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Association entre les hormones sexuelles, les marqueurs de remodelage osseux et la densité minérale osseuse chez les hommes et les femmes d'origine marocaine de plus de 50 ans / AISSAM EL MAATAOUI
Titre : Association entre les hormones sexuelles, les marqueurs de remodelage osseux et la densité minérale osseuse chez les hommes et les femmes d'origine marocaine de plus de 50 ans Type de document : thèse Auteurs : AISSAM EL MAATAOUI, Auteur Année de publication : 2015 Langues : Français (fre) Mots-clés : Ostéoporose Hormones sexuelles Marqueurs de remodelage osseux densité minérale osseuse fractures vertébrales. Résumé : Le travail que nous avons mené au laboratoire de Biochimie – Toxicologie en étroite collaboration avec le service de rhumatologie et le concours de l’unité de prélèvement de l’HMIMV vise principalement deux objectifs. Le premier est la recherche de l'association entre les marqueurs de remodelage osseux, la vitamine D, la DMO, les hormones sexuelles et la Sex Hormone Binding Globulin (SHBG) chez les hommes et les femmes d'origine marocaine de plus de 50 ans. Le deuxième objectif est l’étude de l'association entre les marqueurs de remodelage osseux, la vitamine D, la diminution des taux des hormones sexuelles et l'augmentation des taux de la SHBG et les fractures vertébrales (VFs) chez des femmes de plus de 50 ans.
Dans le présent travail et du point de vue épidémiologique, nous avons retrouvé une forte prévalence de l'ostéoporose. Chez les femmes ménopausées, cette prévalence a été de 35.7% dans la première étude et de 24.86% dans la troisième étude. Chez les hommes, elle avoisinait les 20.1% dans la deuxième étude.
Par ailleurs, la prévalence des VFs a été de 62.33%, dont 44.65% de grade 1 et 17.67% de grade 2/3 selon la classification de Gennant et al. En outre, nous avons documenté une forte prévalence de l'hypovitaminose D dans les deux sexes.
Chez les hommes de plus de 50 ans, nous avons recherché l’association entre les hormones sexuelles, les marqueurs de remodelage osseux et la DMO. Aucune corrélation n'a été retrouvée entre l'œstradiol, la testostérone et la DMO, mais nous avons remarqué une corrélation positive entre la densité minérale osseuse (DMO) au rachis lombaire et l'indice de l’œstradiol libre. La DMO au rachis lombaire était corrélée négativement à la SHBG et positivement à l’Index d'Androgène Libre et l'Indice de Masse Corporelle (IMC). La DMO au col de fémur a été positivement corrélée à l'index d'androgène libre et à l’IMC et négativement à la SHBG, à l’activité des phosphatases alcalines, au taux de la parathormone intact (PTHi), de l’ostéocalcine (OC) du Crosslaps (β-CTX) et à l'âge.
Ce travail a montré que chez les hommes de plus de 50 ans, l'âge avancé, l’augmentation du taux de la PTHi et de l’activité des phosphatases alcalines ainsi que la diminution de l'IMC sont des facteurs indépendants associés à la présence d'une faible DMO au niveau du col de fémur. L’augmentation de l’IMC et de l'indice des androgènes libres a été associée à la présence d'une faible DMO au rachis lombaire. Les variables qui prédisent le mieux l'ostéoporose masculine sont l'âge, l'IMC, la phosphatase alcaline et la consommation de cigarettes, selon les résultats de la présente étude.
Chez les femmes ménopausées de plus de 50 ans, nous avons recherché l’association entre les hormones sexuelles, les marqueurs de remodelage osseux et la DMO. Des corrélations ont été retrouvées entre les hormones sexuelles et les marqueurs de remodelage osseux. L’œstradiol et l’indice d’œstradiol libre ont montré une corrélation négative respectivement avec le crosslaps et l’OC. Le dehydroepiandrosterone sulfate (S-DHEA) a été corrélé positivement à l’OC, alors que le taux sérique de la SHBG l’a été avec le β-CTX et l’OC. Par ailleurs, des corrélations entre la DMO et les hormones sexuelles ont été documentées. En effet, une corrélation positive a été établie entre la DMO au col de fémur, l’IEL et le S-DHEA. Une corrélation négative a été retrouvée entre la DMO au col de fémur d’une part et la SHBG d’une autre part.
