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LES ABCES DE CORNES CHEZ LES PORTEURS DE LENTILLE DE CONTACT. / SANAE HARCHALI
Titre : LES ABCES DE CORNES CHEZ LES PORTEURS DE LENTILLE DE CONTACT. Type de document : thĂšse Auteurs : SANAE HARCHALI, Auteur AnnĂ©e de publication : 2013 Langues : Français (fre) Mots-clĂ©s : ABCES CORNEE LENTILLE DE CONTACT EVOLUTION RĂ©sumĂ© : L’abcès de cornée constitue une complication majeure du port de lentilles de contact qu’elles soient à visée optique ou Cosmétique.
Ce travail se propose d’analyser les caractéristiques cliniques et microbiologiques ainsi que l’évolution des patients atteints d’abcès de cornée chez les porteurs des LC.
Il s’agit d’une étude rétrospective portant sur 33 patients (33 yeux), colligés au service d’ophtalmologie B du CHU IbnSina de Rabat entre janvier 2007 à Octobre 2012.Les patients ont bénéficié d’un examen ophtalmologique complet, de prélèvements cornéens et conjonctivaux ainsi que d’un examen direct et/ou d’une mise en cultures des LC. Le protocole thérapeutique était variable en fonction des résultats.
L’âge moyen de nos patients était de 22 ans. Le sexe ratio est de 2H/31F. Il s’agit de lentilles souples hydrophiles dans 31 cas et de lentilles rigides dans 2 cas. Les lentilles cosmétiques sont incriminées dans les 2/3 des cas. Les résultats microbiologiques ont été positifs dans 63,3% des cas. pseudomonas aeruginosa a été isolé dans 45.45%. Le principal facteur de risque identifié était le mauvais entretien des mains et des lentilles de contacts. L’évolution était favorable dans 07 yeux et défavorable dans 14 cas.une évolution vers la panophtalmie était marquée dans un seul cas.
Les abcès de cornée sous LC sont graves car elles compromettent le pronostic visuel des patients.
Le pronostic visuel dépend essentiellement de la précocité de la prise en charge diagnostique et de la mise en route d’un traitement adapté au germe en cause. La prévention se base sur une bonne éducation des patients concernant principalement l’entretien des LC.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M0252013 Président : BERRAHO.A Directeur : CHAOUI.Z Juge : OUBAAZ.A Juge : EL HASSAN.A LES ABCES DE CORNES CHEZ LES PORTEURS DE LENTILLE DE CONTACT. [thĂšse] / SANAE HARCHALI, Auteur . - 2013.
Langues : Français (fre)
Mots-clĂ©s : ABCES CORNEE LENTILLE DE CONTACT EVOLUTION RĂ©sumĂ© : L’abcès de cornée constitue une complication majeure du port de lentilles de contact qu’elles soient à visée optique ou Cosmétique.
Ce travail se propose d’analyser les caractéristiques cliniques et microbiologiques ainsi que l’évolution des patients atteints d’abcès de cornée chez les porteurs des LC.
Il s’agit d’une étude rétrospective portant sur 33 patients (33 yeux), colligés au service d’ophtalmologie B du CHU IbnSina de Rabat entre janvier 2007 à Octobre 2012.Les patients ont bénéficié d’un examen ophtalmologique complet, de prélèvements cornéens et conjonctivaux ainsi que d’un examen direct et/ou d’une mise en cultures des LC. Le protocole thérapeutique était variable en fonction des résultats.
L’âge moyen de nos patients était de 22 ans. Le sexe ratio est de 2H/31F. Il s’agit de lentilles souples hydrophiles dans 31 cas et de lentilles rigides dans 2 cas. Les lentilles cosmétiques sont incriminées dans les 2/3 des cas. Les résultats microbiologiques ont été positifs dans 63,3% des cas. pseudomonas aeruginosa a été isolé dans 45.45%. Le principal facteur de risque identifié était le mauvais entretien des mains et des lentilles de contacts. L’évolution était favorable dans 07 yeux et défavorable dans 14 cas.une évolution vers la panophtalmie était marquée dans un seul cas.
Les abcès de cornée sous LC sont graves car elles compromettent le pronostic visuel des patients.
Le pronostic visuel dépend essentiellement de la précocité de la prise en charge diagnostique et de la mise en route d’un traitement adapté au germe en cause. La prévention se base sur une bonne éducation des patients concernant principalement l’entretien des LC.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M0252013 Président : BERRAHO.A Directeur : CHAOUI.Z Juge : OUBAAZ.A Juge : EL HASSAN.A RĂ©servation
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Code barre Cote Support Localisation Section DisponibilitĂ© M0252013 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2013 Disponible CARCINOME EPIDERMOIDE DE LA CONJONCTIVE DIFFICULTES DIAGNOSTIQUES ET THERAPEUTIQUES A PROPOS DE 9 CAS) / EL AMRANI MOHAMED
Titre : CARCINOME EPIDERMOIDE DE LA CONJONCTIVE DIFFICULTES DIAGNOSTIQUES ET THERAPEUTIQUES A PROPOS DE 9 CAS) Type de document : thĂšse Auteurs : EL AMRANI MOHAMED, Auteur AnnĂ©e de publication : 2009 Note gĂ©nĂ©rale : La thèse en ligne est indisponible Langues : Français (fre) Mots-clĂ©s : CARCINOME EPIDERMOIDE CONJONCTIVE CORNEE EXENTERATION Index. dĂ©cimale : WA SANTE PUBLIQUE - PROFESSION MEDICALE RĂ©sumĂ© : But :
Le carcinome épidermoïde de la conjonctive représente la tumeur maligne la plus fréquente de la
conjonctive. Cependant, il reste souvent sous diagnostiqué et expose au retard thérapeutique. L’objectif de
cette étude est d’élucider les difficultés diagnostiques et thérapeutiques posées par cette tumeur.
