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La calcinose cutanĂ©e chez lâenfant: Ă©tiopathogĂ©nie et formes cliniques / Najlae Benjelloun
Titre : La calcinose cutanĂ©e chez lâenfant: Ă©tiopathogĂ©nie et formes cliniques Type de document : thĂšse Auteurs : Najlae Benjelloun, Auteur AnnĂ©e de publication : 2015 Langues : Français (fre) Mots-clĂ©s : Calcinose cutanĂ©e Enfant EtiopathogĂ©nie Formes cliniques RĂ©sumĂ© : Les calcinoses cutanées chez l’enfant sont un groupe de maladies dans lesquelles des dépôts calciques se forment dans la peau. Ces dépôts consistent en des cristaux de d’hydroxyapatite de calcium ou de phosphate de calcium amorphe.
La pathogenèse des calcinoses cutanées implique des facteurs locaux et systémiques, principalement les altérations tissulaires locales et les perturbations de l’homéostasie phosphocalcique.
Les calcinoses peuvent être réparties en quatre groupes : calcinoses dystrophiques secondaires à un dommage tissulaire local (tumeur cutanée, post-traumatique, insuffisance veineuse) ou à des dommages tissulaires diffus (dermatomyosite, sclérodermie, lupus), calcinoses métastatiques (insuffisance rénale, hypercalcémies, calcinose tumorale), calcinoses idiopathiques et calcinoses iatrogènes.
Les calcinoses peuvent être localisées ou diffuses. Dans le dernier cas, elles peuvent être graves, se compliquer de douleurs, d’ulcérations chroniques, de surinfections, parfois l’origine de retentissement fonctionnel majeur et d’altération sévère de la qualité de vie.
Le traitement des calcinoses est difficile et mal codifié. Dans les formes localisées, l’excision chirurgicale est souvent efficace parfois précédée d’un traitement local (laser, lithotritie extracorporelle, application local de thiosulfate de sodium, etc) ou général (minocycline, warfarine). Pour ce qui concerne les formes disséminées et de plus grande taille, elles peuvent bénéficier de traitements additionnels systémiques (hydroxyde d’aluminium, biphosphonates) parfois en association avec un traitement chirurgical. La réponse thérapeutique est difficile à évaluer allant de plusieurs semaines à plusieurs mois.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M0562015 Président : BENTAHILA.A Directeur : JABOUIRIK.F Juge : MANSOURI.F Juge : EL HAMZAOUI.S Juge : CHOUKAIRI.O La calcinose cutanĂ©e chez lâenfant: Ă©tiopathogĂ©nie et formes cliniques [thĂšse] / Najlae Benjelloun, Auteur . - 2015.
Langues : Français (fre)
Mots-clĂ©s : Calcinose cutanĂ©e Enfant EtiopathogĂ©nie Formes cliniques RĂ©sumĂ© : Les calcinoses cutanées chez l’enfant sont un groupe de maladies dans lesquelles des dépôts calciques se forment dans la peau. Ces dépôts consistent en des cristaux de d’hydroxyapatite de calcium ou de phosphate de calcium amorphe.
La pathogenèse des calcinoses cutanées implique des facteurs locaux et systémiques, principalement les altérations tissulaires locales et les perturbations de l’homéostasie phosphocalcique.
Les calcinoses peuvent être réparties en quatre groupes : calcinoses dystrophiques secondaires à un dommage tissulaire local (tumeur cutanée, post-traumatique, insuffisance veineuse) ou à des dommages tissulaires diffus (dermatomyosite, sclérodermie, lupus), calcinoses métastatiques (insuffisance rénale, hypercalcémies, calcinose tumorale), calcinoses idiopathiques et calcinoses iatrogènes.
Les calcinoses peuvent être localisées ou diffuses. Dans le dernier cas, elles peuvent être graves, se compliquer de douleurs, d’ulcérations chroniques, de surinfections, parfois l’origine de retentissement fonctionnel majeur et d’altération sévère de la qualité de vie.
Le traitement des calcinoses est difficile et mal codifié. Dans les formes localisées, l’excision chirurgicale est souvent efficace parfois précédée d’un traitement local (laser, lithotritie extracorporelle, application local de thiosulfate de sodium, etc) ou général (minocycline, warfarine). Pour ce qui concerne les formes disséminées et de plus grande taille, elles peuvent bénéficier de traitements additionnels systémiques (hydroxyde d’aluminium, biphosphonates) parfois en association avec un traitement chirurgical. La réponse thérapeutique est difficile à évaluer allant de plusieurs semaines à plusieurs mois.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M0562015 Président : BENTAHILA.A Directeur : JABOUIRIK.F Juge : MANSOURI.F Juge : EL HAMZAOUI.S Juge : CHOUKAIRI.O RĂ©servation
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Code barre Cote Support Localisation Section DisponibilitĂ© M0562015 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2015 Disponible M0562015-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2015 Disponible LES DERMATOSES BULLEUSES AUTO-IMMUNES CHEZ LâENFANT / ELKHADDARI YOUSRA
Titre : LES DERMATOSES BULLEUSES AUTO-IMMUNES CHEZ LâENFANT Type de document : thĂšse Auteurs : ELKHADDARI YOUSRA, Auteur AnnĂ©e de publication : 2013 Langues : Français (fre) Mots-clĂ©s : DERMATOSES BULLEUSES AUTO-IMMUNES ENFANT ETIOPATHOGENIE FORMES CLINIQUES TRAITEMENT RĂ©sumĂ© : Les dermatoses bulleuses auto-immunes (DBAI) de l’enfant sont caractérisées par la production d’auto anticorps dirigés contre les structures d’adhésion de la peau, elles se divisent en deux groupes selon le site de clivage : les pemphigus et les maladies sous-épidermiques.
