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Approche clinique et psychopathologique de l’homicide chez un psychotique. / AYOUCHE Othman.
Titre : Approche clinique et psychopathologique de l’homicide chez un psychotique. Type de document : thèse Auteurs : AYOUCHE Othman., Auteur Année de publication : 2016 Langues : Français (fre) Mots-clés : Homicide psychose psychopathologie schizophrénie paranoia. Résumé : L’homicide commis par une personne atteinte de psychose est un événement rare. Cette thèse porte sur les caractéristiques de ces auteurs d’homicide à travers une approche clinique et psychopathologique. Nous avons envisagé en premierde traiter d’une revue de littérature sur le concept de psychose et sa place dans les classifications actuelles, l’homicide et ses classifications, ses modèles théoriques : biologique, psychologique et sociologique, ainsi que la typologie et l’approche psychodynamique de l’homicide chez le psychotique.
Notre étude consiste en une étude descriptive réalisée au service de psychiatrie de l’Hôpital Militaire d’instruction Mohamed V de Rabat, comparant les caractéristiques cliniques et criminologiques d’un patient schizophrène auteur d’homicide à la littérature actuelle sur l’homicide.
Nous avons conclu qu’en comparaison avec les patients ayant commis un homicide dans la littérature, ce patient présente comme particularités l’absence de contact avec les services judiciaires et psychiatriqueset l’absence d’antécédents de violenceou de tentatives de suicide. Sur le plan clinique, le patient avait présenté un syndrome délirant avec syndromes d’influence et dissociatif. Il rejoint les critères de l’homicide psychotique délirant selon la classification de Benezech.
Nous avons entamé ensuite une comparaison avec le tueur paranoïaque.Nous avons conclus que les deux types de tueurs partagent certains points communs : sur le plan criminologique : la relation à la victime (entourage), le mobile (délire) et la scène (agression brutale et brève, au domicile de la victime) ; sur le plan clinique (absence d’antécédents délictuels, délire, angoisse).
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M2182016 Président : BICHRA.M.Z Directeur : MEHSSANI.J Juge : ELOUANNAS.A Juge : BOUREZZA.A Juge : EL KADIRI.M Approche clinique et psychopathologique de l’homicide chez un psychotique. [thèse] / AYOUCHE Othman., Auteur . - 2016.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Homicide psychose psychopathologie schizophrénie paranoia. Résumé : L’homicide commis par une personne atteinte de psychose est un événement rare. Cette thèse porte sur les caractéristiques de ces auteurs d’homicide à travers une approche clinique et psychopathologique. Nous avons envisagé en premierde traiter d’une revue de littérature sur le concept de psychose et sa place dans les classifications actuelles, l’homicide et ses classifications, ses modèles théoriques : biologique, psychologique et sociologique, ainsi que la typologie et l’approche psychodynamique de l’homicide chez le psychotique.
Notre étude consiste en une étude descriptive réalisée au service de psychiatrie de l’Hôpital Militaire d’instruction Mohamed V de Rabat, comparant les caractéristiques cliniques et criminologiques d’un patient schizophrène auteur d’homicide à la littérature actuelle sur l’homicide.
Nous avons conclu qu’en comparaison avec les patients ayant commis un homicide dans la littérature, ce patient présente comme particularités l’absence de contact avec les services judiciaires et psychiatriqueset l’absence d’antécédents de violenceou de tentatives de suicide. Sur le plan clinique, le patient avait présenté un syndrome délirant avec syndromes d’influence et dissociatif. Il rejoint les critères de l’homicide psychotique délirant selon la classification de Benezech.
Nous avons entamé ensuite une comparaison avec le tueur paranoïaque.Nous avons conclus que les deux types de tueurs partagent certains points communs : sur le plan criminologique : la relation à la victime (entourage), le mobile (délire) et la scène (agression brutale et brève, au domicile de la victime) ; sur le plan clinique (absence d’antécédents délictuels, délire, angoisse).
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M2182016 Président : BICHRA.M.Z Directeur : MEHSSANI.J Juge : ELOUANNAS.A Juge : BOUREZZA.A Juge : EL KADIRI.M Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M2182016 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2016 Disponible M2182016-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2016 Disponible APPROCHE DE LA GENETIQUE DE LA SCHIZOPHRENIE ET DES TROUBLES BIPOLAIRES / BAKKALI TARIK
Titre : APPROCHE DE LA GENETIQUE DE LA SCHIZOPHRENIE ET DES TROUBLES BIPOLAIRES Type de document : thèse Auteurs : BAKKALI TARIK, Auteur Année de publication : 2008 Langues : Français (fre) Mots-clés : GENETIQUE BIOLOGIE MOLECULAIRE SCHIZOPHRENIE TROUBLES BIPOLAIRES Index. décimale : WA SANTE PUBLIQUE - PROFESSION MEDICALE Résumé : Le présent travail bibliographique aux revues de la littérature montre que la constatation d’agrégation familiale de certaines pathologies psychiatriques en particulier les troubles bipolaires(TBP) et la schizophrénie(SZ) a donne lieu à des études fort nombreuses concernant la génétique épidémiologique et de biologie moléculaire.
Les stratégies utilisées sont diverses et complémentaires : Etudes des associations entre marqueurs génétiques et maladies, étude des paires de germains atteints, étude de liaison génétique.
Les nouvelles méthodes d’analyse complexes paramétriques et non paramétriques, le génotypage a haut débit, le programme de séquençage du génome humain et la cartographie des polymorphismes à nucléotide unique (SNP) sont maintenant les outils qui aideront à élucider la génétique de maladies complexes telles que la SZ et la BP. Par ailleurs, l’analyse de l’expression des gènes au moyen des micropuces à ADN a fourni l’information sur les interactions entre les gènes et les phénotypes variables.
Plusieurs études ont été faites et leurs résultats étaient contradictoires : certaines ont montré l’existence de liaison génétique alors que les autres sont négatives. Cette contradiction apparente pourrait être due aux difficultés méthodologiques et d’interprétations inhérentes aux maladies à étiologie complexe où interviennent deux composantes génétique et environnementale déterminant un seuil de susceptibilité.
Dans cette thèse, il serait prématuré et hasardeux de donner à l’heure actuelle des résultats qui restent sujets à caution.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M1702008 Président : FAJRI AHMED Directeur : CHOKAIRI OMAR Juge : BICHRA MOHAMED ZAKARIA APPROCHE DE LA GENETIQUE DE LA SCHIZOPHRENIE ET DES TROUBLES BIPOLAIRES [thèse] / BAKKALI TARIK, Auteur . - 2008.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : GENETIQUE BIOLOGIE MOLECULAIRE SCHIZOPHRENIE TROUBLES BIPOLAIRES Index. décimale : WA SANTE PUBLIQUE - PROFESSION MEDICALE Résumé : Le présent travail bibliographique aux revues de la littérature montre que la constatation d’agrégation familiale de certaines pathologies psychiatriques en particulier les troubles bipolaires(TBP) et la schizophrénie(SZ) a donne lieu à des études fort nombreuses concernant la génétique épidémiologique et de biologie moléculaire.
Les stratégies utilisées sont diverses et complémentaires : Etudes des associations entre marqueurs génétiques et maladies, étude des paires de germains atteints, étude de liaison génétique.
Les nouvelles méthodes d’analyse complexes paramétriques et non paramétriques, le génotypage a haut débit, le programme de séquençage du génome humain et la cartographie des polymorphismes à nucléotide unique (SNP) sont maintenant les outils qui aideront à élucider la génétique de maladies complexes telles que la SZ et la BP. Par ailleurs, l’analyse de l’expression des gènes au moyen des micropuces à ADN a fourni l’information sur les interactions entre les gènes et les phénotypes variables.
