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EXAMEN PROCTOLOGIQUE CHEZ LA PARTURIENTE DANS LES PREMIERES 24HEURES DU POSTPARTUM / OLLENDE CREPIN
Titre : EXAMEN PROCTOLOGIQUE CHEZ LA PARTURIENTE DANS LES PREMIERES 24HEURES DU POSTPARTUM Type de document : thèse Auteurs : OLLENDE CREPIN, Auteur Année de publication : 2010 Langues : Français (fre) Mots-clés : HEMORROIDES POSTPARTUM FISSURE ANALE Index. décimale : WA SANTE PUBLIQUE - PROFESSION MEDICALE Résumé : Les thromboses hémorroïdaires externes (THE) et la fissure anale (FA) sont deux sources de douleurs anales fréquentes chez la femme enceinte et dans le postpartum. Elles restent toute fois négligés en l’absence de complications.
L’objectif de cette thèse est d’évaluer l’incidence de la maladie hémorroïdaire dans notre contexte avec une étude prospective sur 100 cas et comparer cette incidence avec les études faites dans ce sens moyennant une revue de la littérature. Nous allons définir leurs incidences d'après la littérature disponible et notre expérience à l’HMIMV sur les 100 femmes examinées. Puis nous définirons leurs facteurs de risques et adapterons un traitement.
Dans notre série, 19(19%) femmes étaient porteuses d’hémorroïdes dont 18 avec un stade 1 et 1 seule avec un stade 2 à l’examen systématique. Les facteurs incriminés étaient dominés par les accouchements traumatiques, une constipation chronique et des macrosomie. Les séries d’Abramowitz(en 2002) ave examen systématique avoisinaient les 20% avec 33/165 et Simmons 38% avec 26/68.
La clinique est dirigée par l’interrogatoire et l’examen proctologique.Le traitement en première intention est d’abord médical avec respect des mesures hygiéno-diététiques, parfois chirurgical ou instrumental en fonction du grade et la gène occasionnée par les hémorroides.Le traitement doit être adapté en préférant en fonction des cas la thérapeutique la plus efficace avec le moins d’effets secondaires.
En conclusion, 1/3 des parturientes souffrent de FA ou de THE après l'accouchement. Ces deux pathologies sont fortement liées à l'existence d'une constipation terminale (qu'il faut donc prévenir). La THE semble fortement favorisée par le traumatisme de l'accouchement par voie basse.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M0732010 Président : MOULAY HASSAN TAHIRI Directeur : SAIFEDDINE TAHIRI Juge : ABDELMOUNAIM AIT ALI EXAMEN PROCTOLOGIQUE CHEZ LA PARTURIENTE DANS LES PREMIERES 24HEURES DU POSTPARTUM [thèse] / OLLENDE CREPIN, Auteur . - 2010.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : HEMORROIDES POSTPARTUM FISSURE ANALE Index. décimale : WA SANTE PUBLIQUE - PROFESSION MEDICALE Résumé : Les thromboses hémorroïdaires externes (THE) et la fissure anale (FA) sont deux sources de douleurs anales fréquentes chez la femme enceinte et dans le postpartum. Elles restent toute fois négligés en l’absence de complications.
L’objectif de cette thèse est d’évaluer l’incidence de la maladie hémorroïdaire dans notre contexte avec une étude prospective sur 100 cas et comparer cette incidence avec les études faites dans ce sens moyennant une revue de la littérature. Nous allons définir leurs incidences d'après la littérature disponible et notre expérience à l’HMIMV sur les 100 femmes examinées. Puis nous définirons leurs facteurs de risques et adapterons un traitement.
Dans notre série, 19(19%) femmes étaient porteuses d’hémorroïdes dont 18 avec un stade 1 et 1 seule avec un stade 2 à l’examen systématique. Les facteurs incriminés étaient dominés par les accouchements traumatiques, une constipation chronique et des macrosomie. Les séries d’Abramowitz(en 2002) ave examen systématique avoisinaient les 20% avec 33/165 et Simmons 38% avec 26/68.
