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1 résultat(s) recherche sur le mot-clé 'Môle hydatiforme partielle'
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Titre : GROSSESSE MOLAIRE AU NIVEAU DE LA MATERNITÉ SOUISSI M 1 (A PROPOS DE 50 CAS) Type de document : thèse Auteurs : Salima DRIOUICH, Auteur Langues : Français (fre) Mots-clés : Grossesse môlaire Môle hydatiforme complète Môle hydatiforme
partielle Tumeur trophoblastique gestationnelle ChimiothérapieRésumé : La grossesse molaire est la forme bénigne des maladies trophoblastiques gestationnelles. C’est
une anomalie résultante d’une fécondation anormale de l’ovule par le spermatozoïde pour une
raison indéterminée donnant un développement anormal du placenta par une hyperplasie du
trophoblaste responsable d’une sécrétion accrue des gonadotrophines chorioniques avec
transformation kystique des villosités choriales.
Nous rapportons une étude rétrospective de 50 cas de grossesses molaires colligées au service
de gynécologie obstétrique M1 de la maternité Souissi de Rabat durant une période de 5 ans
allant de janvier 2017 à décembre 2021.
La fréquence globale des grossesses molaires dans notre étude est de 0,19% des accouchements.
L’incidence est élevée dans la tranche d’âge de 21-25 ans (28%), avec une fréquence plus élevée
chez la multipare (40%).
Les métrorragies constituaient le signe d’appel le plus fréquent, avec une fréquence de 86%.
L’examen physique montre un utérus augmenté de taille par rapport à l’âge gestationnel dans
88% des cas et les masses latéro-utérines ont été retrouvées dans 10% des cas.
L’échographie est le moyen le plus fiable pour le diagnostic positif avec un taux de 98%.
Le taux de β-hCG a également tout son intérêt dans le diagnostic mais surtout dans le suivi post
thérapeutique afin de diagnostiquer précocement toute dégénérescence maligne.
L’évacuation utérine par aspiration est le traitement de choix des grossesses molaires. Elle a été
réalisée chez 100% des patientes.
L’étude histologique a mis en évidence 84% de cas de MHC et 16% de cas de MHP.
L’évolution était favorable dans 86% des cas, alors que 14% des cas restants était marquée par
la survenue de tumeur trophoblastique gestationnelle d’où l’indication d’une
monochimiothérapie à base de méthotrexate.Numéro (Thèse ou Mémoire) : M4682022 Président : Aicha KHARBACH Directeur : Amina LAKHDAR Juge : Najia ZERAIDI GROSSESSE MOLAIRE AU NIVEAU DE LA MATERNITÉ SOUISSI M 1 (A PROPOS DE 50 CAS) [thèse] / Salima DRIOUICH, Auteur . - [s.d.].
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Grossesse môlaire Môle hydatiforme complète Môle hydatiforme
partielle Tumeur trophoblastique gestationnelle ChimiothérapieRésumé : La grossesse molaire est la forme bénigne des maladies trophoblastiques gestationnelles. C’est
une anomalie résultante d’une fécondation anormale de l’ovule par le spermatozoïde pour une
raison indéterminée donnant un développement anormal du placenta par une hyperplasie du
trophoblaste responsable d’une sécrétion accrue des gonadotrophines chorioniques avec
transformation kystique des villosités choriales.
Nous rapportons une étude rétrospective de 50 cas de grossesses molaires colligées au service
de gynécologie obstétrique M1 de la maternité Souissi de Rabat durant une période de 5 ans
allant de janvier 2017 à décembre 2021.
La fréquence globale des grossesses molaires dans notre étude est de 0,19% des accouchements.
L’incidence est élevée dans la tranche d’âge de 21-25 ans (28%), avec une fréquence plus élevée
chez la multipare (40%).
Les métrorragies constituaient le signe d’appel le plus fréquent, avec une fréquence de 86%.
L’examen physique montre un utérus augmenté de taille par rapport à l’âge gestationnel dans
88% des cas et les masses latéro-utérines ont été retrouvées dans 10% des cas.
L’échographie est le moyen le plus fiable pour le diagnostic positif avec un taux de 98%.
Le taux de β-hCG a également tout son intérêt dans le diagnostic mais surtout dans le suivi post
thérapeutique afin de diagnostiquer précocement toute dégénérescence maligne.
L’évacuation utérine par aspiration est le traitement de choix des grossesses molaires. Elle a été
réalisée chez 100% des patientes.
L’étude histologique a mis en évidence 84% de cas de MHC et 16% de cas de MHP.
L’évolution était favorable dans 86% des cas, alors que 14% des cas restants était marquée par
la survenue de tumeur trophoblastique gestationnelle d’où l’indication d’une
monochimiothérapie à base de méthotrexate.Numéro (Thèse ou Mémoire) : M4682022 Président : Aicha KHARBACH Directeur : Amina LAKHDAR Juge : Najia ZERAIDI Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M4682022 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMed2022 Disponible Documents numériques
M4682022URL