Matériel et méthodes :
Nous avons entrepris une étude rétrospective d’une série de 9 observations de carcinomes épidermoïdes de
la conjonctive examinés au service d’ophtalmologie de l’hôpital militaire d’instruction Mohamed V –Rabatsur
une période de 9 ans (2001-2009) dont nous avons précisé les caractéristiques cliniques, les bilans
complémentaires, les modalité thérapeutiques et l’évolution.
Résultats :
L’âge moyen des patients était de 54,4 ans avec une nette prédominance masculine (sexe ratio 3,5). Tous
les patients sont de race blanche et exerçaient leur principale activité sous des conditions ensoleillées sans
protection. Tous évoquaient une lésion conjonctivale superficielle, parfois ancienne négligée pendant des
années occasionnant une rougeur et un larmoiement. L’aspect fréquent était celui d’une formation nodulaire
bourgeonnante dure dans 55,5% des cas, > 5mm dans 77,7% des cas, avec extension aux structures de
voisinage dans 66,6% des cas, touchant préférentiellement l’oeil gauche (7cas) et la conjonctive nasale (6cas).
Le diagnostic était trompeur dans 7 cas (77,7%) en prêtant à confusion avec un ptérygion (4cas), une
dacryocystite, un mélanome conjonctival et un ulcère de Mooren. Ceci a retardé le diagnostic positif et a
conduit à l’exentération chez 5 (71,42%) des ces patients. Le retard diagnostique était dû aussi à l’absence
d’étude anatomopathologique des pièces de résection des cas diagnostiqués initialement comme des
néoformations bénignes, notamment des ptérygions. Le diagnostic positif a reposé sur l’étude
anatomopathologique des biopsies lésionnelles qui a identifié 2 variantes rares.
Sur plan thérapeutique, 7 patients avaient subi plus d’un geste chirurgical consistant initialement à une
résection tumorale simple dans 6 cas. Ceci a conduit à la récidive tumorale dans 5 cas avec, en conséquent, la
progression de 2 Cis en CECI et le recours à l’exentération chez 4 de ces patients. La cryothérapie adjuvante a
empêché cette évolution défavorable chez 2 patients. 80% des récidives après résection ont été notées au
cours de la première année. L’exentération a été indiquée chez 7 patients devant le caractère invasif, extensif
(stade T ≥ T3) et/ou récurrent de la tumeur, et ce, surtout chez les patients où la tumeur a été manipulée plus
d’une fois. Aucun patient n’a bénéficié d’un traitement topique ou d’une curiethérapie. Nous avons enregistré
une métastase ganglionnaire et une autre sur la muqueuse nasale. Le recul moyen sans récidive était de 38,2
mois. Aucun patient n’a décédé de sa maladie.
Discussion :
Le diagnostic du carcinome épidermoïde de la conjonctive doit être suspecté devant toute néoformation
conjonctivale notamment notre contexte ensoleillé. L’introduction des nouvelles techniques d’exploration de
la surface oculaire (cytologie, imagerie) dans la pratique courante, et l’étude anatomopathologique
systématique de toute pièce de résection permettra un diagnostic précoce et une classification TNM plus
précise.
Les difficultés thérapeutiques tiennent de l’absence d’un consensus universel malgré la disponibilité d’une
classification TNM à jour. En plus, les multiples traitements actuels ne permettent pas d’éliminer les récidives
fréquentes du CEC. Le chirurgien ophtalmologue reste, ainsi, devant l’embarras du choix du procédé
thérapeutique en essayant de trouver un compromis entre un résultat carcinologique garanti à long terme et
une préservation prolongée de la fonction visuelle.
Conclusion :
Devant toute tumeur conjonctivale suspecte il faut penser au carcinome épidermoïde et recourir à l’étude
anatomopathologique seul garant d’un diagnostic de certitude. Un consensus thérapeutique basé sur la
classification TNM permettra de mieux choisir les moyens thérapeutiques, de plus en plus innovants, et qui
convergent vers la préservation du pronostic visuel. Il reste à sensibiliser la population aux facteurs de risque
et à l’importance de la protection contre les rayons ultraviolets.Numéro (Thèse ou Mémoire) : M1352009 Président : ABDELLAH TERHZAZ Directeur : ABDERAHMAN AL BOUZIDI Juge : ASMAA NAOUMI Juge : KHALID HADDADI CARCINOME EPIDERMOIDE DE LA CONJONCTIVE DIFFICULTES DIAGNOSTIQUES ET THERAPEUTIQUES A PROPOS DE 9 CAS) [thĂšse] / EL AMRANI MOHAMED, Auteur . - 2009.