Plusieurs études ont été faites et leurs résultats étaient contradictoires : certaines ont montré l’existence de liaison génétique alors que les autres sont négatives. Cette contradiction apparente pourrait être due aux difficultés méthodologiques et d’interprétations inhérentes aux maladies à étiologie complexe où interviennent deux composantes génétique et environnementale déterminant un seuil de susceptibilité.
Dans cette thèse, il serait prématuré et hasardeux de donner à l’heure actuelle des résultats qui restent sujets à caution.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M1702008 Président : FAJRI AHMED Directeur : CHOKAIRI OMAR Juge : BICHRA MOHAMED ZAKARIA Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M1702008 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2008 Disponible L’impact de la schizophrénie sur la famille au Maroc. / SABAH Meryem Sara Zineb
Titre : L’impact de la schizophrénie sur la famille au Maroc. Type de document : thèse Auteurs : SABAH Meryem Sara Zineb, Auteur Année de publication : 2016 Langues : Français (fre) Mots-clés : schizophrénie charge famille Résumé : Les études réalisées à propos de la charge des familles des patients schizophrènes dans le monde arabe, et notamment au Maroc, restent très rares. L’évaluation de ce paramètre est une démarche importante pour améliorer les soins au profit des patients atteints de schizophrénie et pour soulager les familles de ce fardeau.
Ce travail vise à évaluer la charge des familles des patients schizophrènes au Maroc et les domaines affectés, et identifier les facteurs sociodémographiques liés à cette charge.
Il s’agit d’une étude prospective réalisée à l’hôpital Arrazi de salé. 150 participants ont été recrutés, tous s’occupant d’un membre de la famille atteint de schizophrénie.Unhétéroquestionnaire est utilisé pour recueillir leurs caractéristiques sociodémographiques et cliniques et leur charge objective. La charge objective a été mesurée en utilisant le FBIS (FamilyBurden Interview Schedule).
Les patients: 80% était des hommes. La moyenne d’âge était de 32,4ans ± 10,1. 70% ont une couverture sanitaire dont (48%) ne bénéficiaient que du RAMED (régime d'assistance médicale). 53% étaient des usagers de substances psycho actives. Les participants: 60% étaient des femmes. La moyenne d’âge était de 51,9 ans ± 12,8. 65% étaient des parents. 50% ne connaissaient pas la maladie de leurs proches. 41% étaient insatisfait de la communication avec le psychiatre. La moyenne de la charge des familles était 22,82 (0-48).Les catégories les plus touchées par la charge étaient : les activités domestiques, les interactions familiales et les finances.
Dans cette étude, la charge des familles de patients atteints de schizophrénie était liée à 5 facteurs sociodémographiques : le sexe féminin de l’aidant familial, le sexe masculin du patient, son jeune âge, son niveau d’éducation, et surtout l'usage de substances psychoactives.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M3022016 Président : BICHRA.M.Z Directeur : KADIRI.M Juge : OUANASS.A Juge : KISRA.H Juge : MEHSSANI.J L’impact de la schizophrénie sur la famille au Maroc. [thèse] / SABAH Meryem Sara Zineb, Auteur . - 2016.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : schizophrénie charge famille Résumé : Les études réalisées à propos de la charge des familles des patients schizophrènes dans le monde arabe, et notamment au Maroc, restent très rares. L’évaluation de ce paramètre est une démarche importante pour améliorer les soins au profit des patients atteints de schizophrénie et pour soulager les familles de ce fardeau.
Ce travail vise à évaluer la charge des familles des patients schizophrènes au Maroc et les domaines affectés, et identifier les facteurs sociodémographiques liés à cette charge.
Il s’agit d’une étude prospective réalisée à l’hôpital Arrazi de salé. 150 participants ont été recrutés, tous s’occupant d’un membre de la famille atteint de schizophrénie.Unhétéroquestionnaire est utilisé pour recueillir leurs caractéristiques sociodémographiques et cliniques et leur charge objective. La charge objective a été mesurée en utilisant le FBIS (FamilyBurden Interview Schedule).
Les patients: 80% était des hommes. La moyenne d’âge était de 32,4ans ± 10,1. 70% ont une couverture sanitaire dont (48%) ne bénéficiaient que du RAMED (régime d'assistance médicale). 53% étaient des usagers de substances psycho actives. Les participants: 60% étaient des femmes. La moyenne d’âge était de 51,9 ans ± 12,8. 65% étaient des parents. 50% ne connaissaient pas la maladie de leurs proches. 41% étaient insatisfait de la communication avec le psychiatre. La moyenne de la charge des familles était 22,82 (0-48).Les catégories les plus touchées par la charge étaient : les activités domestiques, les interactions familiales et les finances.
Dans cette étude, la charge des familles de patients atteints de schizophrénie était liée à 5 facteurs sociodémographiques : le sexe féminin de l’aidant familial, le sexe masculin du patient, son jeune âge, son niveau d’éducation, et surtout l'usage de substances psychoactives.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M3022016 Président : BICHRA.M.Z Directeur : KADIRI.M Juge : OUANASS.A Juge : KISRA.H Juge : MEHSSANI.J Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M3022016 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2016 Disponible M3022016-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2016 Disponible IMPACT DE LA SCHIZOPHRENIE SUR LA RELATION DE COUPLE / Mouna CHTIBI
Titre : IMPACT DE LA SCHIZOPHRENIE SUR LA RELATION DE COUPLE Type de document : thèse Auteurs : Mouna CHTIBI, Auteur Année de publication : 2023 Langues : Français (fre) Mots-clés : Schizophrénie satisfaction conjugale couple mariage MAT Résumé : Introduction : La schizophrénie, un trouble mental généralement manifeste dès le jeune âge,
provoque l'isolement social et le repli vers un monde intérieur. Cela engendre des perturbations
émotionnelles, cognitives et comportementales. Les individus atteints de schizophrénie
affrontent quotidiennement la complexité de gérer leur vie personnelle, sociale et
professionnelle, en particulier lors de rechutes symptomatiques. Les liens familiaux sont
affectés, notamment lorsque la maladie est mal comprise, engendrant des difficultés de
communication. Même en présence de la schizophrénie, l'aspiration à bâtir une relation
amoureuse et à fonder une famille demeure forte. Néanmoins, vivre en couple avec la
schizophrénie représente des défis significatifs.
Matériel et méthodes : il s’agit d’une étude transversale, descriptive et analytique, réalisée à
l’aide d’un questionnaire, qui a inclut 124 participants. L’analyse statistique a été faite par le
logiciel Jamovi version 2.3.21.0 et Microsoft excel 2021.
Résultats : En se basant sur les scores calculés de l’échelle d’ajustement marital, la moitié des
participants ont un score supérieur à la moitié de l’échelle de satisfaction. Notre étude a identifié
plusieurs facteurs qui influencent la satisfaction conjugale des patients atteints de schizophrénie
: les antécédents médicochirurgicaux, la durée d'évolution de la maladie, le type de traitement
médicamenteux et la qualité du suivi en psychiatrie. Les résultats montrent aussi que les
personnes qui développent la schizophrénie après leur mariage semblent avoir de meilleures
perspectives en ce qui concerne leur relation conjugale.
Conclusion : Il est essentiel que nous comprenions l'état de satisfaction conjugale parmi les
personnes atteintes de schizophrénie. Cela nous permettrait d'identifier les facteurs qui
influencent cette satisfaction et de développer des stratégies d'intervention appropriées pour
améliorer le bien-être conjugal au sein de cette population particulière.Numéro (Thèse ou Mémoire) : MS2122023 Directeur : A OUANASS-S. BELBACHIR IMPACT DE LA SCHIZOPHRENIE SUR LA RELATION DE COUPLE [thèse] / Mouna CHTIBI, Auteur . - 2023.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Schizophrénie satisfaction conjugale couple mariage MAT Résumé : Introduction : La schizophrénie, un trouble mental généralement manifeste dès le jeune âge,
provoque l'isolement social et le repli vers un monde intérieur. Cela engendre des perturbations
émotionnelles, cognitives et comportementales. Les individus atteints de schizophrénie
affrontent quotidiennement la complexité de gérer leur vie personnelle, sociale et
professionnelle, en particulier lors de rechutes symptomatiques. Les liens familiaux sont
affectés, notamment lorsque la maladie est mal comprise, engendrant des difficultés de
communication. Même en présence de la schizophrénie, l'aspiration à bâtir une relation
amoureuse et à fonder une famille demeure forte. Néanmoins, vivre en couple avec la
schizophrénie représente des défis significatifs.
