Accueil
A partir de cette page vous pouvez :
Retourner au premier écran avec les dernières notices... |
Résultat de la recherche
3 résultat(s) recherche sur le mot-clé 'Mycoplasma Hominis'
Affiner la recherche Faire une suggestion
Epidémiologie des infections urogénitales bassesà Chlamydia trachomatis et mycoplasmes cultivablesà l’hôpital militaire de Meknès.Étude prospective en 2013. / Amine MAKTIT
Titre : Epidémiologie des infections urogénitales bassesà Chlamydia trachomatis et mycoplasmes cultivablesà l’hôpital militaire de Meknès.Étude prospective en 2013. Type de document : thèse Auteurs : Amine MAKTIT, Auteur Année de publication : 2014 Langues : Français (fre) Mots-clés : IST Chlamydia trachomatis Mycoplasma hominis Ureaplasma les infections génito-urinaires la résistance aux antibiotiques. Résumé : Contexte. Chlamydia trachomatis (Ct) et les mycoplasmes urogénitaux posent un problème de santé publique. Leur prévalence au Maroc n'est pas connue avec précision.
Objectif.Contribuer à l'épidémiologie de ces infections dans notre région.
Matériel, les patients et les méthodes.Étude prospective sur trois mois consécutifs de 2013, réalisée au laboratoire de bactériologie de l’hôpital militaire de Meknès sur des patients des deux sexes,ayant subi des prélèvements génitaux pour analyse cytobactériologique. La détection de Ct a été basée sur le test immunochromatographique (TIC) et la culture sur milieu liquideavec identification et étude de sensibilité de Mycoplasma hominis (Mh) et Ureaplasma urealyticum (Uu).
Résultats.96 patients ont été explorés. Leur sex-ratio était 1,6. L'âge médian : 33,5 ans (extrêmes : 12 et 62 ans). La prévalence globale de Ct était 27,08 % tous masculins et la prévalence globale de Uu était de 28,8% chez les hommes et 37,84 % chez les femmes, et respectivement 5,08% vs 16,22% pour Mh. Le taux de co-infectionUu+Mh était de 5,21% en général chez les femmes. La résistance de Uu a été voisine de 10% contre doxycycline et azithromycine vs 0% et 83% pour Mh, et nulle contre lévofloxacine pour les deux.
Discussion et conclusion.Exception faite des résistances de Uu et Mh ;nos résultats sont différents de ceux des pays occidentaux, etsimilaires à des pays comme la Tunisie. La disparité des populations étudiées et les méthodes diagnostiquesen sont une explication. En conclusion, en absence d’équipementd’amplification d'acides nucléiques, le TIC semble une alternative acceptable.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : P0282014 Président : ZOUHDI.M Directeur : LOUZI.L Juge : EL HAOURI.M Juge : TARIB.A Epidémiologie des infections urogénitales bassesà Chlamydia trachomatis et mycoplasmes cultivablesà l’hôpital militaire de Meknès.Étude prospective en 2013. [thèse] / Amine MAKTIT, Auteur . - 2014.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : IST Chlamydia trachomatis Mycoplasma hominis Ureaplasma les infections génito-urinaires la résistance aux antibiotiques. Résumé : Contexte. Chlamydia trachomatis (Ct) et les mycoplasmes urogénitaux posent un problème de santé publique. Leur prévalence au Maroc n'est pas connue avec précision.
Objectif.Contribuer à l'épidémiologie de ces infections dans notre région.
Matériel, les patients et les méthodes.Étude prospective sur trois mois consécutifs de 2013, réalisée au laboratoire de bactériologie de l’hôpital militaire de Meknès sur des patients des deux sexes,ayant subi des prélèvements génitaux pour analyse cytobactériologique. La détection de Ct a été basée sur le test immunochromatographique (TIC) et la culture sur milieu liquideavec identification et étude de sensibilité de Mycoplasma hominis (Mh) et Ureaplasma urealyticum (Uu).