La clinique est dirigée par l’interrogatoire et l’examen proctologique.Le traitement en première intention est d’abord médical avec respect des mesures hygiéno-diététiques, parfois chirurgical ou instrumental en fonction du grade et la gène occasionnée par les hémorroides.Le traitement doit être adapté en préférant en fonction des cas la thérapeutique la plus efficace avec le moins d’effets secondaires.
En conclusion, 1/3 des parturientes souffrent de FA ou de THE après l'accouchement. Ces deux pathologies sont fortement liées à l'existence d'une constipation terminale (qu'il faut donc prévenir). La THE semble fortement favorisée par le traumatisme de l'accouchement par voie basse.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M0732010 Président : MOULAY HASSAN TAHIRI Directeur : SAIFEDDINE TAHIRI Juge : ABDELMOUNAIM AIT ALI Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M0732010 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2010 Disponible
Titre : Pharmacovigilance des médicaments hémorroïdaires Type de document : thèse Auteurs : BICHI YAHYA, Auteur Année de publication : 2008 Langues : Français (fre) Mots-clés : Médicaments Hemorroides Effets secondaires Index. décimale : WA SANTE PUBLIQUE - PROFESSION MEDICALE Résumé : L’étude se penche sur les médicaments hémorroïdaires et les conséquences négatives de ces derniers sur la santé du sujet.
Les effets indésirables varient en fonction de différents produits utilisés comme un traitement symptomatique des hémorroïdes. Ainsi les effets indésirables des phlébitoniques semblent dominés par des troubles digestifs (Nausée, douleur abdominale, diarrhée, céphalée) et quelques rares cas des réactions hématologiques (agranulocytose, hémolyse) et cutanés. Les composés anti-inflammatoires non stéroïdiens peuvent provoquer des ulcérations gastro-intestinales, des perforations iléale ou jéjunale, la sténose du grêle ou du colon, des complications de diverticulose colique, des complications rénales et aussi des perturbations cardiovasculaires. Alors que les problématiques principales des anti-inflammatoires stéroïdiennes résident dans la suppression de l’axe hypotalamo-hypophysaire, suivie des fractures ostéoporotiques, des urticaires et des risques pro infectieux. Les antalgiques sont observés le plus souvent par des toxicités hépatiques, mais il faut éviter le surdosage et la répétition d’administrations. Les laxatifs sont majorés principalement par l’hypokaliémie qui en résulte et des conséquences graves surtout cardiaque. Les antivitamines K sont marquées par des hémorragies. Enfin, peu de données bibliographiques concernent les effets indésirables des autres produits (toxine botulique, les inhibiteurs calciques, et Chlorhydrate de quinine et l’urée).
Numéro (Thèse ou Mémoire) : P0402008 Président : BENKIRANE NAJIA Directeur : AGOUMI ABDELAZIZ Juge : LMIMOUNI BADREDDINE Pharmacovigilance des médicaments hémorroïdaires [thèse] / BICHI YAHYA, Auteur . - 2008.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Médicaments Hemorroides Effets secondaires Index. décimale : WA SANTE PUBLIQUE - PROFESSION MEDICALE Résumé : L’étude se penche sur les médicaments hémorroïdaires et les conséquences négatives de ces derniers sur la santé du sujet.
Les effets indésirables varient en fonction de différents produits utilisés comme un traitement symptomatique des hémorroïdes. Ainsi les effets indésirables des phlébitoniques semblent dominés par des troubles digestifs (Nausée, douleur abdominale, diarrhée, céphalée) et quelques rares cas des réactions hématologiques (agranulocytose, hémolyse) et cutanés. Les composés anti-inflammatoires non stéroïdiens peuvent provoquer des ulcérations gastro-intestinales, des perforations iléale ou jéjunale, la sténose du grêle ou du colon, des complications de diverticulose colique, des complications rénales et aussi des perturbations cardiovasculaires. Alors que les problématiques principales des anti-inflammatoires stéroïdiennes résident dans la suppression de l’axe hypotalamo-hypophysaire, suivie des fractures ostéoporotiques, des urticaires et des risques pro infectieux. Les antalgiques sont observés le plus souvent par des toxicités hépatiques, mais il faut éviter le surdosage et la répétition d’administrations. Les laxatifs sont majorés principalement par l’hypokaliémie qui en résulte et des conséquences graves surtout cardiaque. Les antivitamines K sont marquées par des hémorragies. Enfin, peu de données bibliographiques concernent les effets indésirables des autres produits (toxine botulique, les inhibiteurs calciques, et Chlorhydrate de quinine et l’urée).