Matériel et méthodes : il s’agit d’une étude transversale, descriptive et analytique, réalisée à
l’aide d’un questionnaire, qui a inclut 124 participants. L’analyse statistique a été faite par le
logiciel Jamovi version 2.3.21.0 et Microsoft excel 2021.
Résultats : En se basant sur les scores calculés de l’échelle d’ajustement marital, la moitié des
participants ont un score supérieur à la moitié de l’échelle de satisfaction. Notre étude a identifié
plusieurs facteurs qui influencent la satisfaction conjugale des patients atteints de schizophrénie
: les antécédents médicochirurgicaux, la durée d'évolution de la maladie, le type de traitement
médicamenteux et la qualité du suivi en psychiatrie. Les résultats montrent aussi que les
personnes qui développent la schizophrénie après leur mariage semblent avoir de meilleures
perspectives en ce qui concerne leur relation conjugale.
Conclusion : Il est essentiel que nous comprenions l'état de satisfaction conjugale parmi les
personnes atteintes de schizophrénie. Cela nous permettrait d'identifier les facteurs qui
influencent cette satisfaction et de développer des stratégies d'intervention appropriées pour
améliorer le bien-être conjugal au sein de cette population particulière.Numéro (Thèse ou Mémoire) : MS2122023 Directeur : A OUANASS-S. BELBACHIR Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité MS2122023 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires Mémoires de Spécialités Disponible L’IMPACT DES SYMPTOMES NEGATIFS DE LA SCHIZOPHRENIE SUR L’OBSERVANCE THERAPEUTIQUE / Hajar BERRADA
Titre : L’IMPACT DES SYMPTOMES NEGATIFS DE LA SCHIZOPHRENIE SUR L’OBSERVANCE THERAPEUTIQUE Type de document : thèse Auteurs : Hajar BERRADA, Auteur Année de publication : 2023 Langues : Français (fre) Mots-clés : symptômes négatifs schizophrénie observance thérapeutique influence. Résumé : Introduction : Cette étude se concentre sur la symptomatologie négative de la schizophrénie.
Malgré leur impact significatif sur les patients schizophrènes (près de 50%), les liens entre
l'observance thérapeutique et ces symptômes ont été peu étudiés. Cependant, une mauvaise
observance est liée à un pronostic défavorable sur le plan fonctionnel.
Objectif : L’objectif de ce travail est d’évaluer l’impact des symptômes négatifs de la
schizophrénie sur l'observance thérapeutique.
Méthode : 100 patients souffrant de schizophrénie ou de trouble schizo-affectif ont été inclus
dans l'étude. Ils ont été évalués à l'aide de différentes échelles, notamment la Medication
Adherence Rating Scale (MARS), la Drug Attitude Inventory (DAI-10), et la Self-evaluation
Negative Scale (SNS).
Résultats : Les résultats ont montré une corrélation négative significative avec un effet modéré
entre les échelles MARS et SNS, indiquant qu'une observance thérapeutique moins bonne est
associée à des symptômes négatifs plus sévères.
Conclusion : Cette étude met en évidence le lien entre la sévérité des symptômes négatifs de
la schizophrénie et une observance thérapeutique moins bonne. Pour approfondir cette relation,
il serait pertinent de réaliser des études supplémentaires en augmentant le nombre de
participants et en prenant en compte d'autres facteurs tels que les traitements antipsychotiques
ou les troubles de l'utilisation de substances psychoactives.Numéro (Thèse ou Mémoire) : MS1872023 Directeur : Siham BELBACHIR-Abderrazzak OUANASS L’IMPACT DES SYMPTOMES NEGATIFS DE LA SCHIZOPHRENIE SUR L’OBSERVANCE THERAPEUTIQUE [thèse] / Hajar BERRADA, Auteur . - 2023.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : symptômes négatifs schizophrénie observance thérapeutique influence. Résumé : Introduction : Cette étude se concentre sur la symptomatologie négative de la schizophrénie.
Malgré leur impact significatif sur les patients schizophrènes (près de 50%), les liens entre
l'observance thérapeutique et ces symptômes ont été peu étudiés. Cependant, une mauvaise
observance est liée à un pronostic défavorable sur le plan fonctionnel.
Objectif : L’objectif de ce travail est d’évaluer l’impact des symptômes négatifs de la
schizophrénie sur l'observance thérapeutique.
Méthode : 100 patients souffrant de schizophrénie ou de trouble schizo-affectif ont été inclus
dans l'étude. Ils ont été évalués à l'aide de différentes échelles, notamment la Medication
Adherence Rating Scale (MARS), la Drug Attitude Inventory (DAI-10), et la Self-evaluation
Negative Scale (SNS).
Résultats : Les résultats ont montré une corrélation négative significative avec un effet modéré
entre les échelles MARS et SNS, indiquant qu'une observance thérapeutique moins bonne est
associée à des symptômes négatifs plus sévères.
Conclusion : Cette étude met en évidence le lien entre la sévérité des symptômes négatifs de
la schizophrénie et une observance thérapeutique moins bonne. Pour approfondir cette relation,
il serait pertinent de réaliser des études supplémentaires en augmentant le nombre de
participants et en prenant en compte d'autres facteurs tels que les traitements antipsychotiques
ou les troubles de l'utilisation de substances psychoactives.Numéro (Thèse ou Mémoire) : MS1872023 Directeur : Siham BELBACHIR-Abderrazzak OUANASS Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité MS1872023 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires Mémoires de Spécialités Disponible L’intérêt de la Clozapine dans la prise en charge de la schizophrénie résistante / Nabila MANOURY
Titre : L’intérêt de la Clozapine dans la prise en charge de la schizophrénie résistante Type de document : thèse Auteurs : Nabila MANOURY, Auteur Année de publication : 2014 Langues : Français (fre) Mots-clés : Schizophrénie résistance Clozapine antipsychotiques Résumé : La prise en charge de la schizophrénie a été révolutionnée par l’avènement des neuroleptiques. Cependant, la plupart des auteurs s’accordent sur le fait que la résistance au traitement, dans le cadre de la schizophrénie, reste un sujet d’actualité.
Bien que l’existence d’une résistance aux traitements de la schizophrénie soit bien établie, les critères de définition de cette dernière ont toujours suscité de nombreux débats.
Il y a quelques années, le traitement de la schizophrénie résistante reposait sur des associations d’antipsychotiques classiques, de première génération, combinées à d’autres produits (Lithium, bêta-bloquants, anticonvulsivants, benzodiazépines etc...). L’avènement des antipsychotiques atypiques, de seconde génération, a donné lieu à plusieurs études ayant pour but de comparer l’efficacité de ces derniers, soit entre eux, soit avec des antipsychotiques de première génération.
Depuis son arrivée sur le marché, la Clozapine constitue le traitement de référence contre la schizophrénie résistante. Cependant, seul un tiers des patients connaît une amélioration cliniquement significative.
