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Titre : INFECTIONS DES PARTIES MOLLES (IPM) ET LES PRINCIPALES BACTERIES RESPONSABLES Type de document : thèse Auteurs : OUCHERROU Alae, Auteur Année de publication : 2019 Langues : Français (fre) Mots-clés : Erysipèle Fasciite Gangrène Infection Partie molle Résistance bactérienne Résumé : Les infections des tissus mous forment un groupe clinique hétérogène et revêtent des aspects de gravités différentes.
On regroupe sous le nom de «dermohypodermites bactériennes non nécrosantes» les tableaux très proches d'érysipèles et de cellulites infectieuses superficielles, essentiellement dus aux streptocoques et dont le traitement, avant tout médical, repose sur une antibiothérapie par pénicilline G et une prévention des récidives par prise en charge des facteurs favorisants.
À l'opposé, les dermohypodermites bactériennes nécrosantes, regroupant les cellulites nécrosantes, fasciites nécrosantes, myosites et gangrènes gazeuses, présentent des tableaux sévères sur un plan local et général, liés à une extension en surface et en profondeur avec atteinte nécrotique de l'aponévrose superficielle et éventuellement des muscles sous-jacents. Elles représentent des urgences médicochirurgicales pour lesquelles le traitement doit associer la prise en charge d'un état septique grave, la mise en route rapide d'une antibiothérapie et une chirurgie la plus précoce possible, éventuellement associées à une oxygénothérapie hyperbare. Malgré ces mesures, la mortalité de ces formes nécrosantes reste très lourde, autour de 30%, et les séquelles fonctionnelles et esthétiques sont souvent considérables.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M1162019 Président : GAOUZI.A Directeur : EL HAMZAOUI.S Juge : SEKHSOKH.Y Juge : TELLAL.S INFECTIONS DES PARTIES MOLLES (IPM) ET LES PRINCIPALES BACTERIES RESPONSABLES [thèse] / OUCHERROU Alae, Auteur . - 2019.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Erysipèle Fasciite Gangrène Infection Partie molle Résistance bactérienne Résumé : Les infections des tissus mous forment un groupe clinique hétérogène et revêtent des aspects de gravités différentes.
On regroupe sous le nom de «dermohypodermites bactériennes non nécrosantes» les tableaux très proches d'érysipèles et de cellulites infectieuses superficielles, essentiellement dus aux streptocoques et dont le traitement, avant tout médical, repose sur une antibiothérapie par pénicilline G et une prévention des récidives par prise en charge des facteurs favorisants.
À l'opposé, les dermohypodermites bactériennes nécrosantes, regroupant les cellulites nécrosantes, fasciites nécrosantes, myosites et gangrènes gazeuses, présentent des tableaux sévères sur un plan local et général, liés à une extension en surface et en profondeur avec atteinte nécrotique de l'aponévrose superficielle et éventuellement des muscles sous-jacents. Elles représentent des urgences médicochirurgicales pour lesquelles le traitement doit associer la prise en charge d'un état septique grave, la mise en route rapide d'une antibiothérapie et une chirurgie la plus précoce possible, éventuellement associées à une oxygénothérapie hyperbare. Malgré ces mesures, la mortalité de ces formes nécrosantes reste très lourde, autour de 30%, et les séquelles fonctionnelles et esthétiques sont souvent considérables.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M1162019 Président : GAOUZI.A Directeur : EL HAMZAOUI.S Juge : SEKHSOKH.Y Juge : TELLAL.S Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M1162019 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2019 Disponible M1162019-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2019 Disponible Documents numériques
M1162019URL PREVALENCE DES INFECTIONS DES PARTIES MOLLES A L’HOPITAL MILITAIRE D’INSTRUCTION MOHAMMED V DE RABAT / TATA ADAMA
Titre : PREVALENCE DES INFECTIONS DES PARTIES MOLLES A L’HOPITAL MILITAIRE D’INSTRUCTION MOHAMMED V DE RABAT Type de document : thèse Auteurs : TATA ADAMA, Auteur Année de publication : 2009 Langues : Français (fre) Mots-clés : ERYSIPELE FASCIITE GANGRENE INFECTION PARTIE MOLLE RESISTANCE BACTERIENNE Index. décimale : WA SANTE PUBLIQUE - PROFESSION MEDICALE Résumé : Les infections des parties molles (IPM) sont fréquentes en pratique quotidienne. Elles revêtent différentes formes dont certaines sont graves (IGPM). La majorité sont superficielles et de bon pronostic sous traitement médical, les autres plus rares et souvent mortelle se développent dans les plans profonds : fascia, aponévrose ou muscle; elles mettent en jeu le pronostic vital et constituent des urgences médicochirurgicales dont le traitement est basé sur la prise en charge d'un état septique grave combinant une antibiothérapie bactéricide et une chirurgie de propriété réparatrice. L’objectif de notre étude était de déterminer la prévalence des IPM et de sa composante IGPM, d’identifier les bactéries responsables et de déterminer leur profil de sensibilité.
