Accueil
A partir de cette page vous pouvez :
Retourner au premier écran avec les dernières notices... |
Résultat de la recherche
2 résultat(s) recherche sur le mot-clé 'Anesthésie.'
Affiner la recherche Faire une suggestion
Titre : Changements du programme opératoire: Incidences, causes et suites. Type de document : thèse Auteurs : Christine Miléna SAYORE, Auteur Année de publication : 2015 Langues : Français (fre) Mots-clés : Programme opératoire Annulation Ajouts Changements Anesthésie. Résumé : Introduction:
Les changements du programme opératoire conduisent à une utilisation inefficace des plages opératoires disponibles, et au gaspillage des ressources.
Objectif:
Cette étude a été réalisée afin d'évaluer l'incidence, les causes et les suites des changements dans le programme opératoire de l’hôpital militaire Med V de Rabat.
Matériels et Méthodes:
Il s’agissait d’une étude prospective réalisée dans le service d’anesthésiologie de l’hôpital militaire Mohammed V de Rabat. Etait inclus dans l’étude tout changement du programme opératoire (refus, ajout). Etaient exclus tous les changements survenus dans les autres sites opératoires. Pour tout changement était remplie une fiche d’exploitation. Les paramètres recueillis étaient: l’âge, le sexe, les classes ASA, le service concerné par le changement, les causes, le timing du changement et le devenir des patients.
Résultats:
De Novembre 2014 à Mai 2015, 3620 interventions chirurgicales ont été programmées. Sur ces interventions 320 ont été annulées soit 8,8% et 252 ont été ajoutées soit 7%. Le service d’urologie avait le plus fort taux d’annulation soit 23,4%. Les causes liées aux patients représentaient 50% des motifs d’annulation, suivies des causes liées à la chirurgie à 40% et enfin celles liées à l’anesthésie à 10% de l’ensemble des annulations. L’absence du patient lors de l’intervention à 78,1% était la cause la plus importante liée au patient, la plage horaire non suffisante à 55,5% celle liée à la chirurgie et enfin la non disponibilité en sang et en place en réanimation à 25% chacune, celles liées à l’anesthésie.
Conclusion
Les changements du programme opératoire ont une incidence élevée par rapport aux autres études. Des efforts devraient être faits concernant la planification, la programmation et la coordination entre les différents acteurs intervenants dans le planning opératoire.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M2592015 Président : ALKANDRY.S Directeur : BENSGHIR.M Juge : BAITE.A Juge : DRISSI.M Juge : MEZIANE.M Changements du programme opératoire: Incidences, causes et suites. [thèse] / Christine Miléna SAYORE, Auteur . - 2015.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Programme opératoire Annulation Ajouts Changements Anesthésie. Résumé : Introduction:
Les changements du programme opératoire conduisent à une utilisation inefficace des plages opératoires disponibles, et au gaspillage des ressources.
Objectif:
Cette étude a été réalisée afin d'évaluer l'incidence, les causes et les suites des changements dans le programme opératoire de l’hôpital militaire Med V de Rabat.
Matériels et Méthodes:
Il s’agissait d’une étude prospective réalisée dans le service d’anesthésiologie de l’hôpital militaire Mohammed V de Rabat. Etait inclus dans l’étude tout changement du programme opératoire (refus, ajout). Etaient exclus tous les changements survenus dans les autres sites opératoires. Pour tout changement était remplie une fiche d’exploitation. Les paramètres recueillis étaient: l’âge, le sexe, les classes ASA, le service concerné par le changement, les causes, le timing du changement et le devenir des patients.
Résultats:
De Novembre 2014 à Mai 2015, 3620 interventions chirurgicales ont été programmées. Sur ces interventions 320 ont été annulées soit 8,8% et 252 ont été ajoutées soit 7%. Le service d’urologie avait le plus fort taux d’annulation soit 23,4%. Les causes liées aux patients représentaient 50% des motifs d’annulation, suivies des causes liées à la chirurgie à 40% et enfin celles liées à l’anesthésie à 10% de l’ensemble des annulations. L’absence du patient lors de l’intervention à 78,1% était la cause la plus importante liée au patient, la plage horaire non suffisante à 55,5% celle liée à la chirurgie et enfin la non disponibilité en sang et en place en réanimation à 25% chacune, celles liées à l’anesthésie.
Conclusion
Les changements du programme opératoire ont une incidence élevée par rapport aux autres études. Des efforts devraient être faits concernant la planification, la programmation et la coordination entre les différents acteurs intervenants dans le planning opératoire.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M2592015 Président : ALKANDRY.S Directeur : BENSGHIR.M Juge : BAITE.A Juge : DRISSI.M Juge : MEZIANE.M Réservation
Réserver ce document
Exemplaires
Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M2592015 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2015 Disponible M2592015-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2015 Disponible Documents numériques
M2592015URL HEMOPATHIES MALIGNES ET GROSSESSE : A PROPOS DE TROIS CAS / Ouassour Salma
Titre : HEMOPATHIES MALIGNES ET GROSSESSE : A PROPOS DE TROIS CAS Type de document : thèse Auteurs : Ouassour Salma, Auteur Année de publication : 2011 Langues : Français (fre) Mots-clés : Hémopathie maligne Grossesse Chimiothérapie Radiothérapie Accouchement Anesthésie. Index. décimale : WA SANTE PUBLIQUE - PROFESSION MEDICALE Résumé : Les hémopathies malignes représentent 25% des cancers compliquant la grossesse : les lymphomes et les leucémies sont les plus fréquents.