La thèse en ligne est indisponible
Langues : Français (fre)
Mots-clés : CARCINOME EPIDERMOIDE CONJONCTIVE CORNEE EXENTERATION Index. décimale : WA SANTE PUBLIQUE - PROFESSION MEDICALE Résumé : But :
Le carcinome épidermoïde de la conjonctive représente la tumeur maligne la plus fréquente de la
conjonctive. Cependant, il reste souvent sous diagnostiqué et expose au retard thérapeutique. L’objectif de
cette étude est d’élucider les difficultés diagnostiques et thérapeutiques posées par cette tumeur.
Matériel et méthodes :
Nous avons entrepris une étude rétrospective d’une série de 9 observations de carcinomes épidermoïdes de
la conjonctive examinés au service d’ophtalmologie de l’hôpital militaire d’instruction Mohamed V –Rabatsur
une période de 9 ans (2001-2009) dont nous avons précisé les caractéristiques cliniques, les bilans
complémentaires, les modalité thérapeutiques et l’évolution.
Résultats :
L’âge moyen des patients était de 54,4 ans avec une nette prédominance masculine (sexe ratio 3,5). Tous
les patients sont de race blanche et exerçaient leur principale activité sous des conditions ensoleillées sans
protection. Tous évoquaient une lésion conjonctivale superficielle, parfois ancienne négligée pendant des
années occasionnant une rougeur et un larmoiement. L’aspect fréquent était celui d’une formation nodulaire
bourgeonnante dure dans 55,5% des cas, > 5mm dans 77,7% des cas, avec extension aux structures de
voisinage dans 66,6% des cas, touchant préférentiellement l’oeil gauche (7cas) et la conjonctive nasale (6cas).
Le diagnostic était trompeur dans 7 cas (77,7%) en prêtant à confusion avec un ptérygion (4cas), une
dacryocystite, un mélanome conjonctival et un ulcère de Mooren. Ceci a retardé le diagnostic positif et a
conduit à l’exentération chez 5 (71,42%) des ces patients. Le retard diagnostique était dû aussi à l’absence
d’étude anatomopathologique des pièces de résection des cas diagnostiqués initialement comme des
néoformations bénignes, notamment des ptérygions. Le diagnostic positif a reposé sur l’étude
anatomopathologique des biopsies lésionnelles qui a identifié 2 variantes rares.
Sur plan thérapeutique, 7 patients avaient subi plus d’un geste chirurgical consistant initialement à une
résection tumorale simple dans 6 cas. Ceci a conduit à la récidive tumorale dans 5 cas avec, en conséquent, la
progression de 2 Cis en CECI et le recours à l’exentération chez 4 de ces patients. La cryothérapie adjuvante a
empêché cette évolution défavorable chez 2 patients. 80% des récidives après résection ont été notées au
cours de la première année. L’exentération a été indiquée chez 7 patients devant le caractère invasif, extensif
(stade T ≥ T3) et/ou récurrent de la tumeur, et ce, surtout chez les patients où la tumeur a été manipulée plus
d’une fois. Aucun patient n’a bénéficié d’un traitement topique ou d’une curiethérapie. Nous avons enregistré
une métastase ganglionnaire et une autre sur la muqueuse nasale. Le recul moyen sans récidive était de 38,2
mois. Aucun patient n’a décédé de sa maladie.
Discussion :
Le diagnostic du carcinome épidermoïde de la conjonctive doit être suspecté devant toute néoformation
conjonctivale notamment notre contexte ensoleillé. L’introduction des nouvelles techniques d’exploration de
la surface oculaire (cytologie, imagerie) dans la pratique courante, et l’étude anatomopathologique
systématique de toute pièce de résection permettra un diagnostic précoce et une classification TNM plus
précise.
Les difficultés thérapeutiques tiennent de l’absence d’un consensus universel malgré la disponibilité d’une
classification TNM à jour. En plus, les multiples traitements actuels ne permettent pas d’éliminer les récidives
fréquentes du CEC. Le chirurgien ophtalmologue reste, ainsi, devant l’embarras du choix du procédé
thérapeutique en essayant de trouver un compromis entre un résultat carcinologique garanti à long terme et
une préservation prolongée de la fonction visuelle.
Conclusion :
Devant toute tumeur conjonctivale suspecte il faut penser au carcinome épidermoïde et recourir à l’étude
anatomopathologique seul garant d’un diagnostic de certitude. Un consensus thérapeutique basé sur la
classification TNM permettra de mieux choisir les moyens thérapeutiques, de plus en plus innovants, et qui
convergent vers la préservation du pronostic visuel. Il reste à sensibiliser la population aux facteurs de risque
et à l’importance de la protection contre les rayons ultraviolets.Numéro (Thèse ou Mémoire) : M1352009 Président : ABDELLAH TERHZAZ Directeur : ABDERAHMAN AL BOUZIDI Juge : ASMAA NAOUMI Juge : KHALID HADDADI RĂ©servation
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Code barre Cote Support Localisation Section DisponibilitĂ© M1352009 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2009 Disponible les FCR dâadmission imprĂ©vue en rĂ©animation en postopĂ©ratoire en chirurgie rĂ©glĂ©e / OULD SIDI MAHMOUD Moustapha
Titre : les FCR dâadmission imprĂ©vue en rĂ©animation en postopĂ©ratoire en chirurgie rĂ©glĂ©e Type de document : thĂšse Auteurs : OULD SIDI MAHMOUD Moustapha, Auteur AnnĂ©e de publication : 2017 Langues : Français (fre) Mots-clĂ©s : CornĂ©e KĂ©ratite Fongique AbcĂšs Micro abcĂšs satellites Grattage Filaments mycĂ©liens Levures Antifongique RĂ©sumĂ© : Les kératites fongiques ou kératomycoses sont des infections cornéennes dues à des champignons filamenteux ou levures.
