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Titre : Déficit en vitamine D et troubles dépressifs Type de document : thèse Auteurs : Fatima Zohra GHERIB, Auteur Année de publication : 2015 Langues : Français (fre) Mots-clés : Vitamine D 25- hydroxy-vitamine D Hypovitaminose D Dépression. Résumé : La vitamine D est désormais considérée comme une pré-prohormone avec plus
d’une trentaine de tissus cibles. Son rôle semble plus étendu que celui déjà connu sur
le système squelettique. Elle agit sur la synthèse de facteurs neurotrophiques et
celle des neurotransmetteurs, action qui lui confère un rôle de neuroprotection.
L’insuffisance en vitamine D est une problématique mondiale, touchant toutes
les tranches d’âge.Sa prévalence varie selon les seuils retenus pour définir le statut de carence ou d’insuffisance.
Le calcidiol ou 25(OH)D est la forme circulante prépondérante et constitue le meilleur reflet des réserves en vitamine D de l’organisme. Son dosage permet ainsi de mettre en évidence une carence quelle qu’en soit l’origine et de surveiller les traitements par
la vitamine D.
La carence en vitamine D n’est pas seulement préjudiciable à la santé physique,
elle pourrait également influer sur la santé mentale.
De nombreuses hypothèses avaient été émises sur l’éventualité d’une relation entre
le déficit en vitamine D et la dépression.
Pour argumenter ceci, certaines équipes ont étudié le rapport entre l’hypovitaminose D et la dépression, en dosant la 25(OH)D. Comparativement aux contrôles, les taux les plus bas étaient chez les dépressifs, particulièrement ceux aux symptômes les plus sévères.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : P0472015 Président : BICHRA.M.Z Directeur : EL HAMDAOUI.S Juge : MESSAOUDI.N Juge : SABIR.M Déficit en vitamine D et troubles dépressifs [thèse] / Fatima Zohra GHERIB, Auteur . - 2015.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Vitamine D 25- hydroxy-vitamine D Hypovitaminose D Dépression. Résumé : La vitamine D est désormais considérée comme une pré-prohormone avec plus
d’une trentaine de tissus cibles. Son rôle semble plus étendu que celui déjà connu sur
le système squelettique. Elle agit sur la synthèse de facteurs neurotrophiques et
celle des neurotransmetteurs, action qui lui confère un rôle de neuroprotection.
L’insuffisance en vitamine D est une problématique mondiale, touchant toutes
les tranches d’âge.Sa prévalence varie selon les seuils retenus pour définir le statut de carence ou d’insuffisance.
Le calcidiol ou 25(OH)D est la forme circulante prépondérante et constitue le meilleur reflet des réserves en vitamine D de l’organisme. Son dosage permet ainsi de mettre en évidence une carence quelle qu’en soit l’origine et de surveiller les traitements par
la vitamine D.
La carence en vitamine D n’est pas seulement préjudiciable à la santé physique,
elle pourrait également influer sur la santé mentale.
De nombreuses hypothèses avaient été émises sur l’éventualité d’une relation entre
le déficit en vitamine D et la dépression.
Pour argumenter ceci, certaines équipes ont étudié le rapport entre l’hypovitaminose D et la dépression, en dosant la 25(OH)D. Comparativement aux contrôles, les taux les plus bas étaient chez les dépressifs, particulièrement ceux aux symptômes les plus sévères.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : P0472015 Président : BICHRA.M.Z Directeur : EL HAMDAOUI.S Juge : MESSAOUDI.N Juge : SABIR.M Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité P0472015 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2015 Disponible P0472015-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2015 Disponible Documents numériques
P0472015URL STIGMATISATION DES PERSONNES ATTEINTES DE TROUBLES MENTAUX / MOUNA BENAISSA
Titre : STIGMATISATION DES PERSONNES ATTEINTES DE TROUBLES MENTAUX : ETUDE AUPRES DE 100 PATIENTS A L'HOPITAL AR-RAZI DE SALE Type de document : thèse Auteurs : MOUNA BENAISSA, Auteur Année de publication : 2009 Langues : Français (fre) Mots-clés : STIGMATISATION TROUBLES MENTAUX SCHIZOPHRENIE TROUBLE BIPOLAIRE DEPRESSION. Index. décimale : WA SANTE PUBLIQUE - PROFESSION MEDICALE Résumé : La notion de stigmatisation de la maladie mentale, résulte d’un lourd passé d’enfermement et d’assimilation à la folie et aux superstitions. Aujourd’hui, le manque d’informations, les préjugés sur la dangerosité et l’incurabilité, sont renforcés par l’image négative véhiculée par les médias.Ces éléments altèrent la qualité de vie des malades et entravent la demande de soin. Ils les empêchent de se socialiser, d’obtenir un logement ou de trouver un emploi ; entraînant une dégradation des relations familiales et une mauvaise réputation des services de psychiatrie.
