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CANCER DE LA PROSTATE : DIAGNOSTIC ET DEMARCHE THERAPEUTIQUE RAPPORTEUR : MR MIMOUN ZOUHDI / Moutaki Sanaa
Titre : CANCER DE LA PROSTATE : DIAGNOSTIC ET DEMARCHE THERAPEUTIQUE RAPPORTEUR : MR MIMOUN ZOUHDI Type de document : thèse Auteurs : Moutaki Sanaa, Auteur Année de publication : 2009 Langues : Français (fre) Mots-clés : : PROSTATE CANCER DIAGNOSTIC PRECOCE TRAITEMENT SURVEILLANCE THERAPEUTIQUE Index. décimale : WA SANTE PUBLIQUE - PROFESSION MEDICALE Résumé : Le cancer de la prostate représente une pathologie fréquente dont l’incidence et la mortalité augmentent avec l’âge, surtout les sujets de plus de 50ans. Elle nécessite de ce fait un dépistage systématique annuel. L’histoire naturelle du cancer de la prostate évolue sur dix à quinze ans. L’utilisation du taux de l’antigène spécifique de la prostate (PSA), en pratique clinique quotidienne, a entraîné une augmentation de la détection du nombre des formes localisées et localement avancées, alors que le nombre des formes métastatiques diminue et touche surtout le patient âgé. C’est un cancer qui est parfois d’évolution très lente, dont la période de latence, dépourvue de symptômes, peut s’étendre sur une dizaine d’années.
Le but de notre travail est d’évaluer l’intérêt du dosage sanguin de PSA dans le diagnostic précoce et la surveillance thérapeutique c'est-à-dire que le dosage de PSA présente un intérêt pronostique reconnu avant comme après la thérapeutique du cancer de la prostate, et aussi d’évaluer l’intérêt de la démarche thérapeutique.
Le taux de PSA permet le diagnostic précoce d’une pathologie prostatique. La valeur physiologique normale du PSA doit être inférieure à 4ng/ml qui est détectable avant le traitement et indétectable après le traitement mais reste un élément essentielle dans le cas de surveillance post-thérapeutique pour éviter le risque d’évolution de cancer de la prostate à un stade avancé ou métastatique.
La démarche thérapeutique chez les personnes de plus de 50 ans commence obligatoirement par un traitement à visée préventive par des mesures diététiques (vitamine E…) et par le dépistage à l’aide du taux de PSA et du toucher rectal. En cas d’un stade localisé, on passe à un traitement à visée curative de première intention utilisant la chirurgie seul ou associée à la radiothérapie, mais cette démarche est contre indiquée chez les personnes âges en raison de la survenue de cas d’échec. Le traitement de deuxième intention est la radiothérapie.
La démarche suivie en cas d’un cancer à un stade avancé englobe l’hormonothérapie en première intention. Le recours à la chimiothérapie est envisagé en cas d’échec. Cette dernière reste le traitement de choix.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : P0802009 Président : MOHAMED ADNAOUI Directeur : MIMOUN ZOUHDI Juge : AHMED AMEUR CANCER DE LA PROSTATE : DIAGNOSTIC ET DEMARCHE THERAPEUTIQUE RAPPORTEUR : MR MIMOUN ZOUHDI [thèse] / Moutaki Sanaa, Auteur . - 2009.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : : PROSTATE CANCER DIAGNOSTIC PRECOCE TRAITEMENT SURVEILLANCE THERAPEUTIQUE Index. décimale : WA SANTE PUBLIQUE - PROFESSION MEDICALE Résumé : Le cancer de la prostate représente une pathologie fréquente dont l’incidence et la mortalité augmentent avec l’âge, surtout les sujets de plus de 50ans. Elle nécessite de ce fait un dépistage systématique annuel. L’histoire naturelle du cancer de la prostate évolue sur dix à quinze ans. L’utilisation du taux de l’antigène spécifique de la prostate (PSA), en pratique clinique quotidienne, a entraîné une augmentation de la détection du nombre des formes localisées et localement avancées, alors que le nombre des formes métastatiques diminue et touche surtout le patient âgé. C’est un cancer qui est parfois d’évolution très lente, dont la période de latence, dépourvue de symptômes, peut s’étendre sur une dizaine d’années.
Le but de notre travail est d’évaluer l’intérêt du dosage sanguin de PSA dans le diagnostic précoce et la surveillance thérapeutique c'est-à-dire que le dosage de PSA présente un intérêt pronostique reconnu avant comme après la thérapeutique du cancer de la prostate, et aussi d’évaluer l’intérêt de la démarche thérapeutique.
Le taux de PSA permet le diagnostic précoce d’une pathologie prostatique. La valeur physiologique normale du PSA doit être inférieure à 4ng/ml qui est détectable avant le traitement et indétectable après le traitement mais reste un élément essentielle dans le cas de surveillance post-thérapeutique pour éviter le risque d’évolution de cancer de la prostate à un stade avancé ou métastatique.
La démarche thérapeutique chez les personnes de plus de 50 ans commence obligatoirement par un traitement à visée préventive par des mesures diététiques (vitamine E…) et par le dépistage à l’aide du taux de PSA et du toucher rectal. En cas d’un stade localisé, on passe à un traitement à visée curative de première intention utilisant la chirurgie seul ou associée à la radiothérapie, mais cette démarche est contre indiquée chez les personnes âges en raison de la survenue de cas d’échec. Le traitement de deuxième intention est la radiothérapie.