Ce travail constitue une revue de la littérature qui a pour but de présenter l’actualité thérapeutique dans le traitement de la schizophrénie résistante, ainsi que l’intérêt de l’utilisation de la Clozapine, soit en monothérapie, soit en association avec d’autres moyens thérapeutiques.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M0962014 Président : BICHRA.M.Z Directeur : MEHSSANI.J Juge : KISRA.H Juge : KADIRI.M Juge : OUANASS.A L’intérêt de la Clozapine dans la prise en charge de la schizophrénie résistante [thèse] / Nabila MANOURY, Auteur . - 2014.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Schizophrénie résistance Clozapine antipsychotiques Résumé : La prise en charge de la schizophrénie a été révolutionnée par l’avènement des neuroleptiques. Cependant, la plupart des auteurs s’accordent sur le fait que la résistance au traitement, dans le cadre de la schizophrénie, reste un sujet d’actualité.
Bien que l’existence d’une résistance aux traitements de la schizophrénie soit bien établie, les critères de définition de cette dernière ont toujours suscité de nombreux débats.
Il y a quelques années, le traitement de la schizophrénie résistante reposait sur des associations d’antipsychotiques classiques, de première génération, combinées à d’autres produits (Lithium, bêta-bloquants, anticonvulsivants, benzodiazépines etc...). L’avènement des antipsychotiques atypiques, de seconde génération, a donné lieu à plusieurs études ayant pour but de comparer l’efficacité de ces derniers, soit entre eux, soit avec des antipsychotiques de première génération.
Depuis son arrivée sur le marché, la Clozapine constitue le traitement de référence contre la schizophrénie résistante. Cependant, seul un tiers des patients connaît une amélioration cliniquement significative.
Ce travail constitue une revue de la littérature qui a pour but de présenter l’actualité thérapeutique dans le traitement de la schizophrénie résistante, ainsi que l’intérêt de l’utilisation de la Clozapine, soit en monothérapie, soit en association avec d’autres moyens thérapeutiques.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M0962014 Président : BICHRA.M.Z Directeur : MEHSSANI.J Juge : KISRA.H Juge : KADIRI.M Juge : OUANASS.A Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M0962014 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesPharm2014 Disponible M0962014-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesPharm2014 Disponible Documents numériques
M0962014URL MEDECINE GENERALE ET SCHIZOPHRENIE / BENCHERGUI Ayoub
Titre : MEDECINE GENERALE ET SCHIZOPHRENIE Type de document : thèse Auteurs : BENCHERGUI Ayoub, Auteur Année de publication : 2024 Langues : Français (fre) Mots-clés : Schizophrénie collaboration formation continue médecine générale prise en charge Résumé : Introduction : La schizophrénie est une maladie mentale sévère touchant environ 1% de la
population mondiale. Les médecins généralistes jouent un rôle crucial dans le dépistage précoce
et la gestion à long terme de cette pathologie. Leur collaboration avec les psychiatres et d'autres
professionnels de santé est essentielle pour offrir des soins complets et améliorer la qualité de
vie des patients schizophrènes. Cette thèse explore l'implication des médecins généralistes
marocains dans cette prise en charge.
Matériels et méthodes : L'étude a été réalisée à partir d'un questionnaire adressé à 125
médecins généralistes au Maroc. Ce questionnaire visait à évaluer leurs connaissances sur la
schizophrénie, leurs pratiques de prise en charge, et leur degré de collaboration avec les autres
professionnels de santé. Les questions couvraient divers aspects, tels que la formation
postuniversitaire et les stratégies de gestion des patients schizophrènes.
Résultats : L'enquête a révélé que 60 % des médecins généralistes se disent insatisfaits de leur
niveau de connaissance sur la schizophrénie. Bien que 52 % des répondants aient suivi des
formations sur le sujet, moins de la moitié ont activement participé à ces programmes. La
majorité des médecins interrogés travaillent en milieu urbain, et beaucoup expriment le besoin
d'améliorer leur coopération avec les psychiatres, ainsi que de bénéficier de formations plus
approfondies.
Conclusion : Les médecins généralistes marocains rencontrent des difficultés dans la gestion
des patients schizophrènes, notamment en raison de lacunes dans la formation et d'une
collaboration insuffisante avec les psychiatres. Des mesures doivent être prises pour améliorer
la formation continue des médecins et faciliter une meilleure coordination entre les
professionnels de santé afin d'optimiser la prise en charge des patientsNuméro (Thèse ou Mémoire) : M4142024 Président : MAHJOUBA BOUTARBOUCH Directeur : LABOUDI FOUAD Juge : BNOUHANNA WADII Juge : DOUMIRI MOUHSSINE Juge : KHIBRI HAJAR MEDECINE GENERALE ET SCHIZOPHRENIE [thèse] / BENCHERGUI Ayoub, Auteur . - 2024.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Schizophrénie collaboration formation continue médecine générale prise en charge Résumé : Introduction : La schizophrénie est une maladie mentale sévère touchant environ 1% de la
population mondiale. Les médecins généralistes jouent un rôle crucial dans le dépistage précoce
et la gestion à long terme de cette pathologie. Leur collaboration avec les psychiatres et d'autres
professionnels de santé est essentielle pour offrir des soins complets et améliorer la qualité de
vie des patients schizophrènes. Cette thèse explore l'implication des médecins généralistes
marocains dans cette prise en charge.
Matériels et méthodes : L'étude a été réalisée à partir d'un questionnaire adressé à 125
médecins généralistes au Maroc. Ce questionnaire visait à évaluer leurs connaissances sur la
schizophrénie, leurs pratiques de prise en charge, et leur degré de collaboration avec les autres
professionnels de santé. Les questions couvraient divers aspects, tels que la formation
postuniversitaire et les stratégies de gestion des patients schizophrènes.
Résultats : L'enquête a révélé que 60 % des médecins généralistes se disent insatisfaits de leur
niveau de connaissance sur la schizophrénie. Bien que 52 % des répondants aient suivi des
formations sur le sujet, moins de la moitié ont activement participé à ces programmes. La
majorité des médecins interrogés travaillent en milieu urbain, et beaucoup expriment le besoin
d'améliorer leur coopération avec les psychiatres, ainsi que de bénéficier de formations plus
approfondies.
Conclusion : Les médecins généralistes marocains rencontrent des difficultés dans la gestion
des patients schizophrènes, notamment en raison de lacunes dans la formation et d'une
collaboration insuffisante avec les psychiatres. Des mesures doivent être prises pour améliorer
la formation continue des médecins et faciliter une meilleure coordination entre les
professionnels de santé afin d'optimiser la prise en charge des patientsNuméro (Thèse ou Mémoire) : M4142024 Président : MAHJOUBA BOUTARBOUCH Directeur : LABOUDI FOUAD Juge : BNOUHANNA WADII Juge : DOUMIRI MOUHSSINE Juge : KHIBRI HAJAR Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M4142024 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2024 Disponible
Titre : SCHIZOPHRENIE ET CANNABIS : QUEL LIEN? Type de document : thèse Auteurs : HAZZAF AWATIF, Auteur Année de publication : 2022 Langues : Français (fre) Mots-clés : Schizophrénie Cannabis Psychose Clozapine Schizophrenia Cannabis Psychosis Clozapine انÙصام الشخصية القنب الهندي؛ الذهان كلوزابين Résumé : Notre travail est une étude transversale descriptive et analytique réalisée dans le but de décrire les liens existant entre la consommation du cannabis et la survenue de la schizophrénie d’une part et l’évolution de la schizophrénie d’une autre.
L’échantillon de l’étude comportait 101 patients atteints de schizophrénie hospitalisés au sein de l’hôpital psychiatrique Ar-Razi de salé.
La collecte des données est faite grâce à un hétéro questionnaire comprenant quatre paragraphes : Les données sociodémographiques, Les antécédents, La consommation du cannabis et l’évolution de la schizophrénie.
La moyenne d’âge dans notre échantillon était 33,6 ± 10,3 ans, 70% étaient du sexe masculin. 66% des patients sont consommateurs du cannabis dont 77% ont commencé la consommation avant le début de la schizophrénie. 64% des patients consommateurs du cannabis ont commencé la consommation à un âge inférieur à 18 ans.