Numéro (Thèse ou Mémoire) : P0402008 Président : BENKIRANE NAJIA Directeur : AGOUMI ABDELAZIZ Juge : LMIMOUNI BADREDDINE Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité P0402008 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesPharm2008 Disponible Documents numériques
P0402008URL RESULTATS PRELIMINAIRES DE LA TECHNIQUE DU LONGO A PROPOS DE 21 CAS / AMADOU SY NIANG
Titre : RESULTATS PRELIMINAIRES DE LA TECHNIQUE DU LONGO A PROPOS DE 21 CAS Type de document : thèse Auteurs : AMADOU SY NIANG, Auteur Année de publication : 2009 Langues : Français (fre) Mots-clés : HEMORROÏDES HEMORROÏDOPEXIE LONGO Index. décimale : WA SANTE PUBLIQUE - PROFESSION MEDICALE Résumé : Introduction : La maladie hémorroïdaire est une affection fréquente [4] qui nécessite, chez un malade sur dix un traitement chirurgical.
En 1998, Dr Antonio LONGO faisait sensation dans un congrès européen en rapportant son expérience d’une technique nouvelle [5], décrite en fait quelques années plus tôt [6], mais qui serait bientôt baptisée de son nom. Cette technique laisse en place le tissu hémorroïdaire qu’elle repositionne au niveau du canal anal. Pour ces avantages remarquables dans le confort postopératoire immédiat des opérés, nous l’avions introduite comme indication opératoire dans les prolapsus muco hémorroïdaires de nos patients.
Objectif de notre étude : Le but de ce travail est de rapporter les résultats préliminaires de la technique du Longo dans le traitement des prolapsus hémorroïdaires stade III et IV avec un recul de 18 mois à propos de 21 patients au sein de l’H.M.I.M.V de Rabat.
Matériels et Méthodes : Du 01/06/2006 au 01/07/2007, 22 malades
(20 hommes et 2 femmes) avec un âge moyen de 39,05 ans (extrêmes : 24–53 ans) ont été opérés par la technique du Longo.21 dossiers ont été sélectionné pour ce travail. Les hémorroïdes étaient classées respectivement stade III et IV chez 13, et 8 malades. Les malades étaient revus en consultation à deux semaines, deux et 18 mois, permettant un recueil des données.
Résultats : La durée moyenne d’intervention était de 38 minutes (extrêmes: 28–60 minutes). La durée moyenne d’hospitalisation était de 2,2 jours (extrêmes: 2-3 jours). Il n’y a pas eu d’incident en cours d’intervention. Le taux de mortalité était nul. Le taux de complication était de 23,80% (n =5) : il s’agissait de deux hémorragies (9,52%) au niveau de la ligne d’agrafes, de deux retentions aigues d’urine (9,52%) et d’une thrombose hémorroïdaire externe (4,76%). Le seul antalgique prescrit a été du paracétamol. Tous les patients sont sortis sans soins locaux.
Avec un recul de 18 mois, un malade présentait un saignement à la selle, un autre avait une récidive du prolapsus associée à un saignement, le dernier présentait une sténose modérée totalement asymptomatique du site d’agrafage facilement dilatable. Les autres patients ne présentaient aucune symptomatologie. Ainsi 18 patients soit 85,71% étaient totalement satisfaits, 2 malades étaient moyennement satisfaits, enfin un patient était insatisfait.
Discussion : Le traitement des hémorroïdes au stade de prolapsus selon Longo a été conçu en 1993. Cette technique a pour objectif de corriger le prolapsus muqueux en réalisant une véritable anopexie rectale par agrafage circulaire au moyen d’une pince circulaire en permettant de réaliser conjointement une ligature des pédicules hémorroïdaires internes. Le patient n’est pas contraint de faire des soins locaux, ce qui est un facteur principal dans le confort postopératoire des opérés.
