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ETUDE DES FACTEURS DE RISQUE CARDIOVASCULAIRES CHEZ LES PATIENTS ADMIS POUR SYNDROME CORONARIEN AIGU / OMAR KATIRI
Titre : ETUDE DES FACTEURS DE RISQUE CARDIOVASCULAIRES CHEZ LES PATIENTS ADMIS POUR SYNDROME CORONARIEN AIGU Type de document : thèse Auteurs : OMAR KATIRI, Auteur Année de publication : 2009 Langues : Français (fre) Mots-clés : SYNDROME CORONARIEN AIGU FACTEUR DE RISQUE CARDIOVASCULAIRE EXPLORATION BIOCHIMIQUE Index. décimale : WA SANTE PUBLIQUE - PROFESSION MEDICALE Résumé : Nous avons mené une étude rétrospective portant sur 367 patients présentant un SCA, colligés dans le service de cardiologie de l'HMIMV de Rabat entre décembre 2007 et décembre 2008, en vue d'évaluer les FRCV. La cohorte étudiée inclut 318 hommes et 49 femmes, d'âge moyen de 58±10,30 ans, répartis comme suit: 60 AI et 307 IDM.
La présente étude montre un profil de risque cardiovasculaire qui dépasse pour certains facteurs comme le tabagisme (66,75%), l'obésité (64,30%) ou le diabète (44,95%), celui des pays développés et traditionnellement exposé au fléau des MCV. En revanche, la prévalence de l'HTA (39,50%) et de l'hypercholestérolémie (13,90%) demeure nettement plus basse comparativement aux résultats d'autres études internationales.
La tranche d'âge 45-54 est la plus concernée par le tabagisme, alors que l'obésité et la dyslipidémie touchent préférentiellement des patients âgés entre 55et 64 ans. Le diabète et l'HTA concernent les plus vieux (> à 65 ans).
La prédominance de l'ensemble des FRCV (la dyslipidémie, l'obésité, le diabète, l'HTA) chez l'homme est soulignée dans la présente étude. La discordance des résultats objectivée par rapport à d'autres études pourrait s'expliquer par le fait que la population militaire est majoritairement masculine.
L'association chez la même personne de quatre FRCV est retrouvée dans 25,34 % des cas. Un pourcentage plus élevé 35,14 %, est noté dans le groupe des patients présentant trois FRCV associés, alors que 24,24 % des cas en ont deux. Les autres cas de figures (IFRCV, OFRCV) ne représentent que moins de
12,5%. Par ailleurs, On constate aussi que plus l'âge augmente plus les associations des FRCV augmente avec des pourcentages proches.
La prévalence du nombre élevé de FR semble plus importante dans le groupe IDM comparativement au groupe AI. Cela suggère le rôle indéniable et délétère de l'association de plusieurs FRCV dans l'évolution de la maladie coronaire.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : P0372009 Président : MIMOUN ZOUHDI Directeur : ZAHRA OUZZIF Juge : ABDELKADER BELMEKKI ETUDE DES FACTEURS DE RISQUE CARDIOVASCULAIRES CHEZ LES PATIENTS ADMIS POUR SYNDROME CORONARIEN AIGU [thèse] / OMAR KATIRI, Auteur . - 2009.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : SYNDROME CORONARIEN AIGU FACTEUR DE RISQUE CARDIOVASCULAIRE EXPLORATION BIOCHIMIQUE Index. décimale : WA SANTE PUBLIQUE - PROFESSION MEDICALE Résumé : Nous avons mené une étude rétrospective portant sur 367 patients présentant un SCA, colligés dans le service de cardiologie de l'HMIMV de Rabat entre décembre 2007 et décembre 2008, en vue d'évaluer les FRCV. La cohorte étudiée inclut 318 hommes et 49 femmes, d'âge moyen de 58±10,30 ans, répartis comme suit: 60 AI et 307 IDM.
La présente étude montre un profil de risque cardiovasculaire qui dépasse pour certains facteurs comme le tabagisme (66,75%), l'obésité (64,30%) ou le diabète (44,95%), celui des pays développés et traditionnellement exposé au fléau des MCV. En revanche, la prévalence de l'HTA (39,50%) et de l'hypercholestérolémie (13,90%) demeure nettement plus basse comparativement aux résultats d'autres études internationales.
La tranche d'âge 45-54 est la plus concernée par le tabagisme, alors que l'obésité et la dyslipidémie touchent préférentiellement des patients âgés entre 55et 64 ans. Le diabète et l'HTA concernent les plus vieux (> à 65 ans).
La prédominance de l'ensemble des FRCV (la dyslipidémie, l'obésité, le diabète, l'HTA) chez l'homme est soulignée dans la présente étude. La discordance des résultats objectivée par rapport à d'autres études pourrait s'expliquer par le fait que la population militaire est majoritairement masculine.