Résultats.96 patients ont été explorés. Leur sex-ratio était 1,6. L'âge médian : 33,5 ans (extrêmes : 12 et 62 ans). La prévalence globale de Ct était 27,08 % tous masculins et la prévalence globale de Uu était de 28,8% chez les hommes et 37,84 % chez les femmes, et respectivement 5,08% vs 16,22% pour Mh. Le taux de co-infectionUu+Mh était de 5,21% en général chez les femmes. La résistance de Uu a été voisine de 10% contre doxycycline et azithromycine vs 0% et 83% pour Mh, et nulle contre lévofloxacine pour les deux.
Discussion et conclusion.Exception faite des résistances de Uu et Mh ;nos résultats sont différents de ceux des pays occidentaux, etsimilaires à des pays comme la Tunisie. La disparité des populations étudiées et les méthodes diagnostiquesen sont une explication. En conclusion, en absence d’équipementd’amplification d'acides nucléiques, le TIC semble une alternative acceptable.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : P0282014 Président : ZOUHDI.M Directeur : LOUZI.L Juge : EL HAOURI.M Juge : TARIB.A Réservation
Réserver ce document
Exemplaires
Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité P0282014-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesPharm2014 Disponible P0282014 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesPharm2014 Disponible IMMUNE EVASION OF MYCOPLASMA / AJI NARJISS
Titre : IMMUNE EVASION OF MYCOPLASMA Type de document : thèse Auteurs : AJI NARJISS, Auteur Année de publication : 2023 Langues : Anglais (eng) Mots-clés : Mycoplasma pneumoniae Ureaplasma urealyticum Mycoplasma hominis Mycoplasma genitalium Immune evasion Mycoplasma Pneumoniae Ureaplasma Urealyticum Mycoplasma Hominis Mycoplasma genitalium immune evasion مفطورة رئویة المی ورة الحا لة للیوریا ال مفطورة البشریة ال مفطورة التناسلیة التھرب
المناعيRésumé : Mycoplasmas are a group of bacteria that can cause a range of human diseases affecting various
body systems, including the respiratory, urogenital, musculoskeletal, central nervous, and
cardiovascular systems. Unlike other prokaryotes, mycoplasmas have a small genome and limited
biosynthetic capabilities. Moreover, they lack a cell wall and instead have a plasma membrane
composed of cholesterol and glycolipids. This characteristic enables them to evade the host's immune
response.
Mycoplasmas have virulence factors that allow them to invade and survive within host cells,
triggering inflammation and clinical manifestations. Once inside the host cell, mycoplasmas can lead
to cell death or dysfunction. This, in turn, elicits an inflammatory response, causing the clinical
manifestations of mycoplasma infections.
The treatment of mycoplasma infections depends on the specific bacterial species involved and
the severity of the infection. Antibiotics are typically used to treat these infections.
However, some mycoplasma species are resistant to traditional antibiotics, necessitating
alternative treatments. Macrolide antibiotics are commonly used as first-line treatments for
most mycoplasma infections, but other antibiotics may be necessary based on the resistance
profile of the bacteria.
Mycoplasmas have several mechanisms that enable them to evade the host immune response,
such as altering the composition of their cell membrane to prevent recognition by host immune cells,
secreting proteins that inhibit immune cell function, and inducing host cells to produce cytokines that
suppress the immune response. Hence, understanding their clinical manifestations, pathophysiology,
and treatment options is crucial for managing and preventing these infections.
In conclusion, mycoplasmas are a unique group of bacteria responsible of various human
diseases. Their ability to evade the host immune response and their resistance to traditional antibiotics
make their treatment challenging. However, by gaining a better understanding of their virulence
factors and mechanisms of immune evasion, we can develop more effective treatments for these
infections.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M3032023 Président : Yassine SEKHSOKH Directeur : Mimoun ZOUHDI Juge : Ahmed GAOUZI Juge : Mariama CHADLI IMMUNE EVASION OF MYCOPLASMA [thèse] / AJI NARJISS, Auteur . - 2023.
