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LES TRAUMATISMES DU RACHIS SUPERIEUR : EXPERIENCE DU SERVICE DE NEUROCHIRURGIE DE L'HOPITAL IBN SINA DE RABAT ENTRE 1996 ET JUIN 2008 / TBATOU FADWA
Titre : LES TRAUMATISMES DU RACHIS SUPERIEUR : EXPERIENCE DU SERVICE DE NEUROCHIRURGIE DE L'HOPITAL IBN SINA DE RABAT ENTRE 1996 ET JUIN 2008 Type de document : thĂšse Auteurs : TBATOU FADWA, Auteur AnnĂ©e de publication : 2008 Langues : Français (fre) Mots-clĂ©s : rachis cervical superieur traumatismes du rachis chirurgie Index. dĂ©cimale : WA SANTE PUBLIQUE - PROFESSION MEDICALE RĂ©sumĂ© : Notre travail est une étude rétrospective de 60 dossiers exploitables de traumatismes du rachis cervical supérieur parmi 93 dossiers colligés au service de neurochirurgie de l’hôpital Ibn Sina de Rabat entre Janvier 1996 et Juin 2008.
Ces traumatismes concernent l’occiput, les deux premières vertèbres : atlas (C1) et axis (C2) ainsi que les articulations entre eux, à savoir C0-C1, C1-C2 et C2-C3.
La série comporte 48 hommes (80%) et 12 femmes (20%) dont l’âge varie entre 6 et 80 ans avec un âge moyen de 34,6.
Nous avons retrouvé 32 accidents de la voie publique (53,3%), 22 chutes (36,6%), 4 traumatismes par choc direct (6,6%) et 2 accidents de plongeon (3,3%).
47 patients ont été admis dans les 48 heures suivant le traumatisme (78,3%). Dans 13 cas, il s’agissait de traumatismes cervicaux supérieurs négligés (21,6%).
Un syndrome rachidien cervical d’intensité variable a été retrouvé chez 55 patients (91,6%), un déficit sensitif et/ou moteur incomplet chez 9 patients (15%).
Tous les patients ont bénéficié de radiographies standard et de tomodensitométrie. L’imagerie par résonance magnétique a pu être réalisée chez 10 malades (16,6%).
Sur les 92 lésions recensées, nous avons retrouvé 6 luxations C1-C2 (6,5%) et 8 luxations C2-C3 (8,7%), 2 fractures occipitales (2%), 10 fractures de l’atlas (10,9%), 66 fractures de l’axis (71,7%) dont 23 fractures de l’odontoïde (34,9%).
Les lésions associées sont représentées essentiellement par les traumatismes des membres et bassin chez 9 patients (15%) ou dans le cadre d’un polytraumatisme constaté dans 10 cas (16,7%). L’association à un traumatisme crânien a été retrouvée chez 4 blessés (6,7%) et à un traumatisme du rachis cervical inférieur chez 11 patients (18,3%).
Un cas de décès est survenu avant traitement, et ce, dans le cadre d’un polytraumatisme.
Le traitement orthopédique exclusif a été réalisé pour des lésions jugées stables chez 26 patients (43,3%).
33 malades ont pu bénéficier d’un traitement chirurgical (55%). 26 abords postérieurs (78,7%) ont ainsi été réalisés avec mise en place de crochets et tiges chez 15 patients (57,6%), confection d’un laçage dans 9 cas (34,6%) et 2 vissages transarticulaires (7,6%). Dans 7 cas, l’abord a été antérieur (21,2%) ayant permis de réaliser 3 vissages de l’odontoïde (42,8%) et 4 discectomies C2-C3 avec mise en place d’un greffon osseux (57,1%).
Les suites opératoires ont été satisfaisantes pour la quasi-totalité des malades ; ailleurs elles ont été marquées par la persistance d’un déficit neurologique chez 2 patients (6,06%) et une infection de paroi jugulée sous traitement médical dans 2 autres cas (6,06%) parmi les patients opérés.
Le suivi évolutif a été de 1 à 38 mois et a été marqué par une nette régression du déficit sensitivo-moteur initial chez les 9 patients.
Dans notre travail, nous rappelons les aspects anatomiques,physiopathologiques et anatomopathologiques des traumatismes du rachis cervical supérieur et nous discutons les aspects épidémiologiques, cliniques, radiologiques et thérapeutiques en nous basant sur une revue de la littérature internationale.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M1822008 Président : BELKHDAR FOUAD Directeur : GANA RACHID Juge : EL OUHABI ABDESSAMAD Juge : JIDDANE MOHAMED LES TRAUMATISMES DU RACHIS SUPERIEUR : EXPERIENCE DU SERVICE DE NEUROCHIRURGIE DE L'HOPITAL IBN SINA DE RABAT ENTRE 1996 ET JUIN 2008 [thĂšse] / TBATOU FADWA, Auteur . - 2008.
Langues : Français (fre)
Mots-clĂ©s : rachis cervical superieur traumatismes du rachis chirurgie Index. dĂ©cimale : WA SANTE PUBLIQUE - PROFESSION MEDICALE RĂ©sumĂ© : Notre travail est une étude rétrospective de 60 dossiers exploitables de traumatismes du rachis cervical supérieur parmi 93 dossiers colligés au service de neurochirurgie de l’hôpital Ibn Sina de Rabat entre Janvier 1996 et Juin 2008.
Ces traumatismes concernent l’occiput, les deux premières vertèbres : atlas (C1) et axis (C2) ainsi que les articulations entre eux, à savoir C0-C1, C1-C2 et C2-C3.
La série comporte 48 hommes (80%) et 12 femmes (20%) dont l’âge varie entre 6 et 80 ans avec un âge moyen de 34,6.
Nous avons retrouvé 32 accidents de la voie publique (53,3%), 22 chutes (36,6%), 4 traumatismes par choc direct (6,6%) et 2 accidents de plongeon (3,3%).
47 patients ont été admis dans les 48 heures suivant le traumatisme (78,3%). Dans 13 cas, il s’agissait de traumatismes cervicaux supérieurs négligés (21,6%).
Un syndrome rachidien cervical d’intensité variable a été retrouvé chez 55 patients (91,6%), un déficit sensitif et/ou moteur incomplet chez 9 patients (15%).
Tous les patients ont bénéficié de radiographies standard et de tomodensitométrie. L’imagerie par résonance magnétique a pu être réalisée chez 10 malades (16,6%).
Sur les 92 lésions recensées, nous avons retrouvé 6 luxations C1-C2 (6,5%) et 8 luxations C2-C3 (8,7%), 2 fractures occipitales (2%), 10 fractures de l’atlas (10,9%), 66 fractures de l’axis (71,7%) dont 23 fractures de l’odontoïde (34,9%).
Les lésions associées sont représentées essentiellement par les traumatismes des membres et bassin chez 9 patients (15%) ou dans le cadre d’un polytraumatisme constaté dans 10 cas (16,7%). L’association à un traumatisme crânien a été retrouvée chez 4 blessés (6,7%) et à un traumatisme du rachis cervical inférieur chez 11 patients (18,3%).
Un cas de décès est survenu avant traitement, et ce, dans le cadre d’un polytraumatisme.
Le traitement orthopédique exclusif a été réalisé pour des lésions jugées stables chez 26 patients (43,3%).
33 malades ont pu bénéficier d’un traitement chirurgical (55%). 26 abords postérieurs (78,7%) ont ainsi été réalisés avec mise en place de crochets et tiges chez 15 patients (57,6%), confection d’un laçage dans 9 cas (34,6%) et 2 vissages transarticulaires (7,6%). Dans 7 cas, l’abord a été antérieur (21,2%) ayant permis de réaliser 3 vissages de l’odontoïde (42,8%) et 4 discectomies C2-C3 avec mise en place d’un greffon osseux (57,1%).
Les suites opératoires ont été satisfaisantes pour la quasi-totalité des malades ; ailleurs elles ont été marquées par la persistance d’un déficit neurologique chez 2 patients (6,06%) et une infection de paroi jugulée sous traitement médical dans 2 autres cas (6,06%) parmi les patients opérés.
Le suivi évolutif a été de 1 à 38 mois et a été marqué par une nette régression du déficit sensitivo-moteur initial chez les 9 patients.
Dans notre travail, nous rappelons les aspects anatomiques,physiopathologiques et anatomopathologiques des traumatismes du rachis cervical supérieur et nous discutons les aspects épidémiologiques, cliniques, radiologiques et thérapeutiques en nous basant sur une revue de la littérature internationale.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M1822008 Président : BELKHDAR FOUAD Directeur : GANA RACHID Juge : EL OUHABI ABDESSAMAD Juge : JIDDANE MOHAMED RĂ©servation
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Code barre Cote Support Localisation Section DisponibilitĂ© M1822008 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2008 Disponible LES TROUBLES DE L'EJACULATION / GUELZIM SOUFIANE
Titre : LES TROUBLES DE L'EJACULATION Type de document : thĂšse Auteurs : GUELZIM SOUFIANE, Auteur AnnĂ©e de publication : 2008 Langues : Français (fre) Mots-clĂ©s : EJACULATION PREMATUREE ANEJACULATION HEMOSPERMIE EJACULATION DOULOUREUSE PYOSPERMIE Index. dĂ©cimale : WA SANTE PUBLIQUE - PROFESSION MEDICALE RĂ©sumĂ© : Les troubles de l’éjaculation entrent dans le cadre des dysfonctions sexuelles masculines et regroupent, d’une part les perturbations balistiques de l’éjaculation comprenant les trois variétés d’anéjaculation (l’éjaculation rétrograde, l’éjaculation sèche à orgasme conservé, l’anéjaculation sans orgasme) et l’éjaculation asthénique ; et d’autre part les perturbations chronologiques de l’éjaculation comprenant l’éjaculation prématurée et l’éjaculation retardée. Ses causes sont identiques à celle de l’anéjaculation sans orgasme, dont elle constitue en quelque sorte une forme atténuée.
D’autres expressions cliniques des troubles de l’éjaculation amènent souvent à consulter et qui sont : L’Hémospermie, L’Ejaculation douloureuse et La Pyospermie.
La forte prévalence des troubles de l’éjaculation en particulier de l’éjaculation prématurée, doit inciter le médecin à un dépistage plus systématique lors de l’anamnèse.
La définition de l’éjaculation prématurée n’est pas univoque. Trois critères sont importants à prendre en compte : la rapidité de survenue de l’éjaculation, l’absence de contrôle volontaire et la souffrance personnelle et/ou de la partenaire.
L’anéjaculation est définie par l’absence d’éjaculation par le méat urétral malgré une érection normale et une stimulation sexuelle appropriée et prolongée, elle regroupe l’anorgasmie (anéjaculation sans orgasme), dont l’éjaculation tardive ou retardée est une forme mineure, l’éjaculation rétrograde, l’éjaculation sèche et l’éjaculation asthénique.
L’hémospermie se définit par la présence de sang dans l’éjaculat, c’est un symptôme relativement fréquent mais sa prévalence reste indéterminée. Elle peut être macroscopique évidente ou microscopique découverte fortuitement au spermogramme.
L’éjaculation douloureuse apparaît comme un trouble qui est loin d’être exceptionnel et se définit par des douleurs survenant au décours des rapports sexuels avant, pendant ou après l’éjaculation.
La pyospermie est définie par la présence au spermogramme d’une leucospermie > 1 million/ ml de sperme, sa prévalence reste faible chez les hommes infertiles.
Le diagnostic clinique des troubles de l’éjaculation repose surtout sur L’interrogatoire (du patient, de sa partenaire et du couple) et l’examen clinique du patient.
L’interrogatoire permet de définir le trouble et souvent d’en trouver la cause. La distinction entre le caractère primaire ou secondaire du trouble est capitale.
L’examen clinique doit être systématique et le plus complet possible, il comprend un examen uro-génital lequel portera une attention particulière sur les organes génitaux externes (verge, scrotum et contenu) et un toucher rectal indiqué quelque soit l’âge évaluant l’état de la prostate et des vésicules séminales, un examen neurologique et une évaluation endocrinienne.
L’examen clinique doit relever également les signes d’imprégnation alcoolique et toxique.
Les investigations paracliniques sont choisies en fonctions des anomalies décelées par l’interrogatoire et l’examen clinique. Lorsqu’il n’en a pas été décelé, se pose la question d’éventuels examens paracliniques systématiques.
Le dépistage du retentissement psychologique sera systématique quelque soit le trouble présenté.
Les causes des troubles de l’éjaculation peuvent se répartir en causes organiques et psychologiques.
Les causes psychologiques sont les plus fréquemment retenues en cas d’éjaculation prématurée. Les causes organiques sont rares, mais indiscutables, qu’il convient donc de toujours rechercher. Les examens complémentaires sont rarement nécessaires. Seuls ceux permettant le diagnostique d’une infection associée sont parfois réalisés.
Le diagnostic d’une anéjaculation nécessite dans un 1er temps d’en préciser la variété.
Ce diagnostic est nécessaire, puisque le pronostic et les implications thérapeutiques sont très différents pour chaque variété. Il repose sur l’analyse de la sémiologie sexuelle, et particulièrement sur celle de l’orgasme. Il faut souvent y associer une recherche de spermatozoïdes et un dosage des phosphatases acides dans les urines émises après un acte sexuel. Les causes peuvent se répartir en causes organiques et psychologiques.
L’hémospermie est souvent idiopathique ou secondaire à des lésions infectieuses non spécifiques ou spécifiques (tuberculose ou bilharziose). Rarement, elle est due à une tumeur prostatique ou des vésicules séminales. Les causes iatrogènes sont sans gravité en général.
L’éjaculation douloureuse accompagne fréquemment les épisodes infectieux génitaux aigus, prostatites, prostato-vésiculites, orchi-épididymites. Les examens bactériologiques seront systématiques.
La pyospermie reflète souvent une infection de la région génito-urinaire basse, ou peut être secondaire à une réaction immunologique, le diagnostic se fait par la réalisation d’un spermogramme.
La prise en charge des troubles de l’éjaculation relève, le plus souvent, des compétences d’équipes spécialisées. Elle est basée sur des traitements pharmacologique, psychologique, mécanique, endoscopique et parfois sur la chirurgie. Le traitement est étiologique lorsqu’une cause organique est retrouvée.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M1412008 Président : FAIK MOHAMED Directeur : LACHKAR AZZOUZ Juge : NOUINI YASSINE LES TROUBLES DE L'EJACULATION [thĂšse] / GUELZIM SOUFIANE, Auteur . - 2008.
Langues : Français (fre)
Mots-clĂ©s : EJACULATION PREMATUREE ANEJACULATION HEMOSPERMIE EJACULATION DOULOUREUSE PYOSPERMIE Index. dĂ©cimale : WA SANTE PUBLIQUE - PROFESSION MEDICALE RĂ©sumĂ© : Les troubles de l’éjaculation entrent dans le cadre des dysfonctions sexuelles masculines et regroupent, d’une part les perturbations balistiques de l’éjaculation comprenant les trois variétés d’anéjaculation (l’éjaculation rétrograde, l’éjaculation sèche à orgasme conservé, l’anéjaculation sans orgasme) et l’éjaculation asthénique ; et d’autre part les perturbations chronologiques de l’éjaculation comprenant l’éjaculation prématurée et l’éjaculation retardée. Ses causes sont identiques à celle de l’anéjaculation sans orgasme, dont elle constitue en quelque sorte une forme atténuée.
D’autres expressions cliniques des troubles de l’éjaculation amènent souvent à consulter et qui sont : L’Hémospermie, L’Ejaculation douloureuse et La Pyospermie.
