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11 résultat(s) recherche sur le mot-clé 'INFECTIONS URINAIRES'
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Titre : DiabĂšte et infection urinaire Type de document : thĂšse Auteurs : BENYAHYA Nada, Auteur AnnĂ©e de publication : 2020 Langues : Français (fre) Mots-clĂ©s : Antibiotiques diabĂšte Escherichia coli infections urinaires RĂ©sumĂ© : Les infections urinaires sont fréquentes et souvent plus compliquées chez le diabétique. Les mécanismes qui, potentiellement, contribuent à cette prévalence plus importante des bactériuries symptomatiques ou non sont, la glycosurie altérant l'activité des polynucléaires et la phagocytose,
L’augmentation de l’adhérence bactérienne, diminution de la sécrétion des cytokines, la quiescence bactérienne, l'atteinte vasculaire et son retentissement sur la barrière cellulaire et les défenses locales. L’examen cytobactériologique des urines est l’examen clé pour le diagnostic de certitude.
E.coli demeure le pathogène le plus fréquemment retrouvé dans les infections urinaires des sujets diabétiques comme dans les infections urinaires des sujets non diabétiques, suivi dans un ordre différent selon les études de Proteus mirabilis, Pseudomonas æruginosa, Enterococcussp, Klebsiellapneumoniæ et de Staphylococcus aureus. Même si E.coli est le germe le plus fréquemment isolé des infections urinaires des patients diabétiques, il semblerait que les infections urinaires causées par d’autres germes qu’E.colisoient un peu plus fréquentes chez les personnes diabétiques que chez les non diabétiques.
Toutefois, la présentation clinique, l’épidémiologie et le traitement des infections urinaires chez les diabétiques sont les mêmes que dans la population générale.
Le diabète constitue alors un facteur de risque d’infection urinaire. Une prise en charge urgente et adéquate à base d’antibiothérapie est nécessaire pour préserver la fonction rénale déjà menacée, afin d’éviter le risque de survenue de formes sévères d’infection urinaire (pyélonéphrite aigue ou emphysémateuse, abcès rénal) et de décompensation d’une néphropathie diabétique
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M1862020 Président : ZOUHDI.M Directeur : SEKHSOKH.Y Juge : GAOUZI.A Juge : ABI.R DiabĂšte et infection urinaire [thĂšse] / BENYAHYA Nada, Auteur . - 2020.
Langues : Français (fre)
Mots-clĂ©s : Antibiotiques diabĂšte Escherichia coli infections urinaires RĂ©sumĂ© : Les infections urinaires sont fréquentes et souvent plus compliquées chez le diabétique. Les mécanismes qui, potentiellement, contribuent à cette prévalence plus importante des bactériuries symptomatiques ou non sont, la glycosurie altérant l'activité des polynucléaires et la phagocytose,
L’augmentation de l’adhérence bactérienne, diminution de la sécrétion des cytokines, la quiescence bactérienne, l'atteinte vasculaire et son retentissement sur la barrière cellulaire et les défenses locales. L’examen cytobactériologique des urines est l’examen clé pour le diagnostic de certitude.
E.coli demeure le pathogène le plus fréquemment retrouvé dans les infections urinaires des sujets diabétiques comme dans les infections urinaires des sujets non diabétiques, suivi dans un ordre différent selon les études de Proteus mirabilis, Pseudomonas æruginosa, Enterococcussp, Klebsiellapneumoniæ et de Staphylococcus aureus. Même si E.coli est le germe le plus fréquemment isolé des infections urinaires des patients diabétiques, il semblerait que les infections urinaires causées par d’autres germes qu’E.colisoient un peu plus fréquentes chez les personnes diabétiques que chez les non diabétiques.
Toutefois, la présentation clinique, l’épidémiologie et le traitement des infections urinaires chez les diabétiques sont les mêmes que dans la population générale.
Le diabète constitue alors un facteur de risque d’infection urinaire. Une prise en charge urgente et adéquate à base d’antibiothérapie est nécessaire pour préserver la fonction rénale déjà menacée, afin d’éviter le risque de survenue de formes sévères d’infection urinaire (pyélonéphrite aigue ou emphysémateuse, abcès rénal) et de décompensation d’une néphropathie diabétique
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M1862020 Président : ZOUHDI.M Directeur : SEKHSOKH.Y Juge : GAOUZI.A Juge : ABI.R RĂ©servation
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Code barre Cote Support Localisation Section DisponibilitĂ© M1862020 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2020 Disponible M1862020-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2020 Disponible Documents numĂ©riques
M1862020URL
Titre : les drogues vĂ©gĂ©tales utilisĂ©es dans les affections urinaires au Maroc. Type de document : thĂšse Auteurs : Fidae Zaidi, Auteur AnnĂ©e de publication : 2015 Langues : Français (fre) Mots-clĂ©s : Drogues vĂ©gĂ©tales infections urinaires diurĂ©tiques antiseptiques urinaires dĂ©congestives prostatiques anti-lithiasiques. RĂ©sumĂ© : Les pathologies de l’appareil urinaire occupent une place avancée dans le profil épidémiologique de plusieurs pays et constituent parfois des problèmes majeurs de santé public.
Malgré le développement des médicaments chimiques pour lutter contre les pathologies urinaires , on constate souvent un retour vers les plantes , comme source de principes actifs. De plus une partie non négligeable de la population, surtout en milieu rural, préfère les plantes médicinales qui procurent auprès des herboristes .
Ces drogues végétales facilement accessibles par manque de législation , elles sont utilisées sous différentes formes.Elles peuvent aider à la guérison comme elles peuvent être toxiques pour .l’utilisateur.
Dans notre travail, nous avons recensé les principales drogues végétales utilisées au Maroc pour le traitement des affections de l’appareil urinaire. Nous avons présenté ces drogues sous formes de monographies classées selon la principale utilisation.Ainsi nous classé dans les diurétiques les plantes suivantes :Pissenlit, Ache des marais , Asperge, bourrache, Mais ,Chiandant, Cerisier, Genévrier, Scille. Les antiseptiques urinaires : bruyère, callune et jujubier. Les décongestionnats de la prostate comprtent en plus des graines de courge et de l’ortie, deux plantes commércialisées au Maroc sous forme de médicaments : le palmier de Floride( Amérique) et le prunier d’Afrique ( Afrique tropicale )
Enfin les anti-lithiasiques urinaires sont constituées de : Herniaire etfiguier de barbarie.