Conclusion : L’anopexie circulaire est une technique efficace avec 85,71% des malades satisfaits à 18 mois. Le taux de complication est faible et pas plus élevé qu’après la chirurgie classique. La qualité des résultats dépend directement du geste technique qui nécessite un apprentissage, et non de la technique elle-même.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M0862009 Président : MOHAMED AHALLAT Directeur : SAIF EDDINE EL KANDRY Juge : AZIZ AOURAGH Juge : AHMED BENKIRANE RESULTATS PRELIMINAIRES DE LA TECHNIQUE DU LONGO A PROPOS DE 21 CAS [thèse] / AMADOU SY NIANG, Auteur . - 2009.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : HEMORROÏDES HEMORROÏDOPEXIE LONGO Index. décimale : WA SANTE PUBLIQUE - PROFESSION MEDICALE Résumé : Introduction : La maladie hémorroïdaire est une affection fréquente [4] qui nécessite, chez un malade sur dix un traitement chirurgical.
En 1998, Dr Antonio LONGO faisait sensation dans un congrès européen en rapportant son expérience d’une technique nouvelle [5], décrite en fait quelques années plus tôt [6], mais qui serait bientôt baptisée de son nom. Cette technique laisse en place le tissu hémorroïdaire qu’elle repositionne au niveau du canal anal. Pour ces avantages remarquables dans le confort postopératoire immédiat des opérés, nous l’avions introduite comme indication opératoire dans les prolapsus muco hémorroïdaires de nos patients.
Objectif de notre étude : Le but de ce travail est de rapporter les résultats préliminaires de la technique du Longo dans le traitement des prolapsus hémorroïdaires stade III et IV avec un recul de 18 mois à propos de 21 patients au sein de l’H.M.I.M.V de Rabat.
Matériels et Méthodes : Du 01/06/2006 au 01/07/2007, 22 malades
(20 hommes et 2 femmes) avec un âge moyen de 39,05 ans (extrêmes : 24–53 ans) ont été opérés par la technique du Longo.21 dossiers ont été sélectionné pour ce travail. Les hémorroïdes étaient classées respectivement stade III et IV chez 13, et 8 malades. Les malades étaient revus en consultation à deux semaines, deux et 18 mois, permettant un recueil des données.
Résultats : La durée moyenne d’intervention était de 38 minutes (extrêmes: 28–60 minutes). La durée moyenne d’hospitalisation était de 2,2 jours (extrêmes: 2-3 jours). Il n’y a pas eu d’incident en cours d’intervention. Le taux de mortalité était nul. Le taux de complication était de 23,80% (n =5) : il s’agissait de deux hémorragies (9,52%) au niveau de la ligne d’agrafes, de deux retentions aigues d’urine (9,52%) et d’une thrombose hémorroïdaire externe (4,76%). Le seul antalgique prescrit a été du paracétamol. Tous les patients sont sortis sans soins locaux.
Avec un recul de 18 mois, un malade présentait un saignement à la selle, un autre avait une récidive du prolapsus associée à un saignement, le dernier présentait une sténose modérée totalement asymptomatique du site d’agrafage facilement dilatable. Les autres patients ne présentaient aucune symptomatologie. Ainsi 18 patients soit 85,71% étaient totalement satisfaits, 2 malades étaient moyennement satisfaits, enfin un patient était insatisfait.
Discussion : Le traitement des hémorroïdes au stade de prolapsus selon Longo a été conçu en 1993. Cette technique a pour objectif de corriger le prolapsus muqueux en réalisant une véritable anopexie rectale par agrafage circulaire au moyen d’une pince circulaire en permettant de réaliser conjointement une ligature des pédicules hémorroïdaires internes. Le patient n’est pas contraint de faire des soins locaux, ce qui est un facteur principal dans le confort postopératoire des opérés.
