Sa prévalence augmente avec l’âge maternel et grossesse multiple.
Sa physiopathologie est complexe. Elle fait intervenir des facteurs hormonaux : effet cholestatique des œstrogènes et de la progestérone dont la concentration augmente pendant la grossesse, des facteurs génétiques : des mutations des gènes codant les transporteurs hépatobiliaires impliquées dans la sécrétion biliaire ont été mis en évidence au cours de CIG et enfin des facteurs exogènes sont invoqués.
La pathologie se manifeste cliniquement essentiellement par un prurit rarement par un ictère et biologiquement par augmentation des transaminases et des acides biliaires.
La choléstaseintrahépatique gravidique est un diagnostic d’élimination d’où l’importance de rechercher les autres causes d’une hépatopathie.
Le pronostic maternel est bon. Sur le plan fœtal, les complications les plus redoutées sont la prématurité et la mort fœtal in utéro.
La prise en charge thérapeutique est basée sur un acide biliaire : acide ursodésoxycholéque (AUDC) qui améliore le prurit et normalise le bilan biologique. Un déclenchement est systématique à 38 SA pour éviter le décès in utéro.
| Numéro (Thèse ou Mémoire) : | M3562018 | Président : | ZOUHDI.M | Directeur : | SEKHSOKH.Y | Juge : | DAMI.A | Juge : | JEAIDI.A |
|