Quelque soit l’usage des ses drogues végétales une phytovigilance s’impose pour tirer les bénéfices de ces ressources naturelles et éviter leurs effets néfastes
Numéro (Thèse ou Mémoire) : P0792015 Président : ZOUHDI.M Directeur : NEJJARI.R Juge : EL HARTI.J Juge : BOUATIA.M les drogues vĂ©gĂ©tales utilisĂ©es dans les affections urinaires au Maroc. [thĂšse] / Fidae Zaidi, Auteur . - 2015.
Langues : Français (fre)
Mots-clĂ©s : Drogues vĂ©gĂ©tales infections urinaires diurĂ©tiques antiseptiques urinaires dĂ©congestives prostatiques anti-lithiasiques. RĂ©sumĂ© : Les pathologies de l’appareil urinaire occupent une place avancée dans le profil épidémiologique de plusieurs pays et constituent parfois des problèmes majeurs de santé public.
Malgré le développement des médicaments chimiques pour lutter contre les pathologies urinaires , on constate souvent un retour vers les plantes , comme source de principes actifs. De plus une partie non négligeable de la population, surtout en milieu rural, préfère les plantes médicinales qui procurent auprès des herboristes .
Ces drogues végétales facilement accessibles par manque de législation , elles sont utilisées sous différentes formes.Elles peuvent aider à la guérison comme elles peuvent être toxiques pour .l’utilisateur.
Dans notre travail, nous avons recensé les principales drogues végétales utilisées au Maroc pour le traitement des affections de l’appareil urinaire. Nous avons présenté ces drogues sous formes de monographies classées selon la principale utilisation.Ainsi nous classé dans les diurétiques les plantes suivantes :Pissenlit, Ache des marais , Asperge, bourrache, Mais ,Chiandant, Cerisier, Genévrier, Scille. Les antiseptiques urinaires : bruyère, callune et jujubier. Les décongestionnats de la prostate comprtent en plus des graines de courge et de l’ortie, deux plantes commércialisées au Maroc sous forme de médicaments : le palmier de Floride( Amérique) et le prunier d’Afrique ( Afrique tropicale )
Enfin les anti-lithiasiques urinaires sont constituées de : Herniaire etfiguier de barbarie.
Quelque soit l’usage des ses drogues végétales une phytovigilance s’impose pour tirer les bénéfices de ces ressources naturelles et éviter leurs effets néfastes
Numéro (Thèse ou Mémoire) : P0792015 Président : ZOUHDI.M Directeur : NEJJARI.R Juge : EL HARTI.J Juge : BOUATIA.M RĂ©servation
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Code barre Cote Support Localisation Section DisponibilitĂ© P0792015 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesPharm2015 Disponible P0792015-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesPharm2015 Disponible Documents numĂ©riques
P0792015URL FREQUENCE ET ANTIBIORESISTANCE DES GERMES RESPONSABLES DES INFECTIONS URINAIRES A LâHOPITAL PROVINCIAL DE NADOR / BENALI HAYAT
Titre : FREQUENCE ET ANTIBIORESISTANCE DES GERMES RESPONSABLES DES INFECTIONS URINAIRES A LâHOPITAL PROVINCIAL DE NADOR Type de document : thĂšse Auteurs : BENALI HAYAT, Auteur AnnĂ©e de publication : 2010 Langues : Français (fre) Mots-clĂ©s : INFECTIONS URINAIRES GERMES URINAIRES ANTIBIORESISTANCE Index. dĂ©cimale : WA SANTE PUBLIQUE - PROFESSION MEDICALE RĂ©sumĂ© : Les infections urinaires sont les infections communautaires les plus fréquentes après les infections respiratoires et représentent la première cause des infections nosocomiales.
L’objectif de ce travail consiste à étudier la fréquence et l’antibiorésistance des germes responsables d’infections urinaires à l’hôpital provincial de Nador.
Nous avons analysé les résultats des examens cytobactériologiques des urines, ainsi que l’antibiorésistance des germes isolés des urines au laboratoire de microbiologie de l’hôpital provincial de Nador pendant la période 2005-2009.
La fréquence des ECBU positifs était de 21,35%. Les bactéries les plus fréquemment isolées étaient : E. Coli (41,92%), Streptocoques (17,59%), Staphylocoques (16,97%), Klebsiella (11,04%), autres entérobactéries (5,32%), Pseudomonas (4,09%) et Proteus (3,07%).
En ce qui concerne les études de l’antibiorésistance, les résultats obtenus montrent des résistances élevées vis-à-vis de la plupart des antibiotiques utilisés, mais les fluoroquinolones gardent encore leur activité sur les entérobactéries.
Une résistance moyenne s’affirme pour les bactéries Gram positif vis-à-vis de l’amoxicilline+l’acide clavulanique, pour les entérobactéries vis-à-vis des céphalosporines de troisième génération et pour le Pseudomonas vis-à-vis de la colistine.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : P0912010 Président : CHOKAIRI OMAR Directeur : MIMOUN ZOUHDI Juge : ABDELKADER BELMEKKI FREQUENCE ET ANTIBIORESISTANCE DES GERMES RESPONSABLES DES INFECTIONS URINAIRES A LâHOPITAL PROVINCIAL DE NADOR [thĂšse] / BENALI HAYAT, Auteur . - 2010.
Langues : Français (fre)
Mots-clĂ©s : INFECTIONS URINAIRES GERMES URINAIRES ANTIBIORESISTANCE Index. dĂ©cimale : WA SANTE PUBLIQUE - PROFESSION MEDICALE RĂ©sumĂ© : Les infections urinaires sont les infections communautaires les plus fréquentes après les infections respiratoires et représentent la première cause des infections nosocomiales.
L’objectif de ce travail consiste à étudier la fréquence et l’antibiorésistance des germes responsables d’infections urinaires à l’hôpital provincial de Nador.
Nous avons analysé les résultats des examens cytobactériologiques des urines, ainsi que l’antibiorésistance des germes isolés des urines au laboratoire de microbiologie de l’hôpital provincial de Nador pendant la période 2005-2009.
