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ENCÉPHALOPATHIE PANCRÉATIQUE, À PROPOS DE 02 CAS AVEC REVUE DE LA LITTÉRATURE. / AHMED BOUHAMIDI
Titre : ENCÉPHALOPATHIE PANCRÉATIQUE, À PROPOS DE 02 CAS AVEC REVUE DE LA LITTÉRATURE. Type de document : thèse Auteurs : AHMED BOUHAMIDI, Auteur Année de publication : 2011 Langues : Français (fre) Mots-clés : PANCREATITE AIGUE GRAVE ENCÉPHALOPATHIE POST-PANCREATITE LESIONS AXONALES Résumé : L’encéphalopathie pancréatique, est une complication rare de la pancréatite aiguë
Notre étude porte sur 02 cas d’encéphalopathie pancréatique, hospitalisés et traités au sein du service de Réanimation chirurgicale de l’Hôpital Militaire d’Instruction Mohamed V de Rabat.
L’âge des patients était compris entre 43 ans et 54 ans, avec un âge moyen de 48.5 ans, nos 02 cas sont repartis en une femme et un homme.
Le mécanisme physiopathologique de l’EP n’est pas encore bien élucidé, de nombreuses hypothèses ont été rapportées dans la littérature, certains auteurs suggèrent que la lipase et la PLA2 jouent un rôle dans le processus pathologique de l’EP. D’autres facteurs tels que les infections, les troubles hydroélectrolytiques, l’hypoxémie et la perturbation de la glycémie, peuvent être déclencheurs.
Le diagnostic de l’encéphalopathie pancréatique est facile à établir, la symptomatologie clinique se résume le plus souvent à une confusion, avec stupeur, et agitation psychomotrice, Il s’y ajoute parfois des atteintes neurologiques comme des convulsions, une céphalée, des hémiparésies passagères, une dysarthrie, enfin des difficultés d’expression verbale et une amnésie.
Les examens paracliniques, notamment L'IRM cérébrale et l’électroencéphalogramme, permettent de confirmer le diagnostic.
Le traitement est d’abord symptomatique, il a comme objectif de lutter contre les facteurs qui favorisent l’apparition des signes neurologiques par les mesures de réanimation que réclame la gravité de la situation.
L’évolution de l’EP est le plus souvent favorable, avec une disparition progressive des symptômes, cependant la persistance de quelques séquelles, est décrite dans la littérature.
Le pronostic est fonction de la gravité de la pancréatite aigue et des complications associées.
Dans notre étude les données sont globalement comparables à celles publiées actuellement par la majorité des auteurs.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M1582011 Président : RACHID HSSAIDA Directeur : ABDELWAHAD BAITE Juge : AHMED BOUNAIM ENCÉPHALOPATHIE PANCRÉATIQUE, À PROPOS DE 02 CAS AVEC REVUE DE LA LITTÉRATURE. [thèse] / AHMED BOUHAMIDI, Auteur . - 2011.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : PANCREATITE AIGUE GRAVE ENCÉPHALOPATHIE POST-PANCREATITE LESIONS AXONALES Résumé : L’encéphalopathie pancréatique, est une complication rare de la pancréatite aiguë
Notre étude porte sur 02 cas d’encéphalopathie pancréatique, hospitalisés et traités au sein du service de Réanimation chirurgicale de l’Hôpital Militaire d’Instruction Mohamed V de Rabat.
L’âge des patients était compris entre 43 ans et 54 ans, avec un âge moyen de 48.5 ans, nos 02 cas sont repartis en une femme et un homme.
Le mécanisme physiopathologique de l’EP n’est pas encore bien élucidé, de nombreuses hypothèses ont été rapportées dans la littérature, certains auteurs suggèrent que la lipase et la PLA2 jouent un rôle dans le processus pathologique de l’EP. D’autres facteurs tels que les infections, les troubles hydroélectrolytiques, l’hypoxémie et la perturbation de la glycémie, peuvent être déclencheurs.
Le diagnostic de l’encéphalopathie pancréatique est facile à établir, la symptomatologie clinique se résume le plus souvent à une confusion, avec stupeur, et agitation psychomotrice, Il s’y ajoute parfois des atteintes neurologiques comme des convulsions, une céphalée, des hémiparésies passagères, une dysarthrie, enfin des difficultés d’expression verbale et une amnésie.
Les examens paracliniques, notamment L'IRM cérébrale et l’électroencéphalogramme, permettent de confirmer le diagnostic.
Le traitement est d’abord symptomatique, il a comme objectif de lutter contre les facteurs qui favorisent l’apparition des signes neurologiques par les mesures de réanimation que réclame la gravité de la situation.
L’évolution de l’EP est le plus souvent favorable, avec une disparition progressive des symptômes, cependant la persistance de quelques séquelles, est décrite dans la littérature.
Le pronostic est fonction de la gravité de la pancréatite aigue et des complications associées.
Dans notre étude les données sont globalement comparables à celles publiées actuellement par la majorité des auteurs.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M1582011 Président : RACHID HSSAIDA Directeur : ABDELWAHAD BAITE Juge : AHMED BOUNAIM Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M1582011 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2011 Disponible