Selon notre étude, le tabac, l’alcool et le sexe masculin motiveraient la consommation du cannabis chez le patient atteint de schizophrénie alors que Le mariage protège jusqu’à 88% contre elle.
Une durée d’hospitalisation supérieure à 3 mois et l’utilisation de la Clozapine protègent contre la mauvaise observance thérapeutique et protègent donc contre le développement de résistance vu que la bonne observance et un facteur protecteur contre le développement de la résistance thérapeutique.Numéro (Thèse ou Mémoire) : M2252022 Président : Abderrazzak OUANASS Directeur : Abderrazzak OUANASS Juge : Siham BELBACHIR Juge : Fouad LABOUDI Juge : Maria SABIR ; Mohamed KADIRI SCHIZOPHRENIE ET CANNABIS : QUEL LIEN? [thèse] / HAZZAF AWATIF, Auteur . - 2022.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Schizophrénie Cannabis Psychose Clozapine Schizophrenia Cannabis Psychosis Clozapine انÙصام الشخصية القنب الهندي؛ الذهان كلوزابين Résumé : Notre travail est une étude transversale descriptive et analytique réalisée dans le but de décrire les liens existant entre la consommation du cannabis et la survenue de la schizophrénie d’une part et l’évolution de la schizophrénie d’une autre.
L’échantillon de l’étude comportait 101 patients atteints de schizophrénie hospitalisés au sein de l’hôpital psychiatrique Ar-Razi de salé.
La collecte des données est faite grâce à un hétéro questionnaire comprenant quatre paragraphes : Les données sociodémographiques, Les antécédents, La consommation du cannabis et l’évolution de la schizophrénie.
La moyenne d’âge dans notre échantillon était 33,6 ± 10,3 ans, 70% étaient du sexe masculin. 66% des patients sont consommateurs du cannabis dont 77% ont commencé la consommation avant le début de la schizophrénie. 64% des patients consommateurs du cannabis ont commencé la consommation à un âge inférieur à 18 ans.
Selon notre étude, le tabac, l’alcool et le sexe masculin motiveraient la consommation du cannabis chez le patient atteint de schizophrénie alors que Le mariage protège jusqu’à 88% contre elle.
Une durée d’hospitalisation supérieure à 3 mois et l’utilisation de la Clozapine protègent contre la mauvaise observance thérapeutique et protègent donc contre le développement de résistance vu que la bonne observance et un facteur protecteur contre le développement de la résistance thérapeutique.Numéro (Thèse ou Mémoire) : M2252022 Président : Abderrazzak OUANASS Directeur : Abderrazzak OUANASS Juge : Siham BELBACHIR Juge : Fouad LABOUDI Juge : Maria SABIR ; Mohamed KADIRI Réservation
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M2252022URL la schizophrénie : données biologiques, génétiques et dépistage précoce / Sihame KHNIZROU
Titre : la schizophrénie : données biologiques, génétiques et dépistage précoce Type de document : thèse Auteurs : Sihame KHNIZROU, Auteur Année de publication : 2015 Langues : Français (fre) Mots-clés : Schizophrénie Données biologiques Données génétiques Dépistage précoce. Résumé : La schizophrénie est un trouble psychiatrique de la famille des psychoses, invalidant de pronostic assez sévère et d’évolution très longue.
La recherche de marqueurs biologiques dans la schizophrénie est l’une des voies d’approche vers une meilleure compréhension de son étiologie. Les études orientées au départ vers la mesure de différentes substances dans les compartiments biologiques se sont enrichies des progrès en neuro-imagerie. L’hypothèse initiale d’un simple dysfonctionnement dopaminergique a montré ses limites et laisse la place à des modèles où s’intègrent, en interaction avec le système dopaminergique, d’autres neurotransmetteurs tels la sérotonine, le glutamate, la noradrénaline, l’acide gamma-amino-butyrique et les neuropeptides.
L’hypothèse selon laquelle un facteur héréditaire interviendrait dans le déterminisme
de la schizophrénie existe depuis le début de ce siècle. L’hypothèse actuellement retenue est celle d’un modèle polygénique et multifactoriel. La maladie ne se développerait que lorsque ces interactions gènes-environnement dépassent un certain seuil dit de susceptibilité à la maladie. Certains gènes sont considérés comme des candidats intéressants mais leur rôle dans la physiopathologie de la maladie est encore mal connu. Les études classiques de liaison et d’association ont été complétées par d’autres stratégies, comme la recherche d’endophénotypes ou l’étude de remaniements chromosomiques associés à une prévalence accrue de troubles psychiatriques, afin de tenter d’identifier des régions d’intérêt ou des gènes candidats au sein du génome.
De longue date, cliniciens et chercheurs se sont intéressés au diagnostic et au traitement des épisodes psychotiques caractérisés qui marquent le début de la maladie. De nombreux travaux ont cherché à mieux caractériser ces prodromes de façon à identifier les sujets à risque de développer des symptômes psychotiques caractérisés.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : P0442015 Président : MEHSSANI.J Directeur : TELLAL.S Juge : KISRA.H Juge : NAZIH.M Juge : KADIRI.M-LEMKHENTE.Z la schizophrénie : données biologiques, génétiques et dépistage précoce [thèse] / Sihame KHNIZROU, Auteur . - 2015.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Schizophrénie Données biologiques Données génétiques Dépistage précoce. Résumé : La schizophrénie est un trouble psychiatrique de la famille des psychoses, invalidant de pronostic assez sévère et d’évolution très longue.
La recherche de marqueurs biologiques dans la schizophrénie est l’une des voies d’approche vers une meilleure compréhension de son étiologie. Les études orientées au départ vers la mesure de différentes substances dans les compartiments biologiques se sont enrichies des progrès en neuro-imagerie. L’hypothèse initiale d’un simple dysfonctionnement dopaminergique a montré ses limites et laisse la place à des modèles où s’intègrent, en interaction avec le système dopaminergique, d’autres neurotransmetteurs tels la sérotonine, le glutamate, la noradrénaline, l’acide gamma-amino-butyrique et les neuropeptides.
L’hypothèse selon laquelle un facteur héréditaire interviendrait dans le déterminisme
de la schizophrénie existe depuis le début de ce siècle. L’hypothèse actuellement retenue est celle d’un modèle polygénique et multifactoriel. La maladie ne se développerait que lorsque ces interactions gènes-environnement dépassent un certain seuil dit de susceptibilité à la maladie. Certains gènes sont considérés comme des candidats intéressants mais leur rôle dans la physiopathologie de la maladie est encore mal connu. Les études classiques de liaison et d’association ont été complétées par d’autres stratégies, comme la recherche d’endophénotypes ou l’étude de remaniements chromosomiques associés à une prévalence accrue de troubles psychiatriques, afin de tenter d’identifier des régions d’intérêt ou des gènes candidats au sein du génome.
De longue date, cliniciens et chercheurs se sont intéressés au diagnostic et au traitement des épisodes psychotiques caractérisés qui marquent le début de la maladie. De nombreux travaux ont cherché à mieux caractériser ces prodromes de façon à identifier les sujets à risque de développer des symptômes psychotiques caractérisés.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : P0442015 Président : MEHSSANI.J Directeur : TELLAL.S Juge : KISRA.H Juge : NAZIH.M Juge : KADIRI.M-LEMKHENTE.Z Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité P0442015 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesPharm2015 Disponible P0442015-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesPharm2015 Disponible
Titre : SCHIZOPHRENIE ET EPILEPSIE : LIENS CLINIQUES ET PSYCHOPATHOLOGIQUES Type de document : thèse Auteurs : Siham BENZAHRA, Auteur Année de publication : 2021 Langues : Français (fre) Mots-clés : Schizophrénie Epilepsie Antipsychotiques Antiépileptiques Résumé : Introduction : Compte tenu de l'incidence plus élevée des troubles psychotiques chez
les patients atteints d’épilepsie, plusieurs neurologues et psychiatres ont tenté d’expliquer
cette comorbidité controverse. Ainsi, plusieurs hypothèses ont été émises mais aucun lien
n’a pu être établi avec certitude jusqu'à nos jours.