Conclusion : L’anopexie circulaire est une technique efficace avec 85,71% des malades satisfaits à 18 mois. Le taux de complication est faible et pas plus élevé qu’après la chirurgie classique. La qualité des résultats dépend directement du geste technique qui nécessite un apprentissage, et non de la technique elle-même.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M0862009 Président : MOHAMED AHALLAT Directeur : SAIF EDDINE EL KANDRY Juge : AZIZ AOURAGH Juge : AHMED BENKIRANE Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M0862009 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2009 Disponible TRAITEMENT CHIRURGICAL DES HEMORROÏDES PAR LA TECHNIQUE HAL-RAR (1ER SERIE NATIONALE DE 200 CAS) SCE DE CHIRURGIE PROCTOLOGIQUE-HOPITAL MILITAIRE MOHAMMED V. / MOUHSSANI MOHAMED
Titre : TRAITEMENT CHIRURGICAL DES HEMORROÏDES PAR LA TECHNIQUE HAL-RAR (1ER SERIE NATIONALE DE 200 CAS) SCE DE CHIRURGIE PROCTOLOGIQUE-HOPITAL MILITAIRE MOHAMMED V. Type de document : thèse Auteurs : MOUHSSANI MOHAMED, Auteur Année de publication : 2013 Langues : Français (fre) Mots-clés : HEMORROÏDES LIGATURE ARTERES HEMORROÏDALES ANOPEXIE RECTALE DOPPLER. Résumé : La nouvelle technique chirurgicale HAL-RAR, basée sur la ligature guidée par Doppler des branches terminales des artères rectales supérieures associée à la muccopexie trans-anale du rectum, peut offrir un confort post-opératoire avec une douleur minimale et un faible risque de complication.
L'objectif de notre travail est d'évaluer à moyen terme cette technique chirurgicale sur une étude prospective de 200cas colligés à l’HMIMV Rabat, et comparer nos résultats avec celles des études faites dans ce sens moyennant une revue de la littérature. Cette évaluation a porté sur les données démographiques, les antécédents des traitements antérieurs, la symptomatologie clinique, les données relatives à l'intervention chirurgicale, l'évaluation post-opératoire immédiate et l'évaluation à court et à moyen terme.
Dans notre série, 160 (80%) hommes étaient porteurs d'hémorroïdes. L'âge moyen de nos patients est de 51 ans, les symptômes de la maladie sont essentiellement représentés par les rectorragies (150cas), douleur anale (148cas) et prolapsus muqueux-hémorroïdaire (163cas). Tous les stades sont concernés avec une prédominance des stades III (59cas) et IV (104cas). La durée opératoire est de 28min en moyenne. La durée d'hospitalisation est d'une journée chez 175patients, 2jours chez 18 patients, 3 jours chez 5 patients et 2patients ont bénéficiés d'une chirurgie ambulatoire. Les complications post-opératoires immédiates et tardives sont représentées essentiellement par la douleur (1,5%), les rectorragies (1%), et le prolapsus résiduel (1%).
A partir des résultats de notre série, nous pouvons conclure que la technique HAL-RAR est une alternative importante de l'hémorroïdectomie et de l'hémorroïdopexie grâce à son efficacité certaine, sans inconvénients notables et l'absence de complications post-opératoires classiques représentées par le saignement et la sténose anale.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M1232013 Président : ZENTAR.A Directeur : TAHIRI.M.EL.H Juge : AOURARH Juge : MESSAOUDI.N Juge : MOUJAHID.M TRAITEMENT CHIRURGICAL DES HEMORROÏDES PAR LA TECHNIQUE HAL-RAR (1ER SERIE NATIONALE DE 200 CAS) SCE DE CHIRURGIE PROCTOLOGIQUE-HOPITAL MILITAIRE MOHAMMED V. [thèse] / MOUHSSANI MOHAMED, Auteur . - 2013.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : HEMORROÏDES LIGATURE ARTERES HEMORROÏDALES ANOPEXIE RECTALE DOPPLER. Résumé : La nouvelle technique chirurgicale HAL-RAR, basée sur la ligature guidée par Doppler des branches terminales des artères rectales supérieures associée à la muccopexie trans-anale du rectum, peut offrir un confort post-opératoire avec une douleur minimale et un faible risque de complication.
L'objectif de notre travail est d'évaluer à moyen terme cette technique chirurgicale sur une étude prospective de 200cas colligés à l’HMIMV Rabat, et comparer nos résultats avec celles des études faites dans ce sens moyennant une revue de la littérature. Cette évaluation a porté sur les données démographiques, les antécédents des traitements antérieurs, la symptomatologie clinique, les données relatives à l'intervention chirurgicale, l'évaluation post-opératoire immédiate et l'évaluation à court et à moyen terme.