C'est une cause rare grave, d’infection cornéenne. Leur fréquence est en augmentation, en rapport avec l’usage intensif des corticoïdes, et des lentilles de contact et leur prise en charge est un véritable challenge.
Il s’agit d’une étude rétrospective de 30 cas de kératites fongiques (19 hommes, 11 femmes, âge moyen 48 ans), hospitalisés au Service d'Ophtalmologie "A" Hôpital des Spécialités Rabat entre Aout 2014 et Février 2017.
Les facteurs de risque retrouvés sont : diabète, traumatismes oculaires, corticothérapie, et une importante fréquence de la pathologie de surface chez 66,6% patients.
L’examen clinique a retrouvé une acuité visuelle très diminuée variant entre la perception lumineuse et 2 /10.
Sur le plan bio microscopique, présence chez tous nos patients, d’infiltrat stromal suppuratif ou abcès à surface bombée et/ou à bords flous irréguliers, et de foyers infectieux satellites micro abcès, chez 50% des cas.
L’examen microbiologique, après grattage cornéen, s’est révélé positifs dans 54% des cas (levures 36 %, filaments 18 %), et 46%négatifs.
Par contre la culture est restée négative dans tous les cas.
Tous nos patients ont été traités par le Voriconazole puis Fluconazole ou Fluconazole seul. Ils n’ont pu bénéficier de la Natamycine en suspension à 5%, traitement de choix, puisqu’elle n'est commercialisée qu'aux USA, et en France sous condition.
Le traitement a permis une cicatrisation cornéenne avec taie cornéenne cicatricielle dans 80% des cas, et l’acuité visuelle variait entre 1/20 et 8/10 (moyenne à 1,4/10).
Le pronostic des kératites fongiques est le plus souvent réservé.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M4052017 Président : BAITE.A Directeur : ABOUELALAA.K Juge : AIT ALI.A Juge : BENSGHIR.M Juge : BOUTARBOUCH.M les FCR dâadmission imprĂ©vue en rĂ©animation en postopĂ©ratoire en chirurgie rĂ©glĂ©e [thĂšse] / OULD SIDI MAHMOUD Moustapha, Auteur . - 2017.
Langues : Français (fre)
Mots-clĂ©s : CornĂ©e KĂ©ratite Fongique AbcĂšs Micro abcĂšs satellites Grattage Filaments mycĂ©liens Levures Antifongique RĂ©sumĂ© : Les kératites fongiques ou kératomycoses sont des infections cornéennes dues à des champignons filamenteux ou levures.
C'est une cause rare grave, d’infection cornéenne. Leur fréquence est en augmentation, en rapport avec l’usage intensif des corticoïdes, et des lentilles de contact et leur prise en charge est un véritable challenge.
Il s’agit d’une étude rétrospective de 30 cas de kératites fongiques (19 hommes, 11 femmes, âge moyen 48 ans), hospitalisés au Service d'Ophtalmologie "A" Hôpital des Spécialités Rabat entre Aout 2014 et Février 2017.
Les facteurs de risque retrouvés sont : diabète, traumatismes oculaires, corticothérapie, et une importante fréquence de la pathologie de surface chez 66,6% patients.
L’examen clinique a retrouvé une acuité visuelle très diminuée variant entre la perception lumineuse et 2 /10.
Sur le plan bio microscopique, présence chez tous nos patients, d’infiltrat stromal suppuratif ou abcès à surface bombée et/ou à bords flous irréguliers, et de foyers infectieux satellites micro abcès, chez 50% des cas.
L’examen microbiologique, après grattage cornéen, s’est révélé positifs dans 54% des cas (levures 36 %, filaments 18 %), et 46%négatifs.
Par contre la culture est restée négative dans tous les cas.
Tous nos patients ont été traités par le Voriconazole puis Fluconazole ou Fluconazole seul. Ils n’ont pu bénéficier de la Natamycine en suspension à 5%, traitement de choix, puisqu’elle n'est commercialisée qu'aux USA, et en France sous condition.
Le traitement a permis une cicatrisation cornéenne avec taie cornéenne cicatricielle dans 80% des cas, et l’acuité visuelle variait entre 1/20 et 8/10 (moyenne à 1,4/10).
