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Pelade chez l’enfant (etiopathogenie et formes cliniques) à propos de 24 cas / Mohameden bah
Titre : Pelade chez l’enfant (etiopathogenie et formes cliniques) à propos de 24 cas Type de document : thèse Auteurs : Mohameden bah, Auteur Année de publication : 2015 Langues : Français (fre) Mots-clés : Pelade Forme Clinique Etiopathogénie Traitement. Résumé : La pelade est une affection auto-immune de physiopathologie complexe et multifactorielle. Son expression clinique est simple et caractéristique, mais son évolution reste imprévisible. Diverses modalités thérapeutiques sont essayées avec prudence chez l’enfant mais leur efficacité est discutée. Le retentissement psychoaffectif complique d’avantage le profil évolutif et la prise en charge assez complexe de cette pathologie.
Le but de ce travail était de déterminer le profil épidémiologique, etiopathogenique et les formes cliniques, au sein du service de P4 du CHU Raba-Sale entre Janvier 2012 et JUIN 2015.
Cet étude rétrospective a porté sur 24 enfants: 9 garçons et 15 filles soit un sex-ratio de 1,6. L’âge moyen du début était de 9,7 ans (de 04ans à 14 ans). 66,6 % des pelades ont débuté après l’âge de 7 ans.
On a note la presence de 03 cas de perturbations des anticorps anti-thyroperoxydases, 5 cas présentant un diabete une histoire familiale de diabète, de la tyroidite, de psoriasis, et vitiligo est retrouvee.
L’atteinte du cuir chevelu, présente dans 87 % des cas, était associée dans 16,6 % des cas à une atteinte des cils et/ou des sourcils. Les aspects cliniques rencontrés sont la pelade en plaque unique ou multiple dans 50 %, la pelade universelle dans 8,33 %, la pelade décalvante totale dans 16,6% ? la pelade ophiasique dans 8,33%des cas.
Le traitement était basé essentiellement sur la corticothérapie, phytothérapie et aromathérapie.
La corticothérapie en boulus bien tolérée chez l’enfant, pourrait changer le cours évolutif à court terme, reste à savoir comment préserver cette efficacité. La prise en charge psychologique faisant intervenir les dermatologues, les psychologues et l’entourage proche des malades doit figurer au premier plan.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M2472015 Président : BENTAHILA.A Directeur : JABOUIRIK.F Juge : EL HAMZAOUI.S Juge : BERNOUSSI.Z Pelade chez l’enfant (etiopathogenie et formes cliniques) à propos de 24 cas [thèse] / Mohameden bah, Auteur . - 2015.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Pelade Forme Clinique Etiopathogénie Traitement. Résumé : La pelade est une affection auto-immune de physiopathologie complexe et multifactorielle. Son expression clinique est simple et caractéristique, mais son évolution reste imprévisible. Diverses modalités thérapeutiques sont essayées avec prudence chez l’enfant mais leur efficacité est discutée. Le retentissement psychoaffectif complique d’avantage le profil évolutif et la prise en charge assez complexe de cette pathologie.
Le but de ce travail était de déterminer le profil épidémiologique, etiopathogenique et les formes cliniques, au sein du service de P4 du CHU Raba-Sale entre Janvier 2012 et JUIN 2015.
Cet étude rétrospective a porté sur 24 enfants: 9 garçons et 15 filles soit un sex-ratio de 1,6. L’âge moyen du début était de 9,7 ans (de 04ans à 14 ans). 66,6 % des pelades ont débuté après l’âge de 7 ans.
On a note la presence de 03 cas de perturbations des anticorps anti-thyroperoxydases, 5 cas présentant un diabete une histoire familiale de diabète, de la tyroidite, de psoriasis, et vitiligo est retrouvee.
L’atteinte du cuir chevelu, présente dans 87 % des cas, était associée dans 16,6 % des cas à une atteinte des cils et/ou des sourcils. Les aspects cliniques rencontrés sont la pelade en plaque unique ou multiple dans 50 %, la pelade universelle dans 8,33 %, la pelade décalvante totale dans 16,6% ? la pelade ophiasique dans 8,33%des cas.
