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ALOPÉCIES DU CUIR CHEVELU DANS LA MALADIE LUPIQUE: PROFIL ÉPIDÉMIOLOGIQUE, CLINICO-TRICHOSCOPIQUE ET PRONOSTIC (ÉTUDE UNICENTRIQUE PROSPECTIVE DE 38 CAS) / KARRAKCHOU BASMA
Titre : ALOPÉCIES DU CUIR CHEVELU DANS LA MALADIE LUPIQUE: PROFIL ÉPIDÉMIOLOGIQUE, CLINICO-TRICHOSCOPIQUE ET PRONOSTIC (ÉTUDE UNICENTRIQUE PROSPECTIVE DE 38 CAS) Type de document : thèse Auteurs : KARRAKCHOU BASMA, Auteur Année de publication : 2023 Langues : Français (fre) Mots-clés : lupus alopécies spécifiques non spécifiques trichoscopie lupus specific alopecia non-specific scalp trichoscopy الذئبة؛ صلعة؛ فروة الرأس؛ تنظير الشعر Résumé : Introduction : Les alopécies du lupus ont des présentations diverses, et des pronostics de
repousse et de survenue d’un LES variables. Objectifs : décrire leur profil épidémiologique,
clinico-trichoscopique, et pronostic.
Matériel et méthodes : Etude monocentrique prospective descriptive et analytique portant sur
38 cas d’alopécies associées au lupus cutané et/ou systémique, colligés au sein du service de
Dermatologie de l’hôpital Ibn Sina sur 12 mois.
Résultats : L’âge médian des patients était de 45ans, avec une prédominance féminine (76,3%).
L’alopécie était surtout non cicatricielle (57,9%), le plus souvent en plaques (63,1%). Le lupus
discoïde était la plus retrouvée (73,7%), suivie de l’alopécie en plaques du LES (15,8%), et à
pourcentage égal l’alopécie diffuse du LES, le cheveu lupique et le lupus tumidus (7,9%), et
enfin la panniculite lupique classique (5,2%). Dans les alopécies non-spécifiques, l’effluvium
télogène (55,3%) et la pelade (26,3%) étaient fréquents. La trichoscopie du lupus discoïde a
relevé des: bouchons cornés, érythème diffus et squames; et des vaisseaux arborescents épais
(p=0,05) dont les plus précoces étaient les vaisseaux arborescents fins (p=0,01). La panniculite
lupique était caractérisée par les : cheveux duvéteux, et vaisseaux arborescents. Les alopécies
du LES présentaient des : vaisseaux arborescents épais, et cheveux fins hypopigmentés. Le
lupus tumidus montrait des vaisseaux arborescents sur fond orangé. Il n’ y avait pas de relation
entre CLASI-A et alopécies lupiques. Le LES était quasi exclusif des alopécies non
cicatricielles dont celle en plaques du LES était prédictive d’un SLEDAI élevé (p=0,046). Seule
l’alopécie diffuse du LES a répondu au traitement.
Conclusion : Nos résultats soulignent l’importance de la trichoscopie dans le lupus car elle
permet le diagnostic du type permettant de prédire la repousse et la survenue d’un LES.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : MS0082023 Président : Mariame MEZIANE Directeur : Mariame MEZIANE ALOPÉCIES DU CUIR CHEVELU DANS LA MALADIE LUPIQUE: PROFIL ÉPIDÉMIOLOGIQUE, CLINICO-TRICHOSCOPIQUE ET PRONOSTIC (ÉTUDE UNICENTRIQUE PROSPECTIVE DE 38 CAS) [thèse] / KARRAKCHOU BASMA, Auteur . - 2023.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : lupus alopécies spécifiques non spécifiques trichoscopie lupus specific alopecia non-specific scalp trichoscopy الذئبة؛ صلعة؛ فروة الرأس؛ تنظير الشعر Résumé : Introduction : Les alopécies du lupus ont des présentations diverses, et des pronostics de
repousse et de survenue d’un LES variables. Objectifs : décrire leur profil épidémiologique,
clinico-trichoscopique, et pronostic.
Matériel et méthodes : Etude monocentrique prospective descriptive et analytique portant sur
38 cas d’alopécies associées au lupus cutané et/ou systémique, colligés au sein du service de
Dermatologie de l’hôpital Ibn Sina sur 12 mois.
