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EXTRACTION, ACTIVITE ET APPROCHES GALENIQUES DE CNS HUILES ESSENTIELLES ANTIFONGIQUES / MAARIF KARIM
Titre : EXTRACTION, ACTIVITE ET APPROCHES GALENIQUES DE CNS HUILES ESSENTIELLES ANTIFONGIQUES Type de document : thèse Auteurs : MAARIF KARIM, Auteur Année de publication : 2008 Langues : Français (fre) Mots-clés : Cinnamomum zeylanicum Nees Rosmarinus officinalis L Origanum vulgare L Salvia officinalis L Eugenia caryophyllata Candidose buccale Mucites bucales Teignes Epidermophyties Emulsion Gel. Index. décimale : WA SANTE PUBLIQUE - PROFESSION MEDICALE Résumé : Cette étude a été effectuée pour la recherche du pouvoir antifongique des huiles essentielles issues par hydrodistillation de certaines plantes aromatiques telles que : Cinnamomum zeylanicum Nees, Origanum vulgare L, Salvia officinalis L, Rosmarinus officinalis L et Syzygium aromaticum L. Merr at Perry.
Les effets antifongiques des huiles essentielles obtenues (à des concentrations de 5% (v/v), 2.5%, 1.25%, 0.625%, 0.312%, 0.156%, 0.078%, 0.039%, 0.019% et 0.009%) ont été évalués sur Candida albicans, Aspergillus niger et sur les dermatophytes à savoir Microsporum canis et Trichophyton rubrum, par la méthode de Macrodilution en milieu solide (gélosé).
L’activité antifongique de l’huile essentielle de l’écorce de C.zeylanicum L. a été la plus élevée à la concentration de 0.019% pour C.albicans et à 0.009% pour le reste. Les autres huiles essentielles montrent aussi une activité antifongique importante mais elles restent légèrement moins actives que C.zeylanicum.
Après avoir déterminé la CMI (Concentration Minimale Inhibitrice) de chaque huile essentielle prise seule, on a évalué l’activité d’un mélange équitable des cinq huiles essentielles par la même méthode et on a trouvé qu’il est actif sur C.albicans à la concentration de 0.156%, sur A.niger à 0.039% et sur les dermatophytes à 0,019%. Ces CMIs nous étaient utiles pour passer à l’étape galénique afin de préparer un gel et une émulsion à base de ce mélange d’huiles essentielles, cette mise en forme galénique nous sera nécessaire dans le futur pour réaliser des essais cliniques afin d’évaluer l’efficacité, la tolérance et la toxicité de nos huiles essentielles in vivo chez l’animal puis chez l’Homme.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : P0772008 Président : BENSOUDA YAHYA Directeur : LMIMOUNI BADREDDINE Juge : MANSOURI HAMID EXTRACTION, ACTIVITE ET APPROCHES GALENIQUES DE CNS HUILES ESSENTIELLES ANTIFONGIQUES [thèse] / MAARIF KARIM, Auteur . - 2008.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Cinnamomum zeylanicum Nees Rosmarinus officinalis L Origanum vulgare L Salvia officinalis L Eugenia caryophyllata Candidose buccale Mucites bucales Teignes Epidermophyties Emulsion Gel. Index. décimale : WA SANTE PUBLIQUE - PROFESSION MEDICALE Résumé : Cette étude a été effectuée pour la recherche du pouvoir antifongique des huiles essentielles issues par hydrodistillation de certaines plantes aromatiques telles que : Cinnamomum zeylanicum Nees, Origanum vulgare L, Salvia officinalis L, Rosmarinus officinalis L et Syzygium aromaticum L. Merr at Perry.
Les effets antifongiques des huiles essentielles obtenues (à des concentrations de 5% (v/v), 2.5%, 1.25%, 0.625%, 0.312%, 0.156%, 0.078%, 0.039%, 0.019% et 0.009%) ont été évalués sur Candida albicans, Aspergillus niger et sur les dermatophytes à savoir Microsporum canis et Trichophyton rubrum, par la méthode de Macrodilution en milieu solide (gélosé).
L’activité antifongique de l’huile essentielle de l’écorce de C.zeylanicum L. a été la plus élevée à la concentration de 0.019% pour C.albicans et à 0.009% pour le reste. Les autres huiles essentielles montrent aussi une activité antifongique importante mais elles restent légèrement moins actives que C.zeylanicum.
