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2 résultat(s) recherche sur le mot-clé 'Tumeurs ovariennes'
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Titre : Les tumeurs malignes de l’ovaire chez la jeune fille Type de document : thèse Auteurs : BENZAHRA Siham, Auteur Année de publication : 2014 Langues : Français (fre) Mots-clés : Tumeurs ovariennes Jeune fille Diagnostic Chirurgie conservatrice. Résumé : Matériel et méthodes : Dans ce travail rétrospectif, nous avons revu 10 cas de tumeurs malignes de l’ovaire colligés au sein du service de chirurgie infantile du CHU de Rabat, entre Janvier 2000 et Mai 2013.
Résultats : 10 filles de 5 mois à 14 ans ont été incluses dans notre étude. La douleur abdominale et l’augmentation du volume abdominale étaient les signes d’appels les plus fréquents, le diagnostic était basée sur l’échographie et le dosage des marqueurs tumoraux. Toutes les tumeurs étaient des TGM. La chirurgie constitue la plaque tournante de l’arsenal thérapeutique ; 8 patientes ont bénéficié d’une annexectomie et 2 patientes d’ovariectomie unilatérale. La chimiothérapie a été indiquée chez 6 patientes, dont quatre l’avaient reçu avant la chirurgie. Aucune de nos patientes n’a bénéficié de radiothérapie.
Discussion : La rareté des tumeurs malignes de l’ovaire chez la jeune fille est admise. Leur fréquence augmente avec l’âge. Ils sont habituellement révélés par une douleur abdominale et/ou augmentation du volume abdominal. L’examen clinique trouve souvent une masse abdominale. L’échographie est indiquée en première intention complétée par TDM ou IRM. Le dosage des marqueurs tumoraux est indispensable pour le diagnostic et le suivi. Le traitement des tumeurs malignes se base sur la chirurgie et la chimiothérapie, rarement sur la radiothérapie. L’ovariectomie ± salpingectomie est nécessaire dans la majorité des cas, mais permet une fertilité normale ultérieure. Le pronostic varie selon le stade et le type histologique de la tumeur.
Conclusion : Grâce à la chirurgie et la chimiothérapie à base de cisplatinum le pronostic de ces tumeurs est meilleur.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M1732014 Président : KHATTAB.M Directeur : KISRA.M Juge : RHRAB.B Juge : LAMALMI.N Les tumeurs malignes de l’ovaire chez la jeune fille [thèse] / BENZAHRA Siham, Auteur . - 2014.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Tumeurs ovariennes Jeune fille Diagnostic Chirurgie conservatrice. Résumé : Matériel et méthodes : Dans ce travail rétrospectif, nous avons revu 10 cas de tumeurs malignes de l’ovaire colligés au sein du service de chirurgie infantile du CHU de Rabat, entre Janvier 2000 et Mai 2013.
Résultats : 10 filles de 5 mois à 14 ans ont été incluses dans notre étude. La douleur abdominale et l’augmentation du volume abdominale étaient les signes d’appels les plus fréquents, le diagnostic était basée sur l’échographie et le dosage des marqueurs tumoraux. Toutes les tumeurs étaient des TGM. La chirurgie constitue la plaque tournante de l’arsenal thérapeutique ; 8 patientes ont bénéficié d’une annexectomie et 2 patientes d’ovariectomie unilatérale. La chimiothérapie a été indiquée chez 6 patientes, dont quatre l’avaient reçu avant la chirurgie. Aucune de nos patientes n’a bénéficié de radiothérapie.
Discussion : La rareté des tumeurs malignes de l’ovaire chez la jeune fille est admise. Leur fréquence augmente avec l’âge. Ils sont habituellement révélés par une douleur abdominale et/ou augmentation du volume abdominal. L’examen clinique trouve souvent une masse abdominale. L’échographie est indiquée en première intention complétée par TDM ou IRM. Le dosage des marqueurs tumoraux est indispensable pour le diagnostic et le suivi. Le traitement des tumeurs malignes se base sur la chirurgie et la chimiothérapie, rarement sur la radiothérapie. L’ovariectomie ± salpingectomie est nécessaire dans la majorité des cas, mais permet une fertilité normale ultérieure. Le pronostic varie selon le stade et le type histologique de la tumeur.
Conclusion : Grâce à la chirurgie et la chimiothérapie à base de cisplatinum le pronostic de ces tumeurs est meilleur.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M1732014 Président : KHATTAB.M Directeur : KISRA.M Juge : RHRAB.B Juge : LAMALMI.N Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M1732014 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2014 Disponible M1732014-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2014 Disponible Documents numériques
M1732014URL LES TUMEURS DE L’OVAIRE CHEZ L’ENFANT / ZEROUAL HANANE
Titre : LES TUMEURS DE L’OVAIRE CHEZ L’ENFANT Type de document : thèse Auteurs : ZEROUAL HANANE, Auteur Année de publication : 2010 Langues : Français (fre) Mots-clés : TUMEURS OVARIENNES ENFANT DIAGNOSTIC CHIRURGIE CONSERVATRICE COELIOSCOPIE Index. décimale : WA SANTE PUBLIQUE - PROFESSION MEDICALE Résumé : Introduction : Les tumeurs ovariennes de l’enfant sont rares.
Objectif, Matériels et méthodes : Ce travail permet une revue de la littérature et une étude critique de 18 cas colligés au sein du service de chirurgie infantile du CHU de Rabat, entre 2000 et 2008.
