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IMPACT DU COVID-19 SUR L’ETALEMENT DE LA RADIOTHERAPIE DANS LE CANCER DU COL UTERIN A L’INSTITUT NATIONAL D’ONCOLOGIE / OUAZANI CHAHDI Sanae
Titre : IMPACT DU COVID-19 SUR L’ETALEMENT DE LA RADIOTHERAPIE DANS LE CANCER DU COL UTERIN A L’INSTITUT NATIONAL D’ONCOLOGIE Type de document : thèse Auteurs : OUAZANI CHAHDI Sanae, Auteur Année de publication : 2023 Langues : Français (fre) Mots-clés : Cancer du col utérin Radiothérapie Radiobiologie Etalement Pandémie covid-19 Résumé : Mots-clés : Cancer du col utérin-Radiothérapie-Radiobiologie-Etalement-Pandémie covid-19
L’étalement dans le cancer du col utérin constitue un facteur pronostic dont le respect joue un
rôle essentiel dans le contrôle local de la maladie.
Durant la pandémie COVID-19, les mesures de confinement ont limité le déplacement des
patients suivis pour pathologie carcinologique pouvant se répercuter sur leur traitement.
L’objectif principal de cette étude était d’évaluer l’impact de la pandémie sur l’étalement de
la radiothérapie dans le cancer du col utérin.
Méthode : étude rétrospective uni centrique menée dans le service de radiothérapie de
l’institut national d’oncologie durant une période de 2 ans entre mars 2019 et mars 2021.
Cette étude a inclus toutes les patientes présentant un cancer du col utérin localement avancé
traitées par radio-chimiothérapie concomitante avec ou sans curiethérapie.
Résultats :
Le nombre des patientes suivies pour cancer du col utérin était de 138 avant la pandémie
tandis qu’il était de 157 durant la pandémie. L’âge moyen avant la pandémie était de 54 ans
alors qu’il était de 53 ans durant la pandémie. Le carcinome épidermoïde représentait 91% des
cas contre 9% d’adénocarcinome. La moyenne d’étalement était de 53 jours avant la
pandémie, et de 51 jours durant la pandémie. L’étalement a dépassé 56 jours chez 44% des
cas avant la pandémie avec 17% des patientes qui ont reçu un complément 4 champs et 27%
un complément sur les paramètres +/- adénopathies ; par contre durant la pandémie 41% des
patientes ont dépassé les 56 jours répartis de la manière suivante : 14% des patientes ont reçu
un complément 4 champs, 27% un complément sur les paramètres avec ou sans adénopathies.
Conclusion : Notre étude a permis d’évaluer l’impact de la pandémie sur l’étalement chez
nos patientes et les moyens permettant de palier aux contraintes de déplacementNuméro (Thèse ou Mémoire) : M4682023 Président : K. HASSOUNI Directeur : T. KEBDANI Juge : H. EL KACEMI Juge : Y. OMOR IMPACT DU COVID-19 SUR L’ETALEMENT DE LA RADIOTHERAPIE DANS LE CANCER DU COL UTERIN A L’INSTITUT NATIONAL D’ONCOLOGIE [thèse] / OUAZANI CHAHDI Sanae, Auteur . - 2023.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Cancer du col utérin Radiothérapie Radiobiologie Etalement Pandémie covid-19 Résumé : Mots-clés : Cancer du col utérin-Radiothérapie-Radiobiologie-Etalement-Pandémie covid-19
L’étalement dans le cancer du col utérin constitue un facteur pronostic dont le respect joue un
rôle essentiel dans le contrôle local de la maladie.
Durant la pandémie COVID-19, les mesures de confinement ont limité le déplacement des
patients suivis pour pathologie carcinologique pouvant se répercuter sur leur traitement.
L’objectif principal de cette étude était d’évaluer l’impact de la pandémie sur l’étalement de
la radiothérapie dans le cancer du col utérin.
Méthode : étude rétrospective uni centrique menée dans le service de radiothérapie de
l’institut national d’oncologie durant une période de 2 ans entre mars 2019 et mars 2021.
Cette étude a inclus toutes les patientes présentant un cancer du col utérin localement avancé
traitées par radio-chimiothérapie concomitante avec ou sans curiethérapie.
Résultats :
Le nombre des patientes suivies pour cancer du col utérin était de 138 avant la pandémie
tandis qu’il était de 157 durant la pandémie. L’âge moyen avant la pandémie était de 54 ans
alors qu’il était de 53 ans durant la pandémie. Le carcinome épidermoïde représentait 91% des
cas contre 9% d’adénocarcinome. La moyenne d’étalement était de 53 jours avant la
pandémie, et de 51 jours durant la pandémie. L’étalement a dépassé 56 jours chez 44% des
cas avant la pandémie avec 17% des patientes qui ont reçu un complément 4 champs et 27%
un complément sur les paramètres +/- adénopathies ; par contre durant la pandémie 41% des
patientes ont dépassé les 56 jours répartis de la manière suivante : 14% des patientes ont reçu
un complément 4 champs, 27% un complément sur les paramètres avec ou sans adénopathies.
