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1 résultat(s) recherche sur le mot-clé 'Arthrite juvénile idiopathique systémique'
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Titre : ARTHRITE JUVENILE IDIOPATHIQUE SYSTEMIQUE DEBUTEE PAR UN SYNDROME DE KAWASAKI Type de document : thèse Auteurs : Ghita ALAOUI MHAMDI, Auteur Année de publication : 2022 Langues : Français (fre) Mots-clés : Arthrite juvénile idiopathique systémique syndrome de Kawasaki Résumé : Mots-clés : Arthrite juvénile idiopathique systémique ; syndrome de Kawasaki ; étiopathogénie
Introduction : L’arthrite juvénile idiopathique systémique et la maladie de Kawasaki sont des
maladies inflammatoires rares touchant l’enfant. Elles sont liées à une activation excessive de
la réponse immunitaire innée avec sécrétion de cytokines pro-inflammatoires, responsables de
manifestations cliniques et paracliniques.
Objectifs : L’objectif du travail est de mettre en évidence les particularités étiopathogéniques,
cliniques, paracliniques, thérapeutiques et évolutives liant ces deux pathologies.
Patients et méthodes : Étude rétrospective de cas, incluant 3 patients atteints d’AJIs débutée
par un syndrome de Kawasaki à l’hôpital d’Enfants de Rabat et consultation rhumatopédiatrique, du service de Pédiatrie IV, avec le professeur B. CHKIRATE, entre 2019 et 2021.
Résultats : 3 patients âgés de 2 à 4 ans. Le sexe-ratio était de 2 garçons pour 1 fille. 66% des
patients présentaient une consanguinité du 1er degré.
38% ont consulté pour une fièvre associée à des polyarthralgies d’allure inflammatoire et 25%
pour une éruption cutanéo-muqueuse.
Tous avaient un syndrome inflammatoire important. La VS et la CRP étaient augmentées chez
100% des patients. A la NFS, 100% avaient une anémie hypochrome microcytaire, une
hyperleucocytose à prédominance de PNN et une thrombocytose.
Les bilans hépatique et rénal étaient normaux chez tous les patients. L’ETT a retrouvé une
atteinte cardiaque chez 100% des patients.
Le traitement a reposé pour tous les patients sur les IgIV, la corticothérapie en IV/IM avec relai
per os, le Méthotrexate. Seulement 66% ont eu recours à la biothérapie.
L’évolution favorable était la règle sous traitement bien conduit.
Conclusion : Les études ont montré qu’il existe une corrélation clinique et physiopathologique
entre l’AJIs et la MK. Nous concluons qu’ils constituent un spectre commun.
L’introduction de la biothérapie dans notre arsenal thérapeutique a eu un impact considérable
sur la prise en charge de la maladie et de ses conséquences.Numéro (Thèse ou Mémoire) : M4242022 Président : A. BENTAHILA Directeur : B. CHKIRATE Juge : N. EL HAFIDI Juge : A. MDAGHRI ALAOUI ARTHRITE JUVENILE IDIOPATHIQUE SYSTEMIQUE DEBUTEE PAR UN SYNDROME DE KAWASAKI [thèse] / Ghita ALAOUI MHAMDI, Auteur . - 2022.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Arthrite juvénile idiopathique systémique syndrome de Kawasaki Résumé : Mots-clés : Arthrite juvénile idiopathique systémique ; syndrome de Kawasaki ; étiopathogénie
Introduction : L’arthrite juvénile idiopathique systémique et la maladie de Kawasaki sont des
maladies inflammatoires rares touchant l’enfant. Elles sont liées à une activation excessive de
la réponse immunitaire innée avec sécrétion de cytokines pro-inflammatoires, responsables de
manifestations cliniques et paracliniques.
Objectifs : L’objectif du travail est de mettre en évidence les particularités étiopathogéniques,
cliniques, paracliniques, thérapeutiques et évolutives liant ces deux pathologies.
Patients et méthodes : Étude rétrospective de cas, incluant 3 patients atteints d’AJIs débutée
par un syndrome de Kawasaki à l’hôpital d’Enfants de Rabat et consultation rhumatopédiatrique, du service de Pédiatrie IV, avec le professeur B. CHKIRATE, entre 2019 et 2021.
Résultats : 3 patients âgés de 2 à 4 ans. Le sexe-ratio était de 2 garçons pour 1 fille. 66% des
patients présentaient une consanguinité du 1er degré.
38% ont consulté pour une fièvre associée à des polyarthralgies d’allure inflammatoire et 25%
pour une éruption cutanéo-muqueuse.
Tous avaient un syndrome inflammatoire important. La VS et la CRP étaient augmentées chez
100% des patients. A la NFS, 100% avaient une anémie hypochrome microcytaire, une
hyperleucocytose à prédominance de PNN et une thrombocytose.
Les bilans hépatique et rénal étaient normaux chez tous les patients. L’ETT a retrouvé une
atteinte cardiaque chez 100% des patients.
Le traitement a reposé pour tous les patients sur les IgIV, la corticothérapie en IV/IM avec relai
per os, le Méthotrexate. Seulement 66% ont eu recours à la biothérapie.
L’évolution favorable était la règle sous traitement bien conduit.
Conclusion : Les études ont montré qu’il existe une corrélation clinique et physiopathologique
entre l’AJIs et la MK. Nous concluons qu’ils constituent un spectre commun.
L’introduction de la biothérapie dans notre arsenal thérapeutique a eu un impact considérable
sur la prise en charge de la maladie et de ses conséquences.Numéro (Thèse ou Mémoire) : M4242022 Président : A. BENTAHILA Directeur : B. CHKIRATE Juge : N. EL HAFIDI Juge : A. MDAGHRI ALAOUI Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M4242022 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMed2022 Disponible Documents numériques
M4242022URL