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Les traumatismes opératoires de la voie biliaire principale / SERROUKHYoussra
Titre : Les traumatismes opératoires de la voie biliaire principale Type de document : thèse Auteurs : SERROUKHYoussra, Auteur Année de publication : 2017 Langues : Français (fre) Mots-clés : Plaies iatrogènes de la VBP cholécystectomie réparation biliaire Résumé : Les traumatismes opératoires des voies biliaires représentent la complication la plus redoutée, au cours d’une cholécystectomie courante souvent réputée bénigne.
23 cas de traumatismes biliaires ont été colligés à travers une étude rétrospective menée entre 2006 et 2016 dans le service de chirurgie viscérale B du CHU Avicenne de Rabat.
L’âge moyen était de 50 ans. Le sexe ratio F/H était de 3,6 avec une prédominance féminine majeure.
La cholécystite aigue, la pyocholécystite, l’obésité et les variations anatomiques étaient les principaux facteurs de risque retrouvés chez nos malades.
Pour 4 malades, le diagnostic a été posé en per opératoire devant la constatation de bile dans le champ opératoire.
Pour 19 malades, le traumatisme était découvert en postopératoire devant un ictère rétentionnel (12 malades), un biliome (3 malades), cholépéritoine (1 malade), une péritonite biliaire (1 malade) et une fistule biliaire externe (1 malade).
Les investigations para-cliniques déployées ont été soit:échographie abdominale réalisée dans 56,5% des cas, échoendoscopie dans 17,4%, tomodensitométrie dans 21,6%, bili-IRM dans 34,7% et la cholangiographie rétrograde dans 39% des cas. Ces deux derniers ont été les plus contributifs à porter le diagnostic.
Les modalités de réparation variaient d’un simple drainage chirurgical réalisé pour 2 patients, sutures biliaires sur drain de Kehr pour 2 casaux AHJ pour 17 cas.
Un seul cas n’a pas pu être réparé en raison de l’état de cirrhose biliaire compliqué.
L’évolution à long terme était favorable pour 52,4 % des cas avec un recul médian de 13 mois. Une sténose secondaire a été rapportée chez un seul cas.
La prévention et le respect des règles chirurgicales lors des cholécystectomies restent les meilleurs moyens d’éviter ces traumatismes
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M1642017 Président : SETTAF.A Directeur : MSSROURI.R Juge : BENAMR.S Juge : MDAGHRI.J Juge : AL KANDRY.S.E Les traumatismes opératoires de la voie biliaire principale [thèse] / SERROUKHYoussra, Auteur . - 2017.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Plaies iatrogènes de la VBP cholécystectomie réparation biliaire Résumé : Les traumatismes opératoires des voies biliaires représentent la complication la plus redoutée, au cours d’une cholécystectomie courante souvent réputée bénigne.
23 cas de traumatismes biliaires ont été colligés à travers une étude rétrospective menée entre 2006 et 2016 dans le service de chirurgie viscérale B du CHU Avicenne de Rabat.
L’âge moyen était de 50 ans. Le sexe ratio F/H était de 3,6 avec une prédominance féminine majeure.
La cholécystite aigue, la pyocholécystite, l’obésité et les variations anatomiques étaient les principaux facteurs de risque retrouvés chez nos malades.
Pour 4 malades, le diagnostic a été posé en per opératoire devant la constatation de bile dans le champ opératoire.
Pour 19 malades, le traumatisme était découvert en postopératoire devant un ictère rétentionnel (12 malades), un biliome (3 malades), cholépéritoine (1 malade), une péritonite biliaire (1 malade) et une fistule biliaire externe (1 malade).
Les investigations para-cliniques déployées ont été soit:échographie abdominale réalisée dans 56,5% des cas, échoendoscopie dans 17,4%, tomodensitométrie dans 21,6%, bili-IRM dans 34,7% et la cholangiographie rétrograde dans 39% des cas. Ces deux derniers ont été les plus contributifs à porter le diagnostic.
Les modalités de réparation variaient d’un simple drainage chirurgical réalisé pour 2 patients, sutures biliaires sur drain de Kehr pour 2 casaux AHJ pour 17 cas.
Un seul cas n’a pas pu être réparé en raison de l’état de cirrhose biliaire compliqué.
L’évolution à long terme était favorable pour 52,4 % des cas avec un recul médian de 13 mois. Une sténose secondaire a été rapportée chez un seul cas.