La forte prévalence des troubles de l’éjaculation en particulier de l’éjaculation prématurée, doit inciter le médecin à un dépistage plus systématique lors de l’anamnèse.
La définition de l’éjaculation prématurée n’est pas univoque. Trois critères sont importants à prendre en compte : la rapidité de survenue de l’éjaculation, l’absence de contrôle volontaire et la souffrance personnelle et/ou de la partenaire.
L’anéjaculation est définie par l’absence d’éjaculation par le méat urétral malgré une érection normale et une stimulation sexuelle appropriée et prolongée, elle regroupe l’anorgasmie (anéjaculation sans orgasme), dont l’éjaculation tardive ou retardée est une forme mineure, l’éjaculation rétrograde, l’éjaculation sèche et l’éjaculation asthénique.
L’hémospermie se définit par la présence de sang dans l’éjaculat, c’est un symptôme relativement fréquent mais sa prévalence reste indéterminée. Elle peut être macroscopique évidente ou microscopique découverte fortuitement au spermogramme.
L’éjaculation douloureuse apparaît comme un trouble qui est loin d’être exceptionnel et se définit par des douleurs survenant au décours des rapports sexuels avant, pendant ou après l’éjaculation.
La pyospermie est définie par la présence au spermogramme d’une leucospermie > 1 million/ ml de sperme, sa prévalence reste faible chez les hommes infertiles.
Le diagnostic clinique des troubles de l’éjaculation repose surtout sur L’interrogatoire (du patient, de sa partenaire et du couple) et l’examen clinique du patient.
L’interrogatoire permet de définir le trouble et souvent d’en trouver la cause. La distinction entre le caractère primaire ou secondaire du trouble est capitale.
L’examen clinique doit être systématique et le plus complet possible, il comprend un examen uro-génital lequel portera une attention particulière sur les organes génitaux externes (verge, scrotum et contenu) et un toucher rectal indiqué quelque soit l’âge évaluant l’état de la prostate et des vésicules séminales, un examen neurologique et une évaluation endocrinienne.
L’examen clinique doit relever également les signes d’imprégnation alcoolique et toxique.
Les investigations paracliniques sont choisies en fonctions des anomalies décelées par l’interrogatoire et l’examen clinique. Lorsqu’il n’en a pas été décelé, se pose la question d’éventuels examens paracliniques systématiques.
Le dépistage du retentissement psychologique sera systématique quelque soit le trouble présenté.
Les causes des troubles de l’éjaculation peuvent se répartir en causes organiques et psychologiques.
Les causes psychologiques sont les plus fréquemment retenues en cas d’éjaculation prématurée. Les causes organiques sont rares, mais indiscutables, qu’il convient donc de toujours rechercher. Les examens complémentaires sont rarement nécessaires. Seuls ceux permettant le diagnostique d’une infection associée sont parfois réalisés.
Le diagnostic d’une anéjaculation nécessite dans un 1er temps d’en préciser la variété.
Ce diagnostic est nécessaire, puisque le pronostic et les implications thérapeutiques sont très différents pour chaque variété. Il repose sur l’analyse de la sémiologie sexuelle, et particulièrement sur celle de l’orgasme. Il faut souvent y associer une recherche de spermatozoïdes et un dosage des phosphatases acides dans les urines émises après un acte sexuel. Les causes peuvent se répartir en causes organiques et psychologiques.
L’hémospermie est souvent idiopathique ou secondaire à des lésions infectieuses non spécifiques ou spécifiques (tuberculose ou bilharziose). Rarement, elle est due à une tumeur prostatique ou des vésicules séminales. Les causes iatrogènes sont sans gravité en général.
L’éjaculation douloureuse accompagne fréquemment les épisodes infectieux génitaux aigus, prostatites, prostato-vésiculites, orchi-épididymites. Les examens bactériologiques seront systématiques.
La pyospermie reflète souvent une infection de la région génito-urinaire basse, ou peut être secondaire à une réaction immunologique, le diagnostic se fait par la réalisation d’un spermogramme.
La prise en charge des troubles de l’éjaculation relève, le plus souvent, des compétences d’équipes spécialisées. Elle est basée sur des traitements pharmacologique, psychologique, mécanique, endoscopique et parfois sur la chirurgie. Le traitement est étiologique lorsqu’une cause organique est retrouvée.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M1412008 Président : FAIK MOHAMED Directeur : LACHKAR AZZOUZ Juge : NOUINI YASSINE RĂ©servation
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Code barre Cote Support Localisation Section DisponibilitĂ© M1412008 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2008 Disponible TROUBLES PSYCHOTIQUES ET USAGE DU CANNABIS : A PROPOS DE 36 CAS / TANGI RADIA
Titre : TROUBLES PSYCHOTIQUES ET USAGE DU CANNABIS : A PROPOS DE 36 CAS Type de document : thĂšse Auteurs : TANGI RADIA, Auteur AnnĂ©e de publication : 2008 Langues : Français (fre) Mots-clĂ©s : TROUBLES PSYCHOTIQUES CANNABIS SCHIZOPHRENIE TROUBLES PSYCHOTIQUES INDUITS PREVENTION Index. dĂ©cimale : WA SANTE PUBLIQUE - PROFESSION MEDICALE RĂ©sumĂ© : Le lien entre les troubles psychotique et le cannabis constitue un sujet de débat important. La revue de littérature montre que certains auteurs sont pour l’existence d’un lien direct entre l’usage du cannabis et la psychose, en se basant sur des arguments neurobiologiques et l’analyse des cohortes. D’autres auteurs réfutent l’existence de ce lien.
Dans tous les cas, le cannabis constitue un facteur de risque et de gravité dans l’évolution des affections psychotiques. Chez les schizophrènes, le cannabis aggrave les symptômes psychotiques, et surtout les symptômes productifs, et il est à l’origine de rechutes et d’hospitalisations fréquentes.
Dans ce cadre, nous avons effectué une étude rétrospective sur l’année 2006, d’une série de 36 patients psychotiques usagers de cannabis, au sein du service de psychiatrie de l’HMIMV.
Cette étude a permis de ressortir deux résultats principaux :
· Le pourcentage important (62%) de patients psychotiques usagers de cannabis par rapport à l’ensemble des patients psychotiques.
· L’existence de patients présentant un trouble psychotique induit conforme aux critères diagnostiques du DSM IV-TR (mini série de 4 cas)
La comparaison entre les patients de notre série et un groupe témoin de patients psychotiques abstinents a bien montré que l’usage du cannabis est un facteur aggravant de la symptomatologie et de l’évolution de la psychose.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M0832008 Président : FAJRI AHMED Directeur : BICHRA MOHAMED ZAKARIYA Juge : OUANASS ABDERRAZAK TROUBLES PSYCHOTIQUES ET USAGE DU CANNABIS : A PROPOS DE 36 CAS [thĂšse] / TANGI RADIA, Auteur . - 2008.
Langues : Français (fre)
Mots-clĂ©s : TROUBLES PSYCHOTIQUES CANNABIS SCHIZOPHRENIE TROUBLES PSYCHOTIQUES INDUITS PREVENTION Index. dĂ©cimale : WA SANTE PUBLIQUE - PROFESSION MEDICALE RĂ©sumĂ© : Le lien entre les troubles psychotique et le cannabis constitue un sujet de débat important. La revue de littérature montre que certains auteurs sont pour l’existence d’un lien direct entre l’usage du cannabis et la psychose, en se basant sur des arguments neurobiologiques et l’analyse des cohortes. D’autres auteurs réfutent l’existence de ce lien.
Dans tous les cas, le cannabis constitue un facteur de risque et de gravité dans l’évolution des affections psychotiques. Chez les schizophrènes, le cannabis aggrave les symptômes psychotiques, et surtout les symptômes productifs, et il est à l’origine de rechutes et d’hospitalisations fréquentes.
Dans ce cadre, nous avons effectué une étude rétrospective sur l’année 2006, d’une série de 36 patients psychotiques usagers de cannabis, au sein du service de psychiatrie de l’HMIMV.
Cette étude a permis de ressortir deux résultats principaux :
· Le pourcentage important (62%) de patients psychotiques usagers de cannabis par rapport à l’ensemble des patients psychotiques.
· L’existence de patients présentant un trouble psychotique induit conforme aux critères diagnostiques du DSM IV-TR (mini série de 4 cas)
La comparaison entre les patients de notre série et un groupe témoin de patients psychotiques abstinents a bien montré que l’usage du cannabis est un facteur aggravant de la symptomatologie et de l’évolution de la psychose.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M0832008 Président : FAJRI AHMED Directeur : BICHRA MOHAMED ZAKARIYA Juge : OUANASS ABDERRAZAK RĂ©servation
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Code barre Cote Support Localisation Section DisponibilitĂ© M0832008 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2008 Disponible LES TUBERCULOMES INTRACRANIENS A PROPOS DE 125 CAS COLLIGES AU SERVICE DE NEUROCHIRURGIE DE L'HOPITAL AVICENNE DE 1986-2007 / EL HARRAQUI RYME
Titre : LES TUBERCULOMES INTRACRANIENS A PROPOS DE 125 CAS COLLIGES AU SERVICE DE NEUROCHIRURGIE DE L'HOPITAL AVICENNE DE 1986-2007 Type de document : thĂšse Auteurs : EL HARRAQUI RYME, Auteur AnnĂ©e de publication : 2008 Langues : Français (fre) Mots-clĂ©s : TUBERCULOMES INTRACRANIENS BIOPSIE STEREOTAXIQUE CERVEAU Index. dĂ©cimale : WA SANTE PUBLIQUE - PROFESSION MEDICALE RĂ©sumĂ© : Les tuberculomes intracrâniens représentent l’une des localisations les plus graves de la tuberculose. Leur incidence varie en fonction du contexte, allant de 0,2 % des processus intracrâniens dans les pays occidentaux à 5 jusqu’à 11% des masses intracrâniennes dans les pays en voie de développement.
Nous rapportons dans notre étude une série de 125 cas colligés au service de neurochirurgie de l’hôpital Ibn Sina de Rabat de 1986 à 2007.
Les signes cliniques les plus fréquemment rencontrés chez ces patients furent l’hypertension intracrânienne (45 % des cas) et le déficit neurologique (36 % des cas).
La lésion était localisée dans 73 cas (60 % des patients) en sus-tentoriel, pour 48 cas (38,4% des patients) en sous-tentoriel et multiple en sus et sous-tentoriel dans 4 cas.
Avant l’avènement de la biopsie stéréotaxique dans le service en 1993, l’attitude thérapeutique consistait soit en un abord direct du tuberculome dans 70 % des cas, soit en un traitement médical anti-tuberculeux sans confirmation histologique dans 30 % des cas. (53). Cette attitude était corrélée à une mortalité et une morbidité non négligeables, respectivement de 5% et 10%.
Après introduction de la stéréotaxie dans le protocole thérapeutique, le taux d’abord direct a chuté à 38 %, celui des patients traités par antibacillaires sans preuve histologique à seulement 13,6 %, et 47 % des patients après 1993 ont bénéficié de biopsies stéréotaxiques. Ceci a conduit à une réduction significative de la mortalité a 1,4% (p : : 0,0003) et de morbidité à 2% (p : 0,0027)
Finalement, de 1986 à 2007, 53 % des patients (soit 70 cas) ont été traités par un abord chirurgical direct du tuberculome, 25 % (32 cas) par biopsie stéréotaxique, et
19,2 % (23 cas) par traitement médical seul de première intention sans confirmation histologique.
Mots-clés : Tuberculome intracrânien, biopsie stéréotaxique, cerveau.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M1612008 Président : BELLAKHDAR FOUAD Directeur : GANA RACHID Juge : JIDDANE MOHAMED Juge : EL MAAQUILI MY RACHID LES TUBERCULOMES INTRACRANIENS A PROPOS DE 125 CAS COLLIGES AU SERVICE DE NEUROCHIRURGIE DE L'HOPITAL AVICENNE DE 1986-2007 [thĂšse] / EL HARRAQUI RYME, Auteur . - 2008.
Langues : Français (fre)
Mots-clĂ©s : TUBERCULOMES INTRACRANIENS BIOPSIE STEREOTAXIQUE CERVEAU Index. dĂ©cimale : WA SANTE PUBLIQUE - PROFESSION MEDICALE RĂ©sumĂ© : Les tuberculomes intracrâniens représentent l’une des localisations les plus graves de la tuberculose. Leur incidence varie en fonction du contexte, allant de 0,2 % des processus intracrâniens dans les pays occidentaux à 5 jusqu’à 11% des masses intracrâniennes dans les pays en voie de développement.
Nous rapportons dans notre étude une série de 125 cas colligés au service de neurochirurgie de l’hôpital Ibn Sina de Rabat de 1986 à 2007.
Les signes cliniques les plus fréquemment rencontrés chez ces patients furent l’hypertension intracrânienne (45 % des cas) et le déficit neurologique (36 % des cas).
La lésion était localisée dans 73 cas (60 % des patients) en sus-tentoriel, pour 48 cas (38,4% des patients) en sous-tentoriel et multiple en sus et sous-tentoriel dans 4 cas.
Avant l’avènement de la biopsie stéréotaxique dans le service en 1993, l’attitude thérapeutique consistait soit en un abord direct du tuberculome dans 70 % des cas, soit en un traitement médical anti-tuberculeux sans confirmation histologique dans 30 % des cas. (53). Cette attitude était corrélée à une mortalité et une morbidité non négligeables, respectivement de 5% et 10%.
Après introduction de la stéréotaxie dans le protocole thérapeutique, le taux d’abord direct a chuté à 38 %, celui des patients traités par antibacillaires sans preuve histologique à seulement 13,6 %, et 47 % des patients après 1993 ont bénéficié de biopsies stéréotaxiques. Ceci a conduit à une réduction significative de la mortalité a 1,4% (p : : 0,0003) et de morbidité à 2% (p : 0,0027)
Finalement, de 1986 à 2007, 53 % des patients (soit 70 cas) ont été traités par un abord chirurgical direct du tuberculome, 25 % (32 cas) par biopsie stéréotaxique, et
19,2 % (23 cas) par traitement médical seul de première intention sans confirmation histologique.
Mots-clés : Tuberculome intracrânien, biopsie stéréotaxique, cerveau.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M1612008 Président : BELLAKHDAR FOUAD Directeur : GANA RACHID Juge : JIDDANE MOHAMED Juge : EL MAAQUILI MY RACHID RĂ©servation
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Code barre Cote Support Localisation Section DisponibilitĂ© M1612008 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2008 Disponible La tuberculose de la hanche : Etude retrospective a propos de 10 cas / EL BOUKHARI REDA
Titre : La tuberculose de la hanche : Etude retrospective a propos de 10 cas Type de document : thĂšse Auteurs : EL BOUKHARI REDA, Auteur AnnĂ©e de publication : 2008 Langues : Français (fre) Mots-clĂ©s : Coxalgie Tuberculose osteo articulaire bacille de Koch Index. dĂ©cimale : WA SANTE PUBLIQUE - PROFESSION MEDICALE RĂ©sumĂ© : Sur une période de 9 ans allant de 1998 à 2007, nous avons effectué une étude rétrospective de 10 cas de tuberculose de la hanche colligés au service de traumatologie-orthopedie du CHU Ibn Sina Rabat.
L’age moyen de nos patients est de 41 ans avec des extrêmes allant de 17 ans à 65 ans, on note une nette prédominance masculine (8 cas de sexe masculin).
La symptomatologie clinique, d’évolution insidieuse, était dominée par une douleur aussi bien spontanée qu’à la mobilisation de la hanche, ainsi qu’une impotence fonctionnelle partielle chez certains cas et totales chez d’autres. Une tuméfaction a été notée chez 5 cas.Par ailleurs, les signes d’imprégnation tuberculeuse ont été retrouvés chez 3 cas, à savoir une fièvre chronique chez 1 cas et une altération de l’état général avec amaigrissement chez 2autres.