Elles sont rares chez l’enfant et malgré leurs ambigüités morphologiques elles ne posent plus un problème diagnostic vu les efforts de recherches réalisés depuis une vingtaine d’années et qui ont permis une meilleure compréhension des mécanismes physiopathologiques et le développement de nouveaux outils diagnostic
L’établissement du diagnostic repose sur une démarche rigoureuse qui passe par :
L’interrogatoire : précisant le début, les circonstances de survenue, les signes fonctionnels les antécédents personnels ou familiaux de maladies auto-immunes et une éventuelle prise médicamenteuse
L’examen clinique qui constate l’aspect, la topographie et l’étendue des lésions. Ainsi que l’existence de signe de nikolsky, de lésions muqueuses externes et l’état de la peau péri bulleuse
La biopsie, l’examen histologique, l’immunofluorescences directe et indirecte représentent l’examen clés dans les DBAI. Dans certains cas difficiles de DBAI sous –épidermiques l’Immunomicroscopie électronique, L’IFI sur peau humaine normale clivée, l’Immunotransfert et l’ELISA peuvent s’avérer nécessaires
Le traitement des DBAI fait appel principalement à la corticothérapie locale ou générale associée à la dapsone
L’évolution est généralement bonne avec disparition des lésions au bout de 2 ans en moyenne
Ce travail met le point sur les aspects cliniques, les approches diagnostiques, thérapeutiques et évolutives des DBAI chez l’enfant qui sont par ordre de fréquence les dermatoses bulleuses à IgA linéaires suivie par la dermatite herpétiforme, la pemphiogide bulleuse, les pemphigus sont rares tandis que la pemphigoide cicatricielle et l’épidermolyse bulleuse acquise restent exceptionnelles chez l’enfant.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M1522013 Président : BENTAHILA.A Directeur : JABOUIRIK.F Juge : EL HAMZAOUI.S LES DERMATOSES BULLEUSES AUTO-IMMUNES CHEZ LâENFANT [thĂšse] / ELKHADDARI YOUSRA, Auteur . - 2013.
Langues : Français (fre)
Mots-clĂ©s : DERMATOSES BULLEUSES AUTO-IMMUNES ENFANT ETIOPATHOGENIE FORMES CLINIQUES TRAITEMENT RĂ©sumĂ© : Les dermatoses bulleuses auto-immunes (DBAI) de l’enfant sont caractérisées par la production d’auto anticorps dirigés contre les structures d’adhésion de la peau, elles se divisent en deux groupes selon le site de clivage : les pemphigus et les maladies sous-épidermiques.
Elles sont rares chez l’enfant et malgré leurs ambigüités morphologiques elles ne posent plus un problème diagnostic vu les efforts de recherches réalisés depuis une vingtaine d’années et qui ont permis une meilleure compréhension des mécanismes physiopathologiques et le développement de nouveaux outils diagnostic
L’établissement du diagnostic repose sur une démarche rigoureuse qui passe par :
L’interrogatoire : précisant le début, les circonstances de survenue, les signes fonctionnels les antécédents personnels ou familiaux de maladies auto-immunes et une éventuelle prise médicamenteuse
L’examen clinique qui constate l’aspect, la topographie et l’étendue des lésions. Ainsi que l’existence de signe de nikolsky, de lésions muqueuses externes et l’état de la peau péri bulleuse
La biopsie, l’examen histologique, l’immunofluorescences directe et indirecte représentent l’examen clés dans les DBAI. Dans certains cas difficiles de DBAI sous –épidermiques l’Immunomicroscopie électronique, L’IFI sur peau humaine normale clivée, l’Immunotransfert et l’ELISA peuvent s’avérer nécessaires
Le traitement des DBAI fait appel principalement à la corticothérapie locale ou générale associée à la dapsone
L’évolution est généralement bonne avec disparition des lésions au bout de 2 ans en moyenne
Ce travail met le point sur les aspects cliniques, les approches diagnostiques, thérapeutiques et évolutives des DBAI chez l’enfant qui sont par ordre de fréquence les dermatoses bulleuses à IgA linéaires suivie par la dermatite herpétiforme, la pemphiogide bulleuse, les pemphigus sont rares tandis que la pemphigoide cicatricielle et l’épidermolyse bulleuse acquise restent exceptionnelles chez l’enfant.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M1522013 Président : BENTAHILA.A Directeur : JABOUIRIK.F Juge : EL HAMZAOUI.S RĂ©servation
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Code barre Cote Support Localisation Section DisponibilitĂ© M1522013 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2013 Disponible M1522013-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2013 Disponible Les dermatpophytoses chez lâenfant / Monsif Alaoui Manal
Titre : Les dermatpophytoses chez lâenfant Type de document : thĂšse Auteurs : Monsif Alaoui Manal, Auteur AnnĂ©e de publication : 2015 Langues : Français (fre) Mots-clĂ©s : Dermatophytoses enfant Ă©tiopathogĂ©nie formes cliniques Traitement RĂ©sumĂ© : Les dermatophytoses de l’enfant sont des mycoses superficielles fréquentes de la peau et des phanères, causées par des champignons microscopiques filamenteux. Ces micromycètes kératinophiles peuvent être d’origine anthropophile, zoophile, ou tellurique.
Bien que ces champignons soient, pour la plupart cosmopolites, leur épidémiologie est variable selon les différentes régions du monde. Les dermatophytoses peuvent survenir à tout âge, certaines sont particulièrement répandues chez les enfants. Tineacapitis est l’infection fongique la plus fréquente au-dessous de l'âge de 12 ans. Tineacruris est censé être réservé aux adolescents et les jeunes adultes. Tineapedis est moins fréquente chez les enfants que chez les adultes et rare avant quatre ans.
Les lésions engendrées par les dermatophytes sont, des teignes du cuir chevelu, des folliculites et des épidermophyties de la peau glabre. Elles concernent pour beaucoup l’enfant et le jeune adolescent. Leur prise en charge repose tout d’abord sur le diagnostic mycologique effectué au laboratoire qui permettra d’identifier, à partir de l’espèce isolée, le réservoir en cause.
Le traitement des dermatophytoses repose sur l’utilisation d’antifongiques systémiques et/ou topiques, les protocoles de traitement étant différents selon le type de lésions. Les molécules les plus utilisées pour le traitement systémique sont la griséofulvine et la terbinafine, et pour le traitement local, les dérivés azolés et la terbinafine.
La mise en place de mesures prophylactiques, consiste à dépister et à traiter les animaux parasités, à nettoyer et à désinfecter l’environnement de manière drastique, et à observer certaines règles d’hygiène.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M1562015 Président : BENTAHILA.A Directeur : JABOUIRIK.F Juge : MANSOURI.F Juge : EL HAMZAOUI.S Les dermatpophytoses chez lâenfant [thĂšse] / Monsif Alaoui Manal, Auteur . - 2015.
Langues : Français (fre)
Mots-clĂ©s : Dermatophytoses enfant Ă©tiopathogĂ©nie formes cliniques Traitement RĂ©sumĂ© : Les dermatophytoses de l’enfant sont des mycoses superficielles fréquentes de la peau et des phanères, causées par des champignons microscopiques filamenteux. Ces micromycètes kératinophiles peuvent être d’origine anthropophile, zoophile, ou tellurique.
