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Intoxication par les plantes dans la région du Gharb-Chrarda-Beni Hssen : à propos de 103 cas/35 ans / CHATER Sara
Titre : Intoxication par les plantes dans la région du Gharb-Chrarda-Beni Hssen : à propos de 103 cas/35 ans Type de document : thèse Auteurs : CHATER Sara, Auteur Année de publication : 2016 Langues : Français (fre) Mots-clés : Intoxication plante Mâajoune Addad Harmel. Résumé : Introduction :
Les intoxications par les plantes constituent un problème de santé publique de par leur fréquence et leur gravité. Elles peuvent survenir dans des circonstances accidentelles ou volontaires et risquent d’être létale.
Matériels et méthodes :
Il s’agit d’une étude rétrospective s’étalant du janvier 1980 au décembre 2015 (35 ans), concernant les cas d’intoxications par les plantes dans notre région et déclarés au CAPM.
Résultats :
Durant notre période d’étude, on a recensé 1O3 cas d’intoxication soit 2% de l’ensemble des intoxications déclarées. Les provinces touchées sont Kenitra (68%), Sidi Kacem (27%) et Sidi Slimane (2,9%). Les déclarations ont été en hausse en 2003 et en 2007 avec une recrudescence des intoxications au cours du printemps (40,7%) et hiver (24,3%). Les plantes incriminées sont Mâajoune (20%),le Chardon à glu (12%), le Harmel(11%), Chedcq-e-jemel (7%), l’huile de cade (4%), Irni(2%), Guetran ( 2%) et Weden El Fil dans 2% des cas.En revanche, d’autres plantessont moins incriminées (18%). Tous les âges sont concernés avec une augmentation chez l’adulte (41,7%), le sexe ratio est de 1,04. Ces intoxications ont eu lieu essentiellement en milieu urbain (40,7%). Elles sont surtout accidentelles (64,3%). Les symptômes gastro-intestinaux sont les plus fréquents (28,9%) dont le traitement est souvent symptomatique. Ces intoxications sont de gravité modérée dans 45% avec une évolution favorable dans 89,5% et une mortalité de 9,2% liée essentiellement au Chardon à glu.
Conclusion :
Afin de réduire ce pourcentage macabre des mesures préventives doivent être appliquées faisant appel à la sensibilisation publique et la lutte contre la croissance des plantes toxiques.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M3382016 Président : BAITE.A Directeur : ELHAMZAOUI.S Juge : TELLAL.S Juge : SEKHSOKH.Y Juge : GAOUZI.A- Intoxication par les plantes dans la région du Gharb-Chrarda-Beni Hssen : à propos de 103 cas/35 ans [thèse] / CHATER Sara, Auteur . - 2016.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Intoxication plante Mâajoune Addad Harmel. Résumé : Introduction :
Les intoxications par les plantes constituent un problème de santé publique de par leur fréquence et leur gravité. Elles peuvent survenir dans des circonstances accidentelles ou volontaires et risquent d’être létale.
Matériels et méthodes :
Il s’agit d’une étude rétrospective s’étalant du janvier 1980 au décembre 2015 (35 ans), concernant les cas d’intoxications par les plantes dans notre région et déclarés au CAPM.
Résultats :
Durant notre période d’étude, on a recensé 1O3 cas d’intoxication soit 2% de l’ensemble des intoxications déclarées. Les provinces touchées sont Kenitra (68%), Sidi Kacem (27%) et Sidi Slimane (2,9%). Les déclarations ont été en hausse en 2003 et en 2007 avec une recrudescence des intoxications au cours du printemps (40,7%) et hiver (24,3%). Les plantes incriminées sont Mâajoune (20%),le Chardon à glu (12%), le Harmel(11%), Chedcq-e-jemel (7%), l’huile de cade (4%), Irni(2%), Guetran ( 2%) et Weden El Fil dans 2% des cas.En revanche, d’autres plantessont moins incriminées (18%). Tous les âges sont concernés avec une augmentation chez l’adulte (41,7%), le sexe ratio est de 1,04. Ces intoxications ont eu lieu essentiellement en milieu urbain (40,7%). Elles sont surtout accidentelles (64,3%). Les symptômes gastro-intestinaux sont les plus fréquents (28,9%) dont le traitement est souvent symptomatique. Ces intoxications sont de gravité modérée dans 45% avec une évolution favorable dans 89,5% et une mortalité de 9,2% liée essentiellement au Chardon à glu.
Conclusion :
Afin de réduire ce pourcentage macabre des mesures préventives doivent être appliquées faisant appel à la sensibilisation publique et la lutte contre la croissance des plantes toxiques.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M3382016 Président : BAITE.A Directeur : ELHAMZAOUI.S Juge : TELLAL.S Juge : SEKHSOKH.Y Juge : GAOUZI.A- Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M3382016 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2016 Disponible M3382016-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2016 Disponible les intoxications par les plantes: expérience centre anti poison et Pharmacovigilance du maroc (2001-2015) / MOUNIR Radia
Titre : les intoxications par les plantes: expérience centre anti poison et Pharmacovigilance du maroc (2001-2015) Type de document : thèse Auteurs : MOUNIR Radia, Auteur Année de publication : P1362018 Langues : Français (fre) Mots-clés : Intoxication plante Mâajoune Addad Harmel. Résumé : Introduction :Les intoxications par les plantes constituent un problème de santé publique de par leur fréquence et leur gravité. Elles peuvent survenir dans des circonstances accidentelles ou volontaires et risquent d’être létale.
