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ENQUETE SUR L’USAGE DE LA PHYTOTHERAPIE AU SEIN D’UNE OFFICINE DANS LA REGION DU GRAND CASABLANCA / Wahiba HAMDOUN
Titre : ENQUETE SUR L’USAGE DE LA PHYTOTHERAPIE AU SEIN D’UNE OFFICINE DANS LA REGION DU GRAND CASABLANCA Type de document : thèse Auteurs : Wahiba HAMDOUN, Auteur Année de publication : 2021 Langues : Français (fre) Mots-clés : Phytothérapie Officine interactions effet indésirable Résumé : Introduction : L'usage de la phytothérapie chez les patients ayant recours
à l'officine reste fréquent. Cette alternative thérapeutique est source d'effets
indésirables, de toxicité et dotée d'un potentiel important d'interactions avec
les thérapeutiques médicamenteuses. L’objectif de notre étude était de
déterminer la prévalence de la phytothérapie chez les patients d’officine et
d’étudier le profil épidémiologique de ces patients.
Matériels et méthodes : Étude prospective menée du premier juillet au
04 octobre 2019 au sein d'une officine de la région du grand Casablanca.
Résultats : La prévalence de la phytothérapie au sein de l’officine était
de 60%, une pratique au dépend du sexe féminin et de la profession. Les
troubles digestives et respiratoires représentaient les pathologies objet d'une
phytothérapie fréquente. Notre enquête a permis d'inventorier 73 espèces
végétales dont le feuillage était la partie la plus utilisée. L'infusion était le
mode fréquemment utilisé (42.2%), quant à la voie orale, elle représentait 79.4
% des voies d'administration. Des effets indésirables ont été signalés par 14
patients, les troubles digestifs étaient au premier rang. Une méconnaissance
importante au terme de toxicité et de contre-indications des plantes
médicinales était soulignée avec des pourcentages respectives de 93.3% et
91%.
Conclusion : L'usage de la phytothérapie reste fréquent chez les
patients ayant recours à l’officine. Cette alternative n'est pas anodine, ce qui
incite une formation auprès du pharmacien concernant le conseil en
phytothérapie.Numéro (Thèse ou Mémoire) : P0662021 Président : Jamal LAMSAOURI Directeur : Yassir BOUSLIMAN Juge : Katim ALAOUI Juge : Rachid NEJJARI Juge : Jaouad EL HARTI ENQUETE SUR L’USAGE DE LA PHYTOTHERAPIE AU SEIN D’UNE OFFICINE DANS LA REGION DU GRAND CASABLANCA [thèse] / Wahiba HAMDOUN, Auteur . - 2021.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Phytothérapie Officine interactions effet indésirable Résumé : Introduction : L'usage de la phytothérapie chez les patients ayant recours
à l'officine reste fréquent. Cette alternative thérapeutique est source d'effets
indésirables, de toxicité et dotée d'un potentiel important d'interactions avec
les thérapeutiques médicamenteuses. L’objectif de notre étude était de
déterminer la prévalence de la phytothérapie chez les patients d’officine et
d’étudier le profil épidémiologique de ces patients.
Matériels et méthodes : Étude prospective menée du premier juillet au
04 octobre 2019 au sein d'une officine de la région du grand Casablanca.
Résultats : La prévalence de la phytothérapie au sein de l’officine était
de 60%, une pratique au dépend du sexe féminin et de la profession. Les
troubles digestives et respiratoires représentaient les pathologies objet d'une
phytothérapie fréquente. Notre enquête a permis d'inventorier 73 espèces
végétales dont le feuillage était la partie la plus utilisée. L'infusion était le
mode fréquemment utilisé (42.2%), quant à la voie orale, elle représentait 79.4
% des voies d'administration. Des effets indésirables ont été signalés par 14
patients, les troubles digestifs étaient au premier rang. Une méconnaissance
importante au terme de toxicité et de contre-indications des plantes
médicinales était soulignée avec des pourcentages respectives de 93.3% et
91%.