Après avoir déterminé la CMI (Concentration Minimale Inhibitrice) de chaque huile essentielle prise seule, on a évalué l’activité d’un mélange équitable des cinq huiles essentielles par la même méthode et on a trouvé qu’il est actif sur C.albicans à la concentration de 0.156%, sur A.niger à 0.039% et sur les dermatophytes à 0,019%. Ces CMIs nous étaient utiles pour passer à l’étape galénique afin de préparer un gel et une émulsion à base de ce mélange d’huiles essentielles, cette mise en forme galénique nous sera nécessaire dans le futur pour réaliser des essais cliniques afin d’évaluer l’efficacité, la tolérance et la toxicité de nos huiles essentielles in vivo chez l’animal puis chez l’Homme.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : P0772008 Président : BENSOUDA YAHYA Directeur : LMIMOUNI BADREDDINE Juge : MANSOURI HAMID Réservation
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Exemplaires
Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité P0772008 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesPharm2008 Disponible Prevalence, facteurs favorisants et agents étiologiques des epidermophysties a l'hopital militaire d'instruction mohamed v rabat / bensassi aouatif
Titre : Prevalence, facteurs favorisants et agents étiologiques des epidermophysties a l'hopital militaire d'instruction mohamed v rabat Type de document : thèse Auteurs : bensassi aouatif, Auteur Année de publication : 2008 Langues : Français (fre) Mots-clés : Epidermophyties Prévalence Epidémiologie Dermatophytes. Index. décimale : WA SANTE PUBLIQUE - PROFESSION MEDICALE Résumé : Objectifs :
Préciser le profil clinico-épidémiologique et les agents pathogènes des dermatophyties de la peau glabre à l’Hôpital Militaire d’Instruction Mohamed V.
Matériels et méthodes :
Il s’agit d’une étude prospective. Tous les patients adressés du service de Dermatologie pour suspicion de dermatophytie de la peau glabre sont inclus. Les prélèvements sont faits à différents niveaux en fonction du siège de la lésion (plis inguinaux, plante des pieds, paume des mains et espaces inter-orteils). Pour chaque patient, une fiche de renseignements (âge, sexe, origine, mode de vie …) est remplie. Chaque patient a bénéficié d’un examen direct entre lame et lamelle, d’une culture sur milieux "Sabouraud chloramphénicol" et "Sabouraud Chloramphénicol Actidione" incubés à 28°C pendant 4 semaines. L’identification est basée sur l’aspect macroscopique des colonies et leur aspect microscopique après coloration au bleu de méthylène.
Résultats :
Durant la période d’étude, 449 patients sont inclus. L’âge moyen est de 47,5 ans avec des extrêmes de 2 ans et 96 ans. Les hommes sont les plus atteints avec un taux de 72% contre 28% pour les femmes. La plupart des patients présentent des facteurs de risque (89%).
La localisation au niveau des plantes des pieds est le plus souvent retrouvée (78% de nos patients).
L’examen direct est positif chez 67% des malades et la culture est positive dans 57 % des cas.
La souche la plus incriminée est le Trichophyton rubrum. Elle est isolée dans 87% des cas, alors que le Trichophyton interdigitale est isolé dans seulement 11% des cas. Microsporum canis et Trichophyton violaceum sont beaucoup plus rares avec respectivement 3 cas et 1 cas.
Conclusion :
Les dermatophyties de la peau glabre sont des motifs fréquents de consultation en Dermatologie dans la population générale et en particulier chez les militaires. L’atteinte des pieds est souvent la plus retrouvée à cause du port de chaussures militaires qui entraîne une macération (chaleur et humidité), l’un des principaux facteurs favorisants. Le Trichophyton rubrum est l’espèce la plus incriminée ce qui est conforme aux données de la littérature.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : P0762008 Président : EL MELLOUKI WAFAE Directeur : LMIMOUNI BADREDDINE Juge : AFIFI YASSIR Juge : MRANI SAAD Prevalence, facteurs favorisants et agents étiologiques des epidermophysties a l'hopital militaire d'instruction mohamed v rabat [thèse] / bensassi aouatif, Auteur . - 2008.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Epidermophyties Prévalence Epidémiologie Dermatophytes. Index. décimale : WA SANTE PUBLIQUE - PROFESSION MEDICALE Résumé : Objectifs :
Préciser le profil clinico-épidémiologique et les agents pathogènes des dermatophyties de la peau glabre à l’Hôpital Militaire d’Instruction Mohamed V.