Dans le cadre du bilan biologique, L’IDR faite chez 8 patients s’est révélée positive chez 5, tandis que la V.S était accélérée chez 8 de nos patients.
La radiographie standard avait montrée des lésions osseuses de différents stades, corrélées à la durée d’évolution.
L’examen bactériologique du liquide synovial, pratiqué chez 8 patients, était négatif, aussi bien à l’examen direct que sur la culture, chez 6 patients.
L’étude anatomopathologique faite à partir de la biopsie de la synoviale retrouvait un grunulome épithelio-giganto-cellulaire chez tous nos patients, posant ainsi le diagnostic de certitude.
Tous nos patients ont bénéficie d’une chimiothérapie anti-bacillaire. 5 patients ont bénéficie en plus, d’un curetage et nettoyage de l’articulation.
Avec un recul de 3ans, les résultats étaient bons avec une disparition de la douleur chez 6 patients, une amélioration de la mobilité articulaire chez les 5 patients vus précocement. Les 3 patients vus tardivement ont gardé des séquelles.
On n’insistera jamais assez sur la nécessité d’un diagnostic précoce afin d’endiguer la maladie permettant ainsi sa guérison avant qu’elle n’entraîne des séquelles dommageables pour le patient.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M0962008 Président : HERMAS MOHAMED Directeur : LAMRANI MY OMAR Juge : ABBASSI ABDELLAH La tuberculose de la hanche : Etude retrospective a propos de 10 cas [thĂšse] / EL BOUKHARI REDA, Auteur . - 2008.
Langues : Français (fre)
Mots-clĂ©s : Coxalgie Tuberculose osteo articulaire bacille de Koch Index. dĂ©cimale : WA SANTE PUBLIQUE - PROFESSION MEDICALE RĂ©sumĂ© : Sur une période de 9 ans allant de 1998 à 2007, nous avons effectué une étude rétrospective de 10 cas de tuberculose de la hanche colligés au service de traumatologie-orthopedie du CHU Ibn Sina Rabat.
L’age moyen de nos patients est de 41 ans avec des extrêmes allant de 17 ans à 65 ans, on note une nette prédominance masculine (8 cas de sexe masculin).
La symptomatologie clinique, d’évolution insidieuse, était dominée par une douleur aussi bien spontanée qu’à la mobilisation de la hanche, ainsi qu’une impotence fonctionnelle partielle chez certains cas et totales chez d’autres. Une tuméfaction a été notée chez 5 cas.Par ailleurs, les signes d’imprégnation tuberculeuse ont été retrouvés chez 3 cas, à savoir une fièvre chronique chez 1 cas et une altération de l’état général avec amaigrissement chez 2autres.
Dans le cadre du bilan biologique, L’IDR faite chez 8 patients s’est révélée positive chez 5, tandis que la V.S était accélérée chez 8 de nos patients.
La radiographie standard avait montrée des lésions osseuses de différents stades, corrélées à la durée d’évolution.
L’examen bactériologique du liquide synovial, pratiqué chez 8 patients, était négatif, aussi bien à l’examen direct que sur la culture, chez 6 patients.
L’étude anatomopathologique faite à partir de la biopsie de la synoviale retrouvait un grunulome épithelio-giganto-cellulaire chez tous nos patients, posant ainsi le diagnostic de certitude.
Tous nos patients ont bénéficie d’une chimiothérapie anti-bacillaire. 5 patients ont bénéficie en plus, d’un curetage et nettoyage de l’articulation.
Avec un recul de 3ans, les résultats étaient bons avec une disparition de la douleur chez 6 patients, une amélioration de la mobilité articulaire chez les 5 patients vus précocement. Les 3 patients vus tardivement ont gardé des séquelles.
On n’insistera jamais assez sur la nécessité d’un diagnostic précoce afin d’endiguer la maladie permettant ainsi sa guérison avant qu’elle n’entraîne des séquelles dommageables pour le patient.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M0962008 Président : HERMAS MOHAMED Directeur : LAMRANI MY OMAR Juge : ABBASSI ABDELLAH RĂ©servation
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Code barre Cote Support Localisation Section DisponibilitĂ© M0962008 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2008 Disponible LA TUMEUR FIBREUSE SOLITAIRE DE LA PLEVRE A PROPOS DE 07 CAS / MOUDDEN AISSAM
Titre : LA TUMEUR FIBREUSE SOLITAIRE DE LA PLEVRE A PROPOS DE 07 CAS Type de document : thĂšse Auteurs : MOUDDEN AISSAM, Auteur AnnĂ©e de publication : 2008 Langues : Français (fre) Mots-clĂ©s : Tumeur fibreuse solitaire PlĂšvre RĂ©section RĂ©cidive Transformation maligne Index. dĂ©cimale : WA SANTE PUBLIQUE - PROFESSION MEDICALE RĂ©sumĂ© : Les tumeurs fibreuses solitaires de la plèvre sont des tumeurs d’origine mésenchymateuse peu fréquentes, avec environ 900 cas rapportés dans le monde jusqu’en 2007. Ces tumeurs sont bénignes dans plus de 85% des cas.
Après une revue de la littérature, nous rapportons notre expérience dans la prise en charge de cette entité tumorale par analyse de 7 cas colligés au service de chirurgie thoracique de l’hôpital Ibn Sina entre 1996 et 2007.
L’âge des patients variait entre 26 ans et 69 ans avec une moyenne de 54 ans sans distinction nette de sexe (4 hommes / 3 femmes). La découverte a été essentiellement à l’occasion de signes respiratoires non spécifiques avec un seul cas de découverte radiologique fortuite. La radiographie thoracique a montré le plus souvent une opacité bien limitée de taille variable et de siège le plus souvent basi-thoracique. La tomodensitométrie thoracique met en évidence des masses tumorales de densité hétérogène. Le diagnostic par ponction de la masse tumorale à été positif pour 2 cas sur 7.
Nous avons réalisé 7 thoracotomies, le traitement d’élection a été la résection chirurgicale complète, 6 tumeurs avaient pour origine la plèvre viscérale et une seule était liée à la plèvre pariétale, la taille des tumeurs variait entre 7 et 20 cm et le poids entre 40 g et 2,4 kg. L’histologie montre une mixture de cellules fusiformes d’allure fibroblastique et de stroma collagène concluant au diagnostic de tumeur fibreuse solitaire, confirmé par immunohistochimie dans 4 cas. Les tumeurs ont été classifiés comme bénignes avec un seul cas suspect d’agressivité.
L’évolution à été bonne dans la plupart des cas avec un suivi s’étalant sur une durée moyenne de 28 mois, et un seul cas de récidive a été noté 3 ans après la première exérèse complète évoluant vers une dégénérescence maligne sous forme d’un mésothéliome malin biphasique à fort contingent sarcomateux.
Nous concluons que, bien que les tumeurs fibreuses solitaires de la plèvre sont considérés la plupart du temps histologiquement bénignes, en raison du risque de récidive et de transformation maligne, la résection complète et large ainsi qu’un suivi à long terme sont recommandés pour tous les patients.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M1502008 Président : BENOSMAN ABDELLATIF Directeur : BENOSMAN ABDELLATIF Juge : EL FTOUH MUSTAPHA Juge : MAHASSINI NAJAT LA TUMEUR FIBREUSE SOLITAIRE DE LA PLEVRE A PROPOS DE 07 CAS [thĂšse] / MOUDDEN AISSAM, Auteur . - 2008.
Langues : Français (fre)
Mots-clĂ©s : Tumeur fibreuse solitaire PlĂšvre RĂ©section RĂ©cidive Transformation maligne Index. dĂ©cimale : WA SANTE PUBLIQUE - PROFESSION MEDICALE RĂ©sumĂ© : Les tumeurs fibreuses solitaires de la plèvre sont des tumeurs d’origine mésenchymateuse peu fréquentes, avec environ 900 cas rapportés dans le monde jusqu’en 2007. Ces tumeurs sont bénignes dans plus de 85% des cas.
Après une revue de la littérature, nous rapportons notre expérience dans la prise en charge de cette entité tumorale par analyse de 7 cas colligés au service de chirurgie thoracique de l’hôpital Ibn Sina entre 1996 et 2007.
L’âge des patients variait entre 26 ans et 69 ans avec une moyenne de 54 ans sans distinction nette de sexe (4 hommes / 3 femmes). La découverte a été essentiellement à l’occasion de signes respiratoires non spécifiques avec un seul cas de découverte radiologique fortuite. La radiographie thoracique a montré le plus souvent une opacité bien limitée de taille variable et de siège le plus souvent basi-thoracique. La tomodensitométrie thoracique met en évidence des masses tumorales de densité hétérogène. Le diagnostic par ponction de la masse tumorale à été positif pour 2 cas sur 7.
Nous avons réalisé 7 thoracotomies, le traitement d’élection a été la résection chirurgicale complète, 6 tumeurs avaient pour origine la plèvre viscérale et une seule était liée à la plèvre pariétale, la taille des tumeurs variait entre 7 et 20 cm et le poids entre 40 g et 2,4 kg. L’histologie montre une mixture de cellules fusiformes d’allure fibroblastique et de stroma collagène concluant au diagnostic de tumeur fibreuse solitaire, confirmé par immunohistochimie dans 4 cas. Les tumeurs ont été classifiés comme bénignes avec un seul cas suspect d’agressivité.
L’évolution à été bonne dans la plupart des cas avec un suivi s’étalant sur une durée moyenne de 28 mois, et un seul cas de récidive a été noté 3 ans après la première exérèse complète évoluant vers une dégénérescence maligne sous forme d’un mésothéliome malin biphasique à fort contingent sarcomateux.
Nous concluons que, bien que les tumeurs fibreuses solitaires de la plèvre sont considérés la plupart du temps histologiquement bénignes, en raison du risque de récidive et de transformation maligne, la résection complète et large ainsi qu’un suivi à long terme sont recommandés pour tous les patients.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M1502008 Président : BENOSMAN ABDELLATIF Directeur : BENOSMAN ABDELLATIF Juge : EL FTOUH MUSTAPHA Juge : MAHASSINI NAJAT RĂ©servation
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Code barre Cote Support Localisation Section DisponibilitĂ© M1502008 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2008 Disponible UNE TUMEUR DE L'OVAIRE RARE : LA TUMEUR DE BRENNER / EL MASTALQI ALAE
Titre : UNE TUMEUR DE L'OVAIRE RARE : LA TUMEUR DE BRENNER Type de document : thĂšse Auteurs : EL MASTALQI ALAE, Auteur AnnĂ©e de publication : 2008 Langues : Français (fre) Mots-clĂ©s : Cancer Diagnostic ovaire Tumeur de Brenner Index. dĂ©cimale : WA SANTE PUBLIQUE - PROFESSION MEDICALE RĂ©sumĂ© : Les tumeurs de Brenner de l’ovaire sont des tumeurs ovariennes rares, elles représentent 1 à 2% de toutes les tumeurs ovariennes. Elles correspondent à des tumeurs fibro-épithéliales constituées d’un stroma dérivé du cortex ovarien contenant des nids de cellules épithéliales de type transitionnel ou excréto-urinaire.
Les véritables origines des tumeurs de Brenner, les caractéristiques histogénétiques ainsi que le potentiel hormonal des tumeurs de Brenner représentent les sujets les plus discutés de la littérature concernant ces tumeurs.
Actuellement, les tumeurs de Brenner sont classées en : tumeurs bénignes, proliférantes et malignes. Cependant, la plupart des tumeurs de Brenner sont bénignes, les tumeurs de Brenner malignes sont rares et ne représentent que 1% de ces tumeurs.
A travers nos 6 observations et une revue de la littérature, nous essayons de souligner les particularités cliniques, histologiques, radiologiques, thérapeutiques ainsi que pronostiques, tout en insistant sur les difficultés diagnostiques et les caractéristiques thérapeutiques.
Les patientes de notre série avaient toutes des tumeurs de Brenner malignes, l’âge de nos patientes s’échelonne entre 42 et 69 ans, la plupart de nos patientes étaient ménopausées, les masses abdomino-pelviennes représentent le motif de consultation le plus fréquent suivies des douleur pelviennes, l’exploration paraclinique est dominée par l’échotomographie, la prise en charge a été principalement chirurgicale associée ou non à une chimiothérapie adjuvante, presque toutes nos patientes avaient une tumeur limitée à l’ovaire, Le pronostic de nos patientes a été marqué par une rémission avec un recul de 6 à 18 mois.
Les tumeurs de Brenner sont généralement de petite taille et dépourvues d’activité hormonale, et donc cliniquement asymptomatiques, leur découverte est fortuite dans la grande majorité des cas, lorsqu’elles sont symptomatiques les signes cliniques manquent de spécificité.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M1402008 Président : FERHATI DRISS Directeur : ZERAIDI NAJIA Juge : LAKHDAR AMINA Juge : KHABOUZE SAMIRA UNE TUMEUR DE L'OVAIRE RARE : LA TUMEUR DE BRENNER [thĂšse] / EL MASTALQI ALAE, Auteur . - 2008.
Langues : Français (fre)
Mots-clĂ©s : Cancer Diagnostic ovaire Tumeur de Brenner Index. dĂ©cimale : WA SANTE PUBLIQUE - PROFESSION MEDICALE RĂ©sumĂ© : Les tumeurs de Brenner de l’ovaire sont des tumeurs ovariennes rares, elles représentent 1 à 2% de toutes les tumeurs ovariennes. Elles correspondent à des tumeurs fibro-épithéliales constituées d’un stroma dérivé du cortex ovarien contenant des nids de cellules épithéliales de type transitionnel ou excréto-urinaire.
Les véritables origines des tumeurs de Brenner, les caractéristiques histogénétiques ainsi que le potentiel hormonal des tumeurs de Brenner représentent les sujets les plus discutés de la littérature concernant ces tumeurs.
Actuellement, les tumeurs de Brenner sont classées en : tumeurs bénignes, proliférantes et malignes. Cependant, la plupart des tumeurs de Brenner sont bénignes, les tumeurs de Brenner malignes sont rares et ne représentent que 1% de ces tumeurs.
A travers nos 6 observations et une revue de la littérature, nous essayons de souligner les particularités cliniques, histologiques, radiologiques, thérapeutiques ainsi que pronostiques, tout en insistant sur les difficultés diagnostiques et les caractéristiques thérapeutiques.
Les patientes de notre série avaient toutes des tumeurs de Brenner malignes, l’âge de nos patientes s’échelonne entre 42 et 69 ans, la plupart de nos patientes étaient ménopausées, les masses abdomino-pelviennes représentent le motif de consultation le plus fréquent suivies des douleur pelviennes, l’exploration paraclinique est dominée par l’échotomographie, la prise en charge a été principalement chirurgicale associée ou non à une chimiothérapie adjuvante, presque toutes nos patientes avaient une tumeur limitée à l’ovaire, Le pronostic de nos patientes a été marqué par une rémission avec un recul de 6 à 18 mois.
