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2 résultat(s) recherche sur le mot-clé 'ANTIFONGIQUES SYSTEMIQUES' 
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Titre : PROFIL DE RESISTANCE DES ANTIFONGIQUES AUX SOUCHES DE CANDIDA ISOLEES AU HMIMV RABAT Type de document : thèse Auteurs : MERIEM AMMAR, Auteur Année de publication : 2012 Langues : Français (fre) Mots-clés : GENRE CANDIDA ANTIFONGIGRAMME ANTIFONGIQUES SYSTEMIQUES PROFIL-RESISTANCE Résumé : Objectifs : Etablir le profil de résistance des souches de Candida isolées aux 7 antifongiques systémiques étudié, et décrire l'épidémiologie des candidoses invasives dans les services de réanimation du l’HMIM V Rabat.
Matériels et méthodes : Notre étude prospective de 7 mois a inclus 52 souches de Candida issues de prélèvements divers. L’identification des souches de Candida était faite sur milieu d’isolement Candiselect® et la sensibilité in vitro aux antifongiques était réalisée par diffusion en milieu gélosé des disques.
Résultats : Parmi les prélèvements effectués, 46,1% étaient des hémocultures et 53,9% représentaient des sites périphériques. Candida non albicans représentait 63,5% alors que C.albicans ne représentait que 36,5%. 6 espèces de Candida étaient identifiées. Dans les sites périphériques, C.albicans représente 36,5% suivie de C.tropicalis et puis C.glabrata. Les hémocultures à Candida glabrata représentaient 41,7%, alors que celles à C.albicans ne représentaient que le 33,3%. Les espèces montrent des sensibilités différentes vis-à-vis des sept antifongiques testés: 59,62% fluconazole, 46,2% voriconazole et la 5-flucytosine, 23,1% miconazole, 21,2% kétoconazole et le clotrimazole et 19,2% éconazole.
Discussion : Prédominance de Candida non albicans sur C.albicans. C.glabrata est l’espèce la plus isolées après C.albicans. Le changement de distribution résulte de l'utilisation accrue des agents antifongiques. Le kétoconazole est le plus efficace sur les levures du genre Candida suivie du clotrimazole, puis l’éconazole. Les fréquences de résistance les plus élevées appartiennent au fluconazole et le voriconazole.
Conclusion : Nécessité d’une surveillance épidémiologique continue des candidoses pour la mise en place de lignes directives pour leurs traitements. Une maîtrise des techniques d’antifongigramme disponibles s’impose.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : P0832012 Président : BENSOUDA.Y Directeur : LMIMOUNI.B.E Juge : LAMSAOURI.J Juge : DOGHMI.K PROFIL DE RESISTANCE DES ANTIFONGIQUES AUX SOUCHES DE CANDIDA ISOLEES AU HMIMV RABAT [thèse] / MERIEM AMMAR, Auteur . - 2012.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : GENRE CANDIDA ANTIFONGIGRAMME ANTIFONGIQUES SYSTEMIQUES PROFIL-RESISTANCE Résumé : Objectifs : Etablir le profil de résistance des souches de Candida isolées aux 7 antifongiques systémiques étudié, et décrire l'épidémiologie des candidoses invasives dans les services de réanimation du l’HMIM V Rabat.
Matériels et méthodes : Notre étude prospective de 7 mois a inclus 52 souches de Candida issues de prélèvements divers. L’identification des souches de Candida était faite sur milieu d’isolement Candiselect® et la sensibilité in vitro aux antifongiques était réalisée par diffusion en milieu gélosé des disques.
Résultats : Parmi les prélèvements effectués, 46,1% étaient des hémocultures et 53,9% représentaient des sites périphériques. Candida non albicans représentait 63,5% alors que C.albicans ne représentait que 36,5%. 6 espèces de Candida étaient identifiées. Dans les sites périphériques, C.albicans représente 36,5% suivie de C.tropicalis et puis C.glabrata. Les hémocultures à Candida glabrata représentaient 41,7%, alors que celles à C.albicans ne représentaient que le 33,3%. Les espèces montrent des sensibilités différentes vis-à-vis des sept antifongiques testés: 59,62% fluconazole, 46,2% voriconazole et la 5-flucytosine, 23,1% miconazole, 21,2% kétoconazole et le clotrimazole et 19,2% éconazole.
Discussion : Prédominance de Candida non albicans sur C.albicans. C.glabrata est l’espèce la plus isolées après C.albicans. Le changement de distribution résulte de l'utilisation accrue des agents antifongiques. Le kétoconazole est le plus efficace sur les levures du genre Candida suivie du clotrimazole, puis l’éconazole. Les fréquences de résistance les plus élevées appartiennent au fluconazole et le voriconazole.