Matériels et méthodes :
Il s’agit d’une étude prospective. Tous les patients adressés du service de Dermatologie pour suspicion de dermatophytie de la peau glabre sont inclus. Les prélèvements sont faits à différents niveaux en fonction du siège de la lésion (plis inguinaux, plante des pieds, paume des mains et espaces inter-orteils). Pour chaque patient, une fiche de renseignements (âge, sexe, origine, mode de vie …) est remplie. Chaque patient a bénéficié d’un examen direct entre lame et lamelle, d’une culture sur milieux "Sabouraud chloramphénicol" et "Sabouraud Chloramphénicol Actidione" incubés à 28°C pendant 4 semaines. L’identification est basée sur l’aspect macroscopique des colonies et leur aspect microscopique après coloration au bleu de méthylène.
Résultats :
Durant la période d’étude, 449 patients sont inclus. L’âge moyen est de 47,5 ans avec des extrêmes de 2 ans et 96 ans. Les hommes sont les plus atteints avec un taux de 72% contre 28% pour les femmes. La plupart des patients présentent des facteurs de risque (89%).
La localisation au niveau des plantes des pieds est le plus souvent retrouvée (78% de nos patients).
L’examen direct est positif chez 67% des malades et la culture est positive dans 57 % des cas.
La souche la plus incriminée est le Trichophyton rubrum. Elle est isolée dans 87% des cas, alors que le Trichophyton interdigitale est isolé dans seulement 11% des cas. Microsporum canis et Trichophyton violaceum sont beaucoup plus rares avec respectivement 3 cas et 1 cas.
Conclusion :
Les dermatophyties de la peau glabre sont des motifs fréquents de consultation en Dermatologie dans la population générale et en particulier chez les militaires. L’atteinte des pieds est souvent la plus retrouvée à cause du port de chaussures militaires qui entraîne une macération (chaleur et humidité), l’un des principaux facteurs favorisants. Le Trichophyton rubrum est l’espèce la plus incriminée ce qui est conforme aux données de la littérature.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : P0762008 Président : EL MELLOUKI WAFAE Directeur : LMIMOUNI BADREDDINE Juge : AFIFI YASSIR Juge : MRANI SAAD Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité P0762008 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesPharm2008 Disponible LE PROFIL ÉPIDÉMIOLOGIQUE DES ÉPIDERMOMYCOSES DIAGNOSTIQUÉES À L’HOPITAL IBN SINA DE RABAT : À PROPOS DE 244 CAS (2016-2022) / HAMMOUCH Zaineb
Titre : LE PROFIL ÉPIDÉMIOLOGIQUE DES ÉPIDERMOMYCOSES DIAGNOSTIQUÉES À L’HOPITAL IBN SINA DE RABAT : À PROPOS DE 244 CAS (2016-2022) Type de document : thèse Auteurs : HAMMOUCH Zaineb, Auteur Langues : Français (fre) Mots-clés : Epidermomycoses intertrigos épidermophyties C. albicans T. rubrum Résumé : INTRODUCTION
Les épidermomycoses sont des mycoses superficielles qui se présentent sous trois formes
cliniques : les épidermatophyties de la peau glabre, les intertrigos et les kératodermies palmoplantaires.
L’objectif de ce travail est d’étudier le profil épidémiologique et mycologique des
épidermomycoses diagnostiquées au laboratoire de parasitologie-mycologie à l’hôpital Ibn Sina
de Rabat.
MATERIELS /METHODES
Il s’agit d’une étude rétrospective, incluant les cas d'épidermomycoses diagnostiquées sur une
période allant du 1er janvier 2016 au 30 juillet 2022.
Chaque prélèvement a bénéficié d’un examen direct et d’une culture mycologique sur les
milieux Sabouraud incubés à 27 °C. Les espèces ont été identifiées selon les caractères
macroscopiques et microscopiques des cultures.