L'association chez la même personne de quatre FRCV est retrouvée dans 25,34 % des cas. Un pourcentage plus élevé 35,14 %, est noté dans le groupe des patients présentant trois FRCV associés, alors que 24,24 % des cas en ont deux. Les autres cas de figures (IFRCV, OFRCV) ne représentent que moins de
12,5%. Par ailleurs, On constate aussi que plus l'âge augmente plus les associations des FRCV augmente avec des pourcentages proches.
La prévalence du nombre élevé de FR semble plus importante dans le groupe IDM comparativement au groupe AI. Cela suggère le rôle indéniable et délétère de l'association de plusieurs FRCV dans l'évolution de la maladie coronaire.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : P0372009 Président : MIMOUN ZOUHDI Directeur : ZAHRA OUZZIF Juge : ABDELKADER BELMEKKI Réservation
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Exemplaires
Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité P0372009 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesPharm2009 Disponible EXPLORATION BIOCHIMIQUE DES CARENCES MARTIALES AU COURS DES MALADIES INFLAMMATOIRES CHRONIQUES DE L’INTESTIN / Yousra BOUGHALEM
Titre : EXPLORATION BIOCHIMIQUE DES CARENCES MARTIALES AU COURS DES MALADIES INFLAMMATOIRES CHRONIQUES DE L’INTESTIN Type de document : thèse Auteurs : Yousra BOUGHALEM, Auteur Année de publication : 2023 Langues : Français (fre) Mots-clés : Exploration biochimique Carence martiale MICI Anémie Résumé : Les maladies inflammatoires chroniques de l'intestin (MICI) constituent un ensemble de
maladies inflammatoires chroniques et récidivantes affectant le tractus digestif et dont
l’étiologie exacte n’est pas claire Leur physiopathologie implique de nombreux facteurs dont
la susceptibilité génétique, l'immunité, le microbiote intestinal et l’environnement. Le
diagnostic des MICI repose sur des arguments cliniques et paracliniques. Les MICI sont
associés à multiples manifestations extra-intestinales dont l’anémie, qui est la plus fréquente.
Celle-ci est généralement due à une carence martiale. La carence martiale et l’anémie peuvent
altérer la qualité de vie des patients et doivent donc être systématiquement diagnostiquées et
traitées au cours des MICI. Pour le diagnostic d’une carence en fer et d’une anémie dans les
MICI, l’exploration biochimique prend toute sa place mais les tests biologiques standards sont
parfois insuffisants pour déterminer le stock en fer chez les patients atteints d’une maladie
inflammatoire comme les MICI. La connaissance des différents éléments du métabolisme du
fer permet une meilleure interprétation des résultats. Le dosage de la ferritine est l’examen de
première intention mais son interprétation est difficile au cours des poussées inflammatoires.
Le dosage conjoint de la ferritine et du coefficient de saturation de la transferrine pourra être
utile dans cette situation. Le dosage des récepteurs solubles de la transferrine et de l’hepcidine
ne sont pas réalisés en pratique courante et leur intérêt reste à discuter. Concernant le
traitement, l’objectif est la normalisation de l’hémoglobine et des réserves en fer. Le
traitement par voie intraveineuse est le traitement de première ligne chez les patients atteints
de MICI active. Après un traitement efficace, la surveillance des patients permet de dépister
une récidive de carence martiale. Le pharmacien d’officine possède un rôle majeur dans la
prise en charge et le suivi des patients atteints de MICI.Numéro (Thèse ou Mémoire) : P0102023 Président : Jamal EL FENNI Directeur : Sanae BOUHSAIN Juge : Abdellah DAMI Juge : Mouna TAMZAOURTE Juge : Souad BENKIRANE EXPLORATION BIOCHIMIQUE DES CARENCES MARTIALES AU COURS DES MALADIES INFLAMMATOIRES CHRONIQUES DE L’INTESTIN [thèse] / Yousra BOUGHALEM, Auteur . - 2023.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Exploration biochimique Carence martiale MICI Anémie Résumé : Les maladies inflammatoires chroniques de l'intestin (MICI) constituent un ensemble de
maladies inflammatoires chroniques et récidivantes affectant le tractus digestif et dont
l’étiologie exacte n’est pas claire Leur physiopathologie implique de nombreux facteurs dont
la susceptibilité génétique, l'immunité, le microbiote intestinal et l’environnement. Le
diagnostic des MICI repose sur des arguments cliniques et paracliniques. Les MICI sont
associés à multiples manifestations extra-intestinales dont l’anémie, qui est la plus fréquente.