Conclusion : Nécessité d’une surveillance épidémiologique continue des candidoses pour la mise en place de lignes directives pour leurs traitements. Une maîtrise des techniques d’antifongigramme disponibles s’impose.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : P0832012 Président : BENSOUDA.Y Directeur : LMIMOUNI.B.E Juge : LAMSAOURI.J Juge : DOGHMI.K Réservation
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Exemplaires
Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité P0832012 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesPharm2012 Disponible
Titre : Traitement des mycoses cutaneés superficielles Type de document : thèse Auteurs : Omar ELASRI, Auteur Année de publication : 2014 Langues : Français (fre) Mots-clés : mycoses cutaneés Antifongiques systémiques Antifongiques locaux Azolés. Résumé : Les mycoses superficielles sont des affections peu graves mais invalidantes et fréquentes.
Cette pathologie est représentées par les dermatophytoses malassezioses et les candidoses (essentiellement Candida albicans).
Les agents responsables des dermatophytoses appartiennent aux genre Microsporum, Epidermophyton et Trichosporon. Les aspects cliniques induits par ces champignons sont multiples et varient en fonction de leur localisations ; la peau glabre, les plis, les poils, les cheveux et les ongles.
L’arsenal thérapeutique est composé de molecules dont les formes galéniques sont adaptées aux différents sites atteints,
Les principaux antifongiques utilisés par voie générale sont :
Terbinafine, Griséofulvine et Kétoconazole Certains sont actifs sur tous les champignons (dérivés azolés), d’autres restent spécifiques d’un genre particulier (terbinafine active sur les dermatophytes surtout, griséofulvine inactive sur les levures).
Par voie locale les principaux antifongiques utilisés sont Amorolfine dans les onychomycoses, Tolnaftate sur les dermatophyte et pityriasis versicolor, Ciclopiroxolamine Mycoses cutanées superficielles, Le sulfure de sélénium a un spectre etroite utlisé dans pityriasis versicolor.
Les traitements par voie générales sont source d’effets secondaires leur d’indication doit être soigneusement discutée. En revanche Les formes topiques ont peu d’effets indésirables et de contre-indications du fait de leur application cutanée superficielle. Néanmoins, il faut noter la possible survenue, localement, de manifestations allergiques ou d’intolérance
Les antifongiques locaux restent le plus souvent recommandés .ils se distinguent par le nombre d’application, la durée du traitement. On constate souvent une amélioration rapide des lésions avec ces traitements locaux seuls, mais le traitement systémique est primordial dans certaines localisations du foyer infectieux en cas de formes étendues et chez l’immunodeprimé. Dans ces derniers cas la prise en charge consiste donc en l’association d’un traitement local et d’un traitement systémique.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : P0642014 Président : IDRISS LAHLOU.A Directeur : LMIMOUNI.B.E Juge : LAMSAOURI.J Juge : RAHALI.Y Juge : CHARKAOUI.N Traitement des mycoses cutaneés superficielles [thèse] / Omar ELASRI, Auteur . - 2014.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : mycoses cutaneés Antifongiques systémiques Antifongiques locaux Azolés. Résumé : Les mycoses superficielles sont des affections peu graves mais invalidantes et fréquentes.
Cette pathologie est représentées par les dermatophytoses malassezioses et les candidoses (essentiellement Candida albicans).
Les agents responsables des dermatophytoses appartiennent aux genre Microsporum, Epidermophyton et Trichosporon. Les aspects cliniques induits par ces champignons sont multiples et varient en fonction de leur localisations ; la peau glabre, les plis, les poils, les cheveux et les ongles.
L’arsenal thérapeutique est composé de molecules dont les formes galéniques sont adaptées aux différents sites atteints,
Les principaux antifongiques utilisés par voie générale sont :
Terbinafine, Griséofulvine et Kétoconazole Certains sont actifs sur tous les champignons (dérivés azolés), d’autres restent spécifiques d’un genre particulier (terbinafine active sur les dermatophytes surtout, griséofulvine inactive sur les levures).
Par voie locale les principaux antifongiques utilisés sont Amorolfine dans les onychomycoses, Tolnaftate sur les dermatophyte et pityriasis versicolor, Ciclopiroxolamine Mycoses cutanées superficielles, Le sulfure de sélénium a un spectre etroite utlisé dans pityriasis versicolor.
Les traitements par voie générales sont source d’effets secondaires leur d’indication doit être soigneusement discutée. En revanche Les formes topiques ont peu d’effets indésirables et de contre-indications du fait de leur application cutanée superficielle. Néanmoins, il faut noter la possible survenue, localement, de manifestations allergiques ou d’intolérance
Les antifongiques locaux restent le plus souvent recommandés .ils se distinguent par le nombre d’application, la durée du traitement. On constate souvent une amélioration rapide des lésions avec ces traitements locaux seuls, mais le traitement systémique est primordial dans certaines localisations du foyer infectieux en cas de formes étendues et chez l’immunodeprimé. Dans ces derniers cas la prise en charge consiste donc en l’association d’un traitement local et d’un traitement systémique.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : P0642014 Président : IDRISS LAHLOU.A Directeur : LMIMOUNI.B.E Juge : LAMSAOURI.J Juge : RAHALI.Y Juge : CHARKAOUI.N Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité P0642014 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesPharm2014 Disponible P0642014-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesPharm2014 Disponible