RESULTATS
Les épidermomycoses ont été diagnostiquées chez 244 patients. Le sexe féminin était
prédominant avec un sexe ratio H/F de 0.85. L’âge moyen était de 43 ans.
Les épidermomycoses étaient réparties selon les groupes cliniques suivants :
Les intertrigos étaient les plus fréquents avec 73 cas positifs, soit 29.9% de l'ensemble des
épidermomycoses. Les levures ont été isolées chez 55 patients (75.3 %), l'espèce la plus
incriminée était C. albicans (56.3%). Les intertrigos dermatophytiques ont été retrouvés chez
18 patients (24.6%) et étaient dûs exclusivement à T.rubrum. Les épidermophyties circinées
représentaient 72 cas (29.5%), dont le principal agent responsable était T. rubrum (69.4%). Les
malassezioses viennent au troisième rang avec 51 cas (20.9%), dûs exclusivement à Malassezia
sp. Pour les kératodermies palmo-plantaires 48 cas (19.7%), les dermatophytes étaient les
principaux agents responsables dans 42 cas (87.5%). T. rubrum représentait l'espèce la plus
fréquemment isolée avec 39 cas (92 .8%).
CONCLUSION
Les épidermomycoses sont un motif de consultation très fréquent. Devant toute suspicion
clinique, le diagnostic mycologique reste le diagnostic de certitude et d'orientation
thérapeutique.Numéro (Thèse ou Mémoire) : MS2022023 Directeur : Sarra AOUFI LE PROFIL ÉPIDÉMIOLOGIQUE DES ÉPIDERMOMYCOSES DIAGNOSTIQUÉES À L’HOPITAL IBN SINA DE RABAT : À PROPOS DE 244 CAS (2016-2022) [thèse] / HAMMOUCH Zaineb, Auteur . - [s.d.].
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Epidermomycoses intertrigos épidermophyties C. albicans T. rubrum Résumé : INTRODUCTION
Les épidermomycoses sont des mycoses superficielles qui se présentent sous trois formes
cliniques : les épidermatophyties de la peau glabre, les intertrigos et les kératodermies palmoplantaires.
L’objectif de ce travail est d’étudier le profil épidémiologique et mycologique des
épidermomycoses diagnostiquées au laboratoire de parasitologie-mycologie à l’hôpital Ibn Sina
de Rabat.
MATERIELS /METHODES
Il s’agit d’une étude rétrospective, incluant les cas d'épidermomycoses diagnostiquées sur une
période allant du 1er janvier 2016 au 30 juillet 2022.
Chaque prélèvement a bénéficié d’un examen direct et d’une culture mycologique sur les
milieux Sabouraud incubés à 27 °C. Les espèces ont été identifiées selon les caractères
macroscopiques et microscopiques des cultures.
RESULTATS
Les épidermomycoses ont été diagnostiquées chez 244 patients. Le sexe féminin était
prédominant avec un sexe ratio H/F de 0.85. L’âge moyen était de 43 ans.
Les épidermomycoses étaient réparties selon les groupes cliniques suivants :
Les intertrigos étaient les plus fréquents avec 73 cas positifs, soit 29.9% de l'ensemble des
épidermomycoses. Les levures ont été isolées chez 55 patients (75.3 %), l'espèce la plus
incriminée était C. albicans (56.3%). Les intertrigos dermatophytiques ont été retrouvés chez
18 patients (24.6%) et étaient dûs exclusivement à T.rubrum. Les épidermophyties circinées
représentaient 72 cas (29.5%), dont le principal agent responsable était T. rubrum (69.4%). Les
malassezioses viennent au troisième rang avec 51 cas (20.9%), dûs exclusivement à Malassezia
sp. Pour les kératodermies palmo-plantaires 48 cas (19.7%), les dermatophytes étaient les
principaux agents responsables dans 42 cas (87.5%). T. rubrum représentait l'espèce la plus
fréquemment isolée avec 39 cas (92 .8%).
CONCLUSION
Les épidermomycoses sont un motif de consultation très fréquent. Devant toute suspicion
clinique, le diagnostic mycologique reste le diagnostic de certitude et d'orientation
thérapeutique.Numéro (Thèse ou Mémoire) : MS2022023 Directeur : Sarra AOUFI Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité MS2022023 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires Mémoires de Spécialités Disponible