Les tumeurs de Brenner sont généralement de petite taille et dépourvues d’activité hormonale, et donc cliniquement asymptomatiques, leur découverte est fortuite dans la grande majorité des cas, lorsqu’elles sont symptomatiques les signes cliniques manquent de spécificité.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M1402008 Président : FERHATI DRISS Directeur : ZERAIDI NAJIA Juge : LAKHDAR AMINA Juge : KHABOUZE SAMIRA RĂ©servation
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Code barre Cote Support Localisation Section DisponibilitĂ© M1402008 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2008 Disponible TUMEUR TROPHOBLASTIQUE DU SITE D'INSERTION PLACENTAIRE A PROPOS DE 01 CAS ET REVUE DE LITTERATURE / EL MOUKTARID IMANE
Titre : TUMEUR TROPHOBLASTIQUE DU SITE D'INSERTION PLACENTAIRE A PROPOS DE 01 CAS ET REVUE DE LITTERATURE Type de document : thĂšse Auteurs : EL MOUKTARID IMANE, Auteur AnnĂ©e de publication : 2008 Langues : Français (fre) Mots-clĂ©s : TUMEUR TROPHOBLASTE SITE PLACENTAIRE CHORICARCINOME Index. dĂ©cimale : WA SANTE PUBLIQUE - PROFESSION MEDICALE RĂ©sumĂ© : Notre travail portant sur la TTSP consiste en une revue de la littérature et une étude à propos d'un seul cas traité au service de gynécologie et d'obstétrique Ml à la maternité universitaire Souissi.
A travers ce travail nous relatons la rareté de cette tumeur dont on ne retrouve que 190 cas décrit dans la littérature, notre cas est le premier décrit au Maghreb.
La manifestation clinique de la TTSP est similaire à celle des autres maladies trophoblastiques avec un symptôme prédominant qu'est les métrorragie.
Sur le plan biologique la TTSP se différencie du fait que, le plus souvent, le taux du β HCG, n'est que modérément élevé, à l'encontre des autres maladies trophoblastiques. SeuI l’examen anatomopathologique permet de poser le diagnostique.
La TTSP est une tumeur maligne qui reste longtemps confinée à l'utérus avant de générer des métastases au niveau du pelvis, le foie, le poumon et le cerveau. D'où l'intérêt d'un bilan d'extension bien mené dés le diagnostic de cette tumeur.
Le pronostic dépend de la classification FIGO et de l'existence de facteurs de mauvais pronostic, ce sont ces deux éléments qui guident la stratégie thérapeutique.
Le traitement de première intention de la TTSP a longtemps été l'hystérectomie, mais devant la prévalence de cette tumeur chez la femme jeune, désirant de préserver sa fertilité ; un traitement conservateur peut être proposé, appuyé par les données de la littérature rapportant plusieurs cas ayant bénéficiés d'un traitement conservateur et ayant eu une bonne évolution sans récidives.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M0182008 Président : FERHATI DRISS Directeur : EL HANCHI ZAKI Juge : RHRAB BRAHIM Juge : KHABOUZA SAMIRA TUMEUR TROPHOBLASTIQUE DU SITE D'INSERTION PLACENTAIRE A PROPOS DE 01 CAS ET REVUE DE LITTERATURE [thĂšse] / EL MOUKTARID IMANE, Auteur . - 2008.
Langues : Français (fre)
Mots-clĂ©s : TUMEUR TROPHOBLASTE SITE PLACENTAIRE CHORICARCINOME Index. dĂ©cimale : WA SANTE PUBLIQUE - PROFESSION MEDICALE RĂ©sumĂ© : Notre travail portant sur la TTSP consiste en une revue de la littérature et une étude à propos d'un seul cas traité au service de gynécologie et d'obstétrique Ml à la maternité universitaire Souissi.
A travers ce travail nous relatons la rareté de cette tumeur dont on ne retrouve que 190 cas décrit dans la littérature, notre cas est le premier décrit au Maghreb.
La manifestation clinique de la TTSP est similaire à celle des autres maladies trophoblastiques avec un symptôme prédominant qu'est les métrorragie.
Sur le plan biologique la TTSP se différencie du fait que, le plus souvent, le taux du β HCG, n'est que modérément élevé, à l'encontre des autres maladies trophoblastiques. SeuI l’examen anatomopathologique permet de poser le diagnostique.
La TTSP est une tumeur maligne qui reste longtemps confinée à l'utérus avant de générer des métastases au niveau du pelvis, le foie, le poumon et le cerveau. D'où l'intérêt d'un bilan d'extension bien mené dés le diagnostic de cette tumeur.
Le pronostic dépend de la classification FIGO et de l'existence de facteurs de mauvais pronostic, ce sont ces deux éléments qui guident la stratégie thérapeutique.
Le traitement de première intention de la TTSP a longtemps été l'hystérectomie, mais devant la prévalence de cette tumeur chez la femme jeune, désirant de préserver sa fertilité ; un traitement conservateur peut être proposé, appuyé par les données de la littérature rapportant plusieurs cas ayant bénéficiés d'un traitement conservateur et ayant eu une bonne évolution sans récidives.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M0182008 Président : FERHATI DRISS Directeur : EL HANCHI ZAKI Juge : RHRAB BRAHIM Juge : KHABOUZA SAMIRA RĂ©servation
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M0182008URL LES TUMEURS BENIGNES DES PARTIES MOLLES DES MEMBRES SERIE DE 62 CAS / SIMPORE CARINE
Titre : LES TUMEURS BENIGNES DES PARTIES MOLLES DES MEMBRES SERIE DE 62 CAS Type de document : thĂšse Auteurs : SIMPORE CARINE, Auteur AnnĂ©e de publication : 2008 Langues : Français (fre) Mots-clĂ©s : TUMEURS BENIGNES PARTIES MOLLES MEMBRES Index. dĂ©cimale : WA SANTE PUBLIQUE - PROFESSION MEDICALE RĂ©sumĂ© : Les tumeurs bénignes des parties molles des membres sont des proliférations bénignes qui se développent à partir du tissu conjonctif et de ses variétés différenciées. Notre travail a concerné 62 patients pris en charge au service de traumatologie de l’HMIMV et qui ont été retenus après étude de 172 dossiers de pathologie tumorale. C’est une étude rétrospective qui a couvert 3ans.
Pour l’épidémiologie de ces tumeurs, nous avons constaté ainsi que le disent plusieurs auteurs, qu’elles n’étaient pas rares ; en particulier pour les lipomes et les tumeurs à cellules géantes des gaines et des tendons. La tranche d’âge la plus atteinte dans notre série va de 40 à 50 et notre population était à prédominance masculine. Ces tumeurs touchaient autant les membres supérieurs que les membres inférieurs dans notre étude.
Concernant la clinique, notre travail a convenu avec la littérature que ces tumeurs se présentent habituellement sous forme de nodules gênants ou douloureux à l’occasion, mobiles, à évolution lente, souvent arrondis ou ovalaires, de 2 à 4 cm de diamètre en moyenne, fermes, mous ou rénitents, sans signe inflammatoire cutané en regard.
Les examens radiologiques ont montré comme la littérature, des masses à tonalité variable, à contours nets et réguliers. L’échographie constitue l’examen de choix, aidée par l’IRM.
L’anatomopathologie est la méthode attitrée de confirmation diagnostique même si selon certains auteurs 10 à 15% des tumeurs gardent une histologie incertaine. Notre série a retrouvé 3 cas de diagnostics indéterminés après étude anatomopathologique.
Le traitement des ces tumeurs doit comporter une biopsie puis une exérèse selon beaucoup d’auteurs surtout si le diamètre dépasse 5cm. L’évolution après traitement peut être entachée de récidive. Dans notre série, la biopsie-exérèse a été la méthode pratique la plus utilisée et nous en avons enregistré 2 cas.
En somme, nous retiendrons que ces tumeurs posent parfois un problème diagnostique même après étude anatomopathologique ; sans oublier la crainte de faire une biopsie-exérèse sur une tumeur qui se révèlerait maligne à l’anatomopathologie. Une autre hantise serait d’avoir un résultat anatomopathologique de tumeur bénigne à la biopsie et de découvrir une tumeur maligne lors de l’examen anatomopathologique de la pièce d’exérèse.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M2552008 Président : MAHFOUD MUSTAPHA Directeur : CHAGAR BELKACEM Juge : AL BOUZIDI ABDERRAHMANE Juge : ACHEMLAL LAHCEN LES TUMEURS BENIGNES DES PARTIES MOLLES DES MEMBRES SERIE DE 62 CAS [thĂšse] / SIMPORE CARINE, Auteur . - 2008.
Langues : Français (fre)
Mots-clĂ©s : TUMEURS BENIGNES PARTIES MOLLES MEMBRES Index. dĂ©cimale : WA SANTE PUBLIQUE - PROFESSION MEDICALE RĂ©sumĂ© : Les tumeurs bénignes des parties molles des membres sont des proliférations bénignes qui se développent à partir du tissu conjonctif et de ses variétés différenciées. Notre travail a concerné 62 patients pris en charge au service de traumatologie de l’HMIMV et qui ont été retenus après étude de 172 dossiers de pathologie tumorale. C’est une étude rétrospective qui a couvert 3ans.
Pour l’épidémiologie de ces tumeurs, nous avons constaté ainsi que le disent plusieurs auteurs, qu’elles n’étaient pas rares ; en particulier pour les lipomes et les tumeurs à cellules géantes des gaines et des tendons. La tranche d’âge la plus atteinte dans notre série va de 40 à 50 et notre population était à prédominance masculine. Ces tumeurs touchaient autant les membres supérieurs que les membres inférieurs dans notre étude.
Concernant la clinique, notre travail a convenu avec la littérature que ces tumeurs se présentent habituellement sous forme de nodules gênants ou douloureux à l’occasion, mobiles, à évolution lente, souvent arrondis ou ovalaires, de 2 à 4 cm de diamètre en moyenne, fermes, mous ou rénitents, sans signe inflammatoire cutané en regard.
Les examens radiologiques ont montré comme la littérature, des masses à tonalité variable, à contours nets et réguliers. L’échographie constitue l’examen de choix, aidée par l’IRM.
L’anatomopathologie est la méthode attitrée de confirmation diagnostique même si selon certains auteurs 10 à 15% des tumeurs gardent une histologie incertaine. Notre série a retrouvé 3 cas de diagnostics indéterminés après étude anatomopathologique.
Le traitement des ces tumeurs doit comporter une biopsie puis une exérèse selon beaucoup d’auteurs surtout si le diamètre dépasse 5cm. L’évolution après traitement peut être entachée de récidive. Dans notre série, la biopsie-exérèse a été la méthode pratique la plus utilisée et nous en avons enregistré 2 cas.
En somme, nous retiendrons que ces tumeurs posent parfois un problème diagnostique même après étude anatomopathologique ; sans oublier la crainte de faire une biopsie-exérèse sur une tumeur qui se révèlerait maligne à l’anatomopathologie. Une autre hantise serait d’avoir un résultat anatomopathologique de tumeur bénigne à la biopsie et de découvrir une tumeur maligne lors de l’examen anatomopathologique de la pièce d’exérèse.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M2552008 Président : MAHFOUD MUSTAPHA Directeur : CHAGAR BELKACEM Juge : AL BOUZIDI ABDERRAHMANE Juge : ACHEMLAL LAHCEN RĂ©servation
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Code barre Cote Support Localisation Section DisponibilitĂ© M2552008 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2008 Disponible LES TUMEURS DESMOIDES A PROPOS DE 18 CAS COLLIGES A L4INSTITUT NATIONAL D'ONCOLOGIE / EL OUALI OMAR
Titre : LES TUMEURS DESMOIDES A PROPOS DE 18 CAS COLLIGES A L4INSTITUT NATIONAL D'ONCOLOGIE Type de document : thĂšse Auteurs : EL OUALI OMAR, Auteur AnnĂ©e de publication : 2008 Langues : Français (fre) Mots-clĂ©s : TUMEURS DESMOIDES FIBRO%MATEUSE EXERESE LARGE RECIDIVE Index. dĂ©cimale : WA SANTE PUBLIQUE - PROFESSION MEDICALE Numéro (Thèse ou Mémoire) : M1742008 Président : BENJELLOUN SAMIR Directeur : HACHI HAFID Juge : KEBDANI TAIB LES TUMEURS DESMOIDES A PROPOS DE 18 CAS COLLIGES A L4INSTITUT NATIONAL D'ONCOLOGIE [thĂšse] / EL OUALI OMAR, Auteur . - 2008.
Langues : Français (fre)
Mots-clĂ©s : TUMEURS DESMOIDES FIBRO%MATEUSE EXERESE LARGE RECIDIVE Index. dĂ©cimale : WA SANTE PUBLIQUE - PROFESSION MEDICALE Numéro (Thèse ou Mémoire) : M1742008 Président : BENJELLOUN SAMIR Directeur : HACHI HAFID Juge : KEBDANI TAIB RĂ©servation
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Code barre Cote Support Localisation Section DisponibilitĂ© M1742008 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2008 Disponible LES TUMEURS GERMINALES MALIGNES DE L'ENFANT / TAKTAK KHADIJA
Titre : LES TUMEURS GERMINALES MALIGNES DE L'ENFANT Type de document : thĂšse Auteurs : TAKTAK KHADIJA, Auteur AnnĂ©e de publication : 2008 Langues : Français (fre) Mots-clĂ©s : TUMEUR GERMINALE MALIGNE EPIDEMIOLOGIE LOCALISATION ABONDON DE TRAITEMENT Index. dĂ©cimale : WA SANTE PUBLIQUE - PROFESSION MEDICALE RĂ©sumĂ© : Résultats : Durant la période de notre étude ,49 cas de TGM ont été inclus soit 1,4% des cas de cancers admis durant la même période. Le sexe ratio M/F était 0,5 el i 'âge médian au diagnostic était de 3ans et 4 mois. Il existe une distribution bimodale en .fonction de l'âge, avec un premier pic durant les trois premières années de vie el un second pic enlre huit et onze ans avec une prédominance féminine dans les deux tranches d'âge. Les régions les plus concernés étaient celles de Tanger-Tetouan suivi de Meknès-Tafilalt et Gharb-Chrarda.
Le délai diagnostic médian était de 4mois. Les manifestations cliniques. adomino-pelviennes étaient le signe clinique révélateur le plus fréquent. Le diagnostic a été le plus souvent basé sur l'imagerie et fou les marqueurs tumoraux
et/ou l'histologie.
Les résultats histologiques a montré que les tératomes et les carcinomes embryonnaires étaient les plus fréquents (26% et 24%) suivi des tumeurs vitellines 17%, et les séminomes 15%.
La localisation la plus fréquente est celle de l'ovaire avec 39% des cas, suivi de la localisation testiculaire (18%) et puis sacrococcygienne(14%), la localisation cérébrale représentait 10,5% et d'autres localisations plus rares.
Le traitement a consisté en chimiothérapie pour 46 patients. La chirurgie a été le seul traitement pour trois patients. La radiothérapie a été utilisée pour un seul patient. Concernant l'évolution globale des patients, à la date des dernières nouvelles, 19 cas étaient en abandon de traitement, 18 en rémission complète avec un recul médian de deux ans, 09
cas vivants en rechute et quatre patients décédés.
Discussion : Les TGM restent des tumeurs rares chez l'enfant. Elles représentent 3,3% des cancers de l'enfant colligés dans le registre du cancer de l'enfant en Allemagne. L'incidence annuelle est environ de 0,4 à 0,8 cas par million d'enfànt de moins de j 5 ans.
Dans notre étude, les TGM représentent 1,-1% des cancers diagnostiqués et on retrouve la même distribution bimodale décrite dans la littérature avec un premier pic durant les deux premières années de vie et un second pic entre 7 et J () ans.
Concernant la répartition géographique, les résultat obtenus ne reflètent pas les résultats nationaux car on ne di5pose pas de registre national et notre service reçoit surtout les malades originaires du nord du Maroc.