Résultats : L’âge médian des patients était de 45ans, avec une prédominance féminine (76,3%).
L’alopécie était surtout non cicatricielle (57,9%), le plus souvent en plaques (63,1%). Le lupus
discoïde était la plus retrouvée (73,7%), suivie de l’alopécie en plaques du LES (15,8%), et à
pourcentage égal l’alopécie diffuse du LES, le cheveu lupique et le lupus tumidus (7,9%), et
enfin la panniculite lupique classique (5,2%). Dans les alopécies non-spécifiques, l’effluvium
télogène (55,3%) et la pelade (26,3%) étaient fréquents. La trichoscopie du lupus discoïde a
relevé des: bouchons cornés, érythème diffus et squames; et des vaisseaux arborescents épais
(p=0,05) dont les plus précoces étaient les vaisseaux arborescents fins (p=0,01). La panniculite
lupique était caractérisée par les : cheveux duvéteux, et vaisseaux arborescents. Les alopécies
du LES présentaient des : vaisseaux arborescents épais, et cheveux fins hypopigmentés. Le
lupus tumidus montrait des vaisseaux arborescents sur fond orangé. Il n’ y avait pas de relation
entre CLASI-A et alopécies lupiques. Le LES était quasi exclusif des alopécies non
cicatricielles dont celle en plaques du LES était prédictive d’un SLEDAI élevé (p=0,046). Seule
l’alopécie diffuse du LES a répondu au traitement.
Conclusion : Nos résultats soulignent l’importance de la trichoscopie dans le lupus car elle
permet le diagnostic du type permettant de prédire la repousse et la survenue d’un LES.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : MS0082023 Président : Mariame MEZIANE Directeur : Mariame MEZIANE Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité MS0082023 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires Mémoires de Masters Disponible
Titre : Diagnostic biologique du syndrome des antiphospholipides Type de document : thèse Auteurs : BABAKHOUYA Anass, Auteur Année de publication : 2019 Langues : Français (fre) Mots-clés : Syndrome Antiphospholipide Anticorps Thrombose Lupus Résumé : Le syndrome des antiphospholipides (SAPL) est une entité clinicobiologique associant une ou plusieurs des manifestations cliniques : thromboses veineuses répétées, accidents artériels intéressant surtout le système nerveux central, pertes fœtales récidivantes, et biologiquement, un taux élevé d’autoanticorps antiphospholipides (aPL) : anticorps anticardiolipine (aCL) d’isotype IgG ou IgM, anticorps anti-β2-GPI et/ou du lupus anticoagulant (LA) vérifié à deux reprises à 12 semaines d’intervalle.
La présence d‘un LA et d‘aCL sont les deux critères biologiques les plus anciens introduits dans la définition du SAPL. Lors de la révision des critères biologiques publiée en 2006, les principaux points à noter sont l‘introduction des anticorps aβ2-GPI comme critère biologique plus spécifique du SAPL que les aCL, l‘introduction d‘un seuil de positivité fixé > 99e percentile, ainsi que la nécessité d‘attester la persistance des aPLs pendant au moins 12 semaines.
Les aPLs constituent un groupe hétérogène d‘autoanticorps détectés par deux méthodes : des tests de coagulation mettant en évidence un inhibiteur dépendant des phospholipides ou lupus anticoagulant et des tests immunologiques de type ELISA de dosage des anticorps anticardiolipine et anti-β2-glycoprotéine I d‘isotypes IgG ou IgM. D‘autres auto-anticorps comme les anticorps anti-phosphatidyléthanolamine ou les anticorps anti-complexes phosphatidylsérine/prothrombine pourraient avoir un intérêt diagnostic en l‘absence des anticorps habituellement présents.
La stratégie diagnostique des aPL a fait l‘objet d‘un effort de standardisation et de simplification mais des avancées sont encore nécessaires, notamment le développement d‘étalons mono et/ou polyclonaux. Certaines questions demeurent en suspens, en particulier l‘intérêt des anticorps anti-phosphatidyléthanolamine et anti-prothrombine.