Cette étude rétrospective a été réalisée du 06 Janvier 2007 jusqu’au 03 juillet 2008 au laboratoire de microbiologie de L’Hôpital Militaire d’Instruction Mohammed V (H.M.I.M.V) de Rabat. A été inclus tout patient hospitalisé ou consultant pour les IPM. L’examen direct et la culture ont été nécessaires pour la mise en évidence des germes et la mise en place d’une antibiothérapie efficace.
Durant cette période, 140 prélèvements provenant des patients souffrant d’IPM ont été reçus au laboratoire de microbiologie à l’H.M.I.M.V de Rabat soit une prévalence de 9,3% par rapport à l’ensemble des prélèvements purulents. Parmi lesquels 21 avaient une IGPM soit une prévalence de 15%. L’âge moyen des patients était de 45 18,5 ans, le sex-ratio de 2,25, soit 69,28% d’hommes et 30,72% de femmes. Les personnes âgées étaient les plus touchées. Tous les prélèvements étaient issus du service de dermatologie. Les principales bactéries isolées étaient : Staphylocoque aureus (56 souches soit 32,9%), Staphylocoque à coagulase négatif (18 souches soit 10,6%), Pseudomonas Aeruginosa (14 souches soit 8,2%), Escherichia coli (10 souches soit 5,9%), Proteus mirabilis (9 souches soit 5,3%), Enterobacter cloacae (8 souches soit 4,7%), Enterococcus species (8 souches soit 4,7%), Streptocoque bêta hémolytique du groupe A (6 souches soit 3,5%), Corynébactérie (6 souches soit 3,5%).
L’analyse de la sensibilité des germes aux antibiotiques a montré que nos souches présentaient une forte résistance aux bêtalactamines.
Ces infections surprennent encore de nos jours. La lutte contre ces IPM reste une course contre la montre c’est ce que les médecins de 1915 avaient parfaitement compris.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : P0072009 Président : ZOUHDI MIMOUN Directeur : EL HAMZAOUI SAKINA Juge : BELMEKKI ABDELKADER PREVALENCE DES INFECTIONS DES PARTIES MOLLES A L’HOPITAL MILITAIRE D’INSTRUCTION MOHAMMED V DE RABAT [thèse] / TATA ADAMA, Auteur . - 2009.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : ERYSIPELE FASCIITE GANGRENE INFECTION PARTIE MOLLE RESISTANCE BACTERIENNE Index. décimale : WA SANTE PUBLIQUE - PROFESSION MEDICALE Résumé : Les infections des parties molles (IPM) sont fréquentes en pratique quotidienne. Elles revêtent différentes formes dont certaines sont graves (IGPM). La majorité sont superficielles et de bon pronostic sous traitement médical, les autres plus rares et souvent mortelle se développent dans les plans profonds : fascia, aponévrose ou muscle; elles mettent en jeu le pronostic vital et constituent des urgences médicochirurgicales dont le traitement est basé sur la prise en charge d'un état septique grave combinant une antibiothérapie bactéricide et une chirurgie de propriété réparatrice. L’objectif de notre étude était de déterminer la prévalence des IPM et de sa composante IGPM, d’identifier les bactéries responsables et de déterminer leur profil de sensibilité.
Cette étude rétrospective a été réalisée du 06 Janvier 2007 jusqu’au 03 juillet 2008 au laboratoire de microbiologie de L’Hôpital Militaire d’Instruction Mohammed V (H.M.I.M.V) de Rabat. A été inclus tout patient hospitalisé ou consultant pour les IPM. L’examen direct et la culture ont été nécessaires pour la mise en évidence des germes et la mise en place d’une antibiothérapie efficace.
Durant cette période, 140 prélèvements provenant des patients souffrant d’IPM ont été reçus au laboratoire de microbiologie à l’H.M.I.M.V de Rabat soit une prévalence de 9,3% par rapport à l’ensemble des prélèvements purulents. Parmi lesquels 21 avaient une IGPM soit une prévalence de 15%. L’âge moyen des patients était de 45 18,5 ans, le sex-ratio de 2,25, soit 69,28% d’hommes et 30,72% de femmes. Les personnes âgées étaient les plus touchées. Tous les prélèvements étaient issus du service de dermatologie. Les principales bactéries isolées étaient : Staphylocoque aureus (56 souches soit 32,9%), Staphylocoque à coagulase négatif (18 souches soit 10,6%), Pseudomonas Aeruginosa (14 souches soit 8,2%), Escherichia coli (10 souches soit 5,9%), Proteus mirabilis (9 souches soit 5,3%), Enterobacter cloacae (8 souches soit 4,7%), Enterococcus species (8 souches soit 4,7%), Streptocoque bêta hémolytique du groupe A (6 souches soit 3,5%), Corynébactérie (6 souches soit 3,5%).
L’analyse de la sensibilité des germes aux antibiotiques a montré que nos souches présentaient une forte résistance aux bêtalactamines.
Ces infections surprennent encore de nos jours. La lutte contre ces IPM reste une course contre la montre c’est ce que les médecins de 1915 avaient parfaitement compris.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : P0072009 Président : ZOUHDI MIMOUN Directeur : EL HAMZAOUI SAKINA Juge : BELMEKKI ABDELKADER Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité P0072009 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesPharm2009 Disponible