La fréquence des ECBU positifs était de 21,35%. Les bactéries les plus fréquemment isolées étaient : E. Coli (41,92%), Streptocoques (17,59%), Staphylocoques (16,97%), Klebsiella (11,04%), autres entérobactéries (5,32%), Pseudomonas (4,09%) et Proteus (3,07%).
En ce qui concerne les études de l’antibiorésistance, les résultats obtenus montrent des résistances élevées vis-à-vis de la plupart des antibiotiques utilisés, mais les fluoroquinolones gardent encore leur activité sur les entérobactéries.
Une résistance moyenne s’affirme pour les bactéries Gram positif vis-à-vis de l’amoxicilline+l’acide clavulanique, pour les entérobactéries vis-à-vis des céphalosporines de troisième génération et pour le Pseudomonas vis-à-vis de la colistine.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : P0912010 Président : CHOKAIRI OMAR Directeur : MIMOUN ZOUHDI Juge : ABDELKADER BELMEKKI RĂ©servation
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Code barre Cote Support Localisation Section DisponibilitĂ© P0912010 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesPharm2010 Disponible INCIDENCE DES INFECTIONS URINAIRES ET DES COLONISATIONS NOSOCOMIALES AU SEIN DU SERVICE DâUROLOGIE DE LâHMIMV DE RABAT / BISSAN ABOUBACAR DIT TIETIE
Titre : INCIDENCE DES INFECTIONS URINAIRES ET DES COLONISATIONS NOSOCOMIALES AU SEIN DU SERVICE DâUROLOGIE DE LâHMIMV DE RABAT Type de document : thĂšse Auteurs : BISSAN ABOUBACAR DIT TIETIE, Auteur AnnĂ©e de publication : 2011 Langues : Français (fre) Mots-clĂ©s : INFECTIONS URINAIRES COLONISATIONS ET BACTERIURIES NOSOCOMIALES UROLOGIE SONDAGE VESICAL. RĂ©sumĂ© : Introduction : L’infection urinaire nosocomiale (IUN) représente 40% des infections acquises à l’hôpital. Notre objectif principal a été d’évaluer l’incidence des IUN et des colonisations nosocomiales dans le service d’urologie de l’HMIMV de Rabat.
Matériel et Méthodes : Il s’agit d’une étude prospective de 100 jours qui a inclus tous les patients admis au service d’urologie, et hospitalisés pendant plus de 48H. Une identification du statut bactériologique des patients à leur admission était effectuée.
Résultats et Discussion : Nous avons trouvé comme densité d’incidence de l’IUN 6,08 pour 1000 patients-jours, qui est supérieure à celle trouvée par Agodi et al. en Italie, mais inférieure à celle de Trinchieri et al. Pour la colonisation nosocomiale : 29,88 pour 1000 patients-jours, donc 36,49 pour 1000 patients-jours pour la bactériurie nosocomiale qui est supérieure à celle de Merle et al. La densité d’incidence chez les patients sondés était de 10,41 pour 1000 jours de sondage pour l’IUN; 64,58 pour 1000 jours de sondage pour la colonisation nosocomiale et 75 pour 1000 jours de sondage pour la bactériurie nosocomiale. L’analyse multivariée a montré que le diabète et la durée de sondage vésicale sont les facteurs de risque de la colonisation et de la bactériurie nosocomiales. Parmi les germes responsables de la bactériurie nosocomiale, Enterobacter cloacae est arrivé en première position avec 26,10%.
Conclusion : Notre étude est une contribution en la prise de conscience sur les risques d’IUN, ainsi qu’au lancement d’une démarche de qualité de soins afin de réduire au mieux les taux d’IUN et de colonisations nosocomiales dans le service d’urologie.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : P0802011 Président : MOHAMMED ABBAR Directeur : SAKINA ELHAMZAOUI Juge : HICHAM AZENDOUR INCIDENCE DES INFECTIONS URINAIRES ET DES COLONISATIONS NOSOCOMIALES AU SEIN DU SERVICE DâUROLOGIE DE LâHMIMV DE RABAT [thĂšse] / BISSAN ABOUBACAR DIT TIETIE, Auteur . - 2011.
Langues : Français (fre)
Mots-clĂ©s : INFECTIONS URINAIRES COLONISATIONS ET BACTERIURIES NOSOCOMIALES UROLOGIE SONDAGE VESICAL. RĂ©sumĂ© : Introduction : L’infection urinaire nosocomiale (IUN) représente 40% des infections acquises à l’hôpital. Notre objectif principal a été d’évaluer l’incidence des IUN et des colonisations nosocomiales dans le service d’urologie de l’HMIMV de Rabat.
Matériel et Méthodes : Il s’agit d’une étude prospective de 100 jours qui a inclus tous les patients admis au service d’urologie, et hospitalisés pendant plus de 48H. Une identification du statut bactériologique des patients à leur admission était effectuée.
Résultats et Discussion : Nous avons trouvé comme densité d’incidence de l’IUN 6,08 pour 1000 patients-jours, qui est supérieure à celle trouvée par Agodi et al. en Italie, mais inférieure à celle de Trinchieri et al. Pour la colonisation nosocomiale : 29,88 pour 1000 patients-jours, donc 36,49 pour 1000 patients-jours pour la bactériurie nosocomiale qui est supérieure à celle de Merle et al. La densité d’incidence chez les patients sondés était de 10,41 pour 1000 jours de sondage pour l’IUN; 64,58 pour 1000 jours de sondage pour la colonisation nosocomiale et 75 pour 1000 jours de sondage pour la bactériurie nosocomiale. L’analyse multivariée a montré que le diabète et la durée de sondage vésicale sont les facteurs de risque de la colonisation et de la bactériurie nosocomiales. Parmi les germes responsables de la bactériurie nosocomiale, Enterobacter cloacae est arrivé en première position avec 26,10%.