Bien que ces champignons soient, pour la plupart cosmopolites, leur épidémiologie est variable selon les différentes régions du monde. Les dermatophytoses peuvent survenir à tout âge, certaines sont particulièrement répandues chez les enfants. Tineacapitis est l’infection fongique la plus fréquente au-dessous de l'âge de 12 ans. Tineacruris est censé être réservé aux adolescents et les jeunes adultes. Tineapedis est moins fréquente chez les enfants que chez les adultes et rare avant quatre ans.
Les lésions engendrées par les dermatophytes sont, des teignes du cuir chevelu, des folliculites et des épidermophyties de la peau glabre. Elles concernent pour beaucoup l’enfant et le jeune adolescent. Leur prise en charge repose tout d’abord sur le diagnostic mycologique effectué au laboratoire qui permettra d’identifier, à partir de l’espèce isolée, le réservoir en cause.
Le traitement des dermatophytoses repose sur l’utilisation d’antifongiques systémiques et/ou topiques, les protocoles de traitement étant différents selon le type de lésions. Les molécules les plus utilisées pour le traitement systémique sont la griséofulvine et la terbinafine, et pour le traitement local, les dérivés azolés et la terbinafine.
La mise en place de mesures prophylactiques, consiste à dépister et à traiter les animaux parasités, à nettoyer et à désinfecter l’environnement de manière drastique, et à observer certaines règles d’hygiène.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M1562015 Président : BENTAHILA.A Directeur : JABOUIRIK.F Juge : MANSOURI.F Juge : EL HAMZAOUI.S RĂ©servation
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Code barre Cote Support Localisation Section DisponibilitĂ© M1562015 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2015 Disponible M1562015-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2015 Disponible EXANTHEMES FEBRILES CHEZ LâENFANT / MAJIDI HIND
Titre : EXANTHEMES FEBRILES CHEZ LâENFANT Type de document : thĂšse Auteurs : MAJIDI HIND, Auteur AnnĂ©e de publication : 2012 Langues : Français (fre) Mots-clĂ©s : ENFANT EXANTHEMES ETIOPATHOGENIE FORMES CLINIQUES PARACLINIQUE DIAGNOSTIC DIFFERENTIEL TRAITEMENT. RĂ©sumĂ© : Les exanthèmes fébriles de l’enfant représente un motif fréquent de consultation en pédiatrie.
L’étiopathogénie est très variable, il s’agit le plus souvent de cause infectieuse(virale, bactérienne),avec des tableaux cliniques parfois très stéréotypés orientant vers un cadre étiologique précis notamment :la scarlatine, la varicelle, la rubéole, La rougeole, le mégalérythème épidémique,la roséole, la mononucléose infectieuse et l’herpès. Cependant, la sémiologie de l’exanthème lui-même (rubéoliforme, scarlatiniforme, morbilliforme, roséoliforme) n’est pas parfois spécifique et n’oriente pas vers une cause univoque notamment : maladies de systèmes, syndrome de Gianotti- Crosti, exanthème latérothoracique et maladie mains -pieds- bouche.
Ce n’est que lorsque l’exanthème s’accompagne d’une altération de l’état général que l’enfant doit être hospitalisé pour ne pas passer à côté d’une urgence éventuellement : le purpura fulminans, la maladie de Kawasaki, l’épidermolyse staphylococcique aiguë, le syndrome de Lyell, le syndrome de Stevens- Johnson et l’érythème polymorphe.
les Examens complémentaires sont inutiles sauf en cas de complications ou d’urgence ou si l'enfant est immunodéprimé. La biologie est indispensable pour le diagnostic, dont les examens de référence sont la sérologie sanguine ainsi que la PCR qui présente une grande valeur prédictive positive mais qui est peu pratiquée en routine, le recours à l’imagerie est exceptionnel .
L’évolution est souvent favorable, mais peut parfois mettre le pronostic vital et fonctionnel en jeu d’où la nécessité de la précocité de prise en charge.
le traitement est presque toujours symptomatique, L'hospitalisation est nécessaire uniquement si l'exanthème s'associe à un ensemble d'autres manifestations viscérales aggravant l'état général de l'enfant.
les perspectives thérapeutiques repose sur la vaccination avec la mise en route de programmes bien établie par les organisations sanitaires en fonction des caractéristiques épidémiologique de chaque maladie, ainsi que de promouvoir Le domaine de la recherche en matière de découverte de nouveaux vaccins.
La prophylaxie secondaire garde sa place afin d’éviter d’éventuelles vagues épidémiques.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M0682012 Président : ABDELALI BENTAHILA Directeur : FATIMA JABOUIRIK Juge : BOUCHRA CHKIRATE EXANTHEMES FEBRILES CHEZ LâENFANT [thĂšse] / MAJIDI HIND, Auteur . - 2012.
Langues : Français (fre)
Mots-clĂ©s : ENFANT EXANTHEMES ETIOPATHOGENIE FORMES CLINIQUES PARACLINIQUE DIAGNOSTIC DIFFERENTIEL TRAITEMENT. RĂ©sumĂ© : Les exanthèmes fébriles de l’enfant représente un motif fréquent de consultation en pédiatrie.
L’étiopathogénie est très variable, il s’agit le plus souvent de cause infectieuse(virale, bactérienne),avec des tableaux cliniques parfois très stéréotypés orientant vers un cadre étiologique précis notamment :la scarlatine, la varicelle, la rubéole, La rougeole, le mégalérythème épidémique,la roséole, la mononucléose infectieuse et l’herpès. Cependant, la sémiologie de l’exanthème lui-même (rubéoliforme, scarlatiniforme, morbilliforme, roséoliforme) n’est pas parfois spécifique et n’oriente pas vers une cause univoque notamment : maladies de systèmes, syndrome de Gianotti- Crosti, exanthème latérothoracique et maladie mains -pieds- bouche.
Ce n’est que lorsque l’exanthème s’accompagne d’une altération de l’état général que l’enfant doit être hospitalisé pour ne pas passer à côté d’une urgence éventuellement : le purpura fulminans, la maladie de Kawasaki, l’épidermolyse staphylococcique aiguë, le syndrome de Lyell, le syndrome de Stevens- Johnson et l’érythème polymorphe.
les Examens complémentaires sont inutiles sauf en cas de complications ou d’urgence ou si l'enfant est immunodéprimé. La biologie est indispensable pour le diagnostic, dont les examens de référence sont la sérologie sanguine ainsi que la PCR qui présente une grande valeur prédictive positive mais qui est peu pratiquée en routine, le recours à l’imagerie est exceptionnel .
