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Hépatite virale B : actualités diagnostiques et thérapeutiques. / TAZI Sophia.
Titre : Hépatite virale B : actualités diagnostiques et thérapeutiques. Type de document : thèse Auteurs : TAZI Sophia., Auteur Année de publication : 2016 Langues : Français (fre) Mots-clés : VHB AgHBs interféron alpha analogues nucléos(t)idiques VHD. Résumé : L’hépatite virale B est causée par un virus enveloppé à ADN, classé en 8 génotypes de A à H, dont la transmission se fait par voies parentérale, sexuelle, horizontale et verticale, et dont le réservoir est strictement humain. L’hépatite virale B se répartit en zones de forte, moyenne et faible endémicités. Le Maroc est un pays de faible endémie avec une prévalence de l’AgHBs estimée à 1,66% en 2012.
Une hépatite fulminante peut compliquer environ 1% des hépatites aiguës B symptomatiques, mais le problème principal de l’hépatite B est celui de l’infection chronique définie par la persistance de l’AgHBs 6 mois après l’hépatite aiguë et pouvant évoluer vers la cirrhose et le carcinome hépatocellulaire. Par ailleurs, une co-infection ou surinfection par le VHD peut également compliquer l’hépatite B.
Le diagnostic repose principalement sur des marqueurs virologiques et sérologiques. La ponction biopsie du foie renseigne sur l’activité et la fibrose hépatiques qui sont classées selon le score de METAVIR. Des marqueurs non invasifs de la fibrose peuvent également être utiles dans certaines situations. Le génotypage, quant à lui, n’est pas de pratique courante.
Le traitement repose, d’une part, sur l’interféron pégylé alpha dont l’effet antiviral est modéré et la tolérance médiocre, et d’autre part, sur les analogues nucléos(t)idiques qui posent un problème de résistance et de durée de traitement prolongée. Actuellement, de nouvelles molécules sont en cours d’études et semblent prometteuses pour améliorer la prise en charge thérapeutique.
Par ailleurs, la vaccination représente le moyen le plus efficace pour lutter contre l’hépatite B. L’immunothérapie passive après exposition et le dépistage sont également des mesures préventives efficaces.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M2912016 Président : EL HAMZAOUI.S Directeur : EL HAMZAOUI.S Juge : SEKHSOKH.Y-GAOUZI.A Juge : TELLAL.S Juge : LAATIRIS.A Hépatite virale B : actualités diagnostiques et thérapeutiques. [thèse] / TAZI Sophia., Auteur . - 2016.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : VHB AgHBs interféron alpha analogues nucléos(t)idiques VHD. Résumé : L’hépatite virale B est causée par un virus enveloppé à ADN, classé en 8 génotypes de A à H, dont la transmission se fait par voies parentérale, sexuelle, horizontale et verticale, et dont le réservoir est strictement humain. L’hépatite virale B se répartit en zones de forte, moyenne et faible endémicités. Le Maroc est un pays de faible endémie avec une prévalence de l’AgHBs estimée à 1,66% en 2012.
Une hépatite fulminante peut compliquer environ 1% des hépatites aiguës B symptomatiques, mais le problème principal de l’hépatite B est celui de l’infection chronique définie par la persistance de l’AgHBs 6 mois après l’hépatite aiguë et pouvant évoluer vers la cirrhose et le carcinome hépatocellulaire. Par ailleurs, une co-infection ou surinfection par le VHD peut également compliquer l’hépatite B.
Le diagnostic repose principalement sur des marqueurs virologiques et sérologiques. La ponction biopsie du foie renseigne sur l’activité et la fibrose hépatiques qui sont classées selon le score de METAVIR. Des marqueurs non invasifs de la fibrose peuvent également être utiles dans certaines situations. Le génotypage, quant à lui, n’est pas de pratique courante.
Le traitement repose, d’une part, sur l’interféron pégylé alpha dont l’effet antiviral est modéré et la tolérance médiocre, et d’autre part, sur les analogues nucléos(t)idiques qui posent un problème de résistance et de durée de traitement prolongée. Actuellement, de nouvelles molécules sont en cours d’études et semblent prometteuses pour améliorer la prise en charge thérapeutique.