Conclusion : L'usage de la phytothérapie reste fréquent chez les
patients ayant recours à l’officine. Cette alternative n'est pas anodine, ce qui
incite une formation auprès du pharmacien concernant le conseil en
phytothérapie.Numéro (Thèse ou Mémoire) : P0662021 Président : Jamal LAMSAOURI Directeur : Yassir BOUSLIMAN Juge : Katim ALAOUI Juge : Rachid NEJJARI Juge : Jaouad EL HARTI Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité P0662021 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesPharm2021 Disponible P0662021-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesPharm2021 Disponible Documents numériques
P0662021-1URL ENQUETE SUR L’USAGE DE LA PHYTOTHERAPIE AU SEIN D’UNE OFFICINE DANS LA REGION DU GRANDE CASABLANACA / HAMDOUN Wahiba
Titre : ENQUETE SUR L’USAGE DE LA PHYTOTHERAPIE AU SEIN D’UNE OFFICINE DANS LA REGION DU GRANDE CASABLANACA Type de document : thèse Auteurs : HAMDOUN Wahiba, Auteur Année de publication : 2020 Langues : Français (fre) Mots-clés : Phytothérapie officine interactions effet indésirable Résumé : Introduction : : L'usage de la phytothérapie chez les patients ayant recours
à l'officine reste fréquent. Cette alternative thérapeutique est source d'effets
indésirables, de toxicité et dotée d'un potentiel important d'interactions avec
les thérapeutiques médicamenteuses. L’objectif de notre étude était de
déterminer la prévalence de la phytothérapie chez les patients d’officine et
d’étudier le profil épidémiologique de ces patients.
Matériels et méthodes : Étude prospective menée du premier juillet
au 04 octobre 2019 au sein d'une officine de la région du grande Casablanca.
Résultats : La prévalence de la phytothérapie au sein de l’officine était
de 60%, une pratique au dépend du sexe féminin et de la profession. Les
troubles digestives et respiratoires représentaient les pathologies objet d'une
phytothérapie fréquente. Notre enquête a permis d'inventorier 73 espèces
végétales dont le feuillage était la partie la plus utilisée. L'infusion était le
mode fréquemment utilisé (42.2%), quant à la voie orale, elle représentait
79.4 % des voies d'administration. Des effets indésirables ont été signalés par
14 patients, les troubles digestifs étaient au premier rang. Une
méconnaissance importante au terme de toxicité et de contre-indications des
plantes médicinales était souligné avec des pourcentages respectives de
93.3% et 91%.
Conclusion: L'usage de la phytothérapie reste fréquent chez les
patients ayant recours à l’officine. Cette alternative n'est pas anodine, ce qui
incite une formation auprès du pharmacien concernant le conseil en
phytothérapie.Numéro (Thèse ou Mémoire) : P0372020 Président : LAMSAOURI.J Directeur : BOUSLIMAN .Y Juge : ALAOUI .K Juge : NEJJARI.R Juge : EL HARTI.J ENQUETE SUR L’USAGE DE LA PHYTOTHERAPIE AU SEIN D’UNE OFFICINE DANS LA REGION DU GRANDE CASABLANACA [thèse] / HAMDOUN Wahiba, Auteur . - 2020.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Phytothérapie officine interactions effet indésirable Résumé : Introduction : : L'usage de la phytothérapie chez les patients ayant recours
à l'officine reste fréquent. Cette alternative thérapeutique est source d'effets
indésirables, de toxicité et dotée d'un potentiel important d'interactions avec
les thérapeutiques médicamenteuses. L’objectif de notre étude était de
déterminer la prévalence de la phytothérapie chez les patients d’officine et
d’étudier le profil épidémiologique de ces patients.
Matériels et méthodes : Étude prospective menée du premier juillet
au 04 octobre 2019 au sein d'une officine de la région du grande Casablanca.
Résultats : La prévalence de la phytothérapie au sein de l’officine était
de 60%, une pratique au dépend du sexe féminin et de la profession. Les
troubles digestives et respiratoires représentaient les pathologies objet d'une
phytothérapie fréquente. Notre enquête a permis d'inventorier 73 espèces
végétales dont le feuillage était la partie la plus utilisée. L'infusion était le
mode fréquemment utilisé (42.2%), quant à la voie orale, elle représentait
79.4 % des voies d'administration. Des effets indésirables ont été signalés par
14 patients, les troubles digestifs étaient au premier rang. Une
méconnaissance importante au terme de toxicité et de contre-indications des
plantes médicinales était souligné avec des pourcentages respectives de
93.3% et 91%.