Le diagnostic des TGM fait appel à l'imagerie qui peul être suffisante en cas de marqueurs positifs sinon l'histologie est obligatoire, ainsi dans notre étude le plus souvent les malades ont été diagnostiqués par l 'histologie et dans certains cas par l'imagerie et les marqueurs. Les tératomes sacrococcygiens et les tumeurs du sinus endodermique sont les plus .fréquents durant les deux premières années de la vie, alors que les choriocarcinomes elles carcinomes embryonnaires se développent surtout après l'âge de 5 ans, dans notre étude les tératomes et les carcinomes embryonnaires étaient les plus fréquents.
La localisation la plus fréquente dans notre étude était la localisation gonadique (ovaire et testicule). Des résultats pareils ont été publiés par l'équipe de Casablanca et l'équipe Allemagne GPOH.
Sur le plan thérapeutique, le traitement se base sur la chirurgie el la chimiothérapie plus rarement sur la radiothérapie avec actuellement une survie qui peut atteindre 85% à 5 ans. Dans notre étude, sur les 49 patients, à la date des dernières nouvelles, /9 cas étaient en abandon de traitement, 18 cas en rémission complète avec un recul médian de deux ans, 09 cas vivants en rechute et quatre patients décédés.
Conclusion : Les TGM restent des tumeurs rares et sont hétérogènes sur le plan clinique et histologique. Elles ont représenté 1,4% des cancers, et la localisation ovarienne était la plus fréquente. Concernant l'épidémiologie et la clinique de nos patients, elles sont concordantes avec les données de la littérature.
Malheureusement, concernant l'évolution, l'évaluation est difficile puisque L'échantillon est faible avec plus d'un tiers d'abandon de traitement. Il est donc nécessaire pour améliorer le pronostic des TGM de suivre la même stratégie que pour d'autres cancers (MDH, JAL) qui est celle de la prise en charge globale des patients qui comprend aussi bien le côtémédical que économique et social.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M0202008 Président : KHATTAB MOHAMED Directeur : HESSISSEN LAILA Juge : CHELLAOUI MOUNIA Juge : EL AMINE ABOUHAFS M LES TUMEURS GERMINALES MALIGNES DE L'ENFANT [thĂšse] / TAKTAK KHADIJA, Auteur . - 2008.
Langues : Français (fre)
Mots-clĂ©s : TUMEUR GERMINALE MALIGNE EPIDEMIOLOGIE LOCALISATION ABONDON DE TRAITEMENT Index. dĂ©cimale : WA SANTE PUBLIQUE - PROFESSION MEDICALE RĂ©sumĂ© : Résultats : Durant la période de notre étude ,49 cas de TGM ont été inclus soit 1,4% des cas de cancers admis durant la même période. Le sexe ratio M/F était 0,5 el i 'âge médian au diagnostic était de 3ans et 4 mois. Il existe une distribution bimodale en .fonction de l'âge, avec un premier pic durant les trois premières années de vie el un second pic enlre huit et onze ans avec une prédominance féminine dans les deux tranches d'âge. Les régions les plus concernés étaient celles de Tanger-Tetouan suivi de Meknès-Tafilalt et Gharb-Chrarda.
Le délai diagnostic médian était de 4mois. Les manifestations cliniques. adomino-pelviennes étaient le signe clinique révélateur le plus fréquent. Le diagnostic a été le plus souvent basé sur l'imagerie et fou les marqueurs tumoraux
et/ou l'histologie.
Les résultats histologiques a montré que les tératomes et les carcinomes embryonnaires étaient les plus fréquents (26% et 24%) suivi des tumeurs vitellines 17%, et les séminomes 15%.
La localisation la plus fréquente est celle de l'ovaire avec 39% des cas, suivi de la localisation testiculaire (18%) et puis sacrococcygienne(14%), la localisation cérébrale représentait 10,5% et d'autres localisations plus rares.
Le traitement a consisté en chimiothérapie pour 46 patients. La chirurgie a été le seul traitement pour trois patients. La radiothérapie a été utilisée pour un seul patient. Concernant l'évolution globale des patients, à la date des dernières nouvelles, 19 cas étaient en abandon de traitement, 18 en rémission complète avec un recul médian de deux ans, 09
cas vivants en rechute et quatre patients décédés.
Discussion : Les TGM restent des tumeurs rares chez l'enfant. Elles représentent 3,3% des cancers de l'enfant colligés dans le registre du cancer de l'enfant en Allemagne. L'incidence annuelle est environ de 0,4 à 0,8 cas par million d'enfànt de moins de j 5 ans.
Dans notre étude, les TGM représentent 1,-1% des cancers diagnostiqués et on retrouve la même distribution bimodale décrite dans la littérature avec un premier pic durant les deux premières années de vie et un second pic entre 7 et J () ans.
Concernant la répartition géographique, les résultat obtenus ne reflètent pas les résultats nationaux car on ne di5pose pas de registre national et notre service reçoit surtout les malades originaires du nord du Maroc.
Le diagnostic des TGM fait appel à l'imagerie qui peul être suffisante en cas de marqueurs positifs sinon l'histologie est obligatoire, ainsi dans notre étude le plus souvent les malades ont été diagnostiqués par l 'histologie et dans certains cas par l'imagerie et les marqueurs. Les tératomes sacrococcygiens et les tumeurs du sinus endodermique sont les plus .fréquents durant les deux premières années de la vie, alors que les choriocarcinomes elles carcinomes embryonnaires se développent surtout après l'âge de 5 ans, dans notre étude les tératomes et les carcinomes embryonnaires étaient les plus fréquents.
La localisation la plus fréquente dans notre étude était la localisation gonadique (ovaire et testicule). Des résultats pareils ont été publiés par l'équipe de Casablanca et l'équipe Allemagne GPOH.
Sur le plan thérapeutique, le traitement se base sur la chirurgie el la chimiothérapie plus rarement sur la radiothérapie avec actuellement une survie qui peut atteindre 85% à 5 ans. Dans notre étude, sur les 49 patients, à la date des dernières nouvelles, /9 cas étaient en abandon de traitement, 18 cas en rémission complète avec un recul médian de deux ans, 09 cas vivants en rechute et quatre patients décédés.
Conclusion : Les TGM restent des tumeurs rares et sont hétérogènes sur le plan clinique et histologique. Elles ont représenté 1,4% des cancers, et la localisation ovarienne était la plus fréquente. Concernant l'épidémiologie et la clinique de nos patients, elles sont concordantes avec les données de la littérature.
Malheureusement, concernant l'évolution, l'évaluation est difficile puisque L'échantillon est faible avec plus d'un tiers d'abandon de traitement. Il est donc nécessaire pour améliorer le pronostic des TGM de suivre la même stratégie que pour d'autres cancers (MDH, JAL) qui est celle de la prise en charge globale des patients qui comprend aussi bien le côtémédical que économique et social.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M0202008 Président : KHATTAB MOHAMED Directeur : HESSISSEN LAILA Juge : CHELLAOUI MOUNIA Juge : EL AMINE ABOUHAFS M RĂ©servation
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Code barre Cote Support Localisation Section DisponibilitĂ© M0202008 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2008 Disponible LES TUMEURS MALIGNES PALPEBRALES ETENDUES A L'ORBITE CHEZ L'ADULTE RAPPELS DIAGNOSTIC ET TRAITEMENT A PROPOS DE 11 CAS / ALI HASSAN
Titre : LES TUMEURS MALIGNES PALPEBRALES ETENDUES A L'ORBITE CHEZ L'ADULTE RAPPELS DIAGNOSTIC ET TRAITEMENT A PROPOS DE 11 CAS Type de document : thĂšse Auteurs : ALI HASSAN, Auteur AnnĂ©e de publication : 2008 Langues : Français (fre) Mots-clĂ©s : TUMEURS MALIGNES PALPEBRALES CANCERS PALPEBRAUX EXTENSION ORBITAIRE Index. dĂ©cimale : WA SANTE PUBLIQUE - PROFESSION MEDICALE RĂ©sumĂ© : L’envahissement orbitaire d’une tumeur maligne palpébrale se présente souvent comme une lésion palpébrale de grande taille avec d’importants remaniements cutanés et un retentissement sur la fonction visuelle, allant d’une simple gêne à la mobilité oculaire, jusqu’à la destruction complète du globe. Il est le plus souvent le résultat d’une négligence par le patient, du fait du caractère indolent de la tumeur, ou d’une exérèse antérieure incomplète et rarement due au haut pouvoir prolifératif de certaines tumeurs. Avant toute prise en charge thérapeutique, un examen clinique doit être fait, pour orienter le bilan, suivi d’une biopsie qui confirmera la malignité et déterminera le type histologique. La TDM et l’IRM permettent au mieux de préciser les limites de l’extension et ainsi orienter le choix thérapeutique qui est souvent chirurgical fait d’une exérèse carcinologique puis reconstruction. Une étude anatomo-pathologique de la pièce permettra ensuite de préciser si les marges d’exérèse étaient saines ou non. La radiothérapie trouve sa place comme traitement complémentaire de la chirurgie ou parfois de première intention associé à la chimiothérapie.
Notre étude rétrospective porte sur 11 cas, neufs hommes et deux femmes, présentant tous une tumeur maligne palpébrale étendue à l’orbite. Seul un patient présentait une récidive d’une tumeur antérieurement opérée. L’âge avancé et l’exposition solaire consistaient Les facteurs de risque les plus importants, du fait qu'une majorité des tumeurs malignes sont la conséquence d'une exposition solaire cumulée au cours de la vie.la durée d’évolution relativement longue (35,5 mois) ,signe de négligence et méconnaissance, expliquait l’étendue de la tumeur. Le point de départ palpébral inférieur était le plus fréquent (45,5%), suivi du canthal interne et palpébral supérieur (27,3%).Le carcinome basocellulaire, malgré son évolution lente, représentait le type histologique le plus fréquent (54,5%) suivi du carcinome épidermoïde (27,3%). Le lymphome et le mélanome constituent les types les plus rarement rencontrés. Le traitement de choix était chirurgical (90,9%), associé ou non à la radiothérapie. Les suites post-thérapeutiques immédiates étaient simples, alors qu’on ne pouvait pas conclure sur le suivi à long terme puisque 45,5% des cas étaient perdues de vue.
Le meilleur traitement reste la prévention qui commence par l'éducation du public à l’utilisation des moyens actuels de photoprotection qui sont d'une grande efficacité. De même, toute lésion palpébrale suspecte doit être biopsiée et en cas de tumeur confirmée, l'exérèse doit être aussi étendue que nécessaire pour obtenir des marges saines, en faisant abstraction de toute considération esthétique. Enfin, un bon suivi permettra de détecter toute récidive à temps.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M1312008 Président : KZADRI MOHAMED Directeur : BOULAADAS MALIK Juge : BENCHEIKH RZIKA LES TUMEURS MALIGNES PALPEBRALES ETENDUES A L'ORBITE CHEZ L'ADULTE RAPPELS DIAGNOSTIC ET TRAITEMENT A PROPOS DE 11 CAS [thĂšse] / ALI HASSAN, Auteur . - 2008.
Langues : Français (fre)
Mots-clĂ©s : TUMEURS MALIGNES PALPEBRALES CANCERS PALPEBRAUX EXTENSION ORBITAIRE Index. dĂ©cimale : WA SANTE PUBLIQUE - PROFESSION MEDICALE RĂ©sumĂ© : L’envahissement orbitaire d’une tumeur maligne palpébrale se présente souvent comme une lésion palpébrale de grande taille avec d’importants remaniements cutanés et un retentissement sur la fonction visuelle, allant d’une simple gêne à la mobilité oculaire, jusqu’à la destruction complète du globe. Il est le plus souvent le résultat d’une négligence par le patient, du fait du caractère indolent de la tumeur, ou d’une exérèse antérieure incomplète et rarement due au haut pouvoir prolifératif de certaines tumeurs. Avant toute prise en charge thérapeutique, un examen clinique doit être fait, pour orienter le bilan, suivi d’une biopsie qui confirmera la malignité et déterminera le type histologique. La TDM et l’IRM permettent au mieux de préciser les limites de l’extension et ainsi orienter le choix thérapeutique qui est souvent chirurgical fait d’une exérèse carcinologique puis reconstruction. Une étude anatomo-pathologique de la pièce permettra ensuite de préciser si les marges d’exérèse étaient saines ou non. La radiothérapie trouve sa place comme traitement complémentaire de la chirurgie ou parfois de première intention associé à la chimiothérapie.
Notre étude rétrospective porte sur 11 cas, neufs hommes et deux femmes, présentant tous une tumeur maligne palpébrale étendue à l’orbite. Seul un patient présentait une récidive d’une tumeur antérieurement opérée. L’âge avancé et l’exposition solaire consistaient Les facteurs de risque les plus importants, du fait qu'une majorité des tumeurs malignes sont la conséquence d'une exposition solaire cumulée au cours de la vie.la durée d’évolution relativement longue (35,5 mois) ,signe de négligence et méconnaissance, expliquait l’étendue de la tumeur. Le point de départ palpébral inférieur était le plus fréquent (45,5%), suivi du canthal interne et palpébral supérieur (27,3%).Le carcinome basocellulaire, malgré son évolution lente, représentait le type histologique le plus fréquent (54,5%) suivi du carcinome épidermoïde (27,3%). Le lymphome et le mélanome constituent les types les plus rarement rencontrés. Le traitement de choix était chirurgical (90,9%), associé ou non à la radiothérapie. Les suites post-thérapeutiques immédiates étaient simples, alors qu’on ne pouvait pas conclure sur le suivi à long terme puisque 45,5% des cas étaient perdues de vue.
Le meilleur traitement reste la prévention qui commence par l'éducation du public à l’utilisation des moyens actuels de photoprotection qui sont d'une grande efficacité. De même, toute lésion palpébrale suspecte doit être biopsiée et en cas de tumeur confirmée, l'exérèse doit être aussi étendue que nécessaire pour obtenir des marges saines, en faisant abstraction de toute considération esthétique. Enfin, un bon suivi permettra de détecter toute récidive à temps.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M1312008 Président : KZADRI MOHAMED Directeur : BOULAADAS MALIK Juge : BENCHEIKH RZIKA RĂ©servation
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Code barre Cote Support Localisation Section DisponibilitĂ© M1312008 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2008 Disponible Tumeurs neuroendocrines de la prostate a propos de 9 cas et revue de la litterature / MPIGA EKAMBOU LUDJER
Titre : Tumeurs neuroendocrines de la prostate a propos de 9 cas et revue de la litterature Type de document : thÚse Auteurs : MPIGA EKAMBOU LUDJER, Auteur Année de publication : 2008 Langues : Français (fre) Mots-clés : Prostate Tumeur neuroendocrine Anatomie pathologique Immunohistochimie Index. décimale : WA SANTE PUBLIQUE - PROFESSION MEDICALE Résumé : Le cancer neuroendocrine de la prostate est une variante histologique rare.
La différenciation neuroendocrine au sein de l’adénocarcinome de la prostate a reçu une attention croissante ces dernières années en raison de ses implications pronostiques et thérapeutiques.
La différenciation neuroendocrine est présente au moins dans 10% de tous les adénocarcinomes prostatiques.
Objectifs
L’objectif de ce travail était d’évaluer l’intérêt de l’immunohistochimie, dans la mise en évidence de la différenciation neuroendocrine, au sein de l’adénocarcinome de la prostate, et d’évaluer les circonstances diagnostiques et les signes cliniques, le profil évolutif et les modalités thérapeutiques de la différenciation neuroendocrine.
Matériel et méthodes.
Nous avons éffectué une étude rétrospective descriptive à propos de neuf cas de tumeurs neuroendocrines de la prostate entre 2000 et 2006 diagnostiquées au service d’urologie et d’anatomie pathologique de l’hôpital militaire d’instruction Mohamed V.