L’évolution est souvent favorable, mais peut parfois mettre le pronostic vital et fonctionnel en jeu d’où la nécessité de la précocité de prise en charge.
le traitement est presque toujours symptomatique, L'hospitalisation est nécessaire uniquement si l'exanthème s'associe à un ensemble d'autres manifestations viscérales aggravant l'état général de l'enfant.
les perspectives thérapeutiques repose sur la vaccination avec la mise en route de programmes bien établie par les organisations sanitaires en fonction des caractéristiques épidémiologique de chaque maladie, ainsi que de promouvoir Le domaine de la recherche en matière de découverte de nouveaux vaccins.
La prophylaxie secondaire garde sa place afin d’éviter d’éventuelles vagues épidémiques.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M0682012 Président : ABDELALI BENTAHILA Directeur : FATIMA JABOUIRIK Juge : BOUCHRA CHKIRATE RĂ©servation
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Code barre Cote Support Localisation Section DisponibilitĂ© M0682012 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2012 Disponible Les formes cliniques et diagnostic diffĂ©rentiel des verrues cutanĂ©es et ano-gĂ©nitales chez lâenfant / ZAIDANE Israa
Titre : Les formes cliniques et diagnostic diffĂ©rentiel des verrues cutanĂ©es et ano-gĂ©nitales chez lâenfant Type de document : thĂšse Auteurs : ZAIDANE Israa, Auteur AnnĂ©e de publication : 2017 Langues : Français (fre) Mots-clĂ©s : Verrues Ă©tiopathogĂ©nie formes cliniques diagnostic diffĂ©rentiel traitement. RĂ©sumĂ© : Les verrues sont des tumeurs bénignes dues au virus du genre Human Papillomavirus (HPV). 5% à 10% des enfants et adolescents contractent des verrues, avec un sex-ratio égal à 1.
Il existe plus de 100 types d’HPV qui donnent diverses manifestations cutanées et muqueuses. La contamination peut être directe, entre personnes, indirecte par l’intermédiaire d’eau, linge ou matériels souillés, par auto-inoculation ou transmission verticale de la mère à l’enfant.
Différents aspects cliniques sont notés selon le sous-type du virus HPV contaminant ;
-Les verrues cutanées : vulgaires; périunguéales et sous-unguéales; plantaires (les myrmécies et les verrues mosaïques) ; verrues filiformes; verrues planes, l’épidermodysplasie verruciforme et le kératoacanthome.
-Les condylomes : les condylomes acuminés, les condylomes papuleux, les condylomes plans.
-Les papillomes et condylomes de la muqueuse buccale
-L’hyperplasie focale épithéliale
-La papillomatose laryngée
Le diagnostic différentiel se fait avec : le molluscum contagiosum, les callosités cors et durillons, le granulome à corps étranger, la kératodermie circonscrite, la cicatrice fibreuse, le pityriasis versicolor, le lichen plan, l’hamartome verruco-sébacé…
Le traitement se fait essentiellement de méthodes physiques : la cryothérapie, l’électrocoagulation, le curetage chirurgical, le laser CO2 ; et les méthodes chimiques : les kératolytiques et les cytostatiques.
L’évolution est marquée par la disparition spontanée des lésions dans les 2 ans, mais une meilleure réponse est obtenue sous traitement.
Les traitements immunomodulateurs et la vaccination restent à notre jour l’espoir de recherche dans l’avenir.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M1002017 Président : BENTAHILA.A Directeur : JABOUIRIK.F Juge : EL HAMZAOUI.S Juge : TELLAL.S Les formes cliniques et diagnostic diffĂ©rentiel des verrues cutanĂ©es et ano-gĂ©nitales chez lâenfant [thĂšse] / ZAIDANE Israa, Auteur . - 2017.
Langues : Français (fre)
Mots-clĂ©s : Verrues Ă©tiopathogĂ©nie formes cliniques diagnostic diffĂ©rentiel traitement. RĂ©sumĂ© : Les verrues sont des tumeurs bénignes dues au virus du genre Human Papillomavirus (HPV). 5% à 10% des enfants et adolescents contractent des verrues, avec un sex-ratio égal à 1.
Il existe plus de 100 types d’HPV qui donnent diverses manifestations cutanées et muqueuses. La contamination peut être directe, entre personnes, indirecte par l’intermédiaire d’eau, linge ou matériels souillés, par auto-inoculation ou transmission verticale de la mère à l’enfant.
Différents aspects cliniques sont notés selon le sous-type du virus HPV contaminant ;
-Les verrues cutanées : vulgaires; périunguéales et sous-unguéales; plantaires (les myrmécies et les verrues mosaïques) ; verrues filiformes; verrues planes, l’épidermodysplasie verruciforme et le kératoacanthome.
-Les condylomes : les condylomes acuminés, les condylomes papuleux, les condylomes plans.
-Les papillomes et condylomes de la muqueuse buccale
-L’hyperplasie focale épithéliale
-La papillomatose laryngée
Le diagnostic différentiel se fait avec : le molluscum contagiosum, les callosités cors et durillons, le granulome à corps étranger, la kératodermie circonscrite, la cicatrice fibreuse, le pityriasis versicolor, le lichen plan, l’hamartome verruco-sébacé…
Le traitement se fait essentiellement de méthodes physiques : la cryothérapie, l’électrocoagulation, le curetage chirurgical, le laser CO2 ; et les méthodes chimiques : les kératolytiques et les cytostatiques.
L’évolution est marquée par la disparition spontanée des lésions dans les 2 ans, mais une meilleure réponse est obtenue sous traitement.
Les traitements immunomodulateurs et la vaccination restent à notre jour l’espoir de recherche dans l’avenir.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M1002017 Président : BENTAHILA.A Directeur : JABOUIRIK.F Juge : EL HAMZAOUI.S Juge : TELLAL.S RĂ©servation
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Code barre Cote Support Localisation Section DisponibilitĂ© M1002017 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2017 Disponible M1002017-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2017 Disponible LES MASTOCYTOSES CHEZ LâENFANT / KARIMA AMJOUD
Titre : LES MASTOCYTOSES CHEZ LâENFANT Type de document : thĂšse Auteurs : KARIMA AMJOUD, Auteur AnnĂ©e de publication : 2013 Langues : Français (fre) Mots-clĂ©s : MASTOCYTOSES ENFANT ETHIOPATHOGENIE FORMES CLINIQUES TRAITEMENT RĂ©sumĂ© : Les mastocytoses sont des maladies orphelines, caractérisées par l’accumulation et la prolifération anormales des mastocytes dans la peau réalisant la mastocytose cutanée ; ou dans un ou plusieurs organes réalisant la mastocytose systémique.