Dans notre série, 160 (80%) hommes étaient porteurs d'hémorroïdes. L'âge moyen de nos patients est de 51 ans, les symptômes de la maladie sont essentiellement représentés par les rectorragies (150cas), douleur anale (148cas) et prolapsus muqueux-hémorroïdaire (163cas). Tous les stades sont concernés avec une prédominance des stades III (59cas) et IV (104cas). La durée opératoire est de 28min en moyenne. La durée d'hospitalisation est d'une journée chez 175patients, 2jours chez 18 patients, 3 jours chez 5 patients et 2patients ont bénéficiés d'une chirurgie ambulatoire. Les complications post-opératoires immédiates et tardives sont représentées essentiellement par la douleur (1,5%), les rectorragies (1%), et le prolapsus résiduel (1%).
A partir des résultats de notre série, nous pouvons conclure que la technique HAL-RAR est une alternative importante de l'hémorroïdectomie et de l'hémorroïdopexie grâce à son efficacité certaine, sans inconvénients notables et l'absence de complications post-opératoires classiques représentées par le saignement et la sténose anale.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M1232013 Président : ZENTAR.A Directeur : TAHIRI.M.EL.H Juge : AOURARH Juge : MESSAOUDI.N Juge : MOUJAHID.M Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M1232013 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2013 Disponible M1232013-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2013 Disponible Traitement chirurgical des hémorroïdes par la technique HAL-RAR : étude prospective à propos de 400 cas. / SLAOUI Aziz
Titre : Traitement chirurgical des hémorroïdes par la technique HAL-RAR : étude prospective à propos de 400 cas. Type de document : thèse Auteurs : SLAOUI Aziz, Auteur Année de publication : 2017 Langues : Français (fre) Mots-clés : Hémorroïdes Ligature Artères hémorroïdales anopexie rectale Doppler Résumé : La nouvelle technique chirurgicale HAL-RAR, basée sur la ligature guidée par Doppler des branches terminales des artères rectales supérieures associée à la muccopexie trans-anale du rectum, peut offrir un confort post-opératoire avec une douleur minimale et un faible risque de complication.
L'objectif de notre travail est d'évaluer à moyen et long terme cette technique chirurgicale sur une étude prospective de 400 cas colligés à l’HMIMV Rabat, et comparer nos résultats avec celles des études faites dans ce sens moyennant une revue de la littérature.
Cette évaluation a porté sur les données démographiques, les antécédents des traitements antérieurs, la symptomatologie clinique, les données relatives à l'intervention chirurgicale, l'évaluation post-opératoire immédiate et l'évaluation à court et à moyen terme.
Dans notre série, 320 (80%) hommes étaient porteurs d'hémorroïdes. L'âge moyen de nos patients est de 47 ans, les symptômes de la maladie sont essentiellement représentés par les rectorragies (59%), douleur anale (54%) et prolapsus muqueux-hémorroïdaire (68%). Tous les stades sont concernés avec une prédominance du stade III (43,5%). La durée opératoire est de 28 minutes en moyenne. La durée d'hospitalisation est d'une journée chez 86% des patients, 2 jours chez 8% des patients, 3 jours chez 1,75% des patients, plus de 10 jours pour 0,5% des patients et 3,75% des patients ont bénéficié d'une chirurgie en ambulatoire. Le taux de récidives est de 8,75%.
A partir des résultats de notre série, nous pouvons conclure que la technique HAL-RAR est une alternative importante de l'hémorroïdectomie pédiculaire et de l'anopexie type Longo grâce à son efficacité certaine, sans inconvénients notables et l'absence de complications post-opératoires classiques représentées par les suppurations anopérinéales et la sténose anale.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M3822017 Président : RAISS.M Directeur : TAJDINE.M.T Juge : BENKIRANE.A Juge : EL MALKI.H.O Traitement chirurgical des hémorroïdes par la technique HAL-RAR : étude prospective à propos de 400 cas. [thèse] / SLAOUI Aziz, Auteur . - 2017.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Hémorroïdes Ligature Artères hémorroïdales anopexie rectale Doppler Résumé : La nouvelle technique chirurgicale HAL-RAR, basée sur la ligature guidée par Doppler des branches terminales des artères rectales supérieures associée à la muccopexie trans-anale du rectum, peut offrir un confort post-opératoire avec une douleur minimale et un faible risque de complication.