La démarche suivie en cas d’un cancer à un stade avancé englobe l’hormonothérapie en première intention. Le recours à la chimiothérapie est envisagé en cas d’échec. Cette dernière reste le traitement de choix.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : P0802009 Président : MOHAMED ADNAOUI Directeur : MIMOUN ZOUHDI Juge : AHMED AMEUR Réservation
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Exemplaires
Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité P0802009 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesPharm2009 Disponible RÈGLES DE PRESCRIPTION DES ANTICOAGULANTS / FARAH BELLAMINE
Titre : RÈGLES DE PRESCRIPTION DES ANTICOAGULANTS Type de document : thèse Auteurs : FARAH BELLAMINE, Auteur Année de publication : 2013 Langues : Français (fre) Mots-clés : ANTIVITAMINE K HÉPARINE IATROGÉNIE INR SURVEILLANCE THÉRAPEUTIQUE Résumé : L’arsenal thérapeutique dont nous disposons aujourd’hui pour prévenir ou traiter les thromboses repose sur deux classes d’anticoagulants : les héparines qui ont une action quasi immédiate, mais ne sont disponibles que sous forme injectable, et les antivitamines K qui ont une action retardée et sont administrables per os, puis il y a l'arrivée d'inhibiteurs directs de la thrombine (hirudine) qui constitue vraisemblablement une alternative de choix dans plusieurs situations (TIH. . .)
Malgré leur apparente facilité d’utilisation, les AVK demeurent difficile à manier. Pour chaque patient, la dose nécessaire d’AVK varie selon les résultats de l’INR et doit être ajustée en conséquence. l’INR «cible» est la valeur d’INR à atteindre pour obtenir un traitement équilibré : la zone thérapeutique se situe pour la plupart des indications entre 2 et 3 (pour certaines entre 3 et 4,5), elle doit être réalisé au minimum une fois par mois, la réévaluation régulière du bénéfice/risque est indispensable tout au long du traitement par AVK. La prescription et la délivrance d’un traitement par AVK doivent être accompagnées d’éléments d’éducation thérapeutique et d'un carnet d’information et de suivi qui doit être remis au patient.
Les héparines de bas poids moléculaire ont supplanté l'héparine non fractionnée dans le traitement de la maladie veineuse thromboembolique en raison d'une meilleure sécurité, un confort d'utilisation, tout en ayant une efficacité équivalente. Chacune de ces molécules ayant une pharmacocinétique particulière, leur surveillance biologique est différente. L’héparine non fractionnée nécessite une surveillance rapprochée par la mesure du temps de céphaline activée tandis que les héparines de bas poids moléculaire (HBPM) ne nécessitent pas de surveillance biologique sauf dans quelques cas particuliers.
La survenue d’un saignement reste la complication la plus redoutée des Anticoagulants, d'où l'importance d'une bonne prescription, le médecin doit s’impliquer d'avantage dans la prise en charge et l’éducation du patient.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M1712013 Président : ABOUQAL.R Directeur : CHERRAH.Y Juge : LMIMOUNI.B.E RÈGLES DE PRESCRIPTION DES ANTICOAGULANTS [thèse] / FARAH BELLAMINE, Auteur . - 2013.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : ANTIVITAMINE K HÉPARINE IATROGÉNIE INR SURVEILLANCE THÉRAPEUTIQUE Résumé : L’arsenal thérapeutique dont nous disposons aujourd’hui pour prévenir ou traiter les thromboses repose sur deux classes d’anticoagulants : les héparines qui ont une action quasi immédiate, mais ne sont disponibles que sous forme injectable, et les antivitamines K qui ont une action retardée et sont administrables per os, puis il y a l'arrivée d'inhibiteurs directs de la thrombine (hirudine) qui constitue vraisemblablement une alternative de choix dans plusieurs situations (TIH. . .)
Malgré leur apparente facilité d’utilisation, les AVK demeurent difficile à manier. Pour chaque patient, la dose nécessaire d’AVK varie selon les résultats de l’INR et doit être ajustée en conséquence. l’INR «cible» est la valeur d’INR à atteindre pour obtenir un traitement équilibré : la zone thérapeutique se situe pour la plupart des indications entre 2 et 3 (pour certaines entre 3 et 4,5), elle doit être réalisé au minimum une fois par mois, la réévaluation régulière du bénéfice/risque est indispensable tout au long du traitement par AVK. La prescription et la délivrance d’un traitement par AVK doivent être accompagnées d’éléments d’éducation thérapeutique et d'un carnet d’information et de suivi qui doit être remis au patient.
Les héparines de bas poids moléculaire ont supplanté l'héparine non fractionnée dans le traitement de la maladie veineuse thromboembolique en raison d'une meilleure sécurité, un confort d'utilisation, tout en ayant une efficacité équivalente. Chacune de ces molécules ayant une pharmacocinétique particulière, leur surveillance biologique est différente. L’héparine non fractionnée nécessite une surveillance rapprochée par la mesure du temps de céphaline activée tandis que les héparines de bas poids moléculaire (HBPM) ne nécessitent pas de surveillance biologique sauf dans quelques cas particuliers.
La survenue d’un saignement reste la complication la plus redoutée des Anticoagulants, d'où l'importance d'une bonne prescription, le médecin doit s’impliquer d'avantage dans la prise en charge et l’éducation du patient.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M1712013 Président : ABOUQAL.R Directeur : CHERRAH.Y Juge : LMIMOUNI.B.E Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M1712013 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2013 Disponible M1712013-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2013 Disponible