Conclusion : Notre étude est une contribution en la prise de conscience sur les risques d’IUN, ainsi qu’au lancement d’une démarche de qualité de soins afin de réduire au mieux les taux d’IUN et de colonisations nosocomiales dans le service d’urologie.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : P0802011 Président : MOHAMMED ABBAR Directeur : SAKINA ELHAMZAOUI Juge : HICHAM AZENDOUR RĂ©servation
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Code barre Cote Support Localisation Section DisponibilitĂ© P0802011 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesPharm2011 Disponible Infections urinaires chez le diabĂ©tique / SAMAH-MOLA Fahimatou
Titre : Infections urinaires chez le diabĂ©tique Type de document : thĂšse Auteurs : SAMAH-MOLA Fahimatou, Auteur AnnĂ©e de publication : 2016 Langues : Français (fre) Mots-clĂ©s : DiabĂšte infections urinaires RĂ©sumĂ© : Les infections urinaires sont fréquentes et peuvent s’avérer graves chez le diabétique. Elles sont aussi source du déséquilibre du diabète. Pourtant les infections urinaires communautaires sont peu étudiées chez les diabétiques. Ainsi, l’objectif de notre étude est de connaître la fréquence d’infection urinaire, l’épidémiologie, les phénotypes de résistance des germes isolés et les facteurs de risques associés à l’infection urinaire communautaire chez le diabétique. Nous avons donc entrepris une étude prospective du 08 septembre 2015 au 17 novembre 2015 au service d’Endocrinologie de l’HMIMV, pour relever les ECBU des patients diabétiques venus en consultation externe.
Sur 208 ECBU récoltés, répondant à nos critères d’inclusion, 21 étaient positifs, soit une fréquence d’infection urinaire de 10,1%. Les facteurs de risque associés à l’infection urinaire sont le sexe féminin, les complications diabétiques, l’ancienneté du diabète, la glycosurie, l’IMC, la prise récente d’antibiotiques. Les 2 types de germes isolés étaient les entérobactéries (81,8%) notamment E.coli (50%) suivi de Klebsiella pneumoniae (27,3%), d’E.cloacae (4,5%) et les streptocoques (4,5%). Les phénotypes PBN et TRI étaient présents respectivement chez E.coli et Klebsiella. La résistance à l’amoxicilline était de 80% chez E .coli. Celle au sulfaméthoxazole-trimethoprime était de 54,5% et de 16,7% respectivement chez E.coli et Klebsiella. La résistance aux fluoroquinolones était notée uniquement chez E.coli, avec un pourcentage de 16,7%. Les entérobactéries isolées étaient toutes sensibles à la nitrofurantoïne.
Par conséquent, la prévention et le traitement non antimicrobien constituent le meilleur moyen pour traiter les infections urinaires chez le diabétique. Une prise en charge multifactorielle des complications et des facteurs de risque du diabète est aussi indispensable.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : P0662016 Président : ZOUHDI.M Directeur : CHADLI.M Juge : SEKHSOKH.Y Juge : TELLAL.S Juge : EL HAMZAOUI.S Infections urinaires chez le diabĂ©tique [thĂšse] / SAMAH-MOLA Fahimatou, Auteur . - 2016.
Langues : Français (fre)
Mots-clĂ©s : DiabĂšte infections urinaires RĂ©sumĂ© : Les infections urinaires sont fréquentes et peuvent s’avérer graves chez le diabétique. Elles sont aussi source du déséquilibre du diabète. Pourtant les infections urinaires communautaires sont peu étudiées chez les diabétiques. Ainsi, l’objectif de notre étude est de connaître la fréquence d’infection urinaire, l’épidémiologie, les phénotypes de résistance des germes isolés et les facteurs de risques associés à l’infection urinaire communautaire chez le diabétique. Nous avons donc entrepris une étude prospective du 08 septembre 2015 au 17 novembre 2015 au service d’Endocrinologie de l’HMIMV, pour relever les ECBU des patients diabétiques venus en consultation externe.
Sur 208 ECBU récoltés, répondant à nos critères d’inclusion, 21 étaient positifs, soit une fréquence d’infection urinaire de 10,1%. Les facteurs de risque associés à l’infection urinaire sont le sexe féminin, les complications diabétiques, l’ancienneté du diabète, la glycosurie, l’IMC, la prise récente d’antibiotiques. Les 2 types de germes isolés étaient les entérobactéries (81,8%) notamment E.coli (50%) suivi de Klebsiella pneumoniae (27,3%), d’E.cloacae (4,5%) et les streptocoques (4,5%). Les phénotypes PBN et TRI étaient présents respectivement chez E.coli et Klebsiella. La résistance à l’amoxicilline était de 80% chez E .coli. Celle au sulfaméthoxazole-trimethoprime était de 54,5% et de 16,7% respectivement chez E.coli et Klebsiella. La résistance aux fluoroquinolones était notée uniquement chez E.coli, avec un pourcentage de 16,7%. Les entérobactéries isolées étaient toutes sensibles à la nitrofurantoïne.
Par conséquent, la prévention et le traitement non antimicrobien constituent le meilleur moyen pour traiter les infections urinaires chez le diabétique. Une prise en charge multifactorielle des complications et des facteurs de risque du diabète est aussi indispensable.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : P0662016 Président : ZOUHDI.M Directeur : CHADLI.M Juge : SEKHSOKH.Y Juge : TELLAL.S Juge : EL HAMZAOUI.S RĂ©servation
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Code barre Cote Support Localisation Section DisponibilitĂ© P0662016 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesPharm2016 Disponible P0662016-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesPharm2016 Disponible
Titre : INFECTIONS URINAIRES CHEZ LA FEMME TRAITEMENT PAR PHYTOTHERAPIE. Type de document : thĂšse Auteurs : Ikram ZAHFIR, Auteur AnnĂ©e de publication : 2018 Langues : Français (fre) Mots-clĂ©s : AntibiothĂ©rapie Cystite Escherichia coli Infections urinaires PhytothĂ©rapie RĂ©sumĂ© : Les infections urinaires sont un motif fréquent de consultation et de prescription en médecine générale.
A travers ce travail, nous avons étudié l’épidémiologie, la physiopathologie ainsi que le diagnostic des infections urinaires chez la femme avant de proposer, à partir de données actualisées, une prise en charge optimale en fonction du type de l’infection urinaire et du terrain sous-jacent bien codifiée par les différentes sociétés savantes afin de limiter l’évolution menaçante des résistances bactériennes aux antibiotiques.
Nous avons aussi décrit l’apport de la phytothérapie dans la prise en charge des infections urinaires comme traitement adjuvant. Cette étude nous a permis de mettre en évidence l’existence de plusieurs recettes thérapeutiques à base de plantes médicinales et aromatiques.
Par conséquent, la phytothérapie demande la prise de précautions et de prudence dans la préparation et la consommation des remèdes pour éviter toutes sortes d’intoxication.