Cette situation est extrêmement délicate car la prise en charge doit être réfléchie sur les deux versants : mère et fœtus.
Nous rapportons trois cas d’hémopathies malignes agressives diagnostiquées et traitées au cours de la grossesse.
En général, la grossesse n’affecte pas l’évolution naturelle des hémopathies malignes : l’issu de la grossesse est favorable et leur pronostic ne diffère pas de façon significative des femmes non-enceintes.
La stratégie obstétricale dépend de l’âge gestationnel. Une interruption thérapeutique de la grossesse est proposée avant 26 semaines d’aménorrhée. Entre 26 et 32 semaines, la grossesse est poursuivie le plus longtemps possible, et une chimiothérapie est débutée simultanément. Après 32 semaines, l’accouchement semble préférable à la poursuite de la grossesse, et une chimiothérapie est débutée en post-partum.
Lorsque la chimiothérapie est indiquée, il est conseillé d’utiliser des agents appartenant à la classe des anthracyclines, dont la Doxorubicine, et à la classe des alcaloïdes de pervenche. A l’inverse la classe des antimétabolites doit être évitée.
Il est préférable de différer toute radiothérapie au post-patum. Cependant, la radiothérapie sus-diaphragmatique est envisageable. Quant à la sous-diaphragmatique, elle est formellement interdite au cours de la grossesse.
Le mode d’accouchement est discuté au cas par cas. La tentative d’accouchement par voie basse est possible mais une césarienne est le plus souvent réalisée compte tenu des difficultés de maturation cervicale lorsque l’accouchement est indiqué prématurément.
Au cours de la période d’aplasie médullaire, l’anesthésie générale est préférée aux techniques d’analgésie et d’anesthésie locorégionales.
La prise en charge des hémopathies malignes au cours de la grossesse doit être multidisciplinaire et adaptée au cas par cas
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M0442011 Président : IDRISS MOUSSAOUI RAHALI Directeur : NAZHA MESSAOUDI Juge : KAMAL DOGHMI HEMOPATHIES MALIGNES ET GROSSESSE : A PROPOS DE TROIS CAS [thèse] / Ouassour Salma, Auteur . - 2011.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Hémopathie maligne Grossesse Chimiothérapie Radiothérapie Accouchement Anesthésie. Index. décimale : WA SANTE PUBLIQUE - PROFESSION MEDICALE Résumé : Les hémopathies malignes représentent 25% des cancers compliquant la grossesse : les lymphomes et les leucémies sont les plus fréquents.
Cette situation est extrêmement délicate car la prise en charge doit être réfléchie sur les deux versants : mère et fœtus.
Nous rapportons trois cas d’hémopathies malignes agressives diagnostiquées et traitées au cours de la grossesse.
En général, la grossesse n’affecte pas l’évolution naturelle des hémopathies malignes : l’issu de la grossesse est favorable et leur pronostic ne diffère pas de façon significative des femmes non-enceintes.
La stratégie obstétricale dépend de l’âge gestationnel. Une interruption thérapeutique de la grossesse est proposée avant 26 semaines d’aménorrhée. Entre 26 et 32 semaines, la grossesse est poursuivie le plus longtemps possible, et une chimiothérapie est débutée simultanément. Après 32 semaines, l’accouchement semble préférable à la poursuite de la grossesse, et une chimiothérapie est débutée en post-partum.
Lorsque la chimiothérapie est indiquée, il est conseillé d’utiliser des agents appartenant à la classe des anthracyclines, dont la Doxorubicine, et à la classe des alcaloïdes de pervenche. A l’inverse la classe des antimétabolites doit être évitée.
Il est préférable de différer toute radiothérapie au post-patum. Cependant, la radiothérapie sus-diaphragmatique est envisageable. Quant à la sous-diaphragmatique, elle est formellement interdite au cours de la grossesse.
Le mode d’accouchement est discuté au cas par cas. La tentative d’accouchement par voie basse est possible mais une césarienne est le plus souvent réalisée compte tenu des difficultés de maturation cervicale lorsque l’accouchement est indiqué prématurément.
Au cours de la période d’aplasie médullaire, l’anesthésie générale est préférée aux techniques d’analgésie et d’anesthésie locorégionales.
La prise en charge des hémopathies malignes au cours de la grossesse doit être multidisciplinaire et adaptée au cas par cas
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M0442011 Président : IDRISS MOUSSAOUI RAHALI Directeur : NAZHA MESSAOUDI Juge : KAMAL DOGHMI Réservation
Réserver ce document
Exemplaires
Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M0442011 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2011 Disponible