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APPORT DE L’ENTERO-IRM DANS LA MALADIE DE CROHN / ADOUA CELINE SANDRA
Titre : APPORT DE L’ENTERO-IRM DANS LA MALADIE DE CROHN Type de document : thèse Auteurs : ADOUA CELINE SANDRA, Auteur Année de publication : 2013 Langues : Français (fre) Mots-clés : ENTERO-IRM MALADIE DE CROHN ACTIVITE INFLAMMATOIRE Résumé : Objectif : Montrer l’apport de l’entéro-IRM dans la prise en charge de la maladie de Crohn.
Introduction : La maladie de Crohn est une inflammation chronique qui touche l’ensemble du tube digestif ; l’atteinte du grêle est prédominante, chronique et récidivante. Les progrès technologiques récents ont étendu la place de l’entéro-IRM dans l’exploration de la maladie de Crohn.
Matériels et Méthodes :
Etude descriptive rétrospective incluant tous les patients suivis entre Mai 2011 et Janvier 2013, ayant bénéficié d’une entéro-IRM conventionnelle, avec des séquences T1sans et avec injection de gadolinium, des séquences T2 sans et avec suppression de la graisse et des séquences de diffusion.
Résultats :
12patients inclus : 5femmes et 7hommes, d’âge moyen 31 ans. L’entéro-IRM a détecté des lésions pariétales et extrapariétales et des complications chez l’ensemble des patients : épaississement, rehaussement, et hypersignal T2 de la paroi chez tous les patients (100%), hypersignal diffusion chez 10 patients (83 %), signe de peigne chez 4 patients (33%), infiltration péridigestive chez 6 patients (50%), sclérolipomatose chez 3 patients (25%), adénopathies inflammatoires chez 3 patients (25%), abcès chez 1 patient (8%) et fistules chez 4patients (33%). Aucune ulcération pariétale n’a été retrouvée. La maladie était active chez tous les patients dont 5 avec des lésions minimes et 7 avec des lésions modérées à sévères.
Conclusion :
L’entéro-IRM est capable de détecter les lésions pariétales, extrapariétales ainsi que les complications, permettant d’évaluer l’activité inflammatoire et la sévérité de la maladie de Crohn. Elle occupe actuellement une place de choix dans l’exploration de la maladie, car elle est non invasive, non irradiante et donc, mieux adaptée pour une prise en charge au long cours.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M0892013 Président : AJANA.F.Z Directeur : BOUKLATA.S Juge : BENELBARHDADI Juge : RAISS.M APPORT DE L’ENTERO-IRM DANS LA MALADIE DE CROHN [thèse] / ADOUA CELINE SANDRA, Auteur . - 2013.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : ENTERO-IRM MALADIE DE CROHN ACTIVITE INFLAMMATOIRE Résumé : Objectif : Montrer l’apport de l’entéro-IRM dans la prise en charge de la maladie de Crohn.
Introduction : La maladie de Crohn est une inflammation chronique qui touche l’ensemble du tube digestif ; l’atteinte du grêle est prédominante, chronique et récidivante. Les progrès technologiques récents ont étendu la place de l’entéro-IRM dans l’exploration de la maladie de Crohn.
Matériels et Méthodes :
Etude descriptive rétrospective incluant tous les patients suivis entre Mai 2011 et Janvier 2013, ayant bénéficié d’une entéro-IRM conventionnelle, avec des séquences T1sans et avec injection de gadolinium, des séquences T2 sans et avec suppression de la graisse et des séquences de diffusion.
Résultats :
12patients inclus : 5femmes et 7hommes, d’âge moyen 31 ans. L’entéro-IRM a détecté des lésions pariétales et extrapariétales et des complications chez l’ensemble des patients : épaississement, rehaussement, et hypersignal T2 de la paroi chez tous les patients (100%), hypersignal diffusion chez 10 patients (83 %), signe de peigne chez 4 patients (33%), infiltration péridigestive chez 6 patients (50%), sclérolipomatose chez 3 patients (25%), adénopathies inflammatoires chez 3 patients (25%), abcès chez 1 patient (8%) et fistules chez 4patients (33%). Aucune ulcération pariétale n’a été retrouvée. La maladie était active chez tous les patients dont 5 avec des lésions minimes et 7 avec des lésions modérées à sévères.
Conclusion :
L’entéro-IRM est capable de détecter les lésions pariétales, extrapariétales ainsi que les complications, permettant d’évaluer l’activité inflammatoire et la sévérité de la maladie de Crohn. Elle occupe actuellement une place de choix dans l’exploration de la maladie, car elle est non invasive, non irradiante et donc, mieux adaptée pour une prise en charge au long cours.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M0892013 Président : AJANA.F.Z Directeur : BOUKLATA.S Juge : BENELBARHDADI Juge : RAISS.M Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M0892013 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2013 Disponible M0892013-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2013 Disponible LA POLYARTHRITE RHUMATOIDE CHEZ L’HOMME : A PROPOs DE 80 CAs / Mehdi EL HAJJAMI
Titre : LA POLYARTHRITE RHUMATOIDE CHEZ L’HOMME : A PROPOs DE 80 CAs Type de document : thèse Auteurs : Mehdi EL HAJJAMI, Auteur Année de publication : 2024 Langues : Français (fre) Mots-clés : Polyarthrite rhumatoïde Sexe masculin Activité inflammatoire Comorbidités Réponse thérapeutique Résumé : L’objectif de cette étude était de caractériser les spécificités cliniques, biologiques,
radiologiques et thérapeutiques de la PR chez les hommes, en les comparant aux femmes tout
en tenant compte des comorbidités. Nous avons mené une étude observationnelle transversale
entre janvier 2022 et janvier 2024, incluant 80 hommes atteints de PR suivis à l’Hôpital
Militaire d’Instruction Mohammed V de Rabat, appariés à 160 femmes. Pour chaque homme
inclus, deux patientes de sexe féminin ont été appariées, soit un total de 240 patients.
