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ETUDE DE LA RACHIANALGESIE MORPHINIQUE DANS LA CHIRURGIE ABDOMINALE LOURDE ETUDE PROSPECTIVE DE 50 PATIENTS ET REVUE DE LA LITTERATURE / WAFAE EL OTMANI
Titre : ETUDE DE LA RACHIANALGESIE MORPHINIQUE DANS LA CHIRURGIE ABDOMINALE LOURDE ETUDE PROSPECTIVE DE 50 PATIENTS ET REVUE DE LA LITTERATURE Type de document : thèse Auteurs : WAFAE EL OTMANI, Auteur Année de publication : 2012 Langues : Français (fre) Mots-clés : MORPHINE ANALGESIE INJECTION INTRATHECALE DOULEUR POSTOPERATOIRE. Résumé : La rachianalgésie morphinique est une technique adéquate pour assurer l’analgésie postopératoire après une laparotomie lourde. L’injection préopératoire intrathécale de morphine assure une analgésie efficace dès le réveil, de longue durée tout en respectant les conditions de sécurité du patient. Le but de cette étude est d’évaluer l’intérêt de la rachianalgésie morphinique en chirurgie abdominale lourde.
Avant l’induction d’une anesthésie générale, les patients reçoivent une injection intrathécale de 0,25 mg de morphine. Les scores de douleur, les besoins en morphine, les effets secondaires et la satisfaction des patients sont recueillis pendant les 48 heures postopératoires.
50 patients candidats à une chirurgie abdominale lourde ont été inclus dans l’étude ; 27 hommes (54%) et 23 femmes (46%). la chirurgie vasculaire était la plus fréquente (35%) suivie de la chirurgie colorectale (19%) et celle du pancréas (16%). Au réveil, le score de douleur était de 0 chez 32 patients (64%) et inférieur à 3 chez 6 (12%). 22 patients n’ont pas nécessité d’administration supplémentaire de morphine après le réveil. Les paramètres hémodynamiques postopératoires sont restés stables. Aucune complication grave neurologique ou respiratoire n’a été notée. La plupart des patients étaient satisfaits ou très satisfaits de l’analgésie.
La rachianalgésie morphinique est séduisante par sa simplicité et sa fiabilité dans la prise en charge de la douleur postopératoire. La stabilité hémodynamique postopératoire est un avantage non négligeable notamment chez les patients à risque cardiovasculaire élevé. Son association à d’autres moyens pourrait constituer une alternative à la péridurale analgésique à risque plus élevé de complications
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M0652012 Président : ABDERRAHIM AZZOUZI Directeur : AHMED EL HIJRI Juge : ABDELMAJID MOUSSAOUI Juge : MOUSTAPHA ALILOU ETUDE DE LA RACHIANALGESIE MORPHINIQUE DANS LA CHIRURGIE ABDOMINALE LOURDE ETUDE PROSPECTIVE DE 50 PATIENTS ET REVUE DE LA LITTERATURE [thèse] / WAFAE EL OTMANI, Auteur . - 2012.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : MORPHINE ANALGESIE INJECTION INTRATHECALE DOULEUR POSTOPERATOIRE. Résumé : La rachianalgésie morphinique est une technique adéquate pour assurer l’analgésie postopératoire après une laparotomie lourde. L’injection préopératoire intrathécale de morphine assure une analgésie efficace dès le réveil, de longue durée tout en respectant les conditions de sécurité du patient. Le but de cette étude est d’évaluer l’intérêt de la rachianalgésie morphinique en chirurgie abdominale lourde.
Avant l’induction d’une anesthésie générale, les patients reçoivent une injection intrathécale de 0,25 mg de morphine. Les scores de douleur, les besoins en morphine, les effets secondaires et la satisfaction des patients sont recueillis pendant les 48 heures postopératoires.
50 patients candidats à une chirurgie abdominale lourde ont été inclus dans l’étude ; 27 hommes (54%) et 23 femmes (46%). la chirurgie vasculaire était la plus fréquente (35%) suivie de la chirurgie colorectale (19%) et celle du pancréas (16%). Au réveil, le score de douleur était de 0 chez 32 patients (64%) et inférieur à 3 chez 6 (12%). 22 patients n’ont pas nécessité d’administration supplémentaire de morphine après le réveil. Les paramètres hémodynamiques postopératoires sont restés stables. Aucune complication grave neurologique ou respiratoire n’a été notée. La plupart des patients étaient satisfaits ou très satisfaits de l’analgésie.