L'objectif de notre travail est d'évaluer à moyen et long terme cette technique chirurgicale sur une étude prospective de 400 cas colligés à l’HMIMV Rabat, et comparer nos résultats avec celles des études faites dans ce sens moyennant une revue de la littérature.
Cette évaluation a porté sur les données démographiques, les antécédents des traitements antérieurs, la symptomatologie clinique, les données relatives à l'intervention chirurgicale, l'évaluation post-opératoire immédiate et l'évaluation à court et à moyen terme.
Dans notre série, 320 (80%) hommes étaient porteurs d'hémorroïdes. L'âge moyen de nos patients est de 47 ans, les symptômes de la maladie sont essentiellement représentés par les rectorragies (59%), douleur anale (54%) et prolapsus muqueux-hémorroïdaire (68%). Tous les stades sont concernés avec une prédominance du stade III (43,5%). La durée opératoire est de 28 minutes en moyenne. La durée d'hospitalisation est d'une journée chez 86% des patients, 2 jours chez 8% des patients, 3 jours chez 1,75% des patients, plus de 10 jours pour 0,5% des patients et 3,75% des patients ont bénéficié d'une chirurgie en ambulatoire. Le taux de récidives est de 8,75%.
A partir des résultats de notre série, nous pouvons conclure que la technique HAL-RAR est une alternative importante de l'hémorroïdectomie pédiculaire et de l'anopexie type Longo grâce à son efficacité certaine, sans inconvénients notables et l'absence de complications post-opératoires classiques représentées par les suppurations anopérinéales et la sténose anale.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M3822017 Président : RAISS.M Directeur : TAJDINE.M.T Juge : BENKIRANE.A Juge : EL MALKI.H.O Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M3822017-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2017 Disponible M3822017 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2017 Disponible TRAITEMENT INSTRUMENTAL DES HEMORROÏDES : SCLEROTHERAPIE ET PHOTOCOAGULATION INFRAROUGE / : LAMFAKER HAJAR
Titre : TRAITEMENT INSTRUMENTAL DES HEMORROÏDES : SCLEROTHERAPIE ET PHOTOCOAGULATION INFRAROUGE Type de document : thèse Auteurs : : LAMFAKER HAJAR, Auteur Année de publication : 2010 Langues : Français (fre) Mots-clés : HEMORROÏDES SCLEROTHERAPIE PHOTOCOAGULATION INFRAROUGE Index. décimale : WA SANTE PUBLIQUE - PROFESSION MEDICALE Résumé : Ce travail a pour but de comparer deux thérapeutiques instrumentales de la maladie hémorroïdaire : sclérothérapie et photocoagulation infrarouge.
Matériel et méthodes : Sur un échantillon de 190 malades, on a choisi au hasard 60 patients pour que notre étude soit comparative et qui sont atteints du premier et deuxième stade des hémorroïdes. Ils ont été divisés en 2 groupes. Le premier (n=30) et le deuxième (n=30) ont été traités par deux techniques instrumentales : sclérothérapie ou photocoagulation infrarouge.
Cette étude a été réalisée grâce au test khi-deux, le test exact de FISCHER et le test T de STUDENT et porte surtout sur la comparaison des complications post-thérapeutiques et l'efficacité de chacune des deux techniques sur les différents symptômes de la maladie hémorroïdaire.
Résultats : L’âge moyen des patients est de 39 ± 12 ans avec prédominance masculine estimée à 57%. 87% des patients présentaient le stade 2 des hémorroïdes. Chez 93% des cas traités par sclérose, la symptomatologie clinique était des rectorragies, chez 50% des proctalgies et chez 3% un syndrome anémique alors que chez ceux traités par photocoagulation infrarouge la symptomatologie était faite de rectorragies dans 96%, de proctalgies dans70% et de syndrome anémique dans 4% des cas.