Les hommes étaient diagnostiqués à un âge plus jeune (55,5 ± 10,6 ans contre 59,2 ± 14,8 ans)
et présentaient une prévalence élevée de tabagisme (31,3 % contre 2,5 %), souvent associé à
une pneumopathie interstitielle diffuse (65,38 %). Ils présentaient également davantage
d’érosions articulaires (76,3 % contre 71,3 %) ainsi que des niveaux de CRP plus élevés,
témoignant d’une inflammation plus marquée. Cependant, leurs scores d’activité clinique
(DAS28-CRP et DAS28-VS) étaient inférieurs, en raison d’une perception de la douleur moins
intense.
En revanche, les femmes rapportaient plus souvent des douleurs prolongées et souffraient
davantage de comorbidités, telles que l’obésité (37,5 % contre 13,8 %), l’ostéoporose (33,1 %
contre 12,5 %) et la dépression (23,1 % contre 11,3 %).
Sur le plan thérapeutique, les hommes avaient une durée de corticothérapie plus courte (14,7 ±
10,1 mois contre 39,8 ± 39,7 mois) et atteignaient plus fréquemment la rémission (52,7 % contre
28,5 %). En revanche, les femmes étaient plus souvent classées comme ayant une PR difficile
à traiter (81,25 % contre 18,75 %), ce qui suggère une meilleure réponse globale aux traitements
chez les hommes par rapport aux femmes.
En conclusion, la PR chez l’homme se distingue par une inflammation plus marquée et des
érosions fréquentes, mais avec une perception moindre de la douleur et une meilleure réponse
thérapeutique. Ces résultats soulignent l’importance d’une prise en charge adaptée au sexe pour
optimiser les résultats thérapeutiques.Numéro (Thèse ou Mémoire) : M5542024 Président : Ali ABOUZAHIR Directeur : Ahmed BEZZA Juge : Hanan RKAIN Juge : Latifa TAHIRI LA POLYARTHRITE RHUMATOIDE CHEZ L’HOMME : A PROPOs DE 80 CAs [thèse] / Mehdi EL HAJJAMI, Auteur . - 2024.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Polyarthrite rhumatoïde Sexe masculin Activité inflammatoire Comorbidités Réponse thérapeutique Résumé : L’objectif de cette étude était de caractériser les spécificités cliniques, biologiques,
radiologiques et thérapeutiques de la PR chez les hommes, en les comparant aux femmes tout
en tenant compte des comorbidités. Nous avons mené une étude observationnelle transversale
entre janvier 2022 et janvier 2024, incluant 80 hommes atteints de PR suivis à l’Hôpital
Militaire d’Instruction Mohammed V de Rabat, appariés à 160 femmes. Pour chaque homme
inclus, deux patientes de sexe féminin ont été appariées, soit un total de 240 patients.
Les hommes étaient diagnostiqués à un âge plus jeune (55,5 ± 10,6 ans contre 59,2 ± 14,8 ans)
et présentaient une prévalence élevée de tabagisme (31,3 % contre 2,5 %), souvent associé à
une pneumopathie interstitielle diffuse (65,38 %). Ils présentaient également davantage
d’érosions articulaires (76,3 % contre 71,3 %) ainsi que des niveaux de CRP plus élevés,
témoignant d’une inflammation plus marquée. Cependant, leurs scores d’activité clinique
(DAS28-CRP et DAS28-VS) étaient inférieurs, en raison d’une perception de la douleur moins
intense.
En revanche, les femmes rapportaient plus souvent des douleurs prolongées et souffraient
davantage de comorbidités, telles que l’obésité (37,5 % contre 13,8 %), l’ostéoporose (33,1 %
contre 12,5 %) et la dépression (23,1 % contre 11,3 %).
Sur le plan thérapeutique, les hommes avaient une durée de corticothérapie plus courte (14,7 ±
10,1 mois contre 39,8 ± 39,7 mois) et atteignaient plus fréquemment la rémission (52,7 % contre
28,5 %). En revanche, les femmes étaient plus souvent classées comme ayant une PR difficile
à traiter (81,25 % contre 18,75 %), ce qui suggère une meilleure réponse globale aux traitements
chez les hommes par rapport aux femmes.
En conclusion, la PR chez l’homme se distingue par une inflammation plus marquée et des
érosions fréquentes, mais avec une perception moindre de la douleur et une meilleure réponse
thérapeutique. Ces résultats soulignent l’importance d’une prise en charge adaptée au sexe pour
optimiser les résultats thérapeutiques.Numéro (Thèse ou Mémoire) : M5542024 Président : Ali ABOUZAHIR Directeur : Ahmed BEZZA Juge : Hanan RKAIN Juge : Latifa TAHIRI Réservation
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