Vu la variabilité inter-laboratoires des résultats, il est indispensable d‘effectuer le suivi biologique du SAPL dans le même laboratoire, et si possible avec les mêmes réactifs.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : P0442019 Président : ZOUHDI.M Directeur : SEKHSOKH.Y Juge : GAOUZI.A Juge : EL HAMZAOUI.S Juge : TELLAL.S Diagnostic biologique du syndrome des antiphospholipides [thèse] / BABAKHOUYA Anass, Auteur . - 2019.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Syndrome Antiphospholipide Anticorps Thrombose Lupus Résumé : Le syndrome des antiphospholipides (SAPL) est une entité clinicobiologique associant une ou plusieurs des manifestations cliniques : thromboses veineuses répétées, accidents artériels intéressant surtout le système nerveux central, pertes fœtales récidivantes, et biologiquement, un taux élevé d’autoanticorps antiphospholipides (aPL) : anticorps anticardiolipine (aCL) d’isotype IgG ou IgM, anticorps anti-β2-GPI et/ou du lupus anticoagulant (LA) vérifié à deux reprises à 12 semaines d’intervalle.
La présence d‘un LA et d‘aCL sont les deux critères biologiques les plus anciens introduits dans la définition du SAPL. Lors de la révision des critères biologiques publiée en 2006, les principaux points à noter sont l‘introduction des anticorps aβ2-GPI comme critère biologique plus spécifique du SAPL que les aCL, l‘introduction d‘un seuil de positivité fixé > 99e percentile, ainsi que la nécessité d‘attester la persistance des aPLs pendant au moins 12 semaines.
Les aPLs constituent un groupe hétérogène d‘autoanticorps détectés par deux méthodes : des tests de coagulation mettant en évidence un inhibiteur dépendant des phospholipides ou lupus anticoagulant et des tests immunologiques de type ELISA de dosage des anticorps anticardiolipine et anti-β2-glycoprotéine I d‘isotypes IgG ou IgM. D‘autres auto-anticorps comme les anticorps anti-phosphatidyléthanolamine ou les anticorps anti-complexes phosphatidylsérine/prothrombine pourraient avoir un intérêt diagnostic en l‘absence des anticorps habituellement présents.
La stratégie diagnostique des aPL a fait l‘objet d‘un effort de standardisation et de simplification mais des avancées sont encore nécessaires, notamment le développement d‘étalons mono et/ou polyclonaux. Certaines questions demeurent en suspens, en particulier l‘intérêt des anticorps anti-phosphatidyléthanolamine et anti-prothrombine.
Vu la variabilité inter-laboratoires des résultats, il est indispensable d‘effectuer le suivi biologique du SAPL dans le même laboratoire, et si possible avec les mêmes réactifs.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : P0442019 Président : ZOUHDI.M Directeur : SEKHSOKH.Y Juge : GAOUZI.A Juge : EL HAMZAOUI.S Juge : TELLAL.S Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité P0442019 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesPharm2019 Disponible P0442019-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesPharm2019 Disponible Documents numériques
P0442019URL
Titre : LES INFECTIONS AU COURS DU LUPUS ERYTHEMATEUX SYSTEMIQUE. Type de document : thèse Auteurs : OUALI Fadoua, Auteur Année de publication : 2019 Langues : Français (fre) Mots-clés : Bactéries Lupus Parasites Prévention Virus Résumé : Le lupus érythémateux systémique (LES) est une maladie auto-immune, d’étiopathogénie complexe ; il est aujourd’hui bien établi que cette maladie résulte de l’interaction de plusieurs facteurs génétiques et environnementaux, aboutissant à une activation inappropriée du système immunitaire.
Le LES se caractérise par une atteinte systémique très polymorphe et une réponse auto-immune dirigée contre des antigènes nucléaires. Il touche préférentiellement la femme jeune en âge de procréer et évolue par poussées entrecoupées de phases de rémission.
L’infection est l’une des principales causes de morbidité et de mortalité chez les patients atteints de LES.
Plusieurs facteurs prédisposent aux infections : l’activité de la maladie lupique et les thérapeutiques utilisées, particulièrement les corticoïdes et les immunosuppresseurs.
Les infections bactériennes sont les complications les plus fréquentes, elles sont responsables de 11 à 23% des hospitalisations des patients lupiques et de 20 à 55% des décès. Les germes les plus couramment en cause sont Staphylococcus aureus, Staphylococcus pneumoniae et Escherichia coli.
Les données globales sur l’incidence des infections virales au cours du lupus sont peu nombreuses. Il s’agit essentiellement d’infection à Virus varicelle zona.
