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ETUDE DE LA PREVALENCE DE L’ETAT DE STRESS POST-TRAUMATIQUE (ESPT) CHEZ UN GROUPE D’ADOLESCENTS SCOLARISES AU NIVEAU DE LA PREFECTURE DE SALE / ASTITENE KHALID
Titre : ETUDE DE LA PREVALENCE DE L’ETAT DE STRESS POST-TRAUMATIQUE (ESPT) CHEZ UN GROUPE D’ADOLESCENTS SCOLARISES AU NIVEAU DE LA PREFECTURE DE SALE Type de document : thèse Auteurs : ASTITENE KHALID, Auteur Année de publication : 2023 Langues : Français (fre) Mots-clés : Adolescent scolarité événement traumatique CPTS-RI ESPT Adolescent schooling traumatic event CPTS-RI PTSD المراهق الدراسة الحدث الصادم Résumé : Un événement à caractère traumatique a un impact négatif sur le bien-être psychologique des adolescents. Le but de notre étude a été d’évaluer la prévalence de l’état de stress post traumatique (ESPT) et les troubles associés à l’ESPT (l’anxiété et la dépression) chez des adolescents scolarisés au niveau des établissements scolaires publics et du centre de réforme et de discipline de la préfecture de Salé au Maroc.
Les participants à l’étude ont été sélectionnés pour une enquête transversale durant la période de mars à juin 2017. Les instruments de mesures utilisés pour cette étude ont été sous forme des questionnaires : la liste des événements de vie, le CPTS-RI, le STAIY et le CDI.
On avait 871 adolescents scolarisés et leur âge variait entre 12ans et 17ans. Pour les adolescents en détention, 52 adolescents étaient retenus (de sexe masculin) et leur âge variait entre 13ans et 17ans. On a trouvé une prévalence de 63,9% de l’ESPT chez les élèves (40,2% des adolescents et 59,8% des adolescentes avec p<0,001). Pour les troubles associés à l’ESPT, 85,5% ont présenté de l’anxiété et 58% ont présenté une dépression. L’évènement traumatique principal qui a causé l’ESPT c’était la mort subite et inattendu d’un proche avec 27,7%. Chez les adolescents en détention, on a trouvé une grande proportion de l’ESPT chez les élèves avec 78,85%. 92,7% des élèves présentaient de l’anxiété et 90,2% présentaient une dépression. L’évènement traumatique principal qui a causé l’ESPT c’était la détention avec 44,2%.
La prévalence élevée de l’ESPT a été due à plusieurs facteurs : un faible niveau d'éducation des parents, la pauvreté, un manque de soutien social, un taux important d'analphabétisme parental, le problème de la précarité sociale et un taux de chômage important.Numéro (Thèse ou Mémoire) : D0092023 Président : Aicha KHARBACH Directeur : Amina BARKAT Juge : Milouda CHEBABE ; Amale HASSANI ; Aicha KHARBACH Juge : Houssain TLIGUI Juge : Fatima Zahra LAAMIRI ETUDE DE LA PREVALENCE DE L’ETAT DE STRESS POST-TRAUMATIQUE (ESPT) CHEZ UN GROUPE D’ADOLESCENTS SCOLARISES AU NIVEAU DE LA PREFECTURE DE SALE [thèse] / ASTITENE KHALID, Auteur . - 2023.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Adolescent scolarité événement traumatique CPTS-RI ESPT Adolescent schooling traumatic event CPTS-RI PTSD المراهق الدراسة الحدث الصادم Résumé : Un événement à caractère traumatique a un impact négatif sur le bien-être psychologique des adolescents. Le but de notre étude a été d’évaluer la prévalence de l’état de stress post traumatique (ESPT) et les troubles associés à l’ESPT (l’anxiété et la dépression) chez des adolescents scolarisés au niveau des établissements scolaires publics et du centre de réforme et de discipline de la préfecture de Salé au Maroc.
Les participants à l’étude ont été sélectionnés pour une enquête transversale durant la période de mars à juin 2017. Les instruments de mesures utilisés pour cette étude ont été sous forme des questionnaires : la liste des événements de vie, le CPTS-RI, le STAIY et le CDI.
On avait 871 adolescents scolarisés et leur âge variait entre 12ans et 17ans. Pour les adolescents en détention, 52 adolescents étaient retenus (de sexe masculin) et leur âge variait entre 13ans et 17ans. On a trouvé une prévalence de 63,9% de l’ESPT chez les élèves (40,2% des adolescents et 59,8% des adolescentes avec p<0,001). Pour les troubles associés à l’ESPT, 85,5% ont présenté de l’anxiété et 58% ont présenté une dépression. L’évènement traumatique principal qui a causé l’ESPT c’était la mort subite et inattendu d’un proche avec 27,7%. Chez les adolescents en détention, on a trouvé une grande proportion de l’ESPT chez les élèves avec 78,85%. 92,7% des élèves présentaient de l’anxiété et 90,2% présentaient une dépression. L’évènement traumatique principal qui a causé l’ESPT c’était la détention avec 44,2%.