Chez les femmes ménopausées de plus de 50 ans, cette étude a montré que l’augmentation de l’âge et la diminution de l’œstradiol libre expliquent la diminution de la DMO au niveau du col du fémur, alors que l’augmentation du taux sérique de la SHBG et la diminution du poid expliquent la diminution de la DMO au rachis lombaire.
Enfin, une régression logistique combinant plusieurs variables impliquées dans la genèse des fractures vertébrales, a permis de trouver le modèle qui explique la présence de fractures vertébrales de grade 2/3 chez les femmes ménopausées de plus de 50 ans. Le modèle a été formé par le nombre d'années après la ménopause et le T-score au rachis lombaire.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : D0232014 Président : CHABRAOUI.L Directeur : OUZZIF.Z Juge : EL MAGHRAOUI.A Juge : DAMI.A Juge : KAMAL.N-BEZZA.A-NAAMANE.A Association entre les hormones sexuelles, les marqueurs de remodelage osseux et la densité minérale osseuse chez les hommes et les femmes d'origine marocaine de plus de 50 ans [thèse] / AISSAM EL MAATAOUI, Auteur . - 2015.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Ostéoporose Hormones sexuelles Marqueurs de remodelage osseux densité minérale osseuse fractures vertébrales. Résumé : Le travail que nous avons mené au laboratoire de Biochimie – Toxicologie en étroite collaboration avec le service de rhumatologie et le concours de l’unité de prélèvement de l’HMIMV vise principalement deux objectifs. Le premier est la recherche de l'association entre les marqueurs de remodelage osseux, la vitamine D, la DMO, les hormones sexuelles et la Sex Hormone Binding Globulin (SHBG) chez les hommes et les femmes d'origine marocaine de plus de 50 ans. Le deuxième objectif est l’étude de l'association entre les marqueurs de remodelage osseux, la vitamine D, la diminution des taux des hormones sexuelles et l'augmentation des taux de la SHBG et les fractures vertébrales (VFs) chez des femmes de plus de 50 ans.
Dans le présent travail et du point de vue épidémiologique, nous avons retrouvé une forte prévalence de l'ostéoporose. Chez les femmes ménopausées, cette prévalence a été de 35.7% dans la première étude et de 24.86% dans la troisième étude. Chez les hommes, elle avoisinait les 20.1% dans la deuxième étude.
Par ailleurs, la prévalence des VFs a été de 62.33%, dont 44.65% de grade 1 et 17.67% de grade 2/3 selon la classification de Gennant et al. En outre, nous avons documenté une forte prévalence de l'hypovitaminose D dans les deux sexes.
Chez les hommes de plus de 50 ans, nous avons recherché l’association entre les hormones sexuelles, les marqueurs de remodelage osseux et la DMO. Aucune corrélation n'a été retrouvée entre l'œstradiol, la testostérone et la DMO, mais nous avons remarqué une corrélation positive entre la densité minérale osseuse (DMO) au rachis lombaire et l'indice de l’œstradiol libre. La DMO au rachis lombaire était corrélée négativement à la SHBG et positivement à l’Index d'Androgène Libre et l'Indice de Masse Corporelle (IMC). La DMO au col de fémur a été positivement corrélée à l'index d'androgène libre et à l’IMC et négativement à la SHBG, à l’activité des phosphatases alcalines, au taux de la parathormone intact (PTHi), de l’ostéocalcine (OC) du Crosslaps (β-CTX) et à l'âge.
Ce travail a montré que chez les hommes de plus de 50 ans, l'âge avancé, l’augmentation du taux de la PTHi et de l’activité des phosphatases alcalines ainsi que la diminution de l'IMC sont des facteurs indépendants associés à la présence d'une faible DMO au niveau du col de fémur. L’augmentation de l’IMC et de l'indice des androgènes libres a été associée à la présence d'une faible DMO au rachis lombaire. Les variables qui prédisent le mieux l'ostéoporose masculine sont l'âge, l'IMC, la phosphatase alcaline et la consommation de cigarettes, selon les résultats de la présente étude.