L’objectif de notre travail est de mettre le point sur la fréquence des intoxications aigues par les plantes au Maroc, ensuite décrire les caractéristiques spatio-temporelles, épidémiologiques, cliniques, et thérapeutiques de ce type d’intoxication, et enfin proposer des moyens préventifs adaptés à notre contexte.
Matériels et méthodes :Il s’agit d’une étude rétrospective s’étalant du janvier 2001 au décembre 2015 (15 ans), concernant les cas d’intoxications par les plantes déclarés au CAPM.
Résultats :Durant notre période d’étude, on a recensé 3267 cas d’intoxication par les plantes. La Région de Casablanca-Settat a connu le plus grand nombre de déclarations avec 883 cas (27%) suivie de celles de Rabat-Salé-Kénitra et Fès-Meknès avec respectivement 767 cas (23%) et 363 cas (11%). Les déclarations ont été en hausse en 2003 et en 2004, avec une recrudescence des intoxications durant la période automnale incluant 958 cas soit 29,32 %. Le Mâajoune était le plus incriminé avec 28,95 % des cas, et parmi les principales plantes ayant provoqué des intoxications au Maroc durant la période d’étude sont le chardon à glu avec 6,39% de cas, le ricin avec 3,67% suivi du harmel avec 3,64%, la stramoine représente 3.09% d’intoxications et le cannabis avec 1,62%, le cadier suit avec 1.43% de cas, la mandragore et la noix de muscade représentent respectivement 1.22% et 0.91% des cas, et la nigelle 0.88%, le henné représente 0.76% de cas, le laurier rose 0.39%, enfin le giroflier avec un pourcentage de 0,27%. Tous les âges sont concernés avec une augmentation chez l’adulte (43,31%), le sexe ratio est de 1,36. Ces intoxications ont eu lieu essentiellement en milieu urbain avec 2286 cas contre 579 cas en milieu rural. Elles sont surtout accidentelles (55,86%).
Les signes digestifs sont les plus fréquents (31,46%) dont le traitement est souvent symptomatique. Ces intoxications sont de gravité modérée dans 57,79% avec une évolution favorable dans 89,5% et une mortalité de 3,15% liée essentiellement au Chardon à glu.
Conclusion : Afin de réduire ce pourcentage macabre des intoxications par les plantes, des mesures préventives doivent être appliquées faisant appel à la sensibilisation publique et la lutte contre la croissance des plantes toxiques.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : P1362018 Président : EL JAOUDI.R Directeur : BOUSLIMAN.Y Juge : AIT ELCADI.M Juge : EL HARTI.J Juge : BOUATIA.M-RHALEM.N les intoxications par les plantes: expérience centre anti poison et Pharmacovigilance du maroc (2001-2015) [thèse] / MOUNIR Radia, Auteur . - P1362018.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Intoxication plante Mâajoune Addad Harmel. Résumé : Introduction :Les intoxications par les plantes constituent un problème de santé publique de par leur fréquence et leur gravité. Elles peuvent survenir dans des circonstances accidentelles ou volontaires et risquent d’être létale.
L’objectif de notre travail est de mettre le point sur la fréquence des intoxications aigues par les plantes au Maroc, ensuite décrire les caractéristiques spatio-temporelles, épidémiologiques, cliniques, et thérapeutiques de ce type d’intoxication, et enfin proposer des moyens préventifs adaptés à notre contexte.
Matériels et méthodes :Il s’agit d’une étude rétrospective s’étalant du janvier 2001 au décembre 2015 (15 ans), concernant les cas d’intoxications par les plantes déclarés au CAPM.
Résultats :Durant notre période d’étude, on a recensé 3267 cas d’intoxication par les plantes. La Région de Casablanca-Settat a connu le plus grand nombre de déclarations avec 883 cas (27%) suivie de celles de Rabat-Salé-Kénitra et Fès-Meknès avec respectivement 767 cas (23%) et 363 cas (11%). Les déclarations ont été en hausse en 2003 et en 2004, avec une recrudescence des intoxications durant la période automnale incluant 958 cas soit 29,32 %. Le Mâajoune était le plus incriminé avec 28,95 % des cas, et parmi les principales plantes ayant provoqué des intoxications au Maroc durant la période d’étude sont le chardon à glu avec 6,39% de cas, le ricin avec 3,67% suivi du harmel avec 3,64%, la stramoine représente 3.09% d’intoxications et le cannabis avec 1,62%, le cadier suit avec 1.43% de cas, la mandragore et la noix de muscade représentent respectivement 1.22% et 0.91% des cas, et la nigelle 0.88%, le henné représente 0.76% de cas, le laurier rose 0.39%, enfin le giroflier avec un pourcentage de 0,27%. Tous les âges sont concernés avec une augmentation chez l’adulte (43,31%), le sexe ratio est de 1,36. Ces intoxications ont eu lieu essentiellement en milieu urbain avec 2286 cas contre 579 cas en milieu rural. Elles sont surtout accidentelles (55,86%).
Les signes digestifs sont les plus fréquents (31,46%) dont le traitement est souvent symptomatique. Ces intoxications sont de gravité modérée dans 57,79% avec une évolution favorable dans 89,5% et une mortalité de 3,15% liée essentiellement au Chardon à glu.
Conclusion : Afin de réduire ce pourcentage macabre des intoxications par les plantes, des mesures préventives doivent être appliquées faisant appel à la sensibilisation publique et la lutte contre la croissance des plantes toxiques.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : P1362018 Président : EL JAOUDI.R Directeur : BOUSLIMAN.Y Juge : AIT ELCADI.M Juge : EL HARTI.J Juge : BOUATIA.M-RHALEM.N Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité P1362018 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesPharm2018 Disponible P1362018-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesPharm2018 Disponible Documents numériques
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