Le pronostic des kératites fongiques est le plus souvent réservé.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M4052017 Président : BAITE.A Directeur : ABOUELALAA.K Juge : AIT ALI.A Juge : BENSGHIR.M Juge : BOUTARBOUCH.M RĂ©servation
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Code barre Cote Support Localisation Section DisponibilitĂ© M4052017 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2017 Disponible M4052017-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2017 Disponible les keratites fongiques : Aspects Cliniques et ThĂ©rapeutiques Ă propos de 30 cas au Service dâOphtalmologie A / BENADADA Saad
Titre : les keratites fongiques : Aspects Cliniques et ThĂ©rapeutiques Ă propos de 30 cas au Service dâOphtalmologie A Type de document : thĂšse Auteurs : BENADADA Saad, Auteur AnnĂ©e de publication : 2017 Langues : Français (fre) Mots-clĂ©s : CornĂ©e KĂ©ratite Fongique AbcĂšs Micro abcĂšs satellites Grattage Filaments mycĂ©liens Levures Antifongique RĂ©sumĂ© : Les kératites fongiques ou kératomycoses sont des infections cornéennes dues à des champignons filamenteux ou levures.
C'est une cause rare grave, d’infection cornéenne. Leur fréquence est en augmentation, en rapport avec l’usage intensif des corticoïdes, et des lentilles de contact et leur prise en charge est un véritable challenge.
Il s’agit d’une étude rétrospective de 30 cas de kératites fongiques (19 hommes, 11 femmes, âge moyen 48 ans), hospitalisés au Service d'Ophtalmologie "A" Hôpital des Spécialités Rabat entre Aout 2014 et Février 2017.
Les facteurs de risque retrouvés sont : diabète, traumatismes oculaires, corticothérapie, et une importante fréquence de la pathologie de surface chez 66,6% patients.
L’examen clinique a retrouvé une acuité visuelle très diminuée variant entre la perception lumineuse et 2 /10.
Sur le plan bio microscopique, présence chez tous nos patients, d’infiltrat stromal suppuratif ou abcès à surface bombée et/ou à bords flous irréguliers, et de foyers infectieux satellites micro abcès, chez 50% des cas.
L’examen microbiologique, après grattage cornéen, s’est révélé positifs dans 54% des cas (levures 36 %, filaments 18 %), et 46%négatifs.
Par contre la culture est restée négative dans tous les cas.
Tous nos patients ont été traités par le Voriconazole puis Fluconazole ou Fluconazole seul. Ils n’ont pu bénéficier de la Natamycine en suspension à 5%, traitement de choix, puisqu’elle n'est commercialisée qu'aux USA, et en France sous condition.
Le traitement a permis une cicatrisation cornéenne avec taie cornéenne cicatricielle dans 80% des cas, et l’acuité visuelle variait entre 1/20 et 8/10 (moyenne à 1,4/10).
Le pronostic des kératites fongiques est le plus souvent réservé.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M4202017 Président : OUBAAZ.A Directeur : CHERKAOUI.LO Juge : TACHFOUTI.S Juge : BOUTIMZINE.N les keratites fongiques : Aspects Cliniques et ThĂ©rapeutiques Ă propos de 30 cas au Service dâOphtalmologie A [thĂšse] / BENADADA Saad, Auteur . - 2017.
Langues : Français (fre)
Mots-clĂ©s : CornĂ©e KĂ©ratite Fongique AbcĂšs Micro abcĂšs satellites Grattage Filaments mycĂ©liens Levures Antifongique RĂ©sumĂ© : Les kératites fongiques ou kératomycoses sont des infections cornéennes dues à des champignons filamenteux ou levures.
C'est une cause rare grave, d’infection cornéenne. Leur fréquence est en augmentation, en rapport avec l’usage intensif des corticoïdes, et des lentilles de contact et leur prise en charge est un véritable challenge.
Il s’agit d’une étude rétrospective de 30 cas de kératites fongiques (19 hommes, 11 femmes, âge moyen 48 ans), hospitalisés au Service d'Ophtalmologie "A" Hôpital des Spécialités Rabat entre Aout 2014 et Février 2017.
Les facteurs de risque retrouvés sont : diabète, traumatismes oculaires, corticothérapie, et une importante fréquence de la pathologie de surface chez 66,6% patients.
L’examen clinique a retrouvé une acuité visuelle très diminuée variant entre la perception lumineuse et 2 /10.
Sur le plan bio microscopique, présence chez tous nos patients, d’infiltrat stromal suppuratif ou abcès à surface bombée et/ou à bords flous irréguliers, et de foyers infectieux satellites micro abcès, chez 50% des cas.
L’examen microbiologique, après grattage cornéen, s’est révélé positifs dans 54% des cas (levures 36 %, filaments 18 %), et 46%négatifs.
Par contre la culture est restée négative dans tous les cas.
Tous nos patients ont été traités par le Voriconazole puis Fluconazole ou Fluconazole seul. Ils n’ont pu bénéficier de la Natamycine en suspension à 5%, traitement de choix, puisqu’elle n'est commercialisée qu'aux USA, et en France sous condition.
Le traitement a permis une cicatrisation cornéenne avec taie cornéenne cicatricielle dans 80% des cas, et l’acuité visuelle variait entre 1/20 et 8/10 (moyenne à 1,4/10).