Objectifs : dresser un profil sociodémographique et psychopathologique des patients
présentant une comorbidité schizophrénie-épilepsie ainsi que d’évaluer le risque suicidaire,
la prise en charge, les motifs d’admission et la durée d’hospitalisation.
Méthodologie : nous avons mené une étude transversale rétrospective sur dossiers
médicaux des patients atteints de schizophrénie et d’épilepsie ayant été hospitalisés à
l’hôpital psychiatrique universitaire Ar-Razi de Salé entre le 01 janvier 2017 et le 31 Mars
2021.
Résultats : Notre étude a comporté 56 patients. L’âge moyen était de 33 ans, 55 % de
sexe masculin. 50 % avaient déjà fait une tentative de suicide et 25 % avaient des
antécédents d’épisode dépressif, 41,1 % avaient des conduites addictives et 26,8 % avaient
des antécédents familiaux de psychose. 85,7 % ont développés la schizophrénie sur
épilepsie préexistante, le délai d’apparition de la schizophrénie par rapport à l’épilepsie
était de 11,08 ans avec un âge moyen d’apparition de 23,3 ans, 8,9 % avaient une
schizophrénie résistante mis sous clozapine. L’âge moyen de début de l’épilepsie est de
14,73 ans. La durée moyenne de séjour est de 42 jours. Les motifs d’admission étaient les
suivant : hétéro-agressivité 78,6 %, verbalisation de propos délirants 85,7 % et tentative de
suicide 23,2 %. La majeure partie de nos patients a été traitée par antipsychotiques
atypiques.
Conclusion : La cooccurrence épilepsie schizophrénie suggère l’existence d’éventuels
facteurs étiopathogéniques communs. La gestion de cette comorbidité impose une
collaboration pluridisciplinaire entre neurologue et psychiatre, afin d’affirmer le diagnostic
et proposer un algorithme de prise en charge tenant compte des deux pathologies.Numéro (Thèse ou Mémoire) : MS1112021 Directeur : Abderrazzak OUANASS- Hind NAFIAA SCHIZOPHRENIE ET EPILEPSIE : LIENS CLINIQUES ET PSYCHOPATHOLOGIQUES [thèse] / Siham BENZAHRA, Auteur . - 2021.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Schizophrénie Epilepsie Antipsychotiques Antiépileptiques Résumé : Introduction : Compte tenu de l'incidence plus élevée des troubles psychotiques chez
les patients atteints d’épilepsie, plusieurs neurologues et psychiatres ont tenté d’expliquer
cette comorbidité controverse. Ainsi, plusieurs hypothèses ont été émises mais aucun lien
n’a pu être établi avec certitude jusqu'à nos jours.
Objectifs : dresser un profil sociodémographique et psychopathologique des patients
présentant une comorbidité schizophrénie-épilepsie ainsi que d’évaluer le risque suicidaire,
la prise en charge, les motifs d’admission et la durée d’hospitalisation.
Méthodologie : nous avons mené une étude transversale rétrospective sur dossiers
médicaux des patients atteints de schizophrénie et d’épilepsie ayant été hospitalisés à
l’hôpital psychiatrique universitaire Ar-Razi de Salé entre le 01 janvier 2017 et le 31 Mars
2021.
Résultats : Notre étude a comporté 56 patients. L’âge moyen était de 33 ans, 55 % de
sexe masculin. 50 % avaient déjà fait une tentative de suicide et 25 % avaient des
antécédents d’épisode dépressif, 41,1 % avaient des conduites addictives et 26,8 % avaient
des antécédents familiaux de psychose. 85,7 % ont développés la schizophrénie sur
épilepsie préexistante, le délai d’apparition de la schizophrénie par rapport à l’épilepsie
était de 11,08 ans avec un âge moyen d’apparition de 23,3 ans, 8,9 % avaient une
schizophrénie résistante mis sous clozapine. L’âge moyen de début de l’épilepsie est de
14,73 ans. La durée moyenne de séjour est de 42 jours. Les motifs d’admission étaient les
suivant : hétéro-agressivité 78,6 %, verbalisation de propos délirants 85,7 % et tentative de
suicide 23,2 %. La majeure partie de nos patients a été traitée par antipsychotiques
atypiques.
Conclusion : La cooccurrence épilepsie schizophrénie suggère l’existence d’éventuels
facteurs étiopathogéniques communs. La gestion de cette comorbidité impose une
collaboration pluridisciplinaire entre neurologue et psychiatre, afin d’affirmer le diagnostic
et proposer un algorithme de prise en charge tenant compte des deux pathologies.Numéro (Thèse ou Mémoire) : MS1112021 Directeur : Abderrazzak OUANASS- Hind NAFIAA Réservation
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MS1112021URL
Titre : SCHIZOPHRENIE ET SYMPTOMES OBSESSIONNELS COMPULSIFS Type de document : thèse Auteurs : Zahra AZEROUAL, Auteur Année de publication : 2020 Langues : Français (fre) Mots-clés : Schizophrénie symptômes obsessionnels compulsifs Antipsychotiques Résumé : Depuis une centaine d’années, on admet la coexistence des
symptômes obsessionnels compulsifs (SOC) et schizophrénie. Les
études ont montré l’impact négatif de cette comorbidité, les patients ont
une réduction voire une perte d’autonomie avec un début généralement
précoce de la maladie. L’implication supposée de certains
antipsychotiques dans l'apparition ou l'exacerbation du SOC a été très
soulevée dans la littérature.
A travers ce sujet de mémoire, on a étudié les caractéristiques
sociodémographiques, cliniques et l’impact des SOC sur l’évolution et
le pronostic de la maladie. Notre étude a consisté à la comparaison de 2
groupes de patients atteints de : schizophrénie avec SOC et
schizophrénie sans SOC.
Notre travail consiste en une étude transversale réalisée auprès des
patients hospitalisés ou suivis à l’hôpital psychiatrique universitaire Arrazi de Salé, étalée sur une durée de 6 mois. Le recueil des informations
a été réalisé selon un hétéroquestionnaire.
L’évaluation des symptômes obsessionnels compulsifs a été
réalisée à l’aide de l’échelle de Y-BOCS.
La présence des SOC a été significativement associé avec : les
antécédents personnels des troubles dépressifs et les conduites
addictives, les antécédents familiaux de psychose ou de SOC ou TOC
ainsi qu’avec un taux plus faible d’amélioration des symptômes
psychotiques, et mise sous traitement antipsychotique fait de
l’Olanzapine ou de la Risperidone.
La comorbidité schizophrénie et SOC est un problème clinique qui
se présente relativement fréquemment, posant la question du pronostic et
de prise en charge thérapeutique.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : MS0512020 Directeur : OUANASS.A SCHIZOPHRENIE ET SYMPTOMES OBSESSIONNELS COMPULSIFS [thèse] / Zahra AZEROUAL, Auteur . - 2020.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Schizophrénie symptômes obsessionnels compulsifs Antipsychotiques Résumé : Depuis une centaine d’années, on admet la coexistence des
symptômes obsessionnels compulsifs (SOC) et schizophrénie. Les
études ont montré l’impact négatif de cette comorbidité, les patients ont
une réduction voire une perte d’autonomie avec un début généralement
précoce de la maladie. L’implication supposée de certains
antipsychotiques dans l'apparition ou l'exacerbation du SOC a été très
soulevée dans la littérature.