La prévention et le respect des règles chirurgicales lors des cholécystectomies restent les meilleurs moyens d’éviter ces traumatismes
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M1642017 Président : SETTAF.A Directeur : MSSROURI.R Juge : BENAMR.S Juge : MDAGHRI.J Juge : AL KANDRY.S.E Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M1642017 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2017 Disponible M1642017-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2017 Disponible LES TRAUMATISMES OPERATOIRES DE LA VOIE BILIAIRE PRINCIPALE / Moustapha TRAORE
Titre : LES TRAUMATISMES OPERATOIRES DE LA VOIE BILIAIRE PRINCIPALE Type de document : thèse Auteurs : Moustapha TRAORE, Auteur Langues : Français (fre) Mots-clés : Plaies iatrogènes de la VBP cholécystectomie réparation biliaire Résumé : Les traumatismes iatrogènes des voies biliaires représentent la complication la plus redoutée lors d’unecholécystectomie courante. 24 cas de traumatismes biliaires ont été colligés à travers cette étude rétrospective menée entre 2009et
2022 dans le service de chirurgie B du CHU Ibn Sina de Rabat. L’âge moyen des patients était de 48 ans. Le sexe ratio F/H était de 11 avec une prédominance fémininemajeure.La cholécystite aigue, l’obésité, les variations anatomiques et les antécédents de chirurgie digestiveétaient les principaux facteurs de risque retrouvés. Le diagnostic a été fait en per-opératoire devant la constatation de bile dans le champ opératoire chez troispatients.En post-opératoire précoce, le diagnostic a été fait devant un ictère rétentionnel (7 cas), une péritonitebiliaire (4 cas), un cholépéritoine (2 cas), et un biliome (1 cas). En post-opératoire tardif, les signes révélateurs étaient un ictère cholestatique plus ou moins compliquédepoussées d’angiocholite (4 cas) et de coliques hépatiques (3 cas). Le bilan morphologique réalisé a compris une échographie abdominale dans 46%des cas, uneécho-endoscopie dans 12,5%, une TDM abdominale dans 20,8% des cas, une cholangio-IRMdans92%, et une CPRE dans 33,34% des cas. Les modalités de réparations biliaires dans notre étude ont varié d’une simple suture bout àbout
pour 4 patients à des anastomoses bilio-digestives pour 18 cas dont : 16 anastomoses hépaticojéjunales et 2 anastomoses cholédoco-jéjunales. Dans un seul cas, la réparation n’a pas pu être faite, en raison d’une insuffisance hépato- cellulaire compliquant une cirrhose biliaire secondaire. L’évolution à long terme était favorable pour 70% des cas, avec un recul médian de 6,26ansavec des extrêmes allant de 1 an à 13 ans. La bonne connaissance de l’anatomie chirurgicale et le respect des bonnes pratiques lors descholécystectomies restent les meilleurs moyens d’éviter ces traumatismesNuméro (Thèse ou Mémoire) : MS2402023 Directeur : A. SETTAF LES TRAUMATISMES OPERATOIRES DE LA VOIE BILIAIRE PRINCIPALE [thèse] / Moustapha TRAORE, Auteur . - [s.d.].
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Plaies iatrogènes de la VBP cholécystectomie réparation biliaire Résumé : Les traumatismes iatrogènes des voies biliaires représentent la complication la plus redoutée lors d’unecholécystectomie courante. 24 cas de traumatismes biliaires ont été colligés à travers cette étude rétrospective menée entre 2009et
2022 dans le service de chirurgie B du CHU Ibn Sina de Rabat. L’âge moyen des patients était de 48 ans. Le sexe ratio F/H était de 11 avec une prédominance fémininemajeure.La cholécystite aigue, l’obésité, les variations anatomiques et les antécédents de chirurgie digestiveétaient les principaux facteurs de risque retrouvés. Le diagnostic a été fait en per-opératoire devant la constatation de bile dans le champ opératoire chez troispatients.En post-opératoire précoce, le diagnostic a été fait devant un ictère rétentionnel (7 cas), une péritonitebiliaire (4 cas), un cholépéritoine (2 cas), et un biliome (1 cas). En post-opératoire tardif, les signes révélateurs étaient un ictère cholestatique plus ou moins compliquédepoussées d’angiocholite (4 cas) et de coliques hépatiques (3 cas). Le bilan morphologique réalisé a compris une échographie abdominale dans 46%des cas, uneécho-endoscopie dans 12,5%, une TDM abdominale dans 20,8% des cas, une cholangio-IRMdans92%, et une CPRE dans 33,34% des cas. Les modalités de réparations biliaires dans notre étude ont varié d’une simple suture bout àbout
pour 4 patients à des anastomoses bilio-digestives pour 18 cas dont : 16 anastomoses hépaticojéjunales et 2 anastomoses cholédoco-jéjunales. Dans un seul cas, la réparation n’a pas pu être faite, en raison d’une insuffisance hépato- cellulaire compliquant une cirrhose biliaire secondaire. L’évolution à long terme était favorable pour 70% des cas, avec un recul médian de 6,26ansavec des extrêmes allant de 1 an à 13 ans. La bonne connaissance de l’anatomie chirurgicale et le respect des bonnes pratiques lors descholécystectomies restent les meilleurs moyens d’éviter ces traumatismesNuméro (Thèse ou Mémoire) : MS2402023 Directeur : A. SETTAF Réservation
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