Les mastocytoses cutanées sont les plus fréquentes chez l’enfant, leur origine n’est pas connue, des mutations génétiques du protogène c-kit codant le récepteur transmembranaire kit, récepteur de stem cell factor, facteur de prolifération et d’activation des mastocytes ; sont retrouvées.
Sur le plan clinique, les mastocytoses réalisent des tableaux dermatologiques polymorphes dont l’urticaire pigmentaire est la plus fréquente ; souvent associées à des manifestations aigues (poussées lésionnelles et flushes) ou à une atteinte systémique.
Le diagnostic positif repose sur la clinique ( signe de Darier positif), et l’histologie, le reste des examens complémentaires rentre dans le cadre du bilan de retentissement et d’extension de la maladie .
Actuellement, en l’absence de traitement curatif des lésions, la prise en charge consiste principalement en la prévention des poussées lésionnelles et des flushs, et au traitement symptomatique.
Le pronostic des mastocytoses chez l’enfant est généralement favorable, cependant lorsqu’elles persistent, se transforment en une maladie invalidante sévère.
Nous rapportons dans notre travail le cas d’un nourrisson atteint de mastocytose, diagnostiqué et pris en charge au service de Pédiatrie4 à l’hôpital d’enfant de Rabat , avec revue de la littérature d’actualité et de perspectives thérapeutiques.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M1182013 Président : BENTAHILA.A Directeur : JABOURIK.F Juge : EL HAMZAOUI.S LES MASTOCYTOSES CHEZ LâENFANT [thĂšse] / KARIMA AMJOUD, Auteur . - 2013.
Langues : Français (fre)
Mots-clĂ©s : MASTOCYTOSES ENFANT ETHIOPATHOGENIE FORMES CLINIQUES TRAITEMENT RĂ©sumĂ© : Les mastocytoses sont des maladies orphelines, caractérisées par l’accumulation et la prolifération anormales des mastocytes dans la peau réalisant la mastocytose cutanée ; ou dans un ou plusieurs organes réalisant la mastocytose systémique.
Les mastocytoses cutanées sont les plus fréquentes chez l’enfant, leur origine n’est pas connue, des mutations génétiques du protogène c-kit codant le récepteur transmembranaire kit, récepteur de stem cell factor, facteur de prolifération et d’activation des mastocytes ; sont retrouvées.
Sur le plan clinique, les mastocytoses réalisent des tableaux dermatologiques polymorphes dont l’urticaire pigmentaire est la plus fréquente ; souvent associées à des manifestations aigues (poussées lésionnelles et flushes) ou à une atteinte systémique.
Le diagnostic positif repose sur la clinique ( signe de Darier positif), et l’histologie, le reste des examens complémentaires rentre dans le cadre du bilan de retentissement et d’extension de la maladie .
Actuellement, en l’absence de traitement curatif des lésions, la prise en charge consiste principalement en la prévention des poussées lésionnelles et des flushs, et au traitement symptomatique.
Le pronostic des mastocytoses chez l’enfant est généralement favorable, cependant lorsqu’elles persistent, se transforment en une maladie invalidante sévère.
Nous rapportons dans notre travail le cas d’un nourrisson atteint de mastocytose, diagnostiqué et pris en charge au service de Pédiatrie4 à l’hôpital d’enfant de Rabat , avec revue de la littérature d’actualité et de perspectives thérapeutiques.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M1182013 Président : BENTAHILA.A Directeur : JABOURIK.F Juge : EL HAMZAOUI.S RĂ©servation
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Code barre Cote Support Localisation Section DisponibilitĂ© M1182013 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2013 Disponible M1182013-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2013 Disponible Les onychomycoses chez lâenfant / MRINI Zineb
Titre : Les onychomycoses chez lâenfant Type de document : thĂšse Auteurs : MRINI Zineb, Auteur AnnĂ©e de publication : 2017 Langues : Français (fre) Mots-clĂ©s : onychomycoses enfant Ă©tiopathogĂ©nie formes cliniques traitement. RĂ©sumĂ© : L'onychomycose est une infection fongique des onglesdes mains et des orteils, pouvantaffecter l'un des composants de l'appareil unguéal, elle est causée principalement par des dermatophytes mais d’autres champignons peuvent être impliqués, tels que les levures ou les moisissures.
Cette pathologie touche dans 90% des cas les orteils et dans 10 %les mains. Les onglesles plus fréquemment atteints sont le gros orteil et le 5e orteil.
Le diagnostic mycologiquepermetd’identifierl’espèce en causeet d’instaurer un traitement précoce et adéquat qui repose sur l’utilisation d’antifongiques systémiques et/ou topiques.
La terbinafine, l'itraconazole et le fluconazole ont une bonne efficacité et moins d'effets secondaires.Les thérapies topiques, comme amorolfine et ciclopirox, peuvent également être utilisés en monothérapie ou en combinaison avec des agents oraux. Les protocoles de traitement sont différents selon le type de lésions.
La mise en place de mesures prophylactiques, est nécessaire et consiste à dépister, et à désinfecter l’environnement de manière drastique, ainsi qu’à observer certaines règles d’hygiène
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M0392017 Président : BENTAHILA.A Directeur : JABOUIRIK.F Juge : EL HAMZAOUI.S Juge : TELLAL.S Les onychomycoses chez lâenfant [thĂšse] / MRINI Zineb, Auteur . - 2017.
Langues : Français (fre)
Mots-clĂ©s : onychomycoses enfant Ă©tiopathogĂ©nie formes cliniques traitement. RĂ©sumĂ© : L'onychomycose est une infection fongique des onglesdes mains et des orteils, pouvantaffecter l'un des composants de l'appareil unguéal, elle est causée principalement par des dermatophytes mais d’autres champignons peuvent être impliqués, tels que les levures ou les moisissures.
Cette pathologie touche dans 90% des cas les orteils et dans 10 %les mains. Les onglesles plus fréquemment atteints sont le gros orteil et le 5e orteil.
Le diagnostic mycologiquepermetd’identifierl’espèce en causeet d’instaurer un traitement précoce et adéquat qui repose sur l’utilisation d’antifongiques systémiques et/ou topiques.
La terbinafine, l'itraconazole et le fluconazole ont une bonne efficacité et moins d'effets secondaires.Les thérapies topiques, comme amorolfine et ciclopirox, peuvent également être utilisés en monothérapie ou en combinaison avec des agents oraux. Les protocoles de traitement sont différents selon le type de lésions.