A travers ce sujet de mémoire, on a étudié les caractéristiques
sociodémographiques, cliniques et l’impact des SOC sur l’évolution et
le pronostic de la maladie. Notre étude a consisté à la comparaison de 2
groupes de patients atteints de : schizophrénie avec SOC et
schizophrénie sans SOC.
Notre travail consiste en une étude transversale réalisée auprès des
patients hospitalisés ou suivis à l’hôpital psychiatrique universitaire Arrazi de Salé, étalée sur une durée de 6 mois. Le recueil des informations
a été réalisé selon un hétéroquestionnaire.
L’évaluation des symptômes obsessionnels compulsifs a été
réalisée à l’aide de l’échelle de Y-BOCS.
La présence des SOC a été significativement associé avec : les
antécédents personnels des troubles dépressifs et les conduites
addictives, les antécédents familiaux de psychose ou de SOC ou TOC
ainsi qu’avec un taux plus faible d’amélioration des symptômes
psychotiques, et mise sous traitement antipsychotique fait de
l’Olanzapine ou de la Risperidone.
La comorbidité schizophrénie et SOC est un problème clinique qui
se présente relativement fréquemment, posant la question du pronostic et
de prise en charge thérapeutique.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : MS0512020 Directeur : OUANASS.A Réservation
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MS0512020URL STIGMATISATION DES PERSONNES ATTEINTES DE TROUBLES MENTAUX / MOUNA BENAISSA
Titre : STIGMATISATION DES PERSONNES ATTEINTES DE TROUBLES MENTAUX : ETUDE AUPRES DE 100 PATIENTS A L'HOPITAL AR-RAZI DE SALE Type de document : thèse Auteurs : MOUNA BENAISSA, Auteur Année de publication : 2009 Langues : Français (fre) Mots-clés : STIGMATISATION TROUBLES MENTAUX SCHIZOPHRENIE TROUBLE BIPOLAIRE DEPRESSION. Index. décimale : WA SANTE PUBLIQUE - PROFESSION MEDICALE Résumé : La notion de stigmatisation de la maladie mentale, résulte d’un lourd passé d’enfermement et d’assimilation à la folie et aux superstitions. Aujourd’hui, le manque d’informations, les préjugés sur la dangerosité et l’incurabilité, sont renforcés par l’image négative véhiculée par les médias.Ces éléments altèrent la qualité de vie des malades et entravent la demande de soin. Ils les empêchent de se socialiser, d’obtenir un logement ou de trouver un emploi ; entraînant une dégradation des relations familiales et une mauvaise réputation des services de psychiatrie.
Le but de notre travail est de préciser le vécu de la stigmatisation et son impact sur la vie familiale et socioprofessionnelle des malades mentaux. Il s’agit d’une analyse descriptive, sous forme d’un sondage d’opinions, contenant des questions avec propositions de réponses et des questions libres.
Nous avons choisi comme échantillon 100 patients et patientes stabilisés, suivis en ambulatoire. L’étude a porté sur les trois pathologies suivantes : le trouble dépressif, le trouble bipolaire, et la schizophrénie. Le nombre de patients dans chaque groupe, a été fixé au préalable; et nous avons essayé d’obtenir une répartition assez équitable entre les deux sexes. Le questionnaire comporte trois grands axes : (1) Données sociodémographiques du patient et renseignements sur la maladie. (2) Evaluation du vécu de la stigmatisation au sein de la famille, avec les amis, au travail, dans la rue et au niveau des services de santé. (3) Appréciation du ressenti des patients face aux attitudes négatives
Les résultats de notre échantillon ont été comme suit :
Pour les deux sexes les extrêmes d’âge sont de 18 à 60 ans avec une moyenne de 33, 2. Pour l’ensemble de la population, la majorité des patients sont célibataires avec un pourcentage de 75%, 45% des patients avaient un travail avant la maladie, avec une nette prédominance masculine.
Concernant les réactions de la famille face à la déclaration de la maladie, dans la majorité des cas on retrouve des réactions de peur et de honte. Un grand pourcentage de malades sont critiqués et rendus responsables de leurs troubles, beaucoup sont ignorés et ne participent pas aux activités de la famille. Peu de familles connaissent le nom de la maladie, beaucoup parlent de maladie des nerfs et de prise de toxiques, parfois d’ensorcellement et autres superstitions
Dans la majorité des cas, les amis ne sont pas mis au courant de la maladie, pour le reste, les malades ont souvent subit un rejet. La plupart des patients n’ont pas pu avoir, ou garder une relation stable avec le sexe opposé, après la maladie. La majorité des familles refuse l’idée du mariage; Les raisons données sont l’incapacité, l’irresponsabilité et l’inconscience.
81% des malades ne travaillent plus depuis la déclaration des troubles. Pour le reste, ils se sont vus changer de poste ou ont subi un déclassement ; dans ce cas ils sont supervisés et surveillés, certains sont mis à l’écart par leurs collègues.
Dans les hôpitaux généraux, certains patients rapportent que leurs demandes de soins sont souvent ignorées, et qu’ils ne sont pas traités comme les autres malades. En service spécialisé, quelques uns rapportent des conditions d'hospitalisation difficiles.
La majorité attribue les réactions négatives de l’entourage à l’ignorance, aux préjugés, et aux superstitions. Quand ils sont critiqués ou insultés, beaucoup ignorent et laissent faire. La majorité des patients ressentent la perte d'amis et de vie privée comme la conséquence la plus dure de la maladie, la plupart réclament compréhension, écoute et tolérance.
Les données de notre série concernant les différents secteurs, concordent avec les résultats des enquêtes menées par l’association mondiale de psychiatrie, dans le cadre de son programme mondial de lutte contre la stigmatisation et la discrimination de la schizophrénie ; ainsi que d’autres études menée notamment en Grèce (Le Programme «Psychargos»), en Grande-Bretagne (La campagne «Changing Minds» du Royal College of Psychiatrists) et en Australie (Australian National Mental Health Promotion and Prevention Plan, et SANE Australia).
Il ressort que la lutte contre l’exclusion et la stigmatisation, doit faire l’objet d’une information de la population, afin de définir les troubles psychiques et d’éloigner les notions d’incurabilité et de dangerosité. Ces représentations pourront évoluer avec l’évolution des acteurs de santé eux-mêmes en soutenant un système ouvert et communautaire du soin.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M1402009 Président : AHMED FAJRI Directeur : HASSAN KISRA Juge : MOHAMED ZAKARIA BICHRA STIGMATISATION DES PERSONNES ATTEINTES DE TROUBLES MENTAUX [thèse] : ETUDE AUPRES DE 100 PATIENTS A L'HOPITAL AR-RAZI DE SALE / MOUNA BENAISSA, Auteur . - 2009.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : STIGMATISATION TROUBLES MENTAUX SCHIZOPHRENIE TROUBLE BIPOLAIRE DEPRESSION. Index. décimale : WA SANTE PUBLIQUE - PROFESSION MEDICALE Résumé : La notion de stigmatisation de la maladie mentale, résulte d’un lourd passé d’enfermement et d’assimilation à la folie et aux superstitions. Aujourd’hui, le manque d’informations, les préjugés sur la dangerosité et l’incurabilité, sont renforcés par l’image négative véhiculée par les médias.Ces éléments altèrent la qualité de vie des malades et entravent la demande de soin. Ils les empêchent de se socialiser, d’obtenir un logement ou de trouver un emploi ; entraînant une dégradation des relations familiales et une mauvaise réputation des services de psychiatrie.
Le but de notre travail est de préciser le vécu de la stigmatisation et son impact sur la vie familiale et socioprofessionnelle des malades mentaux. Il s’agit d’une analyse descriptive, sous forme d’un sondage d’opinions, contenant des questions avec propositions de réponses et des questions libres.