Plusieurs parasitoses sont responsables d’infections potentiellement graves chez les patients lupiques. C'est le cas des : Leishmanias et Toxoplasma gondii.
Le traitement de ces infections repose essentiellement sur : les antibiotiques, les antiviraux et les antiparasitaires.
La prévention passe par un bilan pré-thérapeutique systématique avant la mise en route de traitement, et aussi par la mise à jour des vaccinations, l’information et l'éducation des patients.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M2272019 Président : GAOUZI.A Directeur : SEKHSOKH.Y Juge : EL HAMZAOUI.S Juge : TELLAL.S LES INFECTIONS AU COURS DU LUPUS ERYTHEMATEUX SYSTEMIQUE. [thèse] / OUALI Fadoua, Auteur . - 2019.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Bactéries Lupus Parasites Prévention Virus Résumé : Le lupus érythémateux systémique (LES) est une maladie auto-immune, d’étiopathogénie complexe ; il est aujourd’hui bien établi que cette maladie résulte de l’interaction de plusieurs facteurs génétiques et environnementaux, aboutissant à une activation inappropriée du système immunitaire.
Le LES se caractérise par une atteinte systémique très polymorphe et une réponse auto-immune dirigée contre des antigènes nucléaires. Il touche préférentiellement la femme jeune en âge de procréer et évolue par poussées entrecoupées de phases de rémission.
L’infection est l’une des principales causes de morbidité et de mortalité chez les patients atteints de LES.
Plusieurs facteurs prédisposent aux infections : l’activité de la maladie lupique et les thérapeutiques utilisées, particulièrement les corticoïdes et les immunosuppresseurs.
Les infections bactériennes sont les complications les plus fréquentes, elles sont responsables de 11 à 23% des hospitalisations des patients lupiques et de 20 à 55% des décès. Les germes les plus couramment en cause sont Staphylococcus aureus, Staphylococcus pneumoniae et Escherichia coli.
Les données globales sur l’incidence des infections virales au cours du lupus sont peu nombreuses. Il s’agit essentiellement d’infection à Virus varicelle zona.
Plusieurs parasitoses sont responsables d’infections potentiellement graves chez les patients lupiques. C'est le cas des : Leishmanias et Toxoplasma gondii.
Le traitement de ces infections repose essentiellement sur : les antibiotiques, les antiviraux et les antiparasitaires.
La prévention passe par un bilan pré-thérapeutique systématique avant la mise en route de traitement, et aussi par la mise à jour des vaccinations, l’information et l'éducation des patients.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M2272019 Président : GAOUZI.A Directeur : SEKHSOKH.Y Juge : EL HAMZAOUI.S Juge : TELLAL.S Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M2272019 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2019 Disponible M2272019 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2019 Disponible Documents numériques
M2272019URL LUPUS ERYTHEMATEUX SYSTEMIQUE ET AMYOTROPHE SPINALE CHEZ L'ENFANT / BELFATMI MERIEME
Titre : LUPUS ERYTHEMATEUX SYSTEMIQUE ET AMYOTROPHE SPINALE CHEZ L'ENFANT Type de document : thèse Auteurs : BELFATMI MERIEME, Auteur Année de publication : 2008 Langues : Français (fre) Mots-clés : Lupus Amyotrophie spinale Clinique Etiopathogénie Traitement Index. décimale : WA SANTE PUBLIQUE - PROFESSION MEDICALE Résumé : Le lupus érythémateux systémique est une maladie auto-immune caractérisée par un grand polymorphisme clinique.Son diagnostic immunologique repose sur la mise en évidence d’anticorps anti-nucléaires à taux élevé et inconstamment la mise en évidence d’autres anticorps.La maladie évolue par poussées successives plus ou moins regressives.Le pronostic dépend de la gravité des séquelles viscérales.Le traitement repose sur des mesures symptomatiques, des médications à action lente, des corticoïdes et des immunosuppresseurs.
L’amyotrophie spinale est une maladie neuromusculaire, transmissible selon le mode autosomoque récessif, due à la dégénérescence des cellules nerveuses motrices ou motoneurones périphériques de la moelle épinière. La symptomatologie clinique est dominée par une faiblesse et une fonte musculaires. Le diagnostic positif est génétique.La maladie est traditionnellement classée en quatre formes , en fonction du début des signes et de l’évolution de l’handicap.