Conclusion : Notre étude a permis d’évaluer l’impact de la pandémie sur l’étalement chez
nos patientes et les moyens permettant de palier aux contraintes de déplacementNuméro (Thèse ou Mémoire) : M4682023 Président : K. HASSOUNI Directeur : T. KEBDANI Juge : H. EL KACEMI Juge : Y. OMOR Réservation
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Exemplaires
Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M4682023 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2023 Disponible PROFIL COMPARATIF DE LA VAGUE OMICRON AVEC LES VAGUES PRECEDENTES ALPHA ET DELTA DU SARS COV2 / Fadoua EL AMRAOUI
Titre : PROFIL COMPARATIF DE LA VAGUE OMICRON AVEC LES VAGUES PRECEDENTES ALPHA ET DELTA DU SARS COV2 Type de document : thèse Auteurs : Fadoua EL AMRAOUI, Auteur Année de publication : 2023 Langues : Français (fre) Mots-clés : pandémie COVID-19 variant OMICRON vaccins anti-COVID-19 Résumé : Depuis le déclenchement de la pandémie COVID-19 déclarée par l’OMS le
11 mars 2019, le Maroc a adopté des mesures préventives visant à affaiblir la
chaine de transmission interhumaine. Toutefois, des pics de contamination ont été
observés le long des deux dernières années, le plus récent étant celui de la saison
hivernale 2021 avec la nouvelle variante B.1.1.529 Omicron désignée
préoccupante à cause de sa haute transmissibilité et son échappement au spectre
d’anticorps neutralisants.
Il s’agit d’une étude prospective descriptive sur une période de trois mois de
décembre 2021 au février 2022 ayant comme objectif de mettre le point sur
l’émergence du nouveau variant Omicron dans le cadre de l’expérience de
l’HMIMV de Rabat.
Les tests diagnostiques réalisés au CVMIT de l’HMIMV ont révélé 5442 cas
positifs, dont 77% par RT-PCR constitués de 96% de souches Sdrop positives
dont 179 hospitalisés correspondant à 5,36 %, toutefois le taux moyen
d’hospitalisation était de 5.81%. 57 % des patients hospitalisés avait un statut non
conforme au protocole de vaccination anti-COVID-19, ce même statut vaccinal
s’estimait à 66% pour les patients admis en réanimation dont l’âge moyen était de
72ans, alors que des facteurs de gravité ont été retrouvés chez 94% parmi eux.
Le taux de létalité étant de 1,3%, un pic de décès a été enregistré en fin
janvier 2022, avec un délai d’aggravation clinique et paraclinique entre 10-15
jours.
Au terme de cette étude et en comparant avec les deux vagues précédente
Alpha et Delta, la 3èmevague Omicron s’est distinguée en termes de temps par une
durée plus courte de 8 semaines, un nombre de cas positif moins important, et un
taux d’admission en réanimation n’excédant pas les 1,9 % par rapport à 3% durant
la vague DeltaNuméro (Thèse ou Mémoire) : MS2782023 Directeur : Khalid ENNIBI PROFIL COMPARATIF DE LA VAGUE OMICRON AVEC LES VAGUES PRECEDENTES ALPHA ET DELTA DU SARS COV2 [thèse] / Fadoua EL AMRAOUI, Auteur . - 2023.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : pandémie COVID-19 variant OMICRON vaccins anti-COVID-19 Résumé : Depuis le déclenchement de la pandémie COVID-19 déclarée par l’OMS le
11 mars 2019, le Maroc a adopté des mesures préventives visant à affaiblir la
chaine de transmission interhumaine. Toutefois, des pics de contamination ont été
observés le long des deux dernières années, le plus récent étant celui de la saison
hivernale 2021 avec la nouvelle variante B.1.1.529 Omicron désignée
préoccupante à cause de sa haute transmissibilité et son échappement au spectre
d’anticorps neutralisants.
Il s’agit d’une étude prospective descriptive sur une période de trois mois de
décembre 2021 au février 2022 ayant comme objectif de mettre le point sur
l’émergence du nouveau variant Omicron dans le cadre de l’expérience de
l’HMIMV de Rabat.
Les tests diagnostiques réalisés au CVMIT de l’HMIMV ont révélé 5442 cas
positifs, dont 77% par RT-PCR constitués de 96% de souches Sdrop positives
dont 179 hospitalisés correspondant à 5,36 %, toutefois le taux moyen
d’hospitalisation était de 5.81%. 57 % des patients hospitalisés avait un statut non
conforme au protocole de vaccination anti-COVID-19, ce même statut vaccinal
s’estimait à 66% pour les patients admis en réanimation dont l’âge moyen était de
72ans, alors que des facteurs de gravité ont été retrouvés chez 94% parmi eux.
Le taux de létalité étant de 1,3%, un pic de décès a été enregistré en fin
janvier 2022, avec un délai d’aggravation clinique et paraclinique entre 10-15
jours.
Au terme de cette étude et en comparant avec les deux vagues précédente
Alpha et Delta, la 3èmevague Omicron s’est distinguée en termes de temps par une
durée plus courte de 8 semaines, un nombre de cas positif moins important, et un
taux d’admission en réanimation n’excédant pas les 1,9 % par rapport à 3% durant
la vague DeltaNuméro (Thèse ou Mémoire) : MS2782023 Directeur : Khalid ENNIBI Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité MS2782023 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires Mémoires de Spécialités Disponible