Le but de notre travail est de préciser le vécu de la stigmatisation et son impact sur la vie familiale et socioprofessionnelle des malades mentaux. Il s’agit d’une analyse descriptive, sous forme d’un sondage d’opinions, contenant des questions avec propositions de réponses et des questions libres.
Nous avons choisi comme échantillon 100 patients et patientes stabilisés, suivis en ambulatoire. L’étude a porté sur les trois pathologies suivantes : le trouble dépressif, le trouble bipolaire, et la schizophrénie. Le nombre de patients dans chaque groupe, a été fixé au préalable; et nous avons essayé d’obtenir une répartition assez équitable entre les deux sexes. Le questionnaire comporte trois grands axes : (1) Données sociodémographiques du patient et renseignements sur la maladie. (2) Evaluation du vécu de la stigmatisation au sein de la famille, avec les amis, au travail, dans la rue et au niveau des services de santé. (3) Appréciation du ressenti des patients face aux attitudes négatives
Les résultats de notre échantillon ont été comme suit :
Pour les deux sexes les extrêmes d’âge sont de 18 à 60 ans avec une moyenne de 33, 2. Pour l’ensemble de la population, la majorité des patients sont célibataires avec un pourcentage de 75%, 45% des patients avaient un travail avant la maladie, avec une nette prédominance masculine.
Concernant les réactions de la famille face à la déclaration de la maladie, dans la majorité des cas on retrouve des réactions de peur et de honte. Un grand pourcentage de malades sont critiqués et rendus responsables de leurs troubles, beaucoup sont ignorés et ne participent pas aux activités de la famille. Peu de familles connaissent le nom de la maladie, beaucoup parlent de maladie des nerfs et de prise de toxiques, parfois d’ensorcellement et autres superstitions
Dans la majorité des cas, les amis ne sont pas mis au courant de la maladie, pour le reste, les malades ont souvent subit un rejet. La plupart des patients n’ont pas pu avoir, ou garder une relation stable avec le sexe opposé, après la maladie. La majorité des familles refuse l’idée du mariage; Les raisons données sont l’incapacité, l’irresponsabilité et l’inconscience.
81% des malades ne travaillent plus depuis la déclaration des troubles. Pour le reste, ils se sont vus changer de poste ou ont subi un déclassement ; dans ce cas ils sont supervisés et surveillés, certains sont mis à l’écart par leurs collègues.
Dans les hôpitaux généraux, certains patients rapportent que leurs demandes de soins sont souvent ignorées, et qu’ils ne sont pas traités comme les autres malades. En service spécialisé, quelques uns rapportent des conditions d'hospitalisation difficiles.
La majorité attribue les réactions négatives de l’entourage à l’ignorance, aux préjugés, et aux superstitions. Quand ils sont critiqués ou insultés, beaucoup ignorent et laissent faire. La majorité des patients ressentent la perte d'amis et de vie privée comme la conséquence la plus dure de la maladie, la plupart réclament compréhension, écoute et tolérance.
Les données de notre série concernant les différents secteurs, concordent avec les résultats des enquêtes menées par l’association mondiale de psychiatrie, dans le cadre de son programme mondial de lutte contre la stigmatisation et la discrimination de la schizophrénie ; ainsi que d’autres études menée notamment en Grèce (Le Programme «Psychargos»), en Grande-Bretagne (La campagne «Changing Minds» du Royal College of Psychiatrists) et en Australie (Australian National Mental Health Promotion and Prevention Plan, et SANE Australia).
Il ressort que la lutte contre l’exclusion et la stigmatisation, doit faire l’objet d’une information de la population, afin de définir les troubles psychiques et d’éloigner les notions d’incurabilité et de dangerosité. Ces représentations pourront évoluer avec l’évolution des acteurs de santé eux-mêmes en soutenant un système ouvert et communautaire du soin.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M1402009 Président : AHMED FAJRI Directeur : HASSAN KISRA Juge : MOHAMED ZAKARIA BICHRA STIGMATISATION DES PERSONNES ATTEINTES DE TROUBLES MENTAUX [thèse] : ETUDE AUPRES DE 100 PATIENTS A L'HOPITAL AR-RAZI DE SALE / MOUNA BENAISSA, Auteur . - 2009.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : STIGMATISATION TROUBLES MENTAUX SCHIZOPHRENIE TROUBLE BIPOLAIRE DEPRESSION. Index. décimale : WA SANTE PUBLIQUE - PROFESSION MEDICALE Résumé : La notion de stigmatisation de la maladie mentale, résulte d’un lourd passé d’enfermement et d’assimilation à la folie et aux superstitions. Aujourd’hui, le manque d’informations, les préjugés sur la dangerosité et l’incurabilité, sont renforcés par l’image négative véhiculée par les médias.Ces éléments altèrent la qualité de vie des malades et entravent la demande de soin. Ils les empêchent de se socialiser, d’obtenir un logement ou de trouver un emploi ; entraînant une dégradation des relations familiales et une mauvaise réputation des services de psychiatrie.