Résultats : Durant la période de notre étude, 18 cas de tumeurs ovariennes ont été inclus. L’âge de nos patients est compris entre 2 et 15 ans avec une moyenne de 11 ans et deux mois. La douleur abdominale et/ou l’augmentation du volume de l’abdomen étaient les signes cliniques révélateurs les plus fréquents. La stratégie diagnostique était le plus souvent basée sur l’échographie et le dosage des marqueurs tumoraux. Au plan histologique, il s’agissait de tumeurs bénignes dans 50% des cas (tératome mature : 77%; cystadénome mucineux : 22%), de lésions pseudotumorales dans 11% des cas (kyste hémorragique : 5,5% ; œdème massif de l’ovaire : 5, 5%), et de tumeurs malignes dans 39% des cas (tumeurs germinales malignes : 100%). Les masses bénignes ont été traitées par chirurgie seule. Le traitement des tumeurs malignes a été basé sur la chirurgie et la chimiothérapie. Deux patientes avaient présenté une récidive. On n’avait noté aucun cas de résistance, ni de décès.
Discussion : La rareté des tumeurs ovariennes chez l’enfant est admise par tous les auteurs. Leur fréquence augmente avec l’âge. Elles sont habituellement révélées par une douleur abdominale et/ou augmentation du volume de l’abdomen, rarement par des signes endocriniens. L’examen clinique trouve souvent une masse abdominale. L’échographie est le moyen diagnostique le plus utile. L’IRM et la TDM sont réalisées en seconde intention. A côté de l’imagerie, le dosage des marqueurs tumoraux et le bilan hormonal sont indispensables. Les tumeurs bénignes prédominent. Les tumeurs des cellules germinales représentent le groupe histologique le plus fréquent. Le traitement conservateur est de règle chez l’enfant. La kystectomie laparoscopique est sûre et efficace dans la gestion des masses bénignes. Le traitement des tumeurs malignes se base sur la chirurgie et la chimiothérapie à base de cisplatine, rarement sur la radiothérapie. Le pronostic varie selon le stade et le type histologique de la tumeur.
Conclusion : Grâce à un diagnostic précoce et à un traitement adapté, le pronostic des tumeurs de l’ovaire chez l’enfant est excellent mais nécessite une surveillance prolongée
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M0412010 Président : MOHAMED NAJIB BENHMAMOUCH Directeur : MONIR KISRA Juge : ANASS CHENGUITI ANSARI Juge : MOHAMED ELABASI LES TUMEURS DE L’OVAIRE CHEZ L’ENFANT [thèse] / ZEROUAL HANANE, Auteur . - 2010.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : TUMEURS OVARIENNES ENFANT DIAGNOSTIC CHIRURGIE CONSERVATRICE COELIOSCOPIE Index. décimale : WA SANTE PUBLIQUE - PROFESSION MEDICALE Résumé : Introduction : Les tumeurs ovariennes de l’enfant sont rares.
Objectif, Matériels et méthodes : Ce travail permet une revue de la littérature et une étude critique de 18 cas colligés au sein du service de chirurgie infantile du CHU de Rabat, entre 2000 et 2008.
Résultats : Durant la période de notre étude, 18 cas de tumeurs ovariennes ont été inclus. L’âge de nos patients est compris entre 2 et 15 ans avec une moyenne de 11 ans et deux mois. La douleur abdominale et/ou l’augmentation du volume de l’abdomen étaient les signes cliniques révélateurs les plus fréquents. La stratégie diagnostique était le plus souvent basée sur l’échographie et le dosage des marqueurs tumoraux. Au plan histologique, il s’agissait de tumeurs bénignes dans 50% des cas (tératome mature : 77%; cystadénome mucineux : 22%), de lésions pseudotumorales dans 11% des cas (kyste hémorragique : 5,5% ; œdème massif de l’ovaire : 5, 5%), et de tumeurs malignes dans 39% des cas (tumeurs germinales malignes : 100%). Les masses bénignes ont été traitées par chirurgie seule. Le traitement des tumeurs malignes a été basé sur la chirurgie et la chimiothérapie. Deux patientes avaient présenté une récidive. On n’avait noté aucun cas de résistance, ni de décès.
Discussion : La rareté des tumeurs ovariennes chez l’enfant est admise par tous les auteurs. Leur fréquence augmente avec l’âge. Elles sont habituellement révélées par une douleur abdominale et/ou augmentation du volume de l’abdomen, rarement par des signes endocriniens. L’examen clinique trouve souvent une masse abdominale. L’échographie est le moyen diagnostique le plus utile. L’IRM et la TDM sont réalisées en seconde intention. A côté de l’imagerie, le dosage des marqueurs tumoraux et le bilan hormonal sont indispensables. Les tumeurs bénignes prédominent. Les tumeurs des cellules germinales représentent le groupe histologique le plus fréquent. Le traitement conservateur est de règle chez l’enfant. La kystectomie laparoscopique est sûre et efficace dans la gestion des masses bénignes. Le traitement des tumeurs malignes se base sur la chirurgie et la chimiothérapie à base de cisplatine, rarement sur la radiothérapie. Le pronostic varie selon le stade et le type histologique de la tumeur.
Conclusion : Grâce à un diagnostic précoce et à un traitement adapté, le pronostic des tumeurs de l’ovaire chez l’enfant est excellent mais nécessite une surveillance prolongée
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M0412010 Président : MOHAMED NAJIB BENHMAMOUCH Directeur : MONIR KISRA Juge : ANASS CHENGUITI ANSARI Juge : MOHAMED ELABASI Réservation
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