Le pronostic des kératites fongiques est le plus souvent réservé.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M4202017 Président : OUBAAZ.A Directeur : CHERKAOUI.LO Juge : TACHFOUTI.S Juge : BOUTIMZINE.N RĂ©servation
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Code barre Cote Support Localisation Section DisponibilitĂ© M4202017 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2017 Disponible M4202017-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2017 Disponible Les kĂ©ratites infectieuses associĂ©es au port de lentilles de contact / Oussama KHARMACH
Titre : Les kĂ©ratites infectieuses associĂ©es au port de lentilles de contact Type de document : thĂšse Auteurs : Oussama KHARMACH, Auteur AnnĂ©e de publication : 2016 Langues : Français (fre) Mots-clĂ©s : KĂ©ratite CornĂ©e Lentilles de contact TraitementâPrĂ©vention RĂ©sumĂ© : Introduction: Urgence ophtalmologique due à la prolifération de microorganismes dans la cornée, associée à une destruction tissulaire par l’inflammation et l’infection.
Objectifs: Afin d’attirer l’attention sur cette affection, nous avons mis le point sur son profil épidémiologique, ses aspects cliniques et microbiologiques, ce qui nous a permis de souligner l’importance du traitement précoce et surtout le rôle de l’éducation du patient dans la prévention.
Matériels et Méthodes: Etude rétrospective portant sur 23 patients, colligés au service d’ophtalmologie A CHU Rabat entre janvier 2011 et Décembre 2015.
Résultats: L’âge moyen des patients était de 24 ans. Les personnes atteintes étaient majoritairement des femmes (1H/22F). Les lentilles cosmétiques sont incriminées dans 2/3 des cas. Le délai moyen de consultation était de 3,65j, la moitié des patients ont reçu un traitement antimicrobien par un médecin avant d’être adressés au CHU. Les principaux facteurs de risque identifié étaient le mauvais entretien des mains et des lentilles, le port nocturne, le dépassement du délai de renouvellement et l’échange des lentilles avec ses proches. Les signes fonctionnels sont majorés par la triade rougeur-douleur-baisse de l’acuité visuelle chez 73,91% des patients. Les résultats microbiologiques étaient positifs dans 60,86%, le Pseudomonas aeruginosa était le plus fréquent. L’évolution était favorable dans 26,09% et défavorable dans 47,83%. La durée moyenne d’hospitalisation était de 13,34jours.
Discussion: Conformément à la littérature, le manque d’hygiène et d’entretien apparaît comme principal facteur de risque. Le pronostic visuel dépend essentiellement de la précocité de la prise en charge. La prévention se base sur l’éducation des patients.
Conclusion: La délivrance des lentilles en milieu spécialisé, l’identification et la correction de facteurs de risque pourraient permettre de réduire le risque des kératites infectieuses.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M2832016 Président : DAOUDI.R Directeur : AMAZOUZI.A Juge : CHERKAOUI.O Juge : EL HAMZAOUI.S Juge : EL ASRI.F Les kĂ©ratites infectieuses associĂ©es au port de lentilles de contact [thĂšse] / Oussama KHARMACH, Auteur . - 2016.
Langues : Français (fre)
Mots-clĂ©s : KĂ©ratite CornĂ©e Lentilles de contact TraitementâPrĂ©vention RĂ©sumĂ© : Introduction: Urgence ophtalmologique due à la prolifération de microorganismes dans la cornée, associée à une destruction tissulaire par l’inflammation et l’infection.
Objectifs: Afin d’attirer l’attention sur cette affection, nous avons mis le point sur son profil épidémiologique, ses aspects cliniques et microbiologiques, ce qui nous a permis de souligner l’importance du traitement précoce et surtout le rôle de l’éducation du patient dans la prévention.
Matériels et Méthodes: Etude rétrospective portant sur 23 patients, colligés au service d’ophtalmologie A CHU Rabat entre janvier 2011 et Décembre 2015.
Résultats: L’âge moyen des patients était de 24 ans. Les personnes atteintes étaient majoritairement des femmes (1H/22F). Les lentilles cosmétiques sont incriminées dans 2/3 des cas. Le délai moyen de consultation était de 3,65j, la moitié des patients ont reçu un traitement antimicrobien par un médecin avant d’être adressés au CHU. Les principaux facteurs de risque identifié étaient le mauvais entretien des mains et des lentilles, le port nocturne, le dépassement du délai de renouvellement et l’échange des lentilles avec ses proches. Les signes fonctionnels sont majorés par la triade rougeur-douleur-baisse de l’acuité visuelle chez 73,91% des patients. Les résultats microbiologiques étaient positifs dans 60,86%, le Pseudomonas aeruginosa était le plus fréquent. L’évolution était favorable dans 26,09% et défavorable dans 47,83%. La durée moyenne d’hospitalisation était de 13,34jours.
Discussion: Conformément à la littérature, le manque d’hygiène et d’entretien apparaît comme principal facteur de risque. Le pronostic visuel dépend essentiellement de la précocité de la prise en charge. La prévention se base sur l’éducation des patients.