La prévalence élevée de l’ESPT a été due à plusieurs facteurs : un faible niveau d'éducation des parents, la pauvreté, un manque de soutien social, un taux important d'analphabétisme parental, le problème de la précarité sociale et un taux de chômage important.Numéro (Thèse ou Mémoire) : D0092023 Président : Aicha KHARBACH Directeur : Amina BARKAT Juge : Milouda CHEBABE ; Amale HASSANI ; Aicha KHARBACH Juge : Houssain TLIGUI Juge : Fatima Zahra LAAMIRI Réservation
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Titre : LA VIOLENCE CONJUGALE A L’EGARD DES FEMMES MAROCAINES ET SON IMPACT PSYCHIATRIQUE. Type de document : thèse Auteurs : DOURAIDI Nada, Auteur Année de publication : 2019 Langues : Français (fre) Mots-clés : la violence conjugale impact psychiatrique estime de soi ESPT dépression Résumé : Introduction : La violence conjugale est très fréquente mais sous estimée au Maroc. Elle a pourtant un impact psychiatrique bien documenté.
Les objectifs de notre étude sont de décrire le profil sociodémographique et psychopathologique des femmes victimes de la violence conjugale, d’effectuer une évaluation de l’estime de soi, de la dépression, de l’état de stress post traumatique ESPT et de la suicidalité des femmes enquêtées.
Matériels et Méthodes : une étude transversale a été menée au siège de l’Unité d’Action Féminine à Rabat, pendant une période de 8 mois. Ont été inclues, les femmes victimes de violence conjugale, toujours mariées et âgées entre 18 et 60 ans. Les évaluations cliniques ont compris : l’échelle de Rosenberg, l’inventaire de Beck et le PCLS. L’analyse statistique a été réalisée avec le logiciel SPSS.
Résultats : 70 femmes ont été recrutées. Elles ont toutes subi des violences psychologiques et 50% d’entre elles ont subi les 3 formes de violence, soit physique, psychologique et sexuelle. 67,14% des femmes sont dépressives, L’estime de soi est faible chez 51,43%, et très faible chez 38,57%. Quant à l’ESPT, il a été retrouvé chez 58,57% des femmes.
Une corrélation décroissante entre l’estime de soi et la dépression a été notée, ainsi que l’absence de relation significative entre le type de violence et l’impact psychiatrique.
Conclusion : L’impact psychiatrique est retrouvé chez notre population, qu’elle que soit la forme de la violence conjugale subie.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M1752019 Président : BICHRA.M.Z Directeur : EL OMARI.F Juge : SEKKAT.F.Z Juge : KADIRI.M Juge : SABIR.M LA VIOLENCE CONJUGALE A L’EGARD DES FEMMES MAROCAINES ET SON IMPACT PSYCHIATRIQUE. [thèse] / DOURAIDI Nada, Auteur . - 2019.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : la violence conjugale impact psychiatrique estime de soi ESPT dépression Résumé : Introduction : La violence conjugale est très fréquente mais sous estimée au Maroc. Elle a pourtant un impact psychiatrique bien documenté.
Les objectifs de notre étude sont de décrire le profil sociodémographique et psychopathologique des femmes victimes de la violence conjugale, d’effectuer une évaluation de l’estime de soi, de la dépression, de l’état de stress post traumatique ESPT et de la suicidalité des femmes enquêtées.
Matériels et Méthodes : une étude transversale a été menée au siège de l’Unité d’Action Féminine à Rabat, pendant une période de 8 mois. Ont été inclues, les femmes victimes de violence conjugale, toujours mariées et âgées entre 18 et 60 ans. Les évaluations cliniques ont compris : l’échelle de Rosenberg, l’inventaire de Beck et le PCLS. L’analyse statistique a été réalisée avec le logiciel SPSS.
Résultats : 70 femmes ont été recrutées. Elles ont toutes subi des violences psychologiques et 50% d’entre elles ont subi les 3 formes de violence, soit physique, psychologique et sexuelle. 67,14% des femmes sont dépressives, L’estime de soi est faible chez 51,43%, et très faible chez 38,57%. Quant à l’ESPT, il a été retrouvé chez 58,57% des femmes.
Une corrélation décroissante entre l’estime de soi et la dépression a été notée, ainsi que l’absence de relation significative entre le type de violence et l’impact psychiatrique.
Conclusion : L’impact psychiatrique est retrouvé chez notre population, qu’elle que soit la forme de la violence conjugale subie.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M1752019 Président : BICHRA.M.Z Directeur : EL OMARI.F Juge : SEKKAT.F.Z Juge : KADIRI.M Juge : SABIR.M Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M1752019 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2019 Disponible M1752019-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2019 Disponible Documents numériques
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