Conclusion: L'usage de la phytothérapie reste fréquent chez les
patients ayant recours à l’officine. Cette alternative n'est pas anodine, ce qui
incite une formation auprès du pharmacien concernant le conseil en
phytothérapie.Numéro (Thèse ou Mémoire) : P0372020 Président : LAMSAOURI.J Directeur : BOUSLIMAN .Y Juge : ALAOUI .K Juge : NEJJARI.R Juge : EL HARTI.J Réservation
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P0372020URL INTERACTIONS ALIMENTS MEDICAMENTS / Romuald Pascal Bénéwendé ZIDA
Titre : INTERACTIONS ALIMENTS MEDICAMENTS Type de document : thèse Auteurs : Romuald Pascal Bénéwendé ZIDA, Auteur Année de publication : 2023 Langues : Français (fre) Mots-clés : Interactions Médicaments Aliments Résumé : Les médicaments occupent aujourd’hui une place primordiale dans la prise en charge des
pathologies. Ces derniers sont susceptibles d’interagir avec d’autres substances d’origines
alimentaires conduisant à la modification des propriétés pharmacocinétiques et ou
pharmacodynamiques attendues. Ces interactions plus connues sous le nom de IAM
(interactions aliments médicaments) ont des conséquences pouvant aller d’une simple
diminution de la biodisponibilité sans conséquences cliniques significatives, à l’échec
thérapeutique. Certains cas d’IAM se sont cependant montrés bénéfiques pour le patient, en
améliorant la biodisponibilité des principes actifs, ou en permettant une modération des effets
indésirables du médicament.
Ces interactions peuvent être dues aux modifications physiologiques provoquées par le
processus de digestion indépendamment du type d’aliments consommés. D’autre part elles
peuvent être induites par le type d’aliments contenus dans la diète. Par ailleurs, les aliments ne
sont pas les seuls susceptibles d’induire des interactions. D’autres substances issues de plantes,
l’alcool, ou certains terrains particuliers sont également susceptibles d’induire des interactions.
La gestion du risque clinique lié à ces IAM est primordiale et passe par une connaissance solide
des mécanismes à l’origine de ces interactions et des recommandations. Ces recommandations
le plus souvent concernent le moment de prise des médicaments et l’exclusion ou la modération
de certains aliments ou groupe d’aliments. Ces conseils, tant dans le milieu hospitalier
qu’officinal sont indispensables pour la prévention et la prise en charge des IAM.Numéro (Thèse ou Mémoire) : P0442023 Président : Mina AIT EL CADI Directeur : Yassir BOUSLIMAN Juge : Soufiane DERRAJI Juge : Rachid NEJJARI INTERACTIONS ALIMENTS MEDICAMENTS [thèse] / Romuald Pascal Bénéwendé ZIDA, Auteur . - 2023.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Interactions Médicaments Aliments Résumé : Les médicaments occupent aujourd’hui une place primordiale dans la prise en charge des
pathologies. Ces derniers sont susceptibles d’interagir avec d’autres substances d’origines
alimentaires conduisant à la modification des propriétés pharmacocinétiques et ou
pharmacodynamiques attendues. Ces interactions plus connues sous le nom de IAM
(interactions aliments médicaments) ont des conséquences pouvant aller d’une simple
diminution de la biodisponibilité sans conséquences cliniques significatives, à l’échec
thérapeutique. Certains cas d’IAM se sont cependant montrés bénéfiques pour le patient, en
améliorant la biodisponibilité des principes actifs, ou en permettant une modération des effets
indésirables du médicament.
Ces interactions peuvent être dues aux modifications physiologiques provoquées par le
processus de digestion indépendamment du type d’aliments consommés. D’autre part elles
peuvent être induites par le type d’aliments contenus dans la diète. Par ailleurs, les aliments ne
sont pas les seuls susceptibles d’induire des interactions. D’autres substances issues de plantes,
l’alcool, ou certains terrains particuliers sont également susceptibles d’induire des interactions.
