Titre : | INFECTIONS GENITALES HAUTES : ETUDE RETROSPECTIVE DESCRIPTIVE AU SERVICE DE GYNECOLOGIE ET EXPLORATIONS ENDOSCOPIQUES AU CHU IBN SINA A PROPOS DE 30 CAS | Type de document : | thèse | Auteurs : | Fahd BENYOUSSEF, Auteur | Année de publication : | 2024 | Langues : | Français (fre) | Mots-clés : | Infections génitales hautes Maladie inflammatoire pelvienne Infections sexuellement transmissibles | Résumé : | Introduction : Les infections génitales hautes sont un groupe da maladie touchant le haut
appareil génital féminin, dont les germes ascensionnent le plus souvent des voies génitales
basses. Elles sont fréquemment dues aux germes liés aux IST et ceux issus de la flore
génitale. L’objectif de notre thèse est de permettre de déterminer et décrire le statut
épidémiologique, la symptomatologie clinique, les résultats biologiques et radiologiques, et
d’élaborer une prise en charge adéquate.
Matériels et méthodes : Il s’agit d’une étude descriptive rétrospective concerne 30 patientes
hospitalisées au service gynécologie et explorations endoscopiques pour une infection
génitale haute sur une période de 25 mois, du 22/05/2022 au 14/06/2024.
Résultats : Les IGH représentaient 10.63% des pathologies hospitalisées au sein du servie
durant la durée d'étude dont les pyosalpinx représentaient 46.6% et les ATO 53.6%, l'âge
moyen était de 36.4 ans avec une prédominance de femmes en activité génitale soit 93.3%. La
douleur était présente chez toutes les femmes dont 60% fébriles, les leucorrhées chez 70% des
cas, 83.4% avaient une hyperleucocytose, et la moyenne de CRP était de 179.26 mg/L. Les
germes isolés à partir du PV étaient Candida albicans chez 6.6%, et Escherichia coli et
Staphylococcus epidermis chacune chez 3.3%. L’échographie permettait la confirmation de
diagnostic de la majorité, l’antibiothérapie intéressait toutes les patientes et la chirurgie
seulement 3.3%.
Conclusion : Les IGH représentent une pathologie fréquente, dont la gestion efficace est
cruciale afin d’éviter les complications, les protocoles thérapeutiques développés visent à
traiter précocement ces infections, ainsi qu’à les dépister chez le partenaire. | Numéro (Thèse ou Mémoire) : | M4842024 | Président : | Aziz BAIDADA | Directeur : | Amina LAKHDAR | Juge : | Najia ZERAIDI | Juge : | Nabil MOATASSIM BILLAH |
INFECTIONS GENITALES HAUTES : ETUDE RETROSPECTIVE DESCRIPTIVE AU SERVICE DE GYNECOLOGIE ET EXPLORATIONS ENDOSCOPIQUES AU CHU IBN SINA A PROPOS DE 30 CAS [thèse] / Fahd BENYOUSSEF, Auteur . - 2024. Langues : Français ( fre) Mots-clés : | Infections génitales hautes Maladie inflammatoire pelvienne Infections sexuellement transmissibles | Résumé : | Introduction : Les infections génitales hautes sont un groupe da maladie touchant le haut
appareil génital féminin, dont les germes ascensionnent le plus souvent des voies génitales
basses. Elles sont fréquemment dues aux germes liés aux IST et ceux issus de la flore
génitale. L’objectif de notre thèse est de permettre de déterminer et décrire le statut
épidémiologique, la symptomatologie clinique, les résultats biologiques et radiologiques, et
d’élaborer une prise en charge adéquate.
Matériels et méthodes : Il s’agit d’une étude descriptive rétrospective concerne 30 patientes
hospitalisées au service gynécologie et explorations endoscopiques pour une infection
génitale haute sur une période de 25 mois, du 22/05/2022 au 14/06/2024.
Résultats : Les IGH représentaient 10.63% des pathologies hospitalisées au sein du servie
durant la durée d'étude dont les pyosalpinx représentaient 46.6% et les ATO 53.6%, l'âge
moyen était de 36.4 ans avec une prédominance de femmes en activité génitale soit 93.3%. La
douleur était présente chez toutes les femmes dont 60% fébriles, les leucorrhées chez 70% des
cas, 83.4% avaient une hyperleucocytose, et la moyenne de CRP était de 179.26 mg/L. Les
germes isolés à partir du PV étaient Candida albicans chez 6.6%, et Escherichia coli et
Staphylococcus epidermis chacune chez 3.3%. L’échographie permettait la confirmation de
diagnostic de la majorité, l’antibiothérapie intéressait toutes les patientes et la chirurgie
seulement 3.3%.
Conclusion : Les IGH représentent une pathologie fréquente, dont la gestion efficace est
cruciale afin d’éviter les complications, les protocoles thérapeutiques développés visent à
traiter précocement ces infections, ainsi qu’à les dépister chez le partenaire. | Numéro (Thèse ou Mémoire) : | M4842024 | Président : | Aziz BAIDADA | Directeur : | Amina LAKHDAR | Juge : | Najia ZERAIDI | Juge : | Nabil MOATASSIM BILLAH |
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