Langues : Anglais (eng)
Mots-clés : Mycoplasma pneumoniae Ureaplasma urealyticum Mycoplasma hominis Mycoplasma genitalium Immune evasion Mycoplasma Pneumoniae Ureaplasma Urealyticum Mycoplasma Hominis Mycoplasma genitalium immune evasion مفطورة رئویة المی ورة الحا لة للیوریا ال مفطورة البشریة ال مفطورة التناسلیة التھرب
المناعيRésumé : Mycoplasmas are a group of bacteria that can cause a range of human diseases affecting various
body systems, including the respiratory, urogenital, musculoskeletal, central nervous, and
cardiovascular systems. Unlike other prokaryotes, mycoplasmas have a small genome and limited
biosynthetic capabilities. Moreover, they lack a cell wall and instead have a plasma membrane
composed of cholesterol and glycolipids. This characteristic enables them to evade the host's immune
response.
Mycoplasmas have virulence factors that allow them to invade and survive within host cells,
triggering inflammation and clinical manifestations. Once inside the host cell, mycoplasmas can lead
to cell death or dysfunction. This, in turn, elicits an inflammatory response, causing the clinical
manifestations of mycoplasma infections.
The treatment of mycoplasma infections depends on the specific bacterial species involved and
the severity of the infection. Antibiotics are typically used to treat these infections.
However, some mycoplasma species are resistant to traditional antibiotics, necessitating
alternative treatments. Macrolide antibiotics are commonly used as first-line treatments for
most mycoplasma infections, but other antibiotics may be necessary based on the resistance
profile of the bacteria.
Mycoplasmas have several mechanisms that enable them to evade the host immune response,
such as altering the composition of their cell membrane to prevent recognition by host immune cells,
secreting proteins that inhibit immune cell function, and inducing host cells to produce cytokines that
suppress the immune response. Hence, understanding their clinical manifestations, pathophysiology,
and treatment options is crucial for managing and preventing these infections.
In conclusion, mycoplasmas are a unique group of bacteria responsible of various human
diseases. Their ability to evade the host immune response and their resistance to traditional antibiotics
make their treatment challenging. However, by gaining a better understanding of their virulence
factors and mechanisms of immune evasion, we can develop more effective treatments for these
infections.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M3032023 Président : Yassine SEKHSOKH Directeur : Mimoun ZOUHDI Juge : Ahmed GAOUZI Juge : Mariama CHADLI Réservation
Réserver ce document
Exemplaires
Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M3032023 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2023 Disponible
Titre : MYCOPLASMES : CARACTERISTIQUES ET IMPACT PATHOLOGIQUE Type de document : thèse Auteurs : EL OUAZZANI SARA, Auteur Année de publication : 2014 Langues : Français (fre) Mots-clés : MYCOPLASMA PNEUMONIAE MYCOPLASMA HOMINIS MYCOPLASMA GENITALIUM UREAPLASMA UREALYTICUM TETRACYCLINES FLUOROQUINOLONES MLSK Résumé : Les mycoplasmes sont des bactéries de petite taille, caractérisés par leur extrême pléomorphisme. Chez l’homme, ils colonisent surtout les muqueuses respiratoires et génitales. Ils appartiennent à la classe des mollicutes et les quatre espèces les plus fréquentes et les plus pathogènes sont : Mycoplasma pneumoniae, Mycoplasma hominis, Mycoplasma genitalium et Ureaplasma urealyticum.
Leur pouvoir pathogène résulte de cinq propriétés : leur adhérence aux cellules, la production de peroxyde d’hydrogène, l’interaction avec le système immunitaire, la variabilité antigénique et la formation de biofilms.