Chez les femmes ménopausées de plus de 50 ans, nous avons recherché l’association entre les hormones sexuelles, les marqueurs de remodelage osseux et la DMO. Des corrélations ont été retrouvées entre les hormones sexuelles et les marqueurs de remodelage osseux. L’œstradiol et l’indice d’œstradiol libre ont montré une corrélation négative respectivement avec le crosslaps et l’OC. Le dehydroepiandrosterone sulfate (S-DHEA) a été corrélé positivement à l’OC, alors que le taux sérique de la SHBG l’a été avec le β-CTX et l’OC. Par ailleurs, des corrélations entre la DMO et les hormones sexuelles ont été documentées. En effet, une corrélation positive a été établie entre la DMO au col de fémur, l’IEL et le S-DHEA. Une corrélation négative a été retrouvée entre la DMO au col de fémur d’une part et la SHBG d’une autre part.
Chez les femmes ménopausées de plus de 50 ans, cette étude a montré que l’augmentation de l’âge et la diminution de l’œstradiol libre expliquent la diminution de la DMO au niveau du col du fémur, alors que l’augmentation du taux sérique de la SHBG et la diminution du poid expliquent la diminution de la DMO au rachis lombaire.
Enfin, une régression logistique combinant plusieurs variables impliquées dans la genèse des fractures vertébrales, a permis de trouver le modèle qui explique la présence de fractures vertébrales de grade 2/3 chez les femmes ménopausées de plus de 50 ans. Le modèle a été formé par le nombre d'années après la ménopause et le T-score au rachis lombaire.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : D0232014 Président : CHABRAOUI.L Directeur : OUZZIF.Z Juge : EL MAGHRAOUI.A Juge : DAMI.A Juge : KAMAL.N-BEZZA.A-NAAMANE.A Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité D0232014 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires Doctorat SVS 2015 Disponible D0232014-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires Doctorat SVS 2015 Disponible ETUDE PROSPECTIVE DU PROFIL DES HORMONES SEXUELLES CHEZ LA FEMME MENOPAUSEE ATTEINTE DE POLYARTHRITE RHUMATHOIDE / DASSI CORINNE SOLENE BIGNON
Titre : ETUDE PROSPECTIVE DU PROFIL DES HORMONES SEXUELLES CHEZ LA FEMME MENOPAUSEE ATTEINTE DE POLYARTHRITE RHUMATHOIDE Type de document : thèse Auteurs : DASSI CORINNE SOLENE BIGNON, Auteur Année de publication : 2008 Langues : Français (fre) Mots-clés : POLYARTHRITE RHUMATOIDE HORMONES SEXUELLES MENOPAUSE DHEA-S TESTOSTERONE Index. décimale : WA SANTE PUBLIQUE - PROFESSION MEDICALE Résumé : La polyarthrite rhumatoïde est le chef de fil des rhumatismes inflammatoires chroniques. Il s’agit d’une affection sévère multifactorielle à prédominance féminine (sex ratio 1/3). Le rôle possible des stéroïdes sexuels dans la pathogénie de la polyarthrite rhumatoïde a suscité un intérêt considérable et a fait l’objet de nombreuses études au cours des 20 dernières années. Il a été suggéré qu’une synthèse insuffisante des hormones stéroïdes pourrait prédisposer à la maladie.
Nous avons mené une étude prospective chez une population de femmes ménopausées atteintes de polyarthrite rhumatoïde dans le but d’évaluer l’effet de la concentration de ces hormones dans la survenue de cette pathologie.
Quarante femmes ménopausées souffrant de polyarthrite rhumatoïde et 40 femmes témoins appariées pour l’âge et le sexe ont été recrutées. Les concentrations sériques des hormones sexuelles ont été déterminées par electrochimiluminescence (autoanalyseur Elecsys 2010 de Roche Diagnostics).
L’âge moyen de la population étudiée était de 54,3 ans (5,92) [43-71].L’âge moyen de la ménopause de nos patientes était de 50 ans [43-56].
Sur le plan clinique, les antécédents médicaux des malades étaient marqués par l’hypertension artérielle et le diabète.