Par ailleurs, la vaccination représente le moyen le plus efficace pour lutter contre l’hépatite B. L’immunothérapie passive après exposition et le dépistage sont également des mesures préventives efficaces.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M2912016 Président : EL HAMZAOUI.S Directeur : EL HAMZAOUI.S Juge : SEKHSOKH.Y-GAOUZI.A Juge : TELLAL.S Juge : LAATIRIS.A Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M2912016 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2016 Disponible M2912016-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2016 Disponible TRAITEMENT DE L’HEPATITE VIRALE B / HADDOUCH MOUNA
Titre : TRAITEMENT DE L’HEPATITE VIRALE B Type de document : thèse Auteurs : HADDOUCH MOUNA, Auteur Année de publication : 2012 Langues : Français (fre) Mots-clés : ANALOGUES NUCLEOS(T)IDIQUES HEPATITE VIRALE B INTERFERON ALPHA REPONSE VIROLOGIQUE Résumé : La prise en charge et le traitement de l’hépatite virale B chronique ont considérablement évolué au cours des dix dernières années. Notre travail consiste en une étude rétrospective, dont le but est d’évaluer les résultats thérapeutiques obtenus en fonction des différents traitements en corrélation avec les données sérologiques, virologiques et génotypiques afin d’en déduire les principaux facteurs prédictifs de la réponse virologique prolongée.
Ont été colligé 77 patients suivis en consultation d’hépatologie au service de Médecine « C » à l’hôpital Ibn Sina de Rabat durant une période de 9 ans, l’âge moyen des patients étaient de 41 ans avec une nette prédominance masculine. Soixante dix huit pourcent des patients étaient asymptomatiques, le mode probable de transmission était difficile a apprécier, 36% des patients ont été opérés. Le profil mutant pré C était prédominant. L’étude de génotype chez certains malades avait objectivé une fréquence de génotype D, 15% des malades étaient cirrhotiques Quatre vingt cinq pour cent des patients avaient une charge virale comprise entre 2000Ui/l et 10000000 Ui/ml. Sur le plan thérapeutique, le taux de réponse virologique à l’interféron pégylé était de 32% à S72 avec une efficacité supérieure que celle de l’interféron standard. La réponse virologique à la lamivudine notamment la négativation de l’ADN était de 48% à S48,l’entécavir était plus efficace avec un taux de réponse virologique à 88% à 1 an avec un maintien de la réponse virologique pendant 3 ans. Concernant les autres analogues la telbivudine et l’adéfovir ont été utilisé chez un nombre limité de malades.
En conclusion, l’avènement des analogues nucléot(s)idiques de 2ème génération entécavir à permis un grand progrès en matière de traitement de l’HVB.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M1152012 Président : ABDELLAH ESSAID EL FEYDI Directeur : RAJAA AFIFI Juge : IMAN BENELBARHDADI Juge : AHMED ALAOUI ESSAID TRAITEMENT DE L’HEPATITE VIRALE B [thèse] / HADDOUCH MOUNA, Auteur . - 2012.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : ANALOGUES NUCLEOS(T)IDIQUES HEPATITE VIRALE B INTERFERON ALPHA REPONSE VIROLOGIQUE Résumé : La prise en charge et le traitement de l’hépatite virale B chronique ont considérablement évolué au cours des dix dernières années. Notre travail consiste en une étude rétrospective, dont le but est d’évaluer les résultats thérapeutiques obtenus en fonction des différents traitements en corrélation avec les données sérologiques, virologiques et génotypiques afin d’en déduire les principaux facteurs prédictifs de la réponse virologique prolongée.
Ont été colligé 77 patients suivis en consultation d’hépatologie au service de Médecine « C » à l’hôpital Ibn Sina de Rabat durant une période de 9 ans, l’âge moyen des patients étaient de 41 ans avec une nette prédominance masculine. Soixante dix huit pourcent des patients étaient asymptomatiques, le mode probable de transmission était difficile a apprécier, 36% des patients ont été opérés. Le profil mutant pré C était prédominant. L’étude de génotype chez certains malades avait objectivé une fréquence de génotype D, 15% des malades étaient cirrhotiques Quatre vingt cinq pour cent des patients avaient une charge virale comprise entre 2000Ui/l et 10000000 Ui/ml. Sur le plan thérapeutique, le taux de réponse virologique à l’interféron pégylé était de 32% à S72 avec une efficacité supérieure que celle de l’interféron standard. La réponse virologique à la lamivudine notamment la négativation de l’ADN était de 48% à S48,l’entécavir était plus efficace avec un taux de réponse virologique à 88% à 1 an avec un maintien de la réponse virologique pendant 3 ans. Concernant les autres analogues la telbivudine et l’adéfovir ont été utilisé chez un nombre limité de malades.
En conclusion, l’avènement des analogues nucléot(s)idiques de 2ème génération entécavir à permis un grand progrès en matière de traitement de l’HVB.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M1152012 Président : ABDELLAH ESSAID EL FEYDI Directeur : RAJAA AFIFI Juge : IMAN BENELBARHDADI Juge : AHMED ALAOUI ESSAID Réservation
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