Conclusion: La délivrance des lentilles en milieu spécialisé, l’identification et la correction de facteurs de risque pourraient permettre de réduire le risque des kératites infectieuses.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M2832016 Président : DAOUDI.R Directeur : AMAZOUZI.A Juge : CHERKAOUI.O Juge : EL HAMZAOUI.S Juge : EL ASRI.F RĂ©servation
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Code barre Cote Support Localisation Section DisponibilitĂ© M2832016 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2016 Disponible M2832016-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2016 Disponible PERTE ENDOTHELIALE EN PHACOEMULSIFICATION : DIVIDE AND CONQUER VERSUS TILT AND TUMBLE : ETUDE PROSPECTIVE COMPARATIVE A PROPOS DE 66 CAS. / TARIK BOUZOUBA
Titre : PERTE ENDOTHELIALE EN PHACOEMULSIFICATION : DIVIDE AND CONQUER VERSUS TILT AND TUMBLE : ETUDE PROSPECTIVE COMPARATIVE A PROPOS DE 66 CAS. Type de document : thÚse Auteurs : TARIK BOUZOUBA, Auteur Langues : Français (fre) Mots-clés : cataracte phacoémulsification divide and conquer subluxation, comptage
cellulaire cornée endothélium ultrasons spéculaireRésumé : Introduction :
Toute chirurgie de cataracte par phacoémulsification engendre une perte de cellules
endothéliales cornéennes quelle que soit la technique utilisée. Cette perte est directement
corrélée à la quantité d’ultrasons délivrés, la durée d’intervention et la distance entre
l’endothélium et la pièce à main délivrant les ultrasons. Notre étude a pour but de comparer la
perte induite par la technique « intra-sac » de référence, Divide and Conquer à celle induite
par une technique « supra-sac » encore peu décrite, la Subluxation (Tilt and Tumble).
Matériel et méthode.
Il s’agit d’une étude prospective comparative, randomisé, monocentrique, en deux
groupes réalisée de juillet à octobre 2020 au service d’ophtalmologie B à l’hôpital des
spécialités de Rabat. Le critère principal de jugement était le pourcentage de perte post
opératoire de cellules endothéliales. La technique de Subluxation était ainsi comparée à celle
du Divide and Conquer. Les comptages spéculaires étaient réalisés avec un appareil
automatisé TOPCON SP-1P en pré-opératoire puis à 1 semaine et 1 mois post-opératoire.
Résultats
Il n’existe pas de différence en terme de déperdition endothéliale à 1 mois entre les 2
techniques étudiées et ce de façon statistiquement significative.
Discussion
l’apprentissage de la Subluxation ne dispense en aucun cas de maitriser au moins une
technique endocapsulaire. Les deux techniques peuvent souvent être complémentaires au
cours de la même chirurgie. Par exemple, au cours d’une phacoémulsification débutée en
Subluxation, le cristallin subluxé peut retomber dans le sac et le chirurgien maitrisant les 2
techniques pourra facilement convertir en Divide and Conquer. Inversement, un cristallin mal
fragmenté qui à l’aspiration se subluxe tout entier sera aisément converti en Subluxation par
l’opérateur formé aux deux techniques.
Conclusion : la perte cellulaire endothéliale à 1 mois induite par la technique de
phacoémulsification Subluxation ne semble pas supérieure à celle induite par la technique du
Divide And Conquer. Ces résultats seront à confirmer par une étude sur un plus grand nombre
de maladesNuméro (Thèse ou Mémoire) : MS1622020 Directeur : Amina BERRAHO PERTE ENDOTHELIALE EN PHACOEMULSIFICATION : DIVIDE AND CONQUER VERSUS TILT AND TUMBLE : ETUDE PROSPECTIVE COMPARATIVE A PROPOS DE 66 CAS. [thĂšse] / TARIK BOUZOUBA, Auteur . - [s.d.].
Langues : Français (fre)
Mots-clés : cataracte phacoémulsification divide and conquer subluxation, comptage
cellulaire cornée endothélium ultrasons spéculaireRésumé : Introduction :
Toute chirurgie de cataracte par phacoémulsification engendre une perte de cellules
endothéliales cornéennes quelle que soit la technique utilisée. Cette perte est directement
corrélée à la quantité d’ultrasons délivrés, la durée d’intervention et la distance entre
l’endothélium et la pièce à main délivrant les ultrasons. Notre étude a pour but de comparer la
perte induite par la technique « intra-sac » de référence, Divide and Conquer à celle induite
par une technique « supra-sac » encore peu décrite, la Subluxation (Tilt and Tumble).
Matériel et méthode.
Il s’agit d’une étude prospective comparative, randomisé, monocentrique, en deux
groupes réalisée de juillet à octobre 2020 au service d’ophtalmologie B à l’hôpital des
spécialités de Rabat. Le critère principal de jugement était le pourcentage de perte post
opératoire de cellules endothéliales. La technique de Subluxation était ainsi comparée à celle
du Divide and Conquer. Les comptages spéculaires étaient réalisés avec un appareil
automatisé TOPCON SP-1P en pré-opératoire puis à 1 semaine et 1 mois post-opératoire.
Résultats
Il n’existe pas de différence en terme de déperdition endothéliale à 1 mois entre les 2
techniques étudiées et ce de façon statistiquement significative.