La mise en place de mesures prophylactiques, est nécessaire et consiste à dépister, et à désinfecter l’environnement de manière drastique, ainsi qu’à observer certaines règles d’hygiène
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M0392017 Président : BENTAHILA.A Directeur : JABOUIRIK.F Juge : EL HAMZAOUI.S Juge : TELLAL.S RĂ©servation
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Titre : LE PROFIL EPIDEMIOLOGIQUE DES UVEITES INAUGURALES EN MEDECINE INTERNE Type de document : thĂšse Auteurs : Nouhaila EL HABIB, Auteur AnnĂ©e de publication : 2022 Langues : Français (fre) Mots-clĂ©s : UvĂ©ite Maladies auto-immunes Ătiologies Formes cliniques Traitement RĂ©sumĂ© : Objectifs : Le but de notre travail est :
• Décrire les caractéristiques épidémiologiques des uvéites inaugurales.
• Insister sur l’importance de la collaboraction étroite entre interniste et ophtalmologue dans la prise en
charge des uvéites.
• Obtenir un meilleur rendement diagnostique et une prise en charge optimale.
Matériels et méthodes :
Notre étude a porté sur un effectif de 68 patients colligés au service de Medecine Interne au centre
hospitalier universitaire Ibn Sina de Rabat durant une période s’étalant de 2014 à 2020. Tous les patients recrutés
pour une uvéite inaugurale ont bénéficié d’un examen ophtalmologique et général complet.
Résultats :
La médiane d’âge est de 37,3 avec une tranche d’âge prédominante entre 30 et 40 ans. Les femmes
représentent 62% de l’ensemble des cas. La baisse de l’acuité visuelle représente le maître symptome retrouvé
chez la majorité des patients, suivi par la douleur et la rougeur oculaire. Près de 44,1 % des patients ont consulté
dans un délai de 3 mois. Cependant 26,5 % des cas ont été vu dans un délai entre 3 et 6 mois et 29,4 % n’ont
consulté qu’après un délai de 6 mois. L’uvéite postérieure était la forme de présentation la plus fréquente et 76 %
des uvéites étaient bilatérales. Les étiologies étaient prédominées par les causes non infectieuses dans 45 % des
cas. La maladie de Behçet, le VKH et la sarcoidose étaient les étiologies les plus fréquentes. Les autres
manifestations extra-oculaires les plus fréquentes étaient de type rhumatologique
Le recours à la corticothérapie s’est fait chez 79,4 % des cas, et aux immunosuppresseurs dans 80,9 %.
Conclusion :
Nos résultats montrent la sévérité particulière de l’atteinte oculaire et la diversité des étiologies, d’où
l’importance d’une conduite diagnostique codifiée et d’une prise en charge adéquate et rapide afin de prévenir la
cécité.Numéro (Thèse ou Mémoire) : M2242022 Président : Hicham HARMOUCHE Directeur : Hicham HARMOUCHE Juge : Wafa AMMOURI Juge : Hajar KHIBRI LE PROFIL EPIDEMIOLOGIQUE DES UVEITES INAUGURALES EN MEDECINE INTERNE [thĂšse] / Nouhaila EL HABIB, Auteur . - 2022.
Langues : Français (fre)
Mots-clĂ©s : UvĂ©ite Maladies auto-immunes Ătiologies Formes cliniques Traitement RĂ©sumĂ© : Objectifs : Le but de notre travail est :
• Décrire les caractéristiques épidémiologiques des uvéites inaugurales.
• Insister sur l’importance de la collaboraction étroite entre interniste et ophtalmologue dans la prise en
charge des uvéites.
• Obtenir un meilleur rendement diagnostique et une prise en charge optimale.
Matériels et méthodes :
Notre étude a porté sur un effectif de 68 patients colligés au service de Medecine Interne au centre
hospitalier universitaire Ibn Sina de Rabat durant une période s’étalant de 2014 à 2020. Tous les patients recrutés
pour une uvéite inaugurale ont bénéficié d’un examen ophtalmologique et général complet.
Résultats :
La médiane d’âge est de 37,3 avec une tranche d’âge prédominante entre 30 et 40 ans. Les femmes
représentent 62% de l’ensemble des cas. La baisse de l’acuité visuelle représente le maître symptome retrouvé
chez la majorité des patients, suivi par la douleur et la rougeur oculaire. Près de 44,1 % des patients ont consulté
dans un délai de 3 mois. Cependant 26,5 % des cas ont été vu dans un délai entre 3 et 6 mois et 29,4 % n’ont
consulté qu’après un délai de 6 mois. L’uvéite postérieure était la forme de présentation la plus fréquente et 76 %
des uvéites étaient bilatérales. Les étiologies étaient prédominées par les causes non infectieuses dans 45 % des
cas. La maladie de Behçet, le VKH et la sarcoidose étaient les étiologies les plus fréquentes. Les autres
manifestations extra-oculaires les plus fréquentes étaient de type rhumatologique
Le recours à la corticothérapie s’est fait chez 79,4 % des cas, et aux immunosuppresseurs dans 80,9 %.
Conclusion :
Nos résultats montrent la sévérité particulière de l’atteinte oculaire et la diversité des étiologies, d’où
l’importance d’une conduite diagnostique codifiée et d’une prise en charge adéquate et rapide afin de prévenir la
cécité.Numéro (Thèse ou Mémoire) : M2242022 Président : Hicham HARMOUCHE Directeur : Hicham HARMOUCHE Juge : Wafa AMMOURI Juge : Hajar KHIBRI RĂ©servation
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M2242022URL LE PSORIASIS CHEZ L'ENFANT A PROPOS DE 02 CAS / HIMMICH SALMA
Titre : LE PSORIASIS CHEZ L'ENFANT A PROPOS DE 02 CAS Type de document : thĂšse Auteurs : HIMMICH SALMA, Auteur AnnĂ©e de publication : 2006 Langues : Français (fre) Mots-clĂ©s : PSORIASIS ENFANT FORMES CLINIQUES TRAITEMENT Numéro (Thèse ou Mémoire) : M3342006 Président : EL HAOURI MOHAMED Directeur : JABOURIK FATIMA LE PSORIASIS CHEZ L'ENFANT A PROPOS DE 02 CAS [thĂšse] / HIMMICH SALMA, Auteur . - 2006.