Nous rapportons l’observation d’une jeune fille de 13 ans présentant des troubles de la marche et faiblesse musculaire évoluant de puis l’âge de 5 ans.Les investigations réalisées ont permis de poser le diagnostic d’une amyotrophie spinale de type III ou maladie de Kugelberg-Welander.Parailleurs la patiente remplissait quatre critères de l’ACR de la maladie lupique ce qui nous a conduit à retenir le diagnostic d’un lupus érythémateux aigu disséminé.
L’association entre lupus systémique et amyotrophie spinale n’a jamais été décrite dans la littérature jusqu’à notre jour et à notre connaissance.
L’anomalie génétique est responsable de l’amyotrophie spinale, cependant elle peut être facteur déclenchant et d’entretien du lupus érythémateux systémique.
L’association du lupus érythémateux systémique à l’amyotrophie spinale vient appuyer l’hypothèse de la participation génétique à son origine.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M1722008 Président : BENTAHILA ABDELALI Directeur : JABOURIK FATIMA Juge : CHERRADI NADIA LUPUS ERYTHEMATEUX SYSTEMIQUE ET AMYOTROPHE SPINALE CHEZ L'ENFANT [thèse] / BELFATMI MERIEME, Auteur . - 2008.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Lupus Amyotrophie spinale Clinique Etiopathogénie Traitement Index. décimale : WA SANTE PUBLIQUE - PROFESSION MEDICALE Résumé : Le lupus érythémateux systémique est une maladie auto-immune caractérisée par un grand polymorphisme clinique.Son diagnostic immunologique repose sur la mise en évidence d’anticorps anti-nucléaires à taux élevé et inconstamment la mise en évidence d’autres anticorps.La maladie évolue par poussées successives plus ou moins regressives.Le pronostic dépend de la gravité des séquelles viscérales.Le traitement repose sur des mesures symptomatiques, des médications à action lente, des corticoïdes et des immunosuppresseurs.
L’amyotrophie spinale est une maladie neuromusculaire, transmissible selon le mode autosomoque récessif, due à la dégénérescence des cellules nerveuses motrices ou motoneurones périphériques de la moelle épinière. La symptomatologie clinique est dominée par une faiblesse et une fonte musculaires. Le diagnostic positif est génétique.La maladie est traditionnellement classée en quatre formes , en fonction du début des signes et de l’évolution de l’handicap.
Nous rapportons l’observation d’une jeune fille de 13 ans présentant des troubles de la marche et faiblesse musculaire évoluant de puis l’âge de 5 ans.Les investigations réalisées ont permis de poser le diagnostic d’une amyotrophie spinale de type III ou maladie de Kugelberg-Welander.Parailleurs la patiente remplissait quatre critères de l’ACR de la maladie lupique ce qui nous a conduit à retenir le diagnostic d’un lupus érythémateux aigu disséminé.
L’association entre lupus systémique et amyotrophie spinale n’a jamais été décrite dans la littérature jusqu’à notre jour et à notre connaissance.
L’anomalie génétique est responsable de l’amyotrophie spinale, cependant elle peut être facteur déclenchant et d’entretien du lupus érythémateux systémique.
L’association du lupus érythémateux systémique à l’amyotrophie spinale vient appuyer l’hypothèse de la participation génétique à son origine.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M1722008 Président : BENTAHILA ABDELALI Directeur : JABOURIK FATIMA Juge : CHERRADI NADIA Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M1722008 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2008 Disponible LA NEPHROPATHIE LUPIQUE CHEZ L’ENFANT (A PROPOS DE 26 CAS) / SARA BENCHIDMI
Titre : LA NEPHROPATHIE LUPIQUE CHEZ L’ENFANT (A PROPOS DE 26 CAS) Type de document : thèse Auteurs : SARA BENCHIDMI, Auteur Année de publication : 2023 Langues : Français (fre) Mots-clés : Néphropathie lupus Glomérulonéphrite Epidémiologie Maladies autoimmunes Résumé : Le lupus érythémateux disséminé représente la maladie systémique auto-immune la
plus fréquente entraînant des atteintes rénales.