La différenciation neuroendocrine a été suspectée tantôt sur des arguments cliniques, tantôt sur des arguments morphologiques.
Les fragments de tissus provenant de biopsie prostatique, de résection transurethrale de la prostate et de pièce d’adénomectomie ont été examinés.
Un immunomarquage aux anticorps anti chromogranine A, anti NSE et anti synaptophysine a été réalisé.
Résultats
L’âge moyen de nos patients était de 63 ans (50-74).
La dysurie et la pollakiurie étaient les signes les plus fréquemment rencontrés. Des douleurs abdominales étaient présentes chez trois patients ; deux patients avaient un syndrome paranéoplasique neurologique (parésie des membres inferieurs). Des signes d’extension tumorale étaient présents.
Une discordance entre un toucher rectal anormal et un PSA faible (PSA<4ng/ml) était détectée chez 66 % patients.
L’immunomarquage à la chromogranine A était positif chez 77 % des patients, contre 44 % pour la NSE.
Sept patients avaient un adénocarcinome de la prostate avec différenciation neuroendocrine ; deux patients avaient un carcinome neuroendocrine pur.
Deux patients avaient un score de Gleason à 9 ; un patient avait un score de Gleason à 8 ; deux patients avaient un score de Gleason à 7 ; deux patients avaient un score de Gleason à 6. Les deux derniers étaient des carcinomes neuroendocrines purs pour lesquels on n’évalue pas le score de Gleason.
Le scanner thoraco abdominal a révélé chez trois patients des métastases pulmonaires et chez un patient des métastases ganglionnaires.
Le traitement de référence était la chimiothérapie. Il était à base d’etoposide et de cisplatine.
Quatre patients sont décédés trois à six mois après la chimiothérapie par métastase et coagulation intravasculaire disséminé et myocardite post chimiothérapique.
Conclusion
Cette étude permis de montrer que l’immunomarquage aux anticorps antichromogranine A est presque toujours positif dans les adénocarcinomes avec différenciation neuroendocrine. Un immunomarquage systématique serait souhaitable devant des signes de présomption.
Les tumeurs neuroendocrines sont de mauvais pronostic.
La prise en charge de ce genre de tumeurs doit être précoce, multidisciplinaire. La polychimiotherapie est à la base du traitement.
D’autres thérapeutiques ciblées sont en cours d’essais cliniques.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M1162008 Président : ABBAR MOHAMED Directeur : AL BOUZIDI ABDERRAHMANE Juge : TELLAL SAIDA Tumeurs neuroendocrines de la prostate a propos de 9 cas et revue de la litterature [thĂšse] / MPIGA EKAMBOU LUDJER, Auteur . - 2008.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Prostate Tumeur neuroendocrine Anatomie pathologique Immunohistochimie Index. décimale : WA SANTE PUBLIQUE - PROFESSION MEDICALE Résumé : Le cancer neuroendocrine de la prostate est une variante histologique rare.
La différenciation neuroendocrine au sein de l’adénocarcinome de la prostate a reçu une attention croissante ces dernières années en raison de ses implications pronostiques et thérapeutiques.
La différenciation neuroendocrine est présente au moins dans 10% de tous les adénocarcinomes prostatiques.
Objectifs
L’objectif de ce travail était d’évaluer l’intérêt de l’immunohistochimie, dans la mise en évidence de la différenciation neuroendocrine, au sein de l’adénocarcinome de la prostate, et d’évaluer les circonstances diagnostiques et les signes cliniques, le profil évolutif et les modalités thérapeutiques de la différenciation neuroendocrine.
Matériel et méthodes.
Nous avons éffectué une étude rétrospective descriptive à propos de neuf cas de tumeurs neuroendocrines de la prostate entre 2000 et 2006 diagnostiquées au service d’urologie et d’anatomie pathologique de l’hôpital militaire d’instruction Mohamed V.
La différenciation neuroendocrine a été suspectée tantôt sur des arguments cliniques, tantôt sur des arguments morphologiques.
Les fragments de tissus provenant de biopsie prostatique, de résection transurethrale de la prostate et de pièce d’adénomectomie ont été examinés.
Un immunomarquage aux anticorps anti chromogranine A, anti NSE et anti synaptophysine a été réalisé.
Résultats
L’âge moyen de nos patients était de 63 ans (50-74).
La dysurie et la pollakiurie étaient les signes les plus fréquemment rencontrés. Des douleurs abdominales étaient présentes chez trois patients ; deux patients avaient un syndrome paranéoplasique neurologique (parésie des membres inferieurs). Des signes d’extension tumorale étaient présents.
Une discordance entre un toucher rectal anormal et un PSA faible (PSA<4ng/ml) était détectée chez 66 % patients.
L’immunomarquage à la chromogranine A était positif chez 77 % des patients, contre 44 % pour la NSE.
Sept patients avaient un adénocarcinome de la prostate avec différenciation neuroendocrine ; deux patients avaient un carcinome neuroendocrine pur.
Deux patients avaient un score de Gleason à 9 ; un patient avait un score de Gleason à 8 ; deux patients avaient un score de Gleason à 7 ; deux patients avaient un score de Gleason à 6. Les deux derniers étaient des carcinomes neuroendocrines purs pour lesquels on n’évalue pas le score de Gleason.
Le scanner thoraco abdominal a révélé chez trois patients des métastases pulmonaires et chez un patient des métastases ganglionnaires.
Le traitement de référence était la chimiothérapie. Il était à base d’etoposide et de cisplatine.
Quatre patients sont décédés trois à six mois après la chimiothérapie par métastase et coagulation intravasculaire disséminé et myocardite post chimiothérapique.
Conclusion
Cette étude permis de montrer que l’immunomarquage aux anticorps antichromogranine A est presque toujours positif dans les adénocarcinomes avec différenciation neuroendocrine. Un immunomarquage systématique serait souhaitable devant des signes de présomption.
Les tumeurs neuroendocrines sont de mauvais pronostic.
La prise en charge de ce genre de tumeurs doit être précoce, multidisciplinaire. La polychimiotherapie est à la base du traitement.
D’autres thérapeutiques ciblées sont en cours d’essais cliniques.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M1162008 Président : ABBAR MOHAMED Directeur : AL BOUZIDI ABDERRAHMANE Juge : TELLAL SAIDA RĂ©servation
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Code barre Cote Support Localisation Section DisponibilitĂ© M1162008 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2008 Disponible TUMEURS NON UROTHELIALES DE LA VESSIE : A PROPOS DE 15 CAS / DAKKAK YOUSSEF
Titre : TUMEURS NON UROTHELIALES DE LA VESSIE : A PROPOS DE 15 CAS Type de document : thĂšse Auteurs : DAKKAK YOUSSEF, Auteur AnnĂ©e de publication : 2008 Langues : Français (fre) Mots-clĂ©s : VESSIE TUMEURS NON UROTHELIALES DIAGNOSTIC TRAITEMENT Index. dĂ©cimale : WA SANTE PUBLIQUE - PROFESSION MEDICALE RĂ©sumĂ© : Les tumeurs non urothéliales de la vessie (aussi bien malignes que bénignes) forment des entités rares voire exceptionnelles, avec moins de 5% de l'ensemble des tumeurs vésicales. Nous rapportons dans un premier temps 15 observations portant sur certaines d'entre elles. Dans un deuxième temps, nous analysons les caractéristiques anatomopathologiques majeures de cette catégorie de tumeurs. Enfin, nous présentons une revue de la littérature, mettant en exergue les principaux aspects épidémiologiques, étiopathogéniques, thérapeutiques et évolutifs concernant les tumeurs exposées à travers nos observations.
Matériels et Méthodes: Notre étude porte sur 15 cas de patients présentant une tumeur non urothéliale de la vessie et hospitalisés dans le service d'urologie de l'Hôpital Militaire d'Instruction Mohammed V de Rabat. Ces cas sont répartis comme suit: 5 carcinomes épidermoïdes, 3 adénocarcinomes, 2 carcinomes sarcomatoïdes, un rhabdomyosarcome, un léiomyosarcome, une tumeur neuro-endocrine à petites cellules, une malakoplakie et une cystite glandulaire.
Il s'agissait de 4 femmes et 11 hommes, dont l'age variait de 15 à 65 ans (âge moyen 52 ans). Les symptômes initiaux engendrés par ces tumeurs ne présentaient aucune spécificité ; le principal signe révélateur était 1 'hématurie macroscopique associée parfois à des signes d'irritation vésicale. Leurs aspects radiologiques, tout comme leurs aspects endoscopiques étaient évocateurs d'une prolifération au dépend de la muqueuse vésicale, mais cela ne permettait en aucun cas de les distinguer des tumeurs de nature urothéliale (nettement plus fréquentes). Seule 1 'histologie était capable d'affirmer le diagnostic. Le traitement était préconisé selon la nature histologique de chaque tumeur.
Discussion : Le carcinome épidermoïde de la vessie est une tumeur rare (2 à 5% des tumeurs vésicales). Il constitue, cependant, un réel problème de santé publique dans les pays d'endémie bilharzienne, où il est souvent découvert à un stade localement avancé. Son traitement repose sur la cystectomie radicale. Les places de la chimiothérapie et de la radiothérapie demeurent en évaluation. Son mauvais ps:nostiC est plus en rapport avec son extension locorégionale que métastatique.
L'adénocarcinome représente moins de 2% des tumeurs infiltrantes de la vessie.
Il siège souvent au niveau du dôme vésical. En l'absence d'extension extravésicale, il est accessible à une chirurgie d'exérèse (cystectomie totale ou partielle). Sinon, une chimiothérapie (à base de 5-FU) peut être proposée. Son pronostic reste cependant péjoratif.
Le carcinome sarcomatoïde ne représente que 0,3% des tumeurs de la vessie.
C'est une tumeur de mauvais pronostic, souvent diagnostiquée à un stade avancé. f Aucun traitement de référence ne peut être proposé même si quelques survies à long terme ont été observées par la cystectomie totale, parfois associée à la radiothérapie.
Les carcinomes neuro-endocrines de la vessie constituent 0,5 à 1 % de l'ensemble des cancers de cet organe. Leur diagnostic est souvent posé à un stade déjà évolué localement, voire métastatique. Le traitement adéquat de ces tumeurs associerait une chirurgie radicale à une chimiothérapie adjuvante ou néo-adjuvante (à base de cisplatine).
Le rhabdomyosarcome vésical est une tumeur rare, habituellement rencontrée chez l'enfant et l'adolescent. Son pronostic reste mauvais malgré les combinaisons thérapeutiques entre la chirurgie, la radiothérapie et la chimiothérapie.
Le léiomyosarcome est une tumeur exceptionnelle de la vessie. Il s'agit d'une tumeur hautement maligne et agressive, plus fréquente chez l'adulte, et dont le traitement repose essentiellement sur l'exérèse chirurgicale complétée parfois par une chimiothérapie adjuvante.
La malakoplakie est une lésion pseudotumorale bénigne rare. Dans sa localisation urogénitale, la vessie est l'organe le plus fréquemment atteint. L'infection bactérienne joue un rôle primordial dans sa genèse et son traitement est surtout médical associant un antibiotique et un cholinergique.
La cystite glandulaire est une lésion pseudotumorale rare dont les signes cliniques, radiologiques et endoscopiques sont évocateurs d'une tumeur maligne de la vessie. La recherche et le traitement d'une cause irritative sont essentiels. La résection endoscopique est en général suffisante pour la contrôler mais une exérèse s'impose .dans certaines formes agressives et invalidantes. Devant le risque de dégénérescence maligne, une surveillance à long terme s'impose.
Conclusion : Les manifestations cliniques de ces tumeurs ainsi que leurs aspects radiologique et cystoscopique contribuent certes au diagnostic. Cependant, la confirmation de dernier ainsi que le choix d'une stratégie thérapeutique ne peuvent être établis que suite à l'analyse histopathologique.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M0142008 Président : ABBAR MOHAMED Directeur : GHADOUANE MOHAMED Juge : BENSLIMANE LOUNIS Juge : EL KHADER KHALID TUMEURS NON UROTHELIALES DE LA VESSIE : A PROPOS DE 15 CAS [thĂšse] / DAKKAK YOUSSEF, Auteur . - 2008.
Langues : Français (fre)
Mots-clĂ©s : VESSIE TUMEURS NON UROTHELIALES DIAGNOSTIC TRAITEMENT Index. dĂ©cimale : WA SANTE PUBLIQUE - PROFESSION MEDICALE RĂ©sumĂ© : Les tumeurs non urothéliales de la vessie (aussi bien malignes que bénignes) forment des entités rares voire exceptionnelles, avec moins de 5% de l'ensemble des tumeurs vésicales. Nous rapportons dans un premier temps 15 observations portant sur certaines d'entre elles. Dans un deuxième temps, nous analysons les caractéristiques anatomopathologiques majeures de cette catégorie de tumeurs. Enfin, nous présentons une revue de la littérature, mettant en exergue les principaux aspects épidémiologiques, étiopathogéniques, thérapeutiques et évolutifs concernant les tumeurs exposées à travers nos observations.
Matériels et Méthodes: Notre étude porte sur 15 cas de patients présentant une tumeur non urothéliale de la vessie et hospitalisés dans le service d'urologie de l'Hôpital Militaire d'Instruction Mohammed V de Rabat. Ces cas sont répartis comme suit: 5 carcinomes épidermoïdes, 3 adénocarcinomes, 2 carcinomes sarcomatoïdes, un rhabdomyosarcome, un léiomyosarcome, une tumeur neuro-endocrine à petites cellules, une malakoplakie et une cystite glandulaire.
Il s'agissait de 4 femmes et 11 hommes, dont l'age variait de 15 à 65 ans (âge moyen 52 ans). Les symptômes initiaux engendrés par ces tumeurs ne présentaient aucune spécificité ; le principal signe révélateur était 1 'hématurie macroscopique associée parfois à des signes d'irritation vésicale. Leurs aspects radiologiques, tout comme leurs aspects endoscopiques étaient évocateurs d'une prolifération au dépend de la muqueuse vésicale, mais cela ne permettait en aucun cas de les distinguer des tumeurs de nature urothéliale (nettement plus fréquentes). Seule 1 'histologie était capable d'affirmer le diagnostic. Le traitement était préconisé selon la nature histologique de chaque tumeur.
Discussion : Le carcinome épidermoïde de la vessie est une tumeur rare (2 à 5% des tumeurs vésicales). Il constitue, cependant, un réel problème de santé publique dans les pays d'endémie bilharzienne, où il est souvent découvert à un stade localement avancé. Son traitement repose sur la cystectomie radicale. Les places de la chimiothérapie et de la radiothérapie demeurent en évaluation. Son mauvais ps:nostiC est plus en rapport avec son extension locorégionale que métastatique.
L'adénocarcinome représente moins de 2% des tumeurs infiltrantes de la vessie.
Il siège souvent au niveau du dôme vésical. En l'absence d'extension extravésicale, il est accessible à une chirurgie d'exérèse (cystectomie totale ou partielle). Sinon, une chimiothérapie (à base de 5-FU) peut être proposée. Son pronostic reste cependant péjoratif.
Le carcinome sarcomatoïde ne représente que 0,3% des tumeurs de la vessie.
C'est une tumeur de mauvais pronostic, souvent diagnostiquée à un stade avancé. f Aucun traitement de référence ne peut être proposé même si quelques survies à long terme ont été observées par la cystectomie totale, parfois associée à la radiothérapie.
Les carcinomes neuro-endocrines de la vessie constituent 0,5 à 1 % de l'ensemble des cancers de cet organe. Leur diagnostic est souvent posé à un stade déjà évolué localement, voire métastatique. Le traitement adéquat de ces tumeurs associerait une chirurgie radicale à une chimiothérapie adjuvante ou néo-adjuvante (à base de cisplatine).