Enfin, les industries de médicaments ont besoin de développer leur recherche pour extraire des principes actifs naturels substituant des antibiotiques dans le traitement des infections urinaires.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M3572018 Président : ZOUHDI.M Directeur : SEKHSOKH.Y Juge : EL HAMZAOUI.S Juge : TELLAL.S Juge : ABI.R INFECTIONS URINAIRES CHEZ LA FEMME TRAITEMENT PAR PHYTOTHERAPIE. [thĂšse] / Ikram ZAHFIR, Auteur . - 2018.
Langues : Français (fre)
Mots-clĂ©s : AntibiothĂ©rapie Cystite Escherichia coli Infections urinaires PhytothĂ©rapie RĂ©sumĂ© : Les infections urinaires sont un motif fréquent de consultation et de prescription en médecine générale.
A travers ce travail, nous avons étudié l’épidémiologie, la physiopathologie ainsi que le diagnostic des infections urinaires chez la femme avant de proposer, à partir de données actualisées, une prise en charge optimale en fonction du type de l’infection urinaire et du terrain sous-jacent bien codifiée par les différentes sociétés savantes afin de limiter l’évolution menaçante des résistances bactériennes aux antibiotiques.
Nous avons aussi décrit l’apport de la phytothérapie dans la prise en charge des infections urinaires comme traitement adjuvant. Cette étude nous a permis de mettre en évidence l’existence de plusieurs recettes thérapeutiques à base de plantes médicinales et aromatiques.
Par conséquent, la phytothérapie demande la prise de précautions et de prudence dans la préparation et la consommation des remèdes pour éviter toutes sortes d’intoxication.
Enfin, les industries de médicaments ont besoin de développer leur recherche pour extraire des principes actifs naturels substituant des antibiotiques dans le traitement des infections urinaires.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M3572018 Président : ZOUHDI.M Directeur : SEKHSOKH.Y Juge : EL HAMZAOUI.S Juge : TELLAL.S Juge : ABI.R RĂ©servation
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Code barre Cote Support Localisation Section DisponibilitĂ© M3572018 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2018 Disponible M3572018-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2018 Disponible Documents numĂ©riques
M3572018URL INFECTIONS URINAIRES A ESCHERICHIA COLI : PREVALENCE ET EVOLUTION DE LA RESISTANCE AUX ANTIBIOTIQUES DE 2004 A 2008 / AISSA ISMAIL
Titre : INFECTIONS URINAIRES A ESCHERICHIA COLI : PREVALENCE ET EVOLUTION DE LA RESISTANCE AUX ANTIBIOTIQUES DE 2004 A 2008 Type de document : thĂšse Auteurs : AISSA ISMAIL, Auteur AnnĂ©e de publication : 2011 Langues : Français (fre) Mots-clĂ©s : INFECTIONS URINAIRES ESCHERICHIA COLI PREVALENCE RESISTANCE RĂ©sumĂ© : Les infections urinaires sont un motif fréquent de consultation et de prescription d’antibiotiques et constitue un vrai problème de santé publique. Escherichia coli est par ordre de fréquence la bactérie la plus souvent isolée.
Nous avons procédé à une étude rétrospective durant une période de cinq ans allant du 01 janvier 2004 au 31decembre 2008 et ont été inclus des prélèvements urinaires de malades hospitalisés dans plusieurs services de l'hôpital militaire d'instruction Mohammed V de Rabat, ainsi que des malades externes. Seuls les prélèvements positifs à Escherichia coli ont été retenus.
Sur cette période de cinq ans 4421 ECBU répondaient aux critères d’IU, 2235 étaient positifs à Escherichia coli ce qui représente une prévalence de 50%. 40% de ces infections concernaient des patients hospitalisés et 60% ceux suivis à titre externe, La majorité des sujets étaient de sexe féminin avec un sex-ratio F/H de 1,63. L’âge des patients est essentiellement entre 30 et 70 ans. Cette étude a mis en évidence une évolution des souches cliniques vers la résistance vis-à-vis de presque la totalité des antibiotiques. En effet, le taux de résistance acquise le plus élevé chez E. coli a été observé avec l’Amoxicilline qui est passé de 55% en 2004 à 74% en 2008, de 41,6% à 65% pour l’ Amoxicilline+acide clavulanique, de 21,6% à 36,6% pour la Norfloxacine, de 37,6% à 34,4% pour le sulfaméthoxazole– triméthoprime, certaines études la situent entre 20 et 40%. Certaines molécules comme la Fosfomycine, l’Imipénème, les aminosides et Les Nitrofuranes gardent une excellente activité sur E. coli.
Ces résultats ne permettent plus d’utiliser l’amoxicilline , l’amoxicilline -acide clavulanique ou le sulfaméthoxazole– triméthoprime en antibiothérapie probabiliste, et nous incite à : réduire la prescription non documentée des fluoroquinolones,d’adopter d’autres alternatives thérapeutiques, et de mettre en place un système de surveillance continue de l’antibiorésistance.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M1392011 Président : MIMOUN ZOUHDI Directeur : YASSINE SEKHSOKH Juge : MOHAMMED GHADOUANE INFECTIONS URINAIRES A ESCHERICHIA COLI : PREVALENCE ET EVOLUTION DE LA RESISTANCE AUX ANTIBIOTIQUES DE 2004 A 2008 [thĂšse] / AISSA ISMAIL, Auteur . - 2011.
Langues : Français (fre)
Mots-clĂ©s : INFECTIONS URINAIRES ESCHERICHIA COLI PREVALENCE RESISTANCE RĂ©sumĂ© : Les infections urinaires sont un motif fréquent de consultation et de prescription d’antibiotiques et constitue un vrai problème de santé publique. Escherichia coli est par ordre de fréquence la bactérie la plus souvent isolée.
Nous avons procédé à une étude rétrospective durant une période de cinq ans allant du 01 janvier 2004 au 31decembre 2008 et ont été inclus des prélèvements urinaires de malades hospitalisés dans plusieurs services de l'hôpital militaire d'instruction Mohammed V de Rabat, ainsi que des malades externes. Seuls les prélèvements positifs à Escherichia coli ont été retenus.