La rachianalgésie morphinique est séduisante par sa simplicité et sa fiabilité dans la prise en charge de la douleur postopératoire. La stabilité hémodynamique postopératoire est un avantage non négligeable notamment chez les patients à risque cardiovasculaire élevé. Son association à d’autres moyens pourrait constituer une alternative à la péridurale analgésique à risque plus élevé de complications
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M0652012 Président : ABDERRAHIM AZZOUZI Directeur : AHMED EL HIJRI Juge : ABDELMAJID MOUSSAOUI Juge : MOUSTAPHA ALILOU Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M0652012 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2012 Disponible L’IMPACT DE LA RACHIANALGESIE MORPHINIQUE SELON LA DOSE, SUR L’INTENSITE DE LA DOULEUR POSTOPERATOIRE, APRES CHIRURGIE GYNECOLOGIQUE / Yousra LAMARTI
Titre : L’IMPACT DE LA RACHIANALGESIE MORPHINIQUE SELON LA DOSE, SUR L’INTENSITE DE LA DOULEUR POSTOPERATOIRE, APRES CHIRURGIE GYNECOLOGIQUE Type de document : thèse Auteurs : Yousra LAMARTI, Auteur Année de publication : 2022 Langues : Français (fre) Mots-clés : rachianalgésie morphine injection intrathécale douleur post opératoire chirurgie
gynécologique.Résumé : Introduction : Le cancer gynécologique représente 50% des cancers féminins dans le monde. La
douleur postopératoire après chirurgie gynécologique reste prévisible et souvent intense. La
rachianalgésie morphinique dans ce contexte s’est avérée bien tolérée et assurant une analgésie
efficace.
L’objectif de notre travail est de déterminer l’impact de la rachianalgésie morphinique selon la
dose 0.1 à 0.2 µg, sur l’intensité de la douleur chronique post chirurgicale et d’évaluer les effets
indésirables de la morphine intrathécale.
Matériel et méthode :
Il s’agit d’une étude interventionnelle, prospective, de type essai randomisé contrôlé mono
centrique en double aveugle ayant eu lieu à l’Institut National d’Oncologie (INO) de Rabat,
s’étendant sur une période de 6 mois (du premier octobre 2021 au premier avril 2022). Cette
étude porte sur des femmes ayant un âge supérieur ou égale à 18 ans et inférieur à 70 ans, un
statut physique de classe I à III de ASA et devant subir une chirurgie gynécologique de type
Wertheim, (colpohystérectomie totale avec annexectomie bilatérale). Les patientes ont été
réparties en deux groupes comparables : l’un ayant reçu 100 µg de morphine intrathécale, l’autre
200 µg. Après recueil des données nous avons analysé l’efficacité de l’analgésie post opératoire
dans les deux groupes.
Résultats :
Au total, 60 patientes ont été incluses dans l’étude, avec 30 malades pour chaque groupe.
L’analgésie postopératoire était plus efficace avec des doses à 200 µg par rapport à 100 µg. La
consommation des morphiniques par voie intraveineuse en post opératoire, était beaucoup plus
supérieure dans le groupe ayant reçu 100 µg par rapport au groupe ayant reçu 200 µg, avec un
pourcentage de 53,3% versus 20,0% (p =0,007). L’utilisation d’une rachianalgésie avec une dose
de 200 µg de morphine a permis donc de diminuer la consommation des morphiniques en
postopératoireNuméro (Thèse ou Mémoire) : MS0152022 Président : Abdel-Ilah GHANNAM L’IMPACT DE LA RACHIANALGESIE MORPHINIQUE SELON LA DOSE, SUR L’INTENSITE DE LA DOULEUR POSTOPERATOIRE, APRES CHIRURGIE GYNECOLOGIQUE [thèse] / Yousra LAMARTI, Auteur . - 2022.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : rachianalgésie morphine injection intrathécale douleur post opératoire chirurgie
gynécologique.Résumé : Introduction : Le cancer gynécologique représente 50% des cancers féminins dans le monde. La
douleur postopératoire après chirurgie gynécologique reste prévisible et souvent intense. La
rachianalgésie morphinique dans ce contexte s’est avérée bien tolérée et assurant une analgésie
efficace.
L’objectif de notre travail est de déterminer l’impact de la rachianalgésie morphinique selon la
dose 0.1 à 0.2 µg, sur l’intensité de la douleur chronique post chirurgicale et d’évaluer les effets
indésirables de la morphine intrathécale.
Matériel et méthode :
Il s’agit d’une étude interventionnelle, prospective, de type essai randomisé contrôlé mono
centrique en double aveugle ayant eu lieu à l’Institut National d’Oncologie (INO) de Rabat,
s’étendant sur une période de 6 mois (du premier octobre 2021 au premier avril 2022). Cette
étude porte sur des femmes ayant un âge supérieur ou égale à 18 ans et inférieur à 70 ans, un
statut physique de classe I à III de ASA et devant subir une chirurgie gynécologique de type
Wertheim, (colpohystérectomie totale avec annexectomie bilatérale). Les patientes ont été
réparties en deux groupes comparables : l’un ayant reçu 100 µg de morphine intrathécale, l’autre
200 µg. Après recueil des données nous avons analysé l’efficacité de l’analgésie post opératoire
dans les deux groupes.
Résultats :
Au total, 60 patientes ont été incluses dans l’étude, avec 30 malades pour chaque groupe.
L’analgésie postopératoire était plus efficace avec des doses à 200 µg par rapport à 100 µg. La
consommation des morphiniques par voie intraveineuse en post opératoire, était beaucoup plus
supérieure dans le groupe ayant reçu 100 µg par rapport au groupe ayant reçu 200 µg, avec un
pourcentage de 53,3% versus 20,0% (p =0,007). L’utilisation d’une rachianalgésie avec une dose
de 200 µg de morphine a permis donc de diminuer la consommation des morphiniques en
postopératoireNuméro (Thèse ou Mémoire) : MS0152022 Président : Abdel-Ilah GHANNAM Réservation
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