Après le traitement par sclérothérapie, les douleurs sont survenues chez 13% des cas et les rectorragies chez 20% des cas alors qu’après la photocoagulation infrarouge les douleurs sont survenues chez 10% des cas et les rectorragies chez 13% des cas cependant aucun cas de complications majeurs n’a été déclaré.
L’évolution a été statistiquement significative (p=0,05) pour les deux méthodes thérapeutiques en faveur de la photocoagulation infrarouge. Cette évolution était très bonne dans 66% après sclérothérapie, bonne dans 29%, médiocre dans 2% avec échec dans 3% des cas alors qu’après traitement par photocoagulation infrarouge l’évolution était très bonne dans 93%, bonne dans 6%, médiocre dans 1% sans aucun cas d’échec.
Conclusion : La photocoagulation infrarouge semble être le traitement instrumental de choix car avec une efficacité identique, elle a l’avantage d’entraîner moins de complications, d’avoir moins de limites d’indications, d’être simple et sécurisée, de ne nécessiter aucune formation particulière tout en étant plus disponible par rapport à la sclérothérapie (aucun produit sclérosant n’existe au Maroc).
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M0642010 Président : ABDELLAH ESSAID EL FEYDI Directeur : ABDELMALEK HRORA TRAITEMENT INSTRUMENTAL DES HEMORROÏDES : SCLEROTHERAPIE ET PHOTOCOAGULATION INFRAROUGE [thèse] / : LAMFAKER HAJAR, Auteur . - 2010.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : HEMORROÏDES SCLEROTHERAPIE PHOTOCOAGULATION INFRAROUGE Index. décimale : WA SANTE PUBLIQUE - PROFESSION MEDICALE Résumé : Ce travail a pour but de comparer deux thérapeutiques instrumentales de la maladie hémorroïdaire : sclérothérapie et photocoagulation infrarouge.
Matériel et méthodes : Sur un échantillon de 190 malades, on a choisi au hasard 60 patients pour que notre étude soit comparative et qui sont atteints du premier et deuxième stade des hémorroïdes. Ils ont été divisés en 2 groupes. Le premier (n=30) et le deuxième (n=30) ont été traités par deux techniques instrumentales : sclérothérapie ou photocoagulation infrarouge.
Cette étude a été réalisée grâce au test khi-deux, le test exact de FISCHER et le test T de STUDENT et porte surtout sur la comparaison des complications post-thérapeutiques et l'efficacité de chacune des deux techniques sur les différents symptômes de la maladie hémorroïdaire.
Résultats : L’âge moyen des patients est de 39 ± 12 ans avec prédominance masculine estimée à 57%. 87% des patients présentaient le stade 2 des hémorroïdes. Chez 93% des cas traités par sclérose, la symptomatologie clinique était des rectorragies, chez 50% des proctalgies et chez 3% un syndrome anémique alors que chez ceux traités par photocoagulation infrarouge la symptomatologie était faite de rectorragies dans 96%, de proctalgies dans70% et de syndrome anémique dans 4% des cas.
Après le traitement par sclérothérapie, les douleurs sont survenues chez 13% des cas et les rectorragies chez 20% des cas alors qu’après la photocoagulation infrarouge les douleurs sont survenues chez 10% des cas et les rectorragies chez 13% des cas cependant aucun cas de complications majeurs n’a été déclaré.
L’évolution a été statistiquement significative (p=0,05) pour les deux méthodes thérapeutiques en faveur de la photocoagulation infrarouge. Cette évolution était très bonne dans 66% après sclérothérapie, bonne dans 29%, médiocre dans 2% avec échec dans 3% des cas alors qu’après traitement par photocoagulation infrarouge l’évolution était très bonne dans 93%, bonne dans 6%, médiocre dans 1% sans aucun cas d’échec.
Conclusion : La photocoagulation infrarouge semble être le traitement instrumental de choix car avec une efficacité identique, elle a l’avantage d’entraîner moins de complications, d’avoir moins de limites d’indications, d’être simple et sécurisée, de ne nécessiter aucune formation particulière tout en étant plus disponible par rapport à la sclérothérapie (aucun produit sclérosant n’existe au Maroc).
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M0642010 Président : ABDELLAH ESSAID EL FEYDI Directeur : ABDELMALEK HRORA Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M0642010 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2010 Disponible