Langues : Français (fre)
Mots-clĂ©s : PSORIASIS ENFANT FORMES CLINIQUES TRAITEMENT Numéro (Thèse ou Mémoire) : M3342006 Président : EL HAOURI MOHAMED Directeur : JABOURIK FATIMA RĂ©servation
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Code barre Cote Support Localisation Section DisponibilitĂ© M3342006 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2006 Disponible LES TOXIDERMIES MEDICAMENTEUSES CHEZ L'ENFANT A PROPOS DE 03 CAS / SETTI KHADIJA
Titre : LES TOXIDERMIES MEDICAMENTEUSES CHEZ L'ENFANT A PROPOS DE 03 CAS Type de document : thĂšse Auteurs : SETTI KHADIJA, Auteur AnnĂ©e de publication : 2008 Langues : Français (fre) Mots-clĂ©s : TOXIDERMIES ENFANT FORMES CLINIQUES THERAPEUTIQUE Index. dĂ©cimale : WA SANTE PUBLIQUE - PROFESSION MEDICALE RĂ©sumĂ© : Nous rapportons dans notre étude trois cas de toxidermies médicamenteuses chez l’enfant notifiés en consultation de Dermatologie Pédiatrique à l’hôpital d’Enfants de Rabat.
Le terme de "Toxidermie" est définit comme étant l’ensemble des réactions cutanés liés à l’administration systémique d’un médicament.
L’analyse de ces observations a montré une prédominance masculine ( 2 garçons pour une fille).
L’âge de survenue des lésions était de 4 , 5 et 12 ans (moyenne d’âge de 7 ans).
Du point de vue clinique ; on a recensé un cas d’urticaire médicamenteux, un cas d’érythème pigmenté fixe et un cas de pustulose exanthématique aigue généralisée.
Du point de vue étiologique, les familles de médicaments incriminées dans notre étude sont : les β Lactamines (l’Amoxicilline), les Antiépileptiques( le Phénobarbital) et les sulfamides( le Triméthoprime-Sulfaméthoxazole).
Sur le plan thérapeutique, l’arrêt du médicament responsable a constitué la base du traitement, l’autre volet était d’adopter un traitement locale et un traitement systémique à base d’antihistaminiques et de corticostéroïdes dans les trois cas.
L’évolution chez les trois malades était favorable .
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M1032008 Président : BENTAHILA ABDELALI Directeur : JABOUIRIK FATIMA Juge : ESSAID ALAOUI AHMED LES TOXIDERMIES MEDICAMENTEUSES CHEZ L'ENFANT A PROPOS DE 03 CAS [thĂšse] / SETTI KHADIJA, Auteur . - 2008.
Langues : Français (fre)
Mots-clĂ©s : TOXIDERMIES ENFANT FORMES CLINIQUES THERAPEUTIQUE Index. dĂ©cimale : WA SANTE PUBLIQUE - PROFESSION MEDICALE RĂ©sumĂ© : Nous rapportons dans notre étude trois cas de toxidermies médicamenteuses chez l’enfant notifiés en consultation de Dermatologie Pédiatrique à l’hôpital d’Enfants de Rabat.
Le terme de "Toxidermie" est définit comme étant l’ensemble des réactions cutanés liés à l’administration systémique d’un médicament.
L’analyse de ces observations a montré une prédominance masculine ( 2 garçons pour une fille).
L’âge de survenue des lésions était de 4 , 5 et 12 ans (moyenne d’âge de 7 ans).
Du point de vue clinique ; on a recensé un cas d’urticaire médicamenteux, un cas d’érythème pigmenté fixe et un cas de pustulose exanthématique aigue généralisée.
Du point de vue étiologique, les familles de médicaments incriminées dans notre étude sont : les β Lactamines (l’Amoxicilline), les Antiépileptiques( le Phénobarbital) et les sulfamides( le Triméthoprime-Sulfaméthoxazole).
Sur le plan thérapeutique, l’arrêt du médicament responsable a constitué la base du traitement, l’autre volet était d’adopter un traitement locale et un traitement systémique à base d’antihistaminiques et de corticostéroïdes dans les trois cas.
L’évolution chez les trois malades était favorable .
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M1032008 Président : BENTAHILA ABDELALI Directeur : JABOUIRIK FATIMA Juge : ESSAID ALAOUI AHMED RĂ©servation
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Code barre Cote Support Localisation Section DisponibilitĂ© M1032008 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2008 Disponible LES URGENCES DERMATOLOGIQUES CHEZ LE NOUVEAU NE / KHALIL BASMA
Titre : LES URGENCES DERMATOLOGIQUES CHEZ LE NOUVEAU NE Type de document : thĂšse Auteurs : KHALIL BASMA, Auteur AnnĂ©e de publication : 2013 Langues : Français (fre) Mots-clĂ©s : EPIDEMIOLOGIE FORMES CLINIQUES CONDUITE THERAPEUTIQUES RĂ©sumĂ© : parce qu'il s'agit d'“urgences vraies”, soit parce qu'il existe un risque de complications graves, soit encore en raison de la contagiosité potentielle pour l'entourage et la collectivité.
Les urgences dermatologiques néonatales sont fréquentes et variées du fait de l'immaturité fonctionnelle de la peau du nouveau-né qui expose aux complications thermiques, infectieuses et hydro électrolytiques.
Les dermatoses transitoires du nouveau-né sont fréquentes et bénignes (érythème toxique, hyperplasie sébacée...)
Toute éruption pustuleuse ou bulleuse néonatale doit systématiquement faire évoquer les étiologies infectieuses (bactériennes, virales et mycosiques) en raison de leur potentielle gravité à court terme (épidermolyse staphylococcique aigue ; hèrpes...).
Rarement, une génodermatose se révèle en période néonatale par des lésions bulleuses (épidermolyse bulleuse héréditaire).
Les érythrodermies néonatales et les troubles de la kératinisation congénitaux posent à court terme un problème étiologique et thérapeutique.
Les lésions de topographie médiane (cuir chevelu, région lombaire) doivent faire évoquer la possibilité d'un dysraphisme.
L'apparition de nodules cutanés chez le nouveau-né doit conduire à éliminer les causes malignes (métastases de neuroblastome, leucémie congénitale). Les nodules de pronostic bénin, plus fréquents, ne nécessitent souvent qu'une surveillance clinique.
Les examens complémentaires servent à confirmer le diagnostic suspecté cliniquement et orienter la prise en charge et doivent être réalisée au moindre doute pour ne pas passer a coté d'une véritable urgence.
Le traitement doit être urgent et justifié en raison de la fragilité du terrain d'une part et des caractéristiques physiques de la peau du nouveau-né favorisant la pénétration transépidermique des topiques
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M0042013 Président : BENTAHILA.A Directeur : JABOURIK.F Juge : MANSOURI.F LES URGENCES DERMATOLOGIQUES CHEZ LE NOUVEAU NE [thĂšse] / KHALIL BASMA, Auteur . - 2013.