Sur cette période de cinq ans 4421 ECBU répondaient aux critères d’IU, 2235 étaient positifs à Escherichia coli ce qui représente une prévalence de 50%. 40% de ces infections concernaient des patients hospitalisés et 60% ceux suivis à titre externe, La majorité des sujets étaient de sexe féminin avec un sex-ratio F/H de 1,63. L’âge des patients est essentiellement entre 30 et 70 ans. Cette étude a mis en évidence une évolution des souches cliniques vers la résistance vis-à-vis de presque la totalité des antibiotiques. En effet, le taux de résistance acquise le plus élevé chez E. coli a été observé avec l’Amoxicilline qui est passé de 55% en 2004 à 74% en 2008, de 41,6% à 65% pour l’ Amoxicilline+acide clavulanique, de 21,6% à 36,6% pour la Norfloxacine, de 37,6% à 34,4% pour le sulfaméthoxazole– triméthoprime, certaines études la situent entre 20 et 40%. Certaines molécules comme la Fosfomycine, l’Imipénème, les aminosides et Les Nitrofuranes gardent une excellente activité sur E. coli.
Ces résultats ne permettent plus d’utiliser l’amoxicilline , l’amoxicilline -acide clavulanique ou le sulfaméthoxazole– triméthoprime en antibiothérapie probabiliste, et nous incite à : réduire la prescription non documentée des fluoroquinolones,d’adopter d’autres alternatives thérapeutiques, et de mettre en place un système de surveillance continue de l’antibiorésistance.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M1392011 Président : MIMOUN ZOUHDI Directeur : YASSINE SEKHSOKH Juge : MOHAMMED GHADOUANE RĂ©servation
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Code barre Cote Support Localisation Section DisponibilitĂ© M1392011 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2011 Disponible LES INFECTIONS URINAIRES A LâHOPITAL PROVINCIAL DE TETOUAN : EPIDEMIOLOGIE ET PROFIL DE SENSIBILITE DES BACTERIES AUX ANTIBIOTIQUES / Marouan Hanae
Titre : LES INFECTIONS URINAIRES A LâHOPITAL PROVINCIAL DE TETOUAN : EPIDEMIOLOGIE ET PROFIL DE SENSIBILITE DES BACTERIES AUX ANTIBIOTIQUES Type de document : thĂšse Auteurs : Marouan Hanae, Auteur AnnĂ©e de publication : 2010 Langues : Français (fre) Mots-clĂ©s : INFECTIONS URINAIRES EXAMEN CYTOBACTERIOLOGIQUE DES URINES GERMES URINAIRES SENSIBILITE AUX ANTIBIOTIQUES Index. dĂ©cimale : WA SANTE PUBLIQUE - PROFESSION MEDICALE RĂ©sumĂ© : Les infections urinaires sont d'une extrême fréquence. Ce sont les infections communautaires les plus fréquentes après les infections respiratoires et représentent la première cause d’infection nosocomiale déclarée
L'objectif de ce travail, consiste à étudier la fréquence, la répartition des bactéries et leur profil de résistance aux antibiotiques, afin d’étayer des recommandations concernant l’antibiothérapie des infections urinaires à Tétouan.
Il s’agit d’une étude rétrospective réalisé au laboratoire de bactériologie de l’Hôpital provincial de Tétouan qui a portée sur 583 ECBU des patients ayant séjourné aux différents services de l'hôpital ainsi que les patients externes durant l’année 2008.
La fréquence des ECBU positifs était de 24.7%. Les bactéries les plus fréquemment isolées étaient : E coli (38.9%), Klebsiella (18%), Entérobactéries non identifiées (17.4%), Proteus (9%), Staphylocoque (7%), et Pseudomonas (6.2%).
L’étude de la résistance des bactéries isolées aux antibiotiques au cours de cette période a montré une augmentation pour la majorité d’entre eux, mais les aminosides et les fluoroquinolones gardent encore un profil d’activité sur les entérobactéries.
Une activité presque complète s’affirme pour les céphalosporines de troisième génération sur les bactéries Gram négatif, pour les pénicillines M sur les coccis Gram positif, et pour l’imipenème sur le Pseudomonas.
La fréquence élevée des infections urinaires, et la résistance croissante des germes responsables incitent à diagnostiquer précocement ces infections et à adapter l’antibiothérapie à l’antibiogramme.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M0032010 Président : MIMOUN ZOUHDI Directeur : YASIN SEKHSOKH Juge : BOUCHAIB RADOUANE LES INFECTIONS URINAIRES A LâHOPITAL PROVINCIAL DE TETOUAN : EPIDEMIOLOGIE ET PROFIL DE SENSIBILITE DES BACTERIES AUX ANTIBIOTIQUES [thĂšse] / Marouan Hanae, Auteur . - 2010.
Langues : Français (fre)
Mots-clĂ©s : INFECTIONS URINAIRES EXAMEN CYTOBACTERIOLOGIQUE DES URINES GERMES URINAIRES SENSIBILITE AUX ANTIBIOTIQUES Index. dĂ©cimale : WA SANTE PUBLIQUE - PROFESSION MEDICALE RĂ©sumĂ© : Les infections urinaires sont d'une extrême fréquence. Ce sont les infections communautaires les plus fréquentes après les infections respiratoires et représentent la première cause d’infection nosocomiale déclarée
L'objectif de ce travail, consiste à étudier la fréquence, la répartition des bactéries et leur profil de résistance aux antibiotiques, afin d’étayer des recommandations concernant l’antibiothérapie des infections urinaires à Tétouan.
Il s’agit d’une étude rétrospective réalisé au laboratoire de bactériologie de l’Hôpital provincial de Tétouan qui a portée sur 583 ECBU des patients ayant séjourné aux différents services de l'hôpital ainsi que les patients externes durant l’année 2008.
La fréquence des ECBU positifs était de 24.7%. Les bactéries les plus fréquemment isolées étaient : E coli (38.9%), Klebsiella (18%), Entérobactéries non identifiées (17.4%), Proteus (9%), Staphylocoque (7%), et Pseudomonas (6.2%).
L’étude de la résistance des bactéries isolées aux antibiotiques au cours de cette période a montré une augmentation pour la majorité d’entre eux, mais les aminosides et les fluoroquinolones gardent encore un profil d’activité sur les entérobactéries.
Une activité presque complète s’affirme pour les céphalosporines de troisième génération sur les bactéries Gram négatif, pour les pénicillines M sur les coccis Gram positif, et pour l’imipenème sur le Pseudomonas.