La comparaison des marqueurs biologiques entre les patients et les témoins a révélé une baisse du taux de DHEA-S et de testostérone statistiquement très significative dans la série de femmes atteintes de polyarthrite rhumatoïde. Le taux moyen de DHEA-S était de 86,59µg/dl chez les témoins et 27,47µg/dl chez les femmes malades avec un indice p<0,001. Le taux moyen de testostérone chez la série témoin était de 1,70ng/ml et de 0,18 ng/ml chez les malades avec p=0,004.
La comparaison des autres marqueurs biologiques n’a pas montré de différence statistiquement significative.
Par ailleurs, nous avons recherché une éventuelle corrélation entre les taux sériques des hormones sexuelles et la valeur de la densité minérale osseuse. Les résultats trouvés n’ont pas montré de corrélation significative.
A travers notre étude et les séries publiées, il ressort que les hormones sexuelles jouent un rôle important dans la pathologie de la polyarthrite rhumatoïde, surtout le DHEA-S et la testostérone dont le déficit influence l’apparition de la polyarthrite rhumatoïde et accentue sa sévérité.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : P0262008 Président : CHABRAOUI LAYACHI Directeur : TELLAL SAIDA Juge : ACHEMLAL LAHCEN ETUDE PROSPECTIVE DU PROFIL DES HORMONES SEXUELLES CHEZ LA FEMME MENOPAUSEE ATTEINTE DE POLYARTHRITE RHUMATHOIDE [thèse] / DASSI CORINNE SOLENE BIGNON, Auteur . - 2008.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : POLYARTHRITE RHUMATOIDE HORMONES SEXUELLES MENOPAUSE DHEA-S TESTOSTERONE Index. décimale : WA SANTE PUBLIQUE - PROFESSION MEDICALE Résumé : La polyarthrite rhumatoïde est le chef de fil des rhumatismes inflammatoires chroniques. Il s’agit d’une affection sévère multifactorielle à prédominance féminine (sex ratio 1/3). Le rôle possible des stéroïdes sexuels dans la pathogénie de la polyarthrite rhumatoïde a suscité un intérêt considérable et a fait l’objet de nombreuses études au cours des 20 dernières années. Il a été suggéré qu’une synthèse insuffisante des hormones stéroïdes pourrait prédisposer à la maladie.
Nous avons mené une étude prospective chez une population de femmes ménopausées atteintes de polyarthrite rhumatoïde dans le but d’évaluer l’effet de la concentration de ces hormones dans la survenue de cette pathologie.
Quarante femmes ménopausées souffrant de polyarthrite rhumatoïde et 40 femmes témoins appariées pour l’âge et le sexe ont été recrutées. Les concentrations sériques des hormones sexuelles ont été déterminées par electrochimiluminescence (autoanalyseur Elecsys 2010 de Roche Diagnostics).
L’âge moyen de la population étudiée était de 54,3 ans (5,92) [43-71].L’âge moyen de la ménopause de nos patientes était de 50 ans [43-56].
Sur le plan clinique, les antécédents médicaux des malades étaient marqués par l’hypertension artérielle et le diabète.
La comparaison des marqueurs biologiques entre les patients et les témoins a révélé une baisse du taux de DHEA-S et de testostérone statistiquement très significative dans la série de femmes atteintes de polyarthrite rhumatoïde. Le taux moyen de DHEA-S était de 86,59µg/dl chez les témoins et 27,47µg/dl chez les femmes malades avec un indice p<0,001. Le taux moyen de testostérone chez la série témoin était de 1,70ng/ml et de 0,18 ng/ml chez les malades avec p=0,004.
La comparaison des autres marqueurs biologiques n’a pas montré de différence statistiquement significative.
Par ailleurs, nous avons recherché une éventuelle corrélation entre les taux sériques des hormones sexuelles et la valeur de la densité minérale osseuse. Les résultats trouvés n’ont pas montré de corrélation significative.
A travers notre étude et les séries publiées, il ressort que les hormones sexuelles jouent un rôle important dans la pathologie de la polyarthrite rhumatoïde, surtout le DHEA-S et la testostérone dont le déficit influence l’apparition de la polyarthrite rhumatoïde et accentue sa sévérité.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : P0262008 Président : CHABRAOUI LAYACHI Directeur : TELLAL SAIDA Juge : ACHEMLAL LAHCEN Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité P0262008 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesPharm2008 Disponible Documents numériques
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