Sur le plan clinique, les mycoplasmes respiratoires se manifestent par des infections des voies respiratoires supérieures, des bronchites, des pneumopathies atypiques, des crises d’asthme et des exacerbations de bronchopneumopathie chronique obstructive. Les mycoplasmes uro-génitaux sont responsables chez l’homme d’urétrites non gonococciques, de prostatite et d’épididymites. Chez la femme, ils donnent des vaginoses bactériennes, des cervicites, des infections génitales hautes et des troubles de la reproduction. L’atteinte des autres organes est observée chez les immunodéprimés.
Le diagnostic paraclinique se base essentiellement sur la bactériologie, en effet une approche diagnostique optimale est d’associer la PCR ou la culture à la sérologie. Alors que l’imagerie n’est indiquée que pour mettre en évidence les conséquences.
Ce sont des bactéries sans parois donc résistent naturellement à tous les antibiotiques qui agissent à ce niveau. Les trois classes d’antibiotiques qui sont utilisées en thérapeutique sont : les tétracyclines, les fluoroquinolones et les macrolides. Cependant des résistances acquises évoluent crescendo.
Enfin, il n’existe pas de mesures préventives spécifiques pour les mycoplasmes, différents vaccins ont été testés mais aucun n’est disponible.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M0242014 Président : ZOUHDI.M Directeur : EL HAMZAOUI.S Juge : AMEUR.A MYCOPLASMES : CARACTERISTIQUES ET IMPACT PATHOLOGIQUE [thèse] / EL OUAZZANI SARA, Auteur . - 2014.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : MYCOPLASMA PNEUMONIAE MYCOPLASMA HOMINIS MYCOPLASMA GENITALIUM UREAPLASMA UREALYTICUM TETRACYCLINES FLUOROQUINOLONES MLSK Résumé : Les mycoplasmes sont des bactéries de petite taille, caractérisés par leur extrême pléomorphisme. Chez l’homme, ils colonisent surtout les muqueuses respiratoires et génitales. Ils appartiennent à la classe des mollicutes et les quatre espèces les plus fréquentes et les plus pathogènes sont : Mycoplasma pneumoniae, Mycoplasma hominis, Mycoplasma genitalium et Ureaplasma urealyticum.
Leur pouvoir pathogène résulte de cinq propriétés : leur adhérence aux cellules, la production de peroxyde d’hydrogène, l’interaction avec le système immunitaire, la variabilité antigénique et la formation de biofilms.
Sur le plan clinique, les mycoplasmes respiratoires se manifestent par des infections des voies respiratoires supérieures, des bronchites, des pneumopathies atypiques, des crises d’asthme et des exacerbations de bronchopneumopathie chronique obstructive. Les mycoplasmes uro-génitaux sont responsables chez l’homme d’urétrites non gonococciques, de prostatite et d’épididymites. Chez la femme, ils donnent des vaginoses bactériennes, des cervicites, des infections génitales hautes et des troubles de la reproduction. L’atteinte des autres organes est observée chez les immunodéprimés.
Le diagnostic paraclinique se base essentiellement sur la bactériologie, en effet une approche diagnostique optimale est d’associer la PCR ou la culture à la sérologie. Alors que l’imagerie n’est indiquée que pour mettre en évidence les conséquences.
Ce sont des bactéries sans parois donc résistent naturellement à tous les antibiotiques qui agissent à ce niveau. Les trois classes d’antibiotiques qui sont utilisées en thérapeutique sont : les tétracyclines, les fluoroquinolones et les macrolides. Cependant des résistances acquises évoluent crescendo.
Enfin, il n’existe pas de mesures préventives spécifiques pour les mycoplasmes, différents vaccins ont été testés mais aucun n’est disponible.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M0242014 Président : ZOUHDI.M Directeur : EL HAMZAOUI.S Juge : AMEUR.A Réservation
Réserver ce document
Exemplaires
Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M0242014 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2014 Disponible M0242014-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2014 Disponible Documents numériques
M0242014URL