Le traitement était basé essentiellement sur la corticothérapie, phytothérapie et aromathérapie.
La corticothérapie en boulus bien tolérée chez l’enfant, pourrait changer le cours évolutif à court terme, reste à savoir comment préserver cette efficacité. La prise en charge psychologique faisant intervenir les dermatologues, les psychologues et l’entourage proche des malades doit figurer au premier plan.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M2472015 Président : BENTAHILA.A Directeur : JABOUIRIK.F Juge : EL HAMZAOUI.S Juge : BERNOUSSI.Z Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M2472015 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2015 Disponible M2472015-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2015 Disponible LA PELADE:PROFIL CLINIQUE, EPIDEMIOLOGIQUE ET DERMOSCOPIQUE ET EVALUATION THERAPEUTIQUE (54CAS) / ALAMI Sofia
Titre : LA PELADE:PROFIL CLINIQUE, EPIDEMIOLOGIQUE ET DERMOSCOPIQUE ET EVALUATION THERAPEUTIQUE (54CAS) Type de document : thèse Auteurs : ALAMI Sofia, Auteur Année de publication : 2019 Langues : Français (fre) Mots-clés : pelade maladie auto-immune dermoscopie Résumé : Introduction: La pelade est une maladie auto-immune caractérisée par des plaques d’alopécie non cicatricielles affectant le cuir chevelu ou tout autre poil. Le but du travail est d’étudier le profil clinicoépidémiologique, les caractéristiques dermoscopiques, les facteurs de mauvais pronostics, et la réponse thérapeutique.
Matériel et Méthodes:Etude rétrospective, entre 2015 et 2018, au CHU Avicenne, chez 54 patients.
Résultats:Le sex-ratio H/F était de 0,86. L'âge moyen de début était de 24,4 ans. Des antécédents familiaux de pelade étaient notés chez 14,8% des patients. Une atopie était retrouvée dans 14,8% des cas. Les maladies auto-immunes associées étaient: thyroïdite, vitiligo, psoriasis, diabète, arthrite rhumatoïde et thrombopénie autoimmune. La pelade en plaque(s) était le type le plus répandu. Les aspects dermoscopiques étaient multiples, dominés par les points jaunes et noirs, mais aussi les cheveux cadavérisés, en point d’exclamation et blancs. La pelade était plus sévère chez les femmes. L’étendue était liée à: début précoce, longue évolution, et présence de manifestations unguéales. Le choix thérapeutique dépendait de: âge, étendue et durée de la maladie. Les atteintes inférieures à 40% étaient associées à une bonne réponse thérapeutique dans 53% des cas. Quand cette atteinte dépassait 40%, l’échec thérapeutique était observé chez 73% des patients. Enfin, parmi les pelades associées à une alopécie totale, 90% ne répondaient pas aux thérapeutiques.
Conclusion:La pelade s'est révélée être fréquente, touchant l’adulte jeune, mais pouvant survenir à tout âge. Les deux sexes peuvent être concernés, avec des formes plus sévères chez les femmes. Cette sévérité est également liée à la précocité de survenue, à une longue durée d’évolution ainsi qu’à la présence d’anomalies unguéales. Les traitements sont multiples, caractérisés par leur effet suspensif. L'étendue de l'atteinte conditionne le choix et l’efficacité thérapeutique.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M4182019 Président : HASSAM.B Directeur : MEZIANE.M Juge : SENOUCI.K Juge : BENZEKRI.L Juge : ISMAILI.N LA PELADE:PROFIL CLINIQUE, EPIDEMIOLOGIQUE ET DERMOSCOPIQUE ET EVALUATION THERAPEUTIQUE (54CAS) [thèse] / ALAMI Sofia, Auteur . - 2019.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : pelade maladie auto-immune dermoscopie Résumé : Introduction: La pelade est une maladie auto-immune caractérisée par des plaques d’alopécie non cicatricielles affectant le cuir chevelu ou tout autre poil. Le but du travail est d’étudier le profil clinicoépidémiologique, les caractéristiques dermoscopiques, les facteurs de mauvais pronostics, et la réponse thérapeutique.