La gestion du risque clinique lié à ces IAM est primordiale et passe par une connaissance solide
des mécanismes à l’origine de ces interactions et des recommandations. Ces recommandations
le plus souvent concernent le moment de prise des médicaments et l’exclusion ou la modération
de certains aliments ou groupe d’aliments. Ces conseils, tant dans le milieu hospitalier
qu’officinal sont indispensables pour la prévention et la prise en charge des IAM.Numéro (Thèse ou Mémoire) : P0442023 Président : Mina AIT EL CADI Directeur : Yassir BOUSLIMAN Juge : Soufiane DERRAJI Juge : Rachid NEJJARI Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité P0442023 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesPharm2023 Disponible INTERACTIONS MEDICAMENT/ALIMENT : BASES SCIENTIFIQUES ET CONSEILS PRATIQUES / LATIFA LEKHDAR.
Titre : INTERACTIONS MEDICAMENT/ALIMENT : BASES SCIENTIFIQUES ET CONSEILS PRATIQUES Type de document : thèse Auteurs : LATIFA LEKHDAR., Auteur Année de publication : 2012 Langues : Français (fre) Mots-clés : MEDICAMENT ALIMENT INTERACTIONS Résumé : L’interaction médicaments/aliments est définie comme une interaction résultant d'une relation physique, chimique, physiologique ou physiopathologique entre un médicament pris par voie orale et un ou plusieurs éléments nutritifs constituants notre repas. Les aliments et les boissons sont les sources de deux types d’interactions avec les principes actifs : l'une est d’ordre pharmacocinétique impliquant différents mécanismes tels que la modification du temps du vidange gastrique ou de la solubilisation par les sels biliaires, et ayant comme conséquence une augmentation ou une diminution de l’absorption, qui semble la plus touchée. D’autre part le processus d’induction ou d’inhibition enzymatique peut affecter le métabolisme hépatique du médicament. Par contre les étapes de distribution et d’élimination sont les moins affectées. Cela peut se manifester par la modification de l’activité voire même de la toxicité du médicament. L’autre interaction est d’ordre pharmacodynamique, elle ne s’accompagne pas de modifications de concentrations sanguines, mais se produit au niveau de la cible thérapeutique. Sans ignorer que dans certains cas, notre repas peut apporter des effets bénéfiques, soit en diminuant les effets secondaires potentiels, soit en améliorant l’efficacité et la tolérance digestive.
La mise en évidence de l'interaction médicaments/aliments, va permettre au pharmacien de jouer un rôle primordiale par ses conseils pratiques, afin de renforcer l’observance du traitement, en diminuant les effets indésirables, et en optimisant l’effet thérapeutique associé à une alimentation saine.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : P0422012 Président : ADNAOUI.M Directeur : CHERRAH .Y Juge : BARKAT.A INTERACTIONS MEDICAMENT/ALIMENT : BASES SCIENTIFIQUES ET CONSEILS PRATIQUES [thèse] / LATIFA LEKHDAR., Auteur . - 2012.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : MEDICAMENT ALIMENT INTERACTIONS Résumé : L’interaction médicaments/aliments est définie comme une interaction résultant d'une relation physique, chimique, physiologique ou physiopathologique entre un médicament pris par voie orale et un ou plusieurs éléments nutritifs constituants notre repas. Les aliments et les boissons sont les sources de deux types d’interactions avec les principes actifs : l'une est d’ordre pharmacocinétique impliquant différents mécanismes tels que la modification du temps du vidange gastrique ou de la solubilisation par les sels biliaires, et ayant comme conséquence une augmentation ou une diminution de l’absorption, qui semble la plus touchée. D’autre part le processus d’induction ou d’inhibition enzymatique peut affecter le métabolisme hépatique du médicament. Par contre les étapes de distribution et d’élimination sont les moins affectées. Cela peut se manifester par la modification de l’activité voire même de la toxicité du médicament. L’autre interaction est d’ordre pharmacodynamique, elle ne s’accompagne pas de modifications de concentrations sanguines, mais se produit au niveau de la cible thérapeutique. Sans ignorer que dans certains cas, notre repas peut apporter des effets bénéfiques, soit en diminuant les effets secondaires potentiels, soit en améliorant l’efficacité et la tolérance digestive.
La mise en évidence de l'interaction médicaments/aliments, va permettre au pharmacien de jouer un rôle primordiale par ses conseils pratiques, afin de renforcer l’observance du traitement, en diminuant les effets indésirables, et en optimisant l’effet thérapeutique associé à une alimentation saine.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : P0422012 Président : ADNAOUI.M Directeur : CHERRAH .Y Juge : BARKAT.A Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité P0422012 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesPharm2012 Disponible