La fréquence élevée des infections urinaires, et la résistance croissante des germes responsables incitent à diagnostiquer précocement ces infections et à adapter l’antibiothérapie à l’antibiogramme.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M0032010 Président : MIMOUN ZOUHDI Directeur : YASIN SEKHSOKH Juge : BOUCHAIB RADOUANE RĂ©servation
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Code barre Cote Support Localisation Section DisponibilitĂ© M0032010 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2010 Disponible PROFIL BACTERIOLOGIQUE DES INFECTIONS URINAIRES DIAGNOSTIQUEES AUX DIFFERENTS SERVICES DU CENTRE HOSPITALIER UNIVERSITAIRE (CHU) DE RABAT. / IMANE ELHARCH
Titre : PROFIL BACTERIOLOGIQUE DES INFECTIONS URINAIRES DIAGNOSTIQUEES AUX DIFFERENTS SERVICES DU CENTRE HOSPITALIER UNIVERSITAIRE (CHU) DE RABAT. Type de document : thĂšse Auteurs : IMANE ELHARCH, Auteur AnnĂ©e de publication : 2013 Langues : Français (fre) Mots-clĂ©s : INFECTIONS URINAIRES EXAMEN CYTOBACTERIOLOGIQUE DES URINES ANTIBIORESISTANCE RĂ©sumĂ© : L’objectif de ce travail consiste à évaluer la présence des bactéries responsables d’infection urinaire ainsi leur profil de résistance aux différents antibiotiques afin d’actualiser les données épidémiologiques.
C’est une étude prospective réalisée au laboratoire de bactériologie du centre hospitalier universitaire de Rabat, portant sur 6467 échantillon d’urine provenant de différents services du CHU Ibn Sina de rabat sur une période de 7 mois du 1er Janvier 2012 au 31 Juillet 2012.
Sur l’ensemble des Urines analysés, 23,27% étaient positifs avec une prédominance féminine. Les entérobactéries sont les plus incriminées dans ces infections urinaires : Escherichia coli (46,77%) vient en tête, suivie par Klebsiella spp (18,67%), Enterobacter spp (5,45%) et Proteus mirabilis (3,25%). Les bactéries non fermentant dont Pseudomonas aeruginosa et Acinétobacter baumanii sont moins fréquente avec une prévalence de 4,32% et 3,26 % respectivement.
Les bactéries multi-résistance (BMR) sont représentés essentiellement par les Entérobactéries sécrétrices de bêta-lactamases à spectre élargie « BLSE » soit une prévalence de (19,39%) et qui sont isolées en milieu hospitalier et extrahospitalier. L’imipénème, l’amikacine et la colistine gardent encore une meilleure activité antibactérienne. Les antibiotiques les plus touchés par la résistance bactérienne sont les fluoroquinolones (77,57%), l’association sulfaméthoxazole + triméthoprime (76,28%) et la gentamicine (72,32%)
La fréquence élevée des infections urinaires et la résistance croissante des germes responsables incitent à diagnostiquer précocement ces infections et à adapter l’antibiothérapie selon les résultats de l’antibiogramme.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : P0172013 Président : GAOUZI.A Directeur : ZOUHDI.M Juge : TELLAL.S PROFIL BACTERIOLOGIQUE DES INFECTIONS URINAIRES DIAGNOSTIQUEES AUX DIFFERENTS SERVICES DU CENTRE HOSPITALIER UNIVERSITAIRE (CHU) DE RABAT. [thĂšse] / IMANE ELHARCH, Auteur . - 2013.
Langues : Français (fre)
Mots-clĂ©s : INFECTIONS URINAIRES EXAMEN CYTOBACTERIOLOGIQUE DES URINES ANTIBIORESISTANCE RĂ©sumĂ© : L’objectif de ce travail consiste à évaluer la présence des bactéries responsables d’infection urinaire ainsi leur profil de résistance aux différents antibiotiques afin d’actualiser les données épidémiologiques.
C’est une étude prospective réalisée au laboratoire de bactériologie du centre hospitalier universitaire de Rabat, portant sur 6467 échantillon d’urine provenant de différents services du CHU Ibn Sina de rabat sur une période de 7 mois du 1er Janvier 2012 au 31 Juillet 2012.
Sur l’ensemble des Urines analysés, 23,27% étaient positifs avec une prédominance féminine. Les entérobactéries sont les plus incriminées dans ces infections urinaires : Escherichia coli (46,77%) vient en tête, suivie par Klebsiella spp (18,67%), Enterobacter spp (5,45%) et Proteus mirabilis (3,25%). Les bactéries non fermentant dont Pseudomonas aeruginosa et Acinétobacter baumanii sont moins fréquente avec une prévalence de 4,32% et 3,26 % respectivement.
Les bactéries multi-résistance (BMR) sont représentés essentiellement par les Entérobactéries sécrétrices de bêta-lactamases à spectre élargie « BLSE » soit une prévalence de (19,39%) et qui sont isolées en milieu hospitalier et extrahospitalier. L’imipénème, l’amikacine et la colistine gardent encore une meilleure activité antibactérienne. Les antibiotiques les plus touchés par la résistance bactérienne sont les fluoroquinolones (77,57%), l’association sulfaméthoxazole + triméthoprime (76,28%) et la gentamicine (72,32%)
La fréquence élevée des infections urinaires et la résistance croissante des germes responsables incitent à diagnostiquer précocement ces infections et à adapter l’antibiothérapie selon les résultats de l’antibiogramme.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : P0172013 Président : GAOUZI.A Directeur : ZOUHDI.M Juge : TELLAL.S RĂ©servation
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Code barre Cote Support Localisation Section DisponibilitĂ© P0172013 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesPharm2013 Disponible RESISTANCE D'ESCHERICHIA COLI ISOLE DES URINES AUX FLUOROQUINOLONES / NEJJAR BOUCHRA
Titre : RESISTANCE D'ESCHERICHIA COLI ISOLE DES URINES AUX FLUOROQUINOLONES Type de document : thĂšse Auteurs : NEJJAR BOUCHRA, Auteur AnnĂ©e de publication : 2008 Langues : Français (fre) Mots-clĂ©s : INFECTIONS URINAIRES ESCHERICHIA COLI RESISTANCE FLUOROQUINOLONES Index. dĂ©cimale : WA SANTE PUBLIQUE - PROFESSION MEDICALE Numéro (Thèse ou Mémoire) : P0062008 Président : ADNAOUI MOHAMED Directeur : BENOUDA AMINA Juge : EL HAMZAOUI SAKINA Juge : HARMOUCHE RESISTANCE D'ESCHERICHIA COLI ISOLE DES URINES AUX FLUOROQUINOLONES [thĂšse] / NEJJAR BOUCHRA, Auteur . - 2008.