Matériel et Méthodes:Etude rétrospective, entre 2015 et 2018, au CHU Avicenne, chez 54 patients.
Résultats:Le sex-ratio H/F était de 0,86. L'âge moyen de début était de 24,4 ans. Des antécédents familiaux de pelade étaient notés chez 14,8% des patients. Une atopie était retrouvée dans 14,8% des cas. Les maladies auto-immunes associées étaient: thyroïdite, vitiligo, psoriasis, diabète, arthrite rhumatoïde et thrombopénie autoimmune. La pelade en plaque(s) était le type le plus répandu. Les aspects dermoscopiques étaient multiples, dominés par les points jaunes et noirs, mais aussi les cheveux cadavérisés, en point d’exclamation et blancs. La pelade était plus sévère chez les femmes. L’étendue était liée à: début précoce, longue évolution, et présence de manifestations unguéales. Le choix thérapeutique dépendait de: âge, étendue et durée de la maladie. Les atteintes inférieures à 40% étaient associées à une bonne réponse thérapeutique dans 53% des cas. Quand cette atteinte dépassait 40%, l’échec thérapeutique était observé chez 73% des patients. Enfin, parmi les pelades associées à une alopécie totale, 90% ne répondaient pas aux thérapeutiques.
Conclusion:La pelade s'est révélée être fréquente, touchant l’adulte jeune, mais pouvant survenir à tout âge. Les deux sexes peuvent être concernés, avec des formes plus sévères chez les femmes. Cette sévérité est également liée à la précocité de survenue, à une longue durée d’évolution ainsi qu’à la présence d’anomalies unguéales. Les traitements sont multiples, caractérisés par leur effet suspensif. L'étendue de l'atteinte conditionne le choix et l’efficacité thérapeutique.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M4182019 Président : HASSAM.B Directeur : MEZIANE.M Juge : SENOUCI.K Juge : BENZEKRI.L Juge : ISMAILI.N Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M4182019 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2019 Disponible M4182019-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2019 Disponible Documents numériques
M4182019URL Pelade: traitement par bolus oral mensuel de prednisone etude prospective de 34 cas / BARRAK REDAE
Titre : Pelade: traitement par bolus oral mensuel de prednisone etude prospective de 34 cas Type de document : thèse Auteurs : BARRAK REDAE, Auteur Année de publication : 2008 Langues : Français (fre) Mots-clés : Pelade Cuir chevelu Bolus oral Prednisone Index. décimale : WA SANTE PUBLIQUE - PROFESSION MEDICALE Résumé : La pelade est une affection auto-immune dont le traitement reste difficile. La corticothérapie a fait preuve de résultats encourageants. Cependant, les effets secondaires occasionnés limitent son indication à long cours. Par ailleurs, les études montrent que l’administration orale pulsée des corticoïdes (prednisone) dans le traitement de la pelade permet d’éviter les signes d’hypercorticisme.
L’objectif de ce travail est d’évaluer l’efficacité et la tolérance du traitement par bolus oral de prednisone chez les patients présentant une pelade, traités au service de dermatologie du CHU de Rabat durant une période allant de juin 2000 à octobre 2005.
L’étude a porté sur 34 cas : 18 hommes et 16 femmes âgés de 6 à 40 ans soit une moyenne d’âge 19 ans. Les patients inclus dans l’étude présentaient une pelade active et une surface atteinte supérieure à 40% du scalp.
Chaque patient a reçu un bolus oral mensuel du prednisone à la dose de 5mg/kg sans dépasser 300mg, cette prise est répétée chaque mois pendant minimum trois mois et au maximum six mois.