Le but de notre travail est de préciser le vécu de la stigmatisation et son impact sur la vie familiale et socioprofessionnelle des malades mentaux. Il s’agit d’une analyse descriptive, sous forme d’un sondage d’opinions, contenant des questions avec propositions de réponses et des questions libres.
Nous avons choisi comme échantillon 100 patients et patientes stabilisés, suivis en ambulatoire. L’étude a porté sur les trois pathologies suivantes : le trouble dépressif, le trouble bipolaire, et la schizophrénie. Le nombre de patients dans chaque groupe, a été fixé au préalable; et nous avons essayé d’obtenir une répartition assez équitable entre les deux sexes. Le questionnaire comporte trois grands axes : (1) Données sociodémographiques du patient et renseignements sur la maladie. (2) Evaluation du vécu de la stigmatisation au sein de la famille, avec les amis, au travail, dans la rue et au niveau des services de santé. (3) Appréciation du ressenti des patients face aux attitudes négatives
Les résultats de notre échantillon ont été comme suit :
Pour les deux sexes les extrêmes d’âge sont de 18 à 60 ans avec une moyenne de 33, 2. Pour l’ensemble de la population, la majorité des patients sont célibataires avec un pourcentage de 75%, 45% des patients avaient un travail avant la maladie, avec une nette prédominance masculine.
Concernant les réactions de la famille face à la déclaration de la maladie, dans la majorité des cas on retrouve des réactions de peur et de honte. Un grand pourcentage de malades sont critiqués et rendus responsables de leurs troubles, beaucoup sont ignorés et ne participent pas aux activités de la famille. Peu de familles connaissent le nom de la maladie, beaucoup parlent de maladie des nerfs et de prise de toxiques, parfois d’ensorcellement et autres superstitions
Dans la majorité des cas, les amis ne sont pas mis au courant de la maladie, pour le reste, les malades ont souvent subit un rejet. La plupart des patients n’ont pas pu avoir, ou garder une relation stable avec le sexe opposé, après la maladie. La majorité des familles refuse l’idée du mariage; Les raisons données sont l’incapacité, l’irresponsabilité et l’inconscience.
81% des malades ne travaillent plus depuis la déclaration des troubles. Pour le reste, ils se sont vus changer de poste ou ont subi un déclassement ; dans ce cas ils sont supervisés et surveillés, certains sont mis à l’écart par leurs collègues.
Dans les hôpitaux généraux, certains patients rapportent que leurs demandes de soins sont souvent ignorées, et qu’ils ne sont pas traités comme les autres malades. En service spécialisé, quelques uns rapportent des conditions d'hospitalisation difficiles.
La majorité attribue les réactions négatives de l’entourage à l’ignorance, aux préjugés, et aux superstitions. Quand ils sont critiqués ou insultés, beaucoup ignorent et laissent faire. La majorité des patients ressentent la perte d'amis et de vie privée comme la conséquence la plus dure de la maladie, la plupart réclament compréhension, écoute et tolérance.
Les données de notre série concernant les différents secteurs, concordent avec les résultats des enquêtes menées par l’association mondiale de psychiatrie, dans le cadre de son programme mondial de lutte contre la stigmatisation et la discrimination de la schizophrénie ; ainsi que d’autres études menée notamment en Grèce (Le Programme «Psychargos»), en Grande-Bretagne (La campagne «Changing Minds» du Royal College of Psychiatrists) et en Australie (Australian National Mental Health Promotion and Prevention Plan, et SANE Australia).
Il ressort que la lutte contre l’exclusion et la stigmatisation, doit faire l’objet d’une information de la population, afin de définir les troubles psychiques et d’éloigner les notions d’incurabilité et de dangerosité. Ces représentations pourront évoluer avec l’évolution des acteurs de santé eux-mêmes en soutenant un système ouvert et communautaire du soin.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M1402009 Président : AHMED FAJRI Directeur : HASSAN KISRA Juge : MOHAMED ZAKARIA BICHRA Réservation
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