Nous avons choisi comme échantillon 100 patients et patientes stabilisés, suivis en ambulatoire. L’étude a porté sur les trois pathologies suivantes : le trouble dépressif, le trouble bipolaire, et la schizophrénie. Le nombre de patients dans chaque groupe, a été fixé au préalable; et nous avons essayé d’obtenir une répartition assez équitable entre les deux sexes. Le questionnaire comporte trois grands axes : (1) Données sociodémographiques du patient et renseignements sur la maladie. (2) Evaluation du vécu de la stigmatisation au sein de la famille, avec les amis, au travail, dans la rue et au niveau des services de santé. (3) Appréciation du ressenti des patients face aux attitudes négatives
Les résultats de notre échantillon ont été comme suit :
Pour les deux sexes les extrêmes d’âge sont de 18 à 60 ans avec une moyenne de 33, 2. Pour l’ensemble de la population, la majorité des patients sont célibataires avec un pourcentage de 75%, 45% des patients avaient un travail avant la maladie, avec une nette prédominance masculine.
Concernant les réactions de la famille face à la déclaration de la maladie, dans la majorité des cas on retrouve des réactions de peur et de honte. Un grand pourcentage de malades sont critiqués et rendus responsables de leurs troubles, beaucoup sont ignorés et ne participent pas aux activités de la famille. Peu de familles connaissent le nom de la maladie, beaucoup parlent de maladie des nerfs et de prise de toxiques, parfois d’ensorcellement et autres superstitions
Dans la majorité des cas, les amis ne sont pas mis au courant de la maladie, pour le reste, les malades ont souvent subit un rejet. La plupart des patients n’ont pas pu avoir, ou garder une relation stable avec le sexe opposé, après la maladie. La majorité des familles refuse l’idée du mariage; Les raisons données sont l’incapacité, l’irresponsabilité et l’inconscience.
81% des malades ne travaillent plus depuis la déclaration des troubles. Pour le reste, ils se sont vus changer de poste ou ont subi un déclassement ; dans ce cas ils sont supervisés et surveillés, certains sont mis à l’écart par leurs collègues.
Dans les hôpitaux généraux, certains patients rapportent que leurs demandes de soins sont souvent ignorées, et qu’ils ne sont pas traités comme les autres malades. En service spécialisé, quelques uns rapportent des conditions d'hospitalisation difficiles.
La majorité attribue les réactions négatives de l’entourage à l’ignorance, aux préjugés, et aux superstitions. Quand ils sont critiqués ou insultés, beaucoup ignorent et laissent faire. La majorité des patients ressentent la perte d'amis et de vie privée comme la conséquence la plus dure de la maladie, la plupart réclament compréhension, écoute et tolérance.
Les données de notre série concernant les différents secteurs, concordent avec les résultats des enquêtes menées par l’association mondiale de psychiatrie, dans le cadre de son programme mondial de lutte contre la stigmatisation et la discrimination de la schizophrénie ; ainsi que d’autres études menée notamment en Grèce (Le Programme «Psychargos»), en Grande-Bretagne (La campagne «Changing Minds» du Royal College of Psychiatrists) et en Australie (Australian National Mental Health Promotion and Prevention Plan, et SANE Australia).
Il ressort que la lutte contre l’exclusion et la stigmatisation, doit faire l’objet d’une information de la population, afin de définir les troubles psychiques et d’éloigner les notions d’incurabilité et de dangerosité. Ces représentations pourront évoluer avec l’évolution des acteurs de santé eux-mêmes en soutenant un système ouvert et communautaire du soin.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M1402009 Président : AHMED FAJRI Directeur : HASSAN KISRA Juge : MOHAMED ZAKARIA BICHRA Réservation
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Exemplaires
Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M1402009 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2009 Disponible TROUBLES PSYCHOTIQUES ET USAGE DU CANNABIS : A PROPOS DE 36 CAS / TANGI RADIA
Titre : TROUBLES PSYCHOTIQUES ET USAGE DU CANNABIS : A PROPOS DE 36 CAS Type de document : thèse Auteurs : TANGI RADIA, Auteur Année de publication : 2008 Langues : Français (fre) Mots-clés : TROUBLES PSYCHOTIQUES CANNABIS SCHIZOPHRENIE TROUBLES PSYCHOTIQUES INDUITS PREVENTION Index. décimale : WA SANTE PUBLIQUE - PROFESSION MEDICALE Résumé : Le lien entre les troubles psychotique et le cannabis constitue un sujet de débat important. La revue de littérature montre que certains auteurs sont pour l’existence d’un lien direct entre l’usage du cannabis et la psychose, en se basant sur des arguments neurobiologiques et l’analyse des cohortes. D’autres auteurs réfutent l’existence de ce lien.
Dans tous les cas, le cannabis constitue un facteur de risque et de gravité dans l’évolution des affections psychotiques. Chez les schizophrènes, le cannabis aggrave les symptômes psychotiques, et surtout les symptômes productifs, et il est à l’origine de rechutes et d’hospitalisations fréquentes.
Dans ce cadre, nous avons effectué une étude rétrospective sur l’année 2006, d’une série de 36 patients psychotiques usagers de cannabis, au sein du service de psychiatrie de l’HMIMV.
Cette étude a permis de ressortir deux résultats principaux :
· Le pourcentage important (62%) de patients psychotiques usagers de cannabis par rapport à l’ensemble des patients psychotiques.
· L’existence de patients présentant un trouble psychotique induit conforme aux critères diagnostiques du DSM IV-TR (mini série de 4 cas)
La comparaison entre les patients de notre série et un groupe témoin de patients psychotiques abstinents a bien montré que l’usage du cannabis est un facteur aggravant de la symptomatologie et de l’évolution de la psychose.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M0832008 Président : FAJRI AHMED Directeur : BICHRA MOHAMED ZAKARIYA Juge : OUANASS ABDERRAZAK TROUBLES PSYCHOTIQUES ET USAGE DU CANNABIS : A PROPOS DE 36 CAS [thèse] / TANGI RADIA, Auteur . - 2008.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : TROUBLES PSYCHOTIQUES CANNABIS SCHIZOPHRENIE TROUBLES PSYCHOTIQUES INDUITS PREVENTION Index. décimale : WA SANTE PUBLIQUE - PROFESSION MEDICALE Résumé : Le lien entre les troubles psychotique et le cannabis constitue un sujet de débat important. La revue de littérature montre que certains auteurs sont pour l’existence d’un lien direct entre l’usage du cannabis et la psychose, en se basant sur des arguments neurobiologiques et l’analyse des cohortes. D’autres auteurs réfutent l’existence de ce lien.
Dans tous les cas, le cannabis constitue un facteur de risque et de gravité dans l’évolution des affections psychotiques. Chez les schizophrènes, le cannabis aggrave les symptômes psychotiques, et surtout les symptômes productifs, et il est à l’origine de rechutes et d’hospitalisations fréquentes.
Dans ce cadre, nous avons effectué une étude rétrospective sur l’année 2006, d’une série de 36 patients psychotiques usagers de cannabis, au sein du service de psychiatrie de l’HMIMV.
Cette étude a permis de ressortir deux résultats principaux :
· Le pourcentage important (62%) de patients psychotiques usagers de cannabis par rapport à l’ensemble des patients psychotiques.
· L’existence de patients présentant un trouble psychotique induit conforme aux critères diagnostiques du DSM IV-TR (mini série de 4 cas)
La comparaison entre les patients de notre série et un groupe témoin de patients psychotiques abstinents a bien montré que l’usage du cannabis est un facteur aggravant de la symptomatologie et de l’évolution de la psychose.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M0832008 Président : FAJRI AHMED Directeur : BICHRA MOHAMED ZAKARIYA Juge : OUANASS ABDERRAZAK Réservation
Réserver ce document
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M0832008 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2008 Disponible