Le rhabdomyosarcome vésical est une tumeur rare, habituellement rencontrée chez l'enfant et l'adolescent. Son pronostic reste mauvais malgré les combinaisons thérapeutiques entre la chirurgie, la radiothérapie et la chimiothérapie.
Le léiomyosarcome est une tumeur exceptionnelle de la vessie. Il s'agit d'une tumeur hautement maligne et agressive, plus fréquente chez l'adulte, et dont le traitement repose essentiellement sur l'exérèse chirurgicale complétée parfois par une chimiothérapie adjuvante.
La malakoplakie est une lésion pseudotumorale bénigne rare. Dans sa localisation urogénitale, la vessie est l'organe le plus fréquemment atteint. L'infection bactérienne joue un rôle primordial dans sa genèse et son traitement est surtout médical associant un antibiotique et un cholinergique.
La cystite glandulaire est une lésion pseudotumorale rare dont les signes cliniques, radiologiques et endoscopiques sont évocateurs d'une tumeur maligne de la vessie. La recherche et le traitement d'une cause irritative sont essentiels. La résection endoscopique est en général suffisante pour la contrôler mais une exérèse s'impose .dans certaines formes agressives et invalidantes. Devant le risque de dégénérescence maligne, une surveillance à long terme s'impose.
Conclusion : Les manifestations cliniques de ces tumeurs ainsi que leurs aspects radiologique et cystoscopique contribuent certes au diagnostic. Cependant, la confirmation de dernier ainsi que le choix d'une stratégie thérapeutique ne peuvent être établis que suite à l'analyse histopathologique.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M0142008 Président : ABBAR MOHAMED Directeur : GHADOUANE MOHAMED Juge : BENSLIMANE LOUNIS Juge : EL KHADER KHALID RĂ©servation
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Code barre Cote Support Localisation Section DisponibilitĂ© M0142008 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2008 Disponible LES TUMEURS OSSEUSES MALIGNES DE L'ENFANT PROBLEMATIQUE DE PRISE EN CHARGE EXPERIENCE DU SERVICE D'HEMATOLOGIE ET D'ONCOLOGIE PEDIATRIQUE DE L'HOPITAL D'ENFANTS DE RABAT / BENHMADAT IMANE
Titre : LES TUMEURS OSSEUSES MALIGNES DE L'ENFANT PROBLEMATIQUE DE PRISE EN CHARGE EXPERIENCE DU SERVICE D'HEMATOLOGIE ET D'ONCOLOGIE PEDIATRIQUE DE L'HOPITAL D'ENFANTS DE RABAT Type de document : thĂšse Auteurs : BENHMADAT IMANE, Auteur AnnĂ©e de publication : 2008 Langues : Français (fre) Mots-clĂ©s : OstĂ©osarcome Tumeurs dâEwing Adolescents Diagnostic prĂ©coce. Index. dĂ©cimale : WA SANTE PUBLIQUE - PROFESSION MEDICALE RĂ©sumĂ© : Ce travail est une étude rétrospective portant sur 65 dossiers de tumeurs osseuses malignes primitives de l'enfant colligés au service d’hématologie et d’oncologie pédiatrique de l’hôpital d’enfants de Rabat et ce sur une période de 3 ans s’étalant de janvier 2004 à décembre 2006.
Son but est :
- D’étudier les aspects épidémiologiques, cliniques,
radiologiques, thérapeutiques et évolutifs des ostéosarcomes et des tumeurs d’Ewing osseuses dans une population pédiatrique.
-De ressortir les problèmes liés à la prise en charge inhérents à cette pathologie et aux conditions de travail dans le service d’hématologie et d’oncologie pédiatrique. .
Il s’agissait de 36 cas d'Ostéosarcomes et de 29 cas de Tumeurs
d’Ewing. L’âge moyen des patients était de 11,25 ans, le sex-ratio était de 1,4 avec une prédominance masculine. Le délai écoulé entre le début de la symptomatologie et le diagnostic était de 3 mois et demi en moyenne.
La symptomatologie clinique était dominée par la douleur et la tumeur.
La lésion siégeait essentiellement au niveau des os longs avec une fréquence de 71% de l’ensemble des localisations, le genou pour 54 % des cas. A l’admission au service, les signes radiologiques étaient évocateurs de malignité pour tous les cas. La tumeur était métastatique au diagnostic dans 14 cas (22%). Sur le plan thérapeutique, 56 patients (87%
des cas) avaient bénéficié d’une chimiothérapie préopératoire. Parmi les malades opérés (32 cas), la chirurgie était conservatrice dans 16 cas (50 %) et elle consistait en une amputation dans 16 cas (50%). 17 patients étaient perdus de vue, dont 9 abondons de traitement pour refus d’amputation. 18 patients soit 28% des cas sont en rémission complète
avec un recul moyen de 15 mois à la date de l’étude.
Les principales difficultés de prise en charge des tumeurs osseuses malignes primitives ressorties de notre étude sont liées :
au retard diagnostic qui réduit les possibilités d’une chirurgie
conservatrice et augmente le risque de métastases au diagnostic.
La période d’âge des malades (souvent des adolescents) avec
une absence d’accompagnement psychologique qui expliquerait les
difficultés d’adhésion au traitement (abondons de traitement et perdus de vue).
Le non respect des délais thérapeutiques qui incite à une
meilleure collaboration entre les différents intervenants
(chimiothérapeutes- chirurgiens et radiothérapeutes)Numéro (Thèse ou Mémoire) : M2602008 Président : KHATTAB MOHAMED Directeur : KILI AMINA Juge : MADHI TARIK Juge : EL KHORASSANI MOHAMED LES TUMEURS OSSEUSES MALIGNES DE L'ENFANT PROBLEMATIQUE DE PRISE EN CHARGE EXPERIENCE DU SERVICE D'HEMATOLOGIE ET D'ONCOLOGIE PEDIATRIQUE DE L'HOPITAL D'ENFANTS DE RABAT [thĂšse] / BENHMADAT IMANE, Auteur . - 2008.
Langues : Français (fre)
Mots-clĂ©s : OstĂ©osarcome Tumeurs dâEwing Adolescents Diagnostic prĂ©coce. Index. dĂ©cimale : WA SANTE PUBLIQUE - PROFESSION MEDICALE RĂ©sumĂ© : Ce travail est une étude rétrospective portant sur 65 dossiers de tumeurs osseuses malignes primitives de l'enfant colligés au service d’hématologie et d’oncologie pédiatrique de l’hôpital d’enfants de Rabat et ce sur une période de 3 ans s’étalant de janvier 2004 à décembre 2006.
Son but est :
- D’étudier les aspects épidémiologiques, cliniques,
radiologiques, thérapeutiques et évolutifs des ostéosarcomes et des tumeurs d’Ewing osseuses dans une population pédiatrique.
-De ressortir les problèmes liés à la prise en charge inhérents à cette pathologie et aux conditions de travail dans le service d’hématologie et d’oncologie pédiatrique. .
Il s’agissait de 36 cas d'Ostéosarcomes et de 29 cas de Tumeurs
d’Ewing. L’âge moyen des patients était de 11,25 ans, le sex-ratio était de 1,4 avec une prédominance masculine. Le délai écoulé entre le début de la symptomatologie et le diagnostic était de 3 mois et demi en moyenne.
La symptomatologie clinique était dominée par la douleur et la tumeur.
La lésion siégeait essentiellement au niveau des os longs avec une fréquence de 71% de l’ensemble des localisations, le genou pour 54 % des cas. A l’admission au service, les signes radiologiques étaient évocateurs de malignité pour tous les cas. La tumeur était métastatique au diagnostic dans 14 cas (22%). Sur le plan thérapeutique, 56 patients (87%
des cas) avaient bénéficié d’une chimiothérapie préopératoire. Parmi les malades opérés (32 cas), la chirurgie était conservatrice dans 16 cas (50 %) et elle consistait en une amputation dans 16 cas (50%). 17 patients étaient perdus de vue, dont 9 abondons de traitement pour refus d’amputation. 18 patients soit 28% des cas sont en rémission complète
avec un recul moyen de 15 mois à la date de l’étude.
Les principales difficultés de prise en charge des tumeurs osseuses malignes primitives ressorties de notre étude sont liées :
au retard diagnostic qui réduit les possibilités d’une chirurgie
conservatrice et augmente le risque de métastases au diagnostic.
La période d’âge des malades (souvent des adolescents) avec
une absence d’accompagnement psychologique qui expliquerait les
difficultés d’adhésion au traitement (abondons de traitement et perdus de vue).
Le non respect des délais thérapeutiques qui incite à une
meilleure collaboration entre les différents intervenants
(chimiothérapeutes- chirurgiens et radiothérapeutes)Numéro (Thèse ou Mémoire) : M2602008 Président : KHATTAB MOHAMED Directeur : KILI AMINA Juge : MADHI TARIK Juge : EL KHORASSANI MOHAMED RĂ©servation
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Code barre Cote Support Localisation Section DisponibilitĂ© M2602008 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2008 Disponible TUMEURS RETRORECTALE : REFLEXION A PROPD'UN CAS DE SCHWANNOME / MAHANE REDA
Titre : TUMEURS RETRORECTALE : REFLEXION A PROPD'UN CAS DE SCHWANNOME Type de document : thĂšse Auteurs : MAHANE REDA, Auteur AnnĂ©e de publication : 2008 Langues : Français (fre) Mots-clĂ©s : Tumeurs rĂ©trorectales Schwannome Neurinome Tumeur Pelvis. Index. dĂ©cimale : WA SANTE PUBLIQUE - PROFESSION MEDICALE RĂ©sumĂ© : Les Tumeurs rétrorectales sont rares et mal connues. Du fait de la lenteur de leur progression et de leur manque de spécificité clinique, les délais diagnostiques et thérapeutiques sont longs, atteignant parfois plusieurs années.
Grâce aux progrès de l’imagerie, notamment du scanner et surtout de l’imagerie par résonance magnétique, l’approche diagnostic s’est considérablement améliorée, cependant le diagnostic de certitude ne peut être que par une étude anatomopathologique.
Le principe du traitement est l’exérèse chirurgicale avec marges saines, parfois un traitement néo-adjuvent est nécessaire, et Le pronostic de ces lésions dépend de la nature de la tumeur et surtout de la qualité de l’exérèse.
Nous essayons de faire une approche d’une mise au point sur les tumeurs rétrorectales à la lumière d’une observation d’un schwannome retrorectale.
Il s’agit d’une femme âgée de 55 ans qui accuse des douleurs pelviennes avec un trouble digestif évoluant depuis 1 an.
Le diagnostic positif a été orientée par la clinique, la radiologie (TDM + IRM), le traitement a été chirurgical par voie abdominal seule, l’étude anatomopathologique de la pièce opératoire confirme le schwannome bénin retrorectal. L’évolution était favorable sans récidive après un recule de 18 mois.
L’étude épidémiologique, anatomopathologique, les moyens diagnostic et thérapeutique des tumeurs rétrorectales, ainsi que leurs pronostic sont discutées dans notre thèse.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M2712008 Président : CHKOFF RACHID Directeur : EL OUNANI MOHAMED Juge : EL ABSI MOHAMED Juge : GANA RACHID TUMEURS RETRORECTALE : REFLEXION A PROPD'UN CAS DE SCHWANNOME [thĂšse] / MAHANE REDA, Auteur . - 2008.
Langues : Français (fre)
Mots-clĂ©s : Tumeurs rĂ©trorectales Schwannome Neurinome Tumeur Pelvis. Index. dĂ©cimale : WA SANTE PUBLIQUE - PROFESSION MEDICALE RĂ©sumĂ© : Les Tumeurs rétrorectales sont rares et mal connues. Du fait de la lenteur de leur progression et de leur manque de spécificité clinique, les délais diagnostiques et thérapeutiques sont longs, atteignant parfois plusieurs années.
Grâce aux progrès de l’imagerie, notamment du scanner et surtout de l’imagerie par résonance magnétique, l’approche diagnostic s’est considérablement améliorée, cependant le diagnostic de certitude ne peut être que par une étude anatomopathologique.
Le principe du traitement est l’exérèse chirurgicale avec marges saines, parfois un traitement néo-adjuvent est nécessaire, et Le pronostic de ces lésions dépend de la nature de la tumeur et surtout de la qualité de l’exérèse.
Nous essayons de faire une approche d’une mise au point sur les tumeurs rétrorectales à la lumière d’une observation d’un schwannome retrorectale.
Il s’agit d’une femme âgée de 55 ans qui accuse des douleurs pelviennes avec un trouble digestif évoluant depuis 1 an.
Le diagnostic positif a été orientée par la clinique, la radiologie (TDM + IRM), le traitement a été chirurgical par voie abdominal seule, l’étude anatomopathologique de la pièce opératoire confirme le schwannome bénin retrorectal. L’évolution était favorable sans récidive après un recule de 18 mois.
L’étude épidémiologique, anatomopathologique, les moyens diagnostic et thérapeutique des tumeurs rétrorectales, ainsi que leurs pronostic sont discutées dans notre thèse.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M2712008 Président : CHKOFF RACHID Directeur : EL OUNANI MOHAMED Juge : EL ABSI MOHAMED Juge : GANA RACHID RĂ©servation
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Code barre Cote Support Localisation Section DisponibilitĂ© M2712008 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2008 Disponible LES TUMEURS RETRORECTALES DE L'ADULTE A PROPOS D'UN CAS ET REVUE DE LA LITTERATURE / DAOUDI ANAS
Titre : LES TUMEURS RETRORECTALES DE L'ADULTE A PROPOS D'UN CAS ET REVUE DE LA LITTERATURE Type de document : thĂšse Auteurs : DAOUDI ANAS, Auteur AnnĂ©e de publication : 2008 Langues : Français (fre) Mots-clĂ©s : Tumeurs rĂ©trorectales Tumeurs prĂ©sacrĂ©es Tumeurs pelviennes. Index. dĂ©cimale : WA SANTE PUBLIQUE - PROFESSION MEDICALE RĂ©sumĂ© : Nous présentons dans ce travail une mise au point sur les tumeurs rétrorectales à travers une observation colligée à l'hôpital militaire d'instruction Mohamed V dans le service de chirurgie I en 2007.
Les tumeurs rétrorectales constituent une entité très rare. Elles ont été décrites pour la 1ère fois au XVIIIe siècle, Elles surviennent chez les deux sexes avec, par ailleurs, une prédominance féminine.
Lovelady et Dockerty ont établis une classification histologique des tumeurs rétrorectales qui permet de distinguer quatre types de tumeurs : Congénitales, Neurogènes, Osseuses, et de natures histologiques variées.
Le tableau clinique est très varié, ceci est expliqué par la localisation de ces tumeurs. Aussi les signes cliniques peuvent-ils être secondaires à une compression et /ou à un envahissement des tissus et organes de voisinage. La douleur reste néanmoins le signe clinique le plus prédominant.
Le diagnostic positif est basé sur le toucher rectal, l'échographie endorectale, TDM et IRM pelvienne. Alors que le diagnostic lésionnel précis ne se fait qu'a l'examen anatomopathologique.
La ponction biopsie est un geste à proscrire, sauf en cas de contre- indication chirurgicale, parce qu'elle est responsable de complications.
Le diagnostic de tumeur rétrorectale posé, l'exérèse chirurgicale s'impose dans les plus brefs délais, afin de diminuer le risque de survenu de complications.
Plusieurs techniques chirurgicales ont été proposées :
· Voie postérieure : trans-sacrée ; trans-anale ou retro-ano-rectale
· Voie antérieure abdominale.