Langues : Français (fre)
Mots-clĂ©s : INFECTIONS URINAIRES ESCHERICHIA COLI RESISTANCE FLUOROQUINOLONES Index. dĂ©cimale : WA SANTE PUBLIQUE - PROFESSION MEDICALE Numéro (Thèse ou Mémoire) : P0062008 Président : ADNAOUI MOHAMED Directeur : BENOUDA AMINA Juge : EL HAMZAOUI SAKINA Juge : HARMOUCHE RĂ©servation
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Code barre Cote Support Localisation Section DisponibilitĂ© P0062008 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesPharm2008 Disponible SensibilitĂ© aux antibiotiques dâEscherichia coli responsables dâinfections urinaires communautaires Ă lâInstitut Pasteur de Casablanca / SARA TASSOUIKET
Titre : SensibilitĂ© aux antibiotiques dâEscherichia coli responsables dâinfections urinaires communautaires Ă lâInstitut Pasteur de Casablanca Type de document : thĂšse Auteurs : SARA TASSOUIKET, Auteur AnnĂ©e de publication : 2014 Langues : Français (fre) Mots-clĂ©s : Infections urinaires Escherichia coli uropathogĂšne SensibilitĂ© RĂ©sumĂ© : Introduction : Les entérobactéries sont les agents étiologiques les plus fréquemment décrits dans les infections urinaires. L’objectif de notre étude est d’évaluer la fréquence d’isolation des entérobactéries et la sensibilité d’Escherichia coli urinaires aux antibiotiques.
Matériel et Méthodes : Étude rétrospective et descriptive effectuée au laboratoire de microbiologie de l’Institut Pasteur de Casablanca portant sur les bactéries isolées des urines provenant de patients consultants durant l’année 2013. Les tests utilisés sont d’une part, l’examen cytobactériologique des urines (ECBU) et d’autre part, la méthode de diffusion en milieu gélosé (MH).
Résultats: Sur 267 souches isolées responsables d’infection urinaire, 238 sont des entérobactéries soit une fréquence de 88%.Le profil bactériologique était largement dominé par Escherichia coli (69%), suivi de Klebsiella (7,5%), de Proteus (2,5%).
Les résultats de l’ECBU ont montré que l’ECU touche les femmes plus que les hommes avec 69% des cas. Par ailleurs, la résistance la plus élevée a été enregistrée chez l’Amoxiline et la Ticarciline ; suivie respectivement de celle d’Amoxicilline associé à l’Acide clavulanique, Cotrimoxazole, Céfalotine. Par contre, les plus faibles résistances ont été observées pour les Aminosides, la fosfomycine, la ceftazidime, la céfalotaxime et l’ertapenème.
Conclusion : L’ensemble de ces résultats a montré une augmentation de la multirésistance d’Eschérichia coli uropathogène qui pourrait être liée à la pression de sélection due à l’utilisation abusive des antibiotiques dans le domaine médical. Une surveillance régulière de la résistance aux antibiotiques est indispensable pour définir des stratégies thérapeutiques efficaces et appropriées, limitant l’émergence et la dissémination des souches multirésistantes.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : P0652014 Président : CHOKAIRI.O Directeur : CHADLI.M Juge : SEKHSOKH.Y Juge : GAOUZI.A SensibilitĂ© aux antibiotiques dâEscherichia coli responsables dâinfections urinaires communautaires Ă lâInstitut Pasteur de Casablanca [thĂšse] / SARA TASSOUIKET, Auteur . - 2014.
Langues : Français (fre)
Mots-clĂ©s : Infections urinaires Escherichia coli uropathogĂšne SensibilitĂ© RĂ©sumĂ© : Introduction : Les entérobactéries sont les agents étiologiques les plus fréquemment décrits dans les infections urinaires. L’objectif de notre étude est d’évaluer la fréquence d’isolation des entérobactéries et la sensibilité d’Escherichia coli urinaires aux antibiotiques.
Matériel et Méthodes : Étude rétrospective et descriptive effectuée au laboratoire de microbiologie de l’Institut Pasteur de Casablanca portant sur les bactéries isolées des urines provenant de patients consultants durant l’année 2013. Les tests utilisés sont d’une part, l’examen cytobactériologique des urines (ECBU) et d’autre part, la méthode de diffusion en milieu gélosé (MH).
Résultats: Sur 267 souches isolées responsables d’infection urinaire, 238 sont des entérobactéries soit une fréquence de 88%.Le profil bactériologique était largement dominé par Escherichia coli (69%), suivi de Klebsiella (7,5%), de Proteus (2,5%).
Les résultats de l’ECBU ont montré que l’ECU touche les femmes plus que les hommes avec 69% des cas. Par ailleurs, la résistance la plus élevée a été enregistrée chez l’Amoxiline et la Ticarciline ; suivie respectivement de celle d’Amoxicilline associé à l’Acide clavulanique, Cotrimoxazole, Céfalotine. Par contre, les plus faibles résistances ont été observées pour les Aminosides, la fosfomycine, la ceftazidime, la céfalotaxime et l’ertapenème.
Conclusion : L’ensemble de ces résultats a montré une augmentation de la multirésistance d’Eschérichia coli uropathogène qui pourrait être liée à la pression de sélection due à l’utilisation abusive des antibiotiques dans le domaine médical. Une surveillance régulière de la résistance aux antibiotiques est indispensable pour définir des stratégies thérapeutiques efficaces et appropriées, limitant l’émergence et la dissémination des souches multirésistantes.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : P0652014 Président : CHOKAIRI.O Directeur : CHADLI.M Juge : SEKHSOKH.Y Juge : GAOUZI.A RĂ©servation
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Exemplaires
Code barre Cote Support Localisation Section DisponibilitĂ© P0652014 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesPharm2014 Disponible P0652014-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesPharm2014 Disponible