Une repousse partielle ou cosmétiquement acceptable est notée chez 28 patients (82%) à partir du troisième mois du début de traitement. Au bout de six mois, 14 patients avaient une repousse complète et 06 avaient une repousse cosmétiquement acceptable (soit 58,8%). Huit patients présentaient une repousse partielle, et 06 patients (17,6%) n’avaient aucune repousse aussi bien à trois mois qu’à six mois.
Les effets indésirables sont notés chez 02 patients. La réponse au bolus oral de prednisone varie en fonction de l’étendue, la forme clinique et la durée d’évolution de la pelade. L’association entre autre à une onychopathie peladique ainsi que la présence d’antécédents familiaux de la pelade, constituerait un facteur de résistance au traitement.
Le rapport bénéfice/risque du bolus oral de prednisone semble en faveur de son indication dans le traitement de la pelade. L’efficacité chez la majorité de nos patients, la bonne tolérance clinique observée et les effets secondaires n’imposant pas l’arrêt de traitement confirme cette orientation.
Par ailleurs notre travail constitue la troisième étude de littérature utilisant le bolus oral de prednisone dans le traitement de la pelade.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M1152008 Président : HASSAM BADREDDINE Directeur : AIT OURHROUI MOHAMED Juge : DAKHAMA BENJELLOUN Juge : GAOUZI AHMED Pelade: traitement par bolus oral mensuel de prednisone etude prospective de 34 cas [thèse] / BARRAK REDAE, Auteur . - 2008.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Pelade Cuir chevelu Bolus oral Prednisone Index. décimale : WA SANTE PUBLIQUE - PROFESSION MEDICALE Résumé : La pelade est une affection auto-immune dont le traitement reste difficile. La corticothérapie a fait preuve de résultats encourageants. Cependant, les effets secondaires occasionnés limitent son indication à long cours. Par ailleurs, les études montrent que l’administration orale pulsée des corticoïdes (prednisone) dans le traitement de la pelade permet d’éviter les signes d’hypercorticisme.
L’objectif de ce travail est d’évaluer l’efficacité et la tolérance du traitement par bolus oral de prednisone chez les patients présentant une pelade, traités au service de dermatologie du CHU de Rabat durant une période allant de juin 2000 à octobre 2005.
L’étude a porté sur 34 cas : 18 hommes et 16 femmes âgés de 6 à 40 ans soit une moyenne d’âge 19 ans. Les patients inclus dans l’étude présentaient une pelade active et une surface atteinte supérieure à 40% du scalp.
Chaque patient a reçu un bolus oral mensuel du prednisone à la dose de 5mg/kg sans dépasser 300mg, cette prise est répétée chaque mois pendant minimum trois mois et au maximum six mois.
Une repousse partielle ou cosmétiquement acceptable est notée chez 28 patients (82%) à partir du troisième mois du début de traitement. Au bout de six mois, 14 patients avaient une repousse complète et 06 avaient une repousse cosmétiquement acceptable (soit 58,8%). Huit patients présentaient une repousse partielle, et 06 patients (17,6%) n’avaient aucune repousse aussi bien à trois mois qu’à six mois.
Les effets indésirables sont notés chez 02 patients. La réponse au bolus oral de prednisone varie en fonction de l’étendue, la forme clinique et la durée d’évolution de la pelade. L’association entre autre à une onychopathie peladique ainsi que la présence d’antécédents familiaux de la pelade, constituerait un facteur de résistance au traitement.
Le rapport bénéfice/risque du bolus oral de prednisone semble en faveur de son indication dans le traitement de la pelade. L’efficacité chez la majorité de nos patients, la bonne tolérance clinique observée et les effets secondaires n’imposant pas l’arrêt de traitement confirme cette orientation.
Par ailleurs notre travail constitue la troisième étude de littérature utilisant le bolus oral de prednisone dans le traitement de la pelade.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M1152008 Président : HASSAM BADREDDINE Directeur : AIT OURHROUI MOHAMED Juge : DAKHAMA BENJELLOUN Juge : GAOUZI AHMED Réservation
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Exemplaires
Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M1152008 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2008 Disponible