Notre étude, basée sur les critères de la SLICC validés chez les enfants, vise à explorer
les caractéristiques épidémiologiques, cliniques, paracliniques, thérapeutiques et
évolutives de la néphropathie lupique chez les enfants. Nous avons mené une étude
rétrospective, recueillant les données de 26 cas de néphropathie lupique au service de
cardiologie-néphrologie-hématologie et rhumatologie pédiatrique de l'hôpital d'enfants
de Rabat entre Juin2013 et Juin2023. L'atteinte rénale chez les enfants atteints de lupus
est sévère, caractérisée par une protéinurie positive 42,3% néphrotique, 23% hématurie
positive, 76% insuffisance rénale. Tous les patients, à l'exception d'un cas présentant
une cardiomyopathie probablement lupique, ont subi une PBR. Les résultats
histologiques montrent une prédominance des glomérulonéphrites de type III (42,3%),
suivies des types II (19%), IV (23%), V (une patiente avec une néphrite membraneuse)
et I (un seul patient). Outre l'atteinte rénale, les manifestations cliniques comprennent
la fièvre (50%), des manifestations cutanées (65,3%), des manifestations articulaires
(73%), un épanchement péricardique (7,6%) ainsi qu'une atteinte neurologique. Les
anticorps anti-nucléaires sont positifs chez 73% des patients, les anticorps anti-DNA
chez 61,5%, et le complément est consommé chez 65%. Tous les patients ont reçu une
corticothérapie, et 80% ont été traités par immunosuppresseurs. L'Endoxan a été utilisé
comme traitement d'attaque dans 65% des cas, et le mycophénolate mofétil dans 30%.
La rémission complète a été obtenue chez 46% des patients. La mise en place d'un
registre national du lupus pédiatrique au Maroc pourrait contribuer à établir un profil
de la néphropathie lupique dans le pays, fournissant ainsi des orientations pour la prise
en charge à l'échelle nationale.Numéro (Thèse ou Mémoire) : MS2972023 Directeur : AIT OUAMAR HASSAN LA NEPHROPATHIE LUPIQUE CHEZ L’ENFANT (A PROPOS DE 26 CAS) [thèse] / SARA BENCHIDMI, Auteur . - 2023.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Néphropathie lupus Glomérulonéphrite Epidémiologie Maladies autoimmunes Résumé : Le lupus érythémateux disséminé représente la maladie systémique auto-immune la
plus fréquente entraînant des atteintes rénales.
Notre étude, basée sur les critères de la SLICC validés chez les enfants, vise à explorer
les caractéristiques épidémiologiques, cliniques, paracliniques, thérapeutiques et
évolutives de la néphropathie lupique chez les enfants. Nous avons mené une étude
rétrospective, recueillant les données de 26 cas de néphropathie lupique au service de
cardiologie-néphrologie-hématologie et rhumatologie pédiatrique de l'hôpital d'enfants
de Rabat entre Juin2013 et Juin2023. L'atteinte rénale chez les enfants atteints de lupus
est sévère, caractérisée par une protéinurie positive 42,3% néphrotique, 23% hématurie
positive, 76% insuffisance rénale. Tous les patients, à l'exception d'un cas présentant
une cardiomyopathie probablement lupique, ont subi une PBR. Les résultats
histologiques montrent une prédominance des glomérulonéphrites de type III (42,3%),
suivies des types II (19%), IV (23%), V (une patiente avec une néphrite membraneuse)
et I (un seul patient). Outre l'atteinte rénale, les manifestations cliniques comprennent
la fièvre (50%), des manifestations cutanées (65,3%), des manifestations articulaires
(73%), un épanchement péricardique (7,6%) ainsi qu'une atteinte neurologique. Les
anticorps anti-nucléaires sont positifs chez 73% des patients, les anticorps anti-DNA
chez 61,5%, et le complément est consommé chez 65%. Tous les patients ont reçu une
corticothérapie, et 80% ont été traités par immunosuppresseurs. L'Endoxan a été utilisé
comme traitement d'attaque dans 65% des cas, et le mycophénolate mofétil dans 30%.
La rémission complète a été obtenue chez 46% des patients. La mise en place d'un
registre national du lupus pédiatrique au Maroc pourrait contribuer à établir un profil
de la néphropathie lupique dans le pays, fournissant ainsi des orientations pour la prise
en charge à l'échelle nationale.Numéro (Thèse ou Mémoire) : MS2972023 Directeur : AIT OUAMAR HASSAN Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité MS2972023 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires Mémoires de Spécialités Disponible