Celle-ci est généralement due à une carence martiale. La carence martiale et l’anémie peuvent
altérer la qualité de vie des patients et doivent donc être systématiquement diagnostiquées et
traitées au cours des MICI. Pour le diagnostic d’une carence en fer et d’une anémie dans les
MICI, l’exploration biochimique prend toute sa place mais les tests biologiques standards sont
parfois insuffisants pour déterminer le stock en fer chez les patients atteints d’une maladie
inflammatoire comme les MICI. La connaissance des différents éléments du métabolisme du
fer permet une meilleure interprétation des résultats. Le dosage de la ferritine est l’examen de
première intention mais son interprétation est difficile au cours des poussées inflammatoires.
Le dosage conjoint de la ferritine et du coefficient de saturation de la transferrine pourra être
utile dans cette situation. Le dosage des récepteurs solubles de la transferrine et de l’hepcidine
ne sont pas réalisés en pratique courante et leur intérêt reste à discuter. Concernant le
traitement, l’objectif est la normalisation de l’hémoglobine et des réserves en fer. Le
traitement par voie intraveineuse est le traitement de première ligne chez les patients atteints
de MICI active. Après un traitement efficace, la surveillance des patients permet de dépister
une récidive de carence martiale. Le pharmacien d’officine possède un rôle majeur dans la
prise en charge et le suivi des patients atteints de MICI.Numéro (Thèse ou Mémoire) : P0102023 Président : Jamal EL FENNI Directeur : Sanae BOUHSAIN Juge : Abdellah DAMI Juge : Mouna TAMZAOURTE Juge : Souad BENKIRANE Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité P0102023 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesPharm2023 Disponible LES IMMUNOGLOBULINOPATHIES MONOCLONALES : ETUDE EPIDEMIOLOGIQUE, BIOCHIMIQUE ET ETIOLOGIQUE D’UNE COHORTE DE 214 CAS / KHADIJA SADOUKE
Titre : LES IMMUNOGLOBULINOPATHIES MONOCLONALES : ETUDE EPIDEMIOLOGIQUE, BIOCHIMIQUE ET ETIOLOGIQUE D’UNE COHORTE DE 214 CAS Type de document : thèse Auteurs : KHADIJA SADOUKE, Auteur Année de publication : 2009 Langues : Français (fre) Mots-clés : IMMUNOGLOBULINE MONOCLONALE GAMMAPATHIE MONOCLONALE EXPLORATION BIOCHIMIQUE ETIOLOGIE Index. décimale : WA SANTE PUBLIQUE - PROFESSION MEDICALE Résumé : Les immunoglobulinopathies monoclonales (IM), improprement appelées gammapathies monoclonales (GM) regroupent des pathologies diverses pouvant relever d’étiologies malignes ou bénignes. Assez fréquentes dans la population générale surtout d’un âge avancé, elles représentent un problème quotidien en pratique clinique.
En vue d’étudier les caractéristiques épidémiologiques, biochimiques et étiologiques des IM, nous avons mené un travail rétrospectif portant sur une cohorte de 214 cas colligés à L’HMIMV de Rabat, durant une période de 9 ans (Janvier 2000 à Décembre 2008). Nous avons tenté de comparer nos résultats avec ceux de nombreuses autres études menées dans le même cadre que la nôtre.
Notre population inclut 153 hommes et 61 femmes, d’âge moyen de 59.87±12.46 ans, avec des extrêmes à 23 et 97 ans. Elle comporte 81 cas de MGUS et 133 cas d’IMM, dont 113 observations de myélome et les 20 restants sont des cas de MGW (n =8), de Lymphomes (n =9) et de LLC (n =3).
Sur le plan clinique, les douleurs osseuses et l’AEG représentent dans près de 50% des cas, les signes révélateurs de ces pathologies surtout dans le groupe des IMM. Les MGUS sont le plus souvent, associées aux maladies rhumatismales, à l’IR, aux affections hépatobiliaires et au diabète (plus de 50%).
Sur le plan biologique on note :
• Une augmentation significative de la protidémie chez les IMM par rapport aux MGUS.
• L’absence de pic à l’électrophorèse des protéines sériques chez 13.55% de nos patients. La mise en évidence du composant monoclonal est plus difficile dans le cas des chaines légères libres monoclonales: 25faux négatifs sur 30 (soit 83%). Chez les 185 patients, où le pic était présent à l’électrophorèse, celui-ci était le plus souvent dans la zone γ (82.16%) et rarement dans la zone β (17.84 %).
• Une sensibilité de 88.1% et une spécificité de 100% de l’EPP lorsque l’IF est prise comme technique de référence,
• Une sensibilité 98.68% et une spécificité de 20% du rapport κ/λ lorsque l’IF est prise comme technique de référence,
• Une augmentation significative du taux du composant monoclonal et une répression de synthèse des Ig polyclonales objectivées dans les I MM comparativement aux MGUS,
• La prédominance de l’isotype IgG (55.61%), encore plus dans les MGUS (72.8%),
• La présence d’une PBJ chez 35.6 % des cas, généralement des I MM.