· voie combinée abdomino-sacrée.
La voie d'abord dépend de la taille de la tumeur et de sa localisation , de sa nature histologique probable et surtout de l'expérience de chaque chirurgien.
Le pronostic des kystes vestigiaux rétrorectaux reste bon, alors que les tumeurs dégénérés sont réputés avoir un mauvais pronostic.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M1532008 Président : ABBAR MOHAMED Directeur : ZENTAR AZIZ Juge : ACHOUR AHMED Juge : EHIRCHIOU ABDELKADER LES TUMEURS RETRORECTALES DE L'ADULTE A PROPOS D'UN CAS ET REVUE DE LA LITTERATURE [thĂšse] / DAOUDI ANAS, Auteur . - 2008.
Langues : Français (fre)
Mots-clĂ©s : Tumeurs rĂ©trorectales Tumeurs prĂ©sacrĂ©es Tumeurs pelviennes. Index. dĂ©cimale : WA SANTE PUBLIQUE - PROFESSION MEDICALE RĂ©sumĂ© : Nous présentons dans ce travail une mise au point sur les tumeurs rétrorectales à travers une observation colligée à l'hôpital militaire d'instruction Mohamed V dans le service de chirurgie I en 2007.
Les tumeurs rétrorectales constituent une entité très rare. Elles ont été décrites pour la 1ère fois au XVIIIe siècle, Elles surviennent chez les deux sexes avec, par ailleurs, une prédominance féminine.
Lovelady et Dockerty ont établis une classification histologique des tumeurs rétrorectales qui permet de distinguer quatre types de tumeurs : Congénitales, Neurogènes, Osseuses, et de natures histologiques variées.
Le tableau clinique est très varié, ceci est expliqué par la localisation de ces tumeurs. Aussi les signes cliniques peuvent-ils être secondaires à une compression et /ou à un envahissement des tissus et organes de voisinage. La douleur reste néanmoins le signe clinique le plus prédominant.
Le diagnostic positif est basé sur le toucher rectal, l'échographie endorectale, TDM et IRM pelvienne. Alors que le diagnostic lésionnel précis ne se fait qu'a l'examen anatomopathologique.
La ponction biopsie est un geste à proscrire, sauf en cas de contre- indication chirurgicale, parce qu'elle est responsable de complications.
Le diagnostic de tumeur rétrorectale posé, l'exérèse chirurgicale s'impose dans les plus brefs délais, afin de diminuer le risque de survenu de complications.
Plusieurs techniques chirurgicales ont été proposées :
· Voie postérieure : trans-sacrée ; trans-anale ou retro-ano-rectale
· Voie antérieure abdominale.
· voie combinée abdomino-sacrée.
La voie d'abord dépend de la taille de la tumeur et de sa localisation , de sa nature histologique probable et surtout de l'expérience de chaque chirurgien.
Le pronostic des kystes vestigiaux rétrorectaux reste bon, alors que les tumeurs dégénérés sont réputés avoir un mauvais pronostic.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M1532008 Président : ABBAR MOHAMED Directeur : ZENTAR AZIZ Juge : ACHOUR AHMED Juge : EHIRCHIOU ABDELKADER RĂ©servation
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Code barre Cote Support Localisation Section DisponibilitĂ© M1532008 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2008 Disponible LES TUMEURS STROMALES GASTRIQUES : TSG AVANCEES DIAGNOSTIQUES ET THERAPEUTIQUES (EXPERIENCE DES SERVICES DE CHIRURGIEVISCERALE DE LâHMV) / : EL MEZDALI SAFAA
Titre : LES TUMEURS STROMALES GASTRIQUES : TSG AVANCEES DIAGNOSTIQUES ET THERAPEUTIQUES (EXPERIENCE DES SERVICES DE CHIRURGIEVISCERALE DE LâHMV) Type de document : thĂšse Auteurs : : EL MEZDALI SAFAA, Auteur AnnĂ©e de publication : 2008 Langues : Français (fre) Mots-clĂ©s : Tumeur stromale gastrique TSG GIST Immunohistochimie Diagnostic Traitement Index. dĂ©cimale : WA SANTE PUBLIQUE - PROFESSION MEDICALE RĂ©sumĂ© : -Introduction: Les tumeurs stromales gastriques (TSG) sont des tumeurs conjonctives malignes, prenant naissance dans la couche musculaire de la paroi gastrique (1).
-Objectif : Faire une mise au point mettant l’accent sur les aspects diagnostiques et thérapeutiques des TSG.
-Observations/ Résultats : Dans ce travail, nous rapportons l’expérience des services de chirurgie viscérale de l’HMV à Rabat. L’étude a concerné 5 patients, 4 hommes et 1 femme, d’une moyenne d’âge de 61,5 (58-65 ans) au moment du diagnostic.
Les hémorragies digestives hautes, les douleurs abdominales et la masse abdominale dominent les symptômes révélateurs (90%).
Nos 5 patients ont bénéficié d’une endoscopie haute et d’une TDM abdominale dans le cadre d’un bilan diagnostique. Les biopsies se sont avérées non concluantes. Le scanner abdominal, en bilan d’extension, a également permis de révéler l’existence de métastases chez deux d’entre eux.
Le diagnostic de certitude a été porté par l’examen anatomopathologique de la pièce d’exérèse (4 cas), ou du prélèvement biopsique pour les patients non opérés (1 cas). Ces tumeurs étaient toutes positives aux marqueurs immuno-histochimiques caractéristiques des GIST : CD34 et CD117. Trois d’entre elles étaient à haut risque de malignité, la quatrième avait un potentiel de malignité intermédiaire, et la dernière était de risque de malignité faible.
Tous les patients ont bénéficié d’un traitement chirurgical, soit une gastrectomie totale (2 cas), ou une gastrectomie partielle emportant la tumeur et passant loin en zone saine (2 cas). Pour la cinquième patiente, la tumeur était inextirpable.
Le Glivec® a été administré à quatre de nos patients, en traitement adjuvant pour 3 cas, et en traitement néo adjuvant pour le quatrième.
Avec un recul d’environ 4 ans, un seul patient a connu une récidive tumorale sous traitement par le Glivec®, avec un échappement thérapeutique au bout de deux ans, même si le traitement a été réajusté.
-Discussion : La fibroscopie oesogastroduodénale permet rarement de poser le diagnostic (30). L’écho endoscopie est la technique d’imagerie la plus valable pour l’évaluation et le diagnostic des TSG (68, 72). Les biopsies sont généralement superficielles. De plus, elles présentent un grand risque de dissémination (73).
La TDM et l’IRM ont une valeur additionnelle à l’écho endoscopie, en permettant de délimiter la tumeur, et de mettre en évidence l’existence de métastases.
La connaissance du comportement agressif de la tumeur permet d’optimiser le traitement et d’améliorer le pronostic, même si celui-ci reste difficile à évaluer, y compris pour les tumeurs de petite taille (<2cm).
La chirurgie est à la base du traitement des TSG (103, 112), et son objectif est une résection macroscopiquement complète de la tumeur R0, sans effraction tumorale, avec des marges de sécurité de tissu sain de manière circonférentielle.
La coelioscopie est globalement déconseillée car elle augmente les manipulations tumorales et surtout le risque d’effraction et de dissémination péritonéale (118).
Les TSG sont radio et chimio résistantes (77, 78, 79). L’Imatinib ou Glivec® représente, dans ce contexte, une grande avancée thérapeutique pouvant transformer radicalement la prise en charge des TSG métastatiques, et de celles considérées comme inopérables.
Le Sunitinib et l’immunothérapie, quant à eux, ouvrent des perspectives prometteuses pour le traitement des tumeurs résistantes d’emblée ou secondairement à l’Imatinib.
-Conclusion : Les TSG font l’objet de controverses en termes de prise en charge thérapeutique et pronostic à long terme, et suscitent un intérêt particulier du fait de la découverte récente d’une thérapeutique ciblée. Progressivement, il a été nécessaire de redéfinir la place de la chirurgie dans la prise en charge thérapeutique globale.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M0942008 Président : ZENTAR AZIZ Directeur : AL KANDRY SIFEDDINE Juge : AL BOUZIDI ABDERRAHMANE Juge : SAIR KHALID LES TUMEURS STROMALES GASTRIQUES : TSG AVANCEES DIAGNOSTIQUES ET THERAPEUTIQUES (EXPERIENCE DES SERVICES DE CHIRURGIEVISCERALE DE LâHMV) [thĂšse] / : EL MEZDALI SAFAA, Auteur . - 2008.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Tumeur stromale gastrique TSG GIST Immunohistochimie Diagnostic Traitement Index. décimale : WA SANTE PUBLIQUE - PROFESSION MEDICALE Résumé : -Introduction: Les tumeurs stromales gastriques (TSG) sont des tumeurs conjonctives malignes, prenant naissance dans la couche musculaire de la paroi gastrique (1).
-Objectif : Faire une mise au point mettant l’accent sur les aspects diagnostiques et thérapeutiques des TSG.
-Observations/ Résultats : Dans ce travail, nous rapportons l’expérience des services de chirurgie viscérale de l’HMV à Rabat. L’étude a concerné 5 patients, 4 hommes et 1 femme, d’une moyenne d’âge de 61,5 (58-65 ans) au moment du diagnostic.
Les hémorragies digestives hautes, les douleurs abdominales et la masse abdominale dominent les symptômes révélateurs (90%).
Nos 5 patients ont bénéficié d’une endoscopie haute et d’une TDM abdominale dans le cadre d’un bilan diagnostique. Les biopsies se sont avérées non concluantes. Le scanner abdominal, en bilan d’extension, a également permis de révéler l’existence de métastases chez deux d’entre eux.
Le diagnostic de certitude a été porté par l’examen anatomopathologique de la pièce d’exérèse (4 cas), ou du prélèvement biopsique pour les patients non opérés (1 cas). Ces tumeurs étaient toutes positives aux marqueurs immuno-histochimiques caractéristiques des GIST : CD34 et CD117. Trois d’entre elles étaient à haut risque de malignité, la quatrième avait un potentiel de malignité intermédiaire, et la dernière était de risque de malignité faible.
Tous les patients ont bénéficié d’un traitement chirurgical, soit une gastrectomie totale (2 cas), ou une gastrectomie partielle emportant la tumeur et passant loin en zone saine (2 cas). Pour la cinquième patiente, la tumeur était inextirpable.
Le Glivec® a été administré à quatre de nos patients, en traitement adjuvant pour 3 cas, et en traitement néo adjuvant pour le quatrième.
Avec un recul d’environ 4 ans, un seul patient a connu une récidive tumorale sous traitement par le Glivec®, avec un échappement thérapeutique au bout de deux ans, même si le traitement a été réajusté.
-Discussion : La fibroscopie oesogastroduodénale permet rarement de poser le diagnostic (30). L’écho endoscopie est la technique d’imagerie la plus valable pour l’évaluation et le diagnostic des TSG (68, 72). Les biopsies sont généralement superficielles. De plus, elles présentent un grand risque de dissémination (73).
La TDM et l’IRM ont une valeur additionnelle à l’écho endoscopie, en permettant de délimiter la tumeur, et de mettre en évidence l’existence de métastases.
La connaissance du comportement agressif de la tumeur permet d’optimiser le traitement et d’améliorer le pronostic, même si celui-ci reste difficile à évaluer, y compris pour les tumeurs de petite taille (<2cm).
La chirurgie est à la base du traitement des TSG (103, 112), et son objectif est une résection macroscopiquement complète de la tumeur R0, sans effraction tumorale, avec des marges de sécurité de tissu sain de manière circonférentielle.
La coelioscopie est globalement déconseillée car elle augmente les manipulations tumorales et surtout le risque d’effraction et de dissémination péritonéale (118).
Les TSG sont radio et chimio résistantes (77, 78, 79). L’Imatinib ou Glivec® représente, dans ce contexte, une grande avancée thérapeutique pouvant transformer radicalement la prise en charge des TSG métastatiques, et de celles considérées comme inopérables.
Le Sunitinib et l’immunothérapie, quant à eux, ouvrent des perspectives prometteuses pour le traitement des tumeurs résistantes d’emblée ou secondairement à l’Imatinib.
-Conclusion : Les TSG font l’objet de controverses en termes de prise en charge thérapeutique et pronostic à long terme, et suscitent un intérêt particulier du fait de la découverte récente d’une thérapeutique ciblée. Progressivement, il a été nécessaire de redéfinir la place de la chirurgie dans la prise en charge thérapeutique globale.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M0942008 Président : ZENTAR AZIZ Directeur : AL KANDRY SIFEDDINE Juge : AL BOUZIDI ABDERRAHMANE Juge : SAIR KHALID RĂ©servation
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Code barre Cote Support Localisation Section DisponibilitĂ© M0942008 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2008 Disponible LES TUMEURS STROMALES GASTRO-INTESTINALES EXPERIENCE DE LA CLINIQUE CHIRURGICALE B A PROPOS DE 06 OBSERVATIONS / BENCHAJI IMANE
Titre : LES TUMEURS STROMALES GASTRO-INTESTINALES EXPERIENCE DE LA CLINIQUE CHIRURGICALE B A PROPOS DE 06 OBSERVATIONS Type de document : thĂšse Auteurs : BENCHAJI IMANE, Auteur AnnĂ©e de publication : 2008 Langues : Français (fre) Mots-clĂ©s : Tumeurs stromales gastrointestinales Diagnostic Traitement Surveillance Index. dĂ©cimale : WA SANTE PUBLIQUE - PROFESSION MEDICALE RĂ©sumĂ© : Les tumeurs stromales du tractus gastro- intestinal (GIST) sont des tumeurs mésenchymateuses se développant dans la majorité des cas aux dépens de l’estomac et du grêle, plus rarement du rectum, du côlon, de l’œsophage ou du mésentère.
Dérivant des cellules de Cajal ou d’un de leur précurseur, et de phénotype typiquement CD117/KIT+ (98%) CD34+ (70%), elles sont caractérisées par la fréquente expression des protéines KIT (80%), ou PDGFRA (5%) mutées activées de manière mutuellement exclusive.
Nous avons rapporté 6 observations de tumeurs stromales gastro-intestinales diagnostiquées et traitées au service de chirurgie « B » de l’hôpital IBN SINA de Rabat entre 2002 et 2007.
L’âge moyen de nos patients était de 55 ans (avec des extrêmes allant de 45 à 65 ans).
Les localisations tumorales étaient principalement l’estomac (n=3), le rectum (n=1), l’intestin grêle (n=1), le péritoine (n=1).
La symptomatologie fonctionnelle ayant amené au diagnostic était dominée par l’hémorragie digestive et la douleur abdominale.
L’endoscopie et la TDM ont constitué les deux principaux examens complémentaires pour déceler le syndrome tumoral.
La taille moyenne des tumeurs était de 16cm (avec des extrêmes de 2 à 30cm).
L’immunomarquage au CD117 a été positif dans tous les cas.
La résection chirurgicale reste le seul traitement curatif des tumeurs stromales localisées. La survie est corrélée au caractère complet de la résection.
En cas de maladie localement avancée ou métastatique, ou en cas de récidive, le traitement de première intention est l’Imatinib (inhibiteur sélectif tyrosine kinase).
Cette révolution thérapeutique a transformé le devenir des patients métastatiques, mais les taux de réponses complètes sont faibles, ce qui soulève la question des indications de la chirurgie secondaire après Imatinib.
La surveillance après une résection complète est basée sur la TDM abdomino-pelvienne, tandis que pour les patients traités par Imatinib, elle est basée sur la TDM ou le TEP (Tomographie par émission de positron) au FDG (18