Langues : Français (fre)
Mots-clĂ©s : EPIDEMIOLOGIE FORMES CLINIQUES CONDUITE THERAPEUTIQUES RĂ©sumĂ© : parce qu'il s'agit d'“urgences vraies”, soit parce qu'il existe un risque de complications graves, soit encore en raison de la contagiosité potentielle pour l'entourage et la collectivité.
Les urgences dermatologiques néonatales sont fréquentes et variées du fait de l'immaturité fonctionnelle de la peau du nouveau-né qui expose aux complications thermiques, infectieuses et hydro électrolytiques.
Les dermatoses transitoires du nouveau-né sont fréquentes et bénignes (érythème toxique, hyperplasie sébacée...)
Toute éruption pustuleuse ou bulleuse néonatale doit systématiquement faire évoquer les étiologies infectieuses (bactériennes, virales et mycosiques) en raison de leur potentielle gravité à court terme (épidermolyse staphylococcique aigue ; hèrpes...).
Rarement, une génodermatose se révèle en période néonatale par des lésions bulleuses (épidermolyse bulleuse héréditaire).
Les érythrodermies néonatales et les troubles de la kératinisation congénitaux posent à court terme un problème étiologique et thérapeutique.
Les lésions de topographie médiane (cuir chevelu, région lombaire) doivent faire évoquer la possibilité d'un dysraphisme.
L'apparition de nodules cutanés chez le nouveau-né doit conduire à éliminer les causes malignes (métastases de neuroblastome, leucémie congénitale). Les nodules de pronostic bénin, plus fréquents, ne nécessitent souvent qu'une surveillance clinique.
Les examens complémentaires servent à confirmer le diagnostic suspecté cliniquement et orienter la prise en charge et doivent être réalisée au moindre doute pour ne pas passer a coté d'une véritable urgence.
Le traitement doit être urgent et justifié en raison de la fragilité du terrain d'une part et des caractéristiques physiques de la peau du nouveau-né favorisant la pénétration transépidermique des topiques
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M0042013 Président : BENTAHILA.A Directeur : JABOURIK.F Juge : MANSOURI.F RĂ©servation
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Code barre Cote Support Localisation Section DisponibilitĂ© M0042013 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2013 Disponible
Titre : VERRUES VULGAIRES ET PLANTAIRES : EPIDEMIOLOGIE ET PRISE EN CHARGE Type de document : thĂšse Auteurs : Sara FLIS, Auteur AnnĂ©e de publication : 2022 Langues : Français (fre) Mots-clĂ©s : Verrues HPV Ă©pidĂ©miologie formes cliniques diagnostics diffĂ©rentiels prise en charge RĂ©sumĂ© : Les verrues sont des tumeurs bénignes dues au virus HPV. Il existe plus de
200 types d’HPV provoquant diverses manifestations cutanées et muqueuses. Les
HPV à tropisme cutané sont à l’origine des verrues vulgaires et plantaires. Leur
fréquence est évaluée à 7-10% de la population générale, touchant tous les âges
mais les enfants scolarisés et les jeunes adultes en représentent le principal
réservoir. La transmission se fait à partir de micro traumatismes cutanés, par
contact direct, indirect ou par auto inoculation. Selon le sous-type du HPV
contaminant, on distingue différentes formes cliniques : les verrues vulgaires, planes,
filiformes, périunguéales et sous unguéales, les verrues plantaires (myrmécies,
verrues translucides), l’épidermodysplasie verruciforme et le kératoacanthome. Il
faut donc identifier précisément le type de verrue et écarter les différents
diagnostics différentiels. La régression spontanée est habituelle pour les verrues
cutanées mais les récidives sont fréquentes. Les modalités thérapeutiques visent
à détruire l’épiderme infecté par des méthodes de destruction (chimiques,
physiques ou immunologiques). L’abstention thérapeutique est envisageable
dans certains cas. Aucun traitement n’est efficace à 100%. A l’avenir, l’espoir
repose sur les recherches de vaccination et les traitements immunomodulateurs.Numéro (Thèse ou Mémoire) : M0362022 Président : Yassine SEKHSOKH Directeur : Mimoun ZOUHDI Juge : Saida TELLAL Juge : Ahmed GAOUZI Juge : Mariama CHADLI VERRUES VULGAIRES ET PLANTAIRES : EPIDEMIOLOGIE ET PRISE EN CHARGE [thĂšse] / Sara FLIS, Auteur . - 2022.
Langues : Français (fre)
Mots-clĂ©s : Verrues HPV Ă©pidĂ©miologie formes cliniques diagnostics diffĂ©rentiels prise en charge RĂ©sumĂ© : Les verrues sont des tumeurs bénignes dues au virus HPV. Il existe plus de
200 types d’HPV provoquant diverses manifestations cutanées et muqueuses. Les
HPV à tropisme cutané sont à l’origine des verrues vulgaires et plantaires. Leur
fréquence est évaluée à 7-10% de la population générale, touchant tous les âges
mais les enfants scolarisés et les jeunes adultes en représentent le principal
réservoir. La transmission se fait à partir de micro traumatismes cutanés, par
contact direct, indirect ou par auto inoculation. Selon le sous-type du HPV
contaminant, on distingue différentes formes cliniques : les verrues vulgaires, planes,
filiformes, périunguéales et sous unguéales, les verrues plantaires (myrmécies,
verrues translucides), l’épidermodysplasie verruciforme et le kératoacanthome. Il
faut donc identifier précisément le type de verrue et écarter les différents
diagnostics différentiels. La régression spontanée est habituelle pour les verrues
cutanées mais les récidives sont fréquentes. Les modalités thérapeutiques visent
à détruire l’épiderme infecté par des méthodes de destruction (chimiques,
physiques ou immunologiques). L’abstention thérapeutique est envisageable
dans certains cas. Aucun traitement n’est efficace à 100%. A l’avenir, l’espoir
repose sur les recherches de vaccination et les traitements immunomodulateurs.Numéro (Thèse ou Mémoire) : M0362022 Président : Yassine SEKHSOKH Directeur : Mimoun ZOUHDI Juge : Saida TELLAL Juge : Ahmed GAOUZI Juge : Mariama CHADLI RĂ©servation
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Code barre Cote Support Localisation Section DisponibilitĂ© M0362022 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMed2022 Disponible M0362022-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMed2022 Disponible Documents numĂ©riques
M0362022URL