Ainsi, par rapport à la plupart des grandes séries internationales, notre étude révèle des résultats concordants quant à la prédominance masculine et de l’iso type Ig ainsi que l’âge avancé. Elle s’en distingue en revanche par :
o La faible fréquence de la macroglobulinémie de Waldenström,
o La fréquence relativement élevé des MM à chaines légères,
o Le retard dans le diagnostic des IMM, particulièrement du MM, expliquant la lourdeur de la prise en charge des patients.
L’amélioration des techniques, allant de pair avec l’évolution de la biologie, joue sans doute un rôle prépondérant dans la mise en évidence de profils diversifiés.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : P0462009 Président : LAYACHI CHABRAOUI Directeur : ZOUHRA OUZZIF Juge : ABDERRAHMANI RHORFI ISMAIL LES IMMUNOGLOBULINOPATHIES MONOCLONALES : ETUDE EPIDEMIOLOGIQUE, BIOCHIMIQUE ET ETIOLOGIQUE D’UNE COHORTE DE 214 CAS [thèse] / KHADIJA SADOUKE, Auteur . - 2009.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : IMMUNOGLOBULINE MONOCLONALE GAMMAPATHIE MONOCLONALE EXPLORATION BIOCHIMIQUE ETIOLOGIE Index. décimale : WA SANTE PUBLIQUE - PROFESSION MEDICALE Résumé : Les immunoglobulinopathies monoclonales (IM), improprement appelées gammapathies monoclonales (GM) regroupent des pathologies diverses pouvant relever d’étiologies malignes ou bénignes. Assez fréquentes dans la population générale surtout d’un âge avancé, elles représentent un problème quotidien en pratique clinique.
En vue d’étudier les caractéristiques épidémiologiques, biochimiques et étiologiques des IM, nous avons mené un travail rétrospectif portant sur une cohorte de 214 cas colligés à L’HMIMV de Rabat, durant une période de 9 ans (Janvier 2000 à Décembre 2008). Nous avons tenté de comparer nos résultats avec ceux de nombreuses autres études menées dans le même cadre que la nôtre.
Notre population inclut 153 hommes et 61 femmes, d’âge moyen de 59.87±12.46 ans, avec des extrêmes à 23 et 97 ans. Elle comporte 81 cas de MGUS et 133 cas d’IMM, dont 113 observations de myélome et les 20 restants sont des cas de MGW (n =8), de Lymphomes (n =9) et de LLC (n =3).
Sur le plan clinique, les douleurs osseuses et l’AEG représentent dans près de 50% des cas, les signes révélateurs de ces pathologies surtout dans le groupe des IMM. Les MGUS sont le plus souvent, associées aux maladies rhumatismales, à l’IR, aux affections hépatobiliaires et au diabète (plus de 50%).
Sur le plan biologique on note :
• Une augmentation significative de la protidémie chez les IMM par rapport aux MGUS.
• L’absence de pic à l’électrophorèse des protéines sériques chez 13.55% de nos patients. La mise en évidence du composant monoclonal est plus difficile dans le cas des chaines légères libres monoclonales: 25faux négatifs sur 30 (soit 83%). Chez les 185 patients, où le pic était présent à l’électrophorèse, celui-ci était le plus souvent dans la zone γ (82.16%) et rarement dans la zone β (17.84 %).
• Une sensibilité de 88.1% et une spécificité de 100% de l’EPP lorsque l’IF est prise comme technique de référence,
• Une sensibilité 98.68% et une spécificité de 20% du rapport κ/λ lorsque l’IF est prise comme technique de référence,
• Une augmentation significative du taux du composant monoclonal et une répression de synthèse des Ig polyclonales objectivées dans les I MM comparativement aux MGUS,
• La prédominance de l’isotype IgG (55.61%), encore plus dans les MGUS (72.8%),
• La présence d’une PBJ chez 35.6 % des cas, généralement des I MM.
Ainsi, par rapport à la plupart des grandes séries internationales, notre étude révèle des résultats concordants quant à la prédominance masculine et de l’iso type Ig ainsi que l’âge avancé. Elle s’en distingue en revanche par :
o La faible fréquence de la macroglobulinémie de Waldenström,
o La fréquence relativement élevé des MM à chaines légères,
o Le retard dans le diagnostic des IMM, particulièrement du MM, expliquant la lourdeur de la prise en charge des patients.
L’amélioration des techniques, allant de pair avec l’évolution de la biologie, joue sans doute un rôle prépondérant dans la mise en évidence de profils diversifiés.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : P0462009 Président : LAYACHI CHABRAOUI Directeur : ZOUHRA OUZZIF Juge : ABDERRAHMANI RHORFI ISMAIL Réservation
Réserver ce document
Exemplaires
Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité P0462009 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesPharm2009 Disponible