Discussion
l’apprentissage de la Subluxation ne dispense en aucun cas de maitriser au moins une
technique endocapsulaire. Les deux techniques peuvent souvent être complémentaires au
cours de la même chirurgie. Par exemple, au cours d’une phacoémulsification débutée en
Subluxation, le cristallin subluxé peut retomber dans le sac et le chirurgien maitrisant les 2
techniques pourra facilement convertir en Divide and Conquer. Inversement, un cristallin mal
fragmenté qui à l’aspiration se subluxe tout entier sera aisément converti en Subluxation par
l’opérateur formé aux deux techniques.
Conclusion : la perte cellulaire endothéliale à 1 mois induite par la technique de
phacoémulsification Subluxation ne semble pas supérieure à celle induite par la technique du
Divide And Conquer. Ces résultats seront à confirmer par une étude sur un plus grand nombre
de maladesNuméro (Thèse ou Mémoire) : MS1622020 Directeur : Amina BERRAHO RĂ©servation
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MS1622020URL PRISE EN CHARGE DâUNE KERATITE BACTERIENNE / EZZAHRAOUI MOHAMED RIDA
Titre : PRISE EN CHARGE DâUNE KERATITE BACTERIENNE Type de document : thĂšse Auteurs : EZZAHRAOUI MOHAMED RIDA, Auteur AnnĂ©e de publication : 2013 Langues : Français (fre) Mots-clĂ©s : KERATITE BACTERIENNE CORNEE LENTILLES DE CONTACT CULTURE BACTERIENNE MICROSCOPIE CONFOCALE RĂ©sumĂ© : La kératite bactérienne est une infection oculaire sévère souvent responsable d’une baisse importante de la vision. La sévérité de l’atteinte cornéenne dépend à la fois de la bactérie et de l’état sous-jacent de la cornée. Une grande majorité des kératites bactériennes sont liées aux cocci à Gram positif de types staphylocoque, entérocoque et streptocoque, ainsi qu’aux bacilles à Gram négatif tel que Pseudomonas. La bactérie se développe à la Merci de la défaillance des systèmes de protection cornéens.
Les facteurs de risque sont multiples et toute atteinte cornéenne chronique favorise l’invasion des bactéries. Le port de plus en plus fréquent de lentilles de contact en fait le premier facteur de risque de kératite bactérienne.
Le diagnostic clinique est souvent facile, alors que l’orientation microbiologique est trompeuse. C’est pourquoi les prélèvements avec examen direct et mise en culture sont nécessaires.
Le traitement dépend de l’état sous-jacent de la cornée et de la présence de facteurs de gravité. Sur un œil sain et sans signe de gravité, les collyres antibiotiques d’officine sont suffisants. Dans le cas contraire, l’hospitalisation avec instillation de collyres renforcés est nécessaire. Le traitement par corticoïde est instauré dans un second temps afin de traiter l’inflammation et de favoriser la cicatrisation. L’évolution est variable selon la bactérie et le terrain, mais dans tous les cas, une prise en charge énergique et rapide est nécessaire.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M1752013 Président : JABOUIRIK.F Directeur : EL HAMZAOUI.S Juge : MESSAOUDI.N Juge : TELLAL.S PRISE EN CHARGE DâUNE KERATITE BACTERIENNE [thĂšse] / EZZAHRAOUI MOHAMED RIDA, Auteur . - 2013.
Langues : Français (fre)
Mots-clĂ©s : KERATITE BACTERIENNE CORNEE LENTILLES DE CONTACT CULTURE BACTERIENNE MICROSCOPIE CONFOCALE RĂ©sumĂ© : La kératite bactérienne est une infection oculaire sévère souvent responsable d’une baisse importante de la vision. La sévérité de l’atteinte cornéenne dépend à la fois de la bactérie et de l’état sous-jacent de la cornée. Une grande majorité des kératites bactériennes sont liées aux cocci à Gram positif de types staphylocoque, entérocoque et streptocoque, ainsi qu’aux bacilles à Gram négatif tel que Pseudomonas. La bactérie se développe à la Merci de la défaillance des systèmes de protection cornéens.
Les facteurs de risque sont multiples et toute atteinte cornéenne chronique favorise l’invasion des bactéries. Le port de plus en plus fréquent de lentilles de contact en fait le premier facteur de risque de kératite bactérienne.
Le diagnostic clinique est souvent facile, alors que l’orientation microbiologique est trompeuse. C’est pourquoi les prélèvements avec examen direct et mise en culture sont nécessaires.
Le traitement dépend de l’état sous-jacent de la cornée et de la présence de facteurs de gravité. Sur un œil sain et sans signe de gravité, les collyres antibiotiques d’officine sont suffisants. Dans le cas contraire, l’hospitalisation avec instillation de collyres renforcés est nécessaire. Le traitement par corticoïde est instauré dans un second temps afin de traiter l’inflammation et de favoriser la cicatrisation. L’évolution est variable selon la bactérie et le terrain, mais dans tous les cas, une prise en charge énergique et rapide est nécessaire.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M1752013 Président : JABOUIRIK.F Directeur : EL HAMZAOUI.S Juge : MESSAOUDI.N Juge : TELLAL.S RĂ©servation
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Exemplaires
Code barre Cote Support Localisation Section DisponibilitĂ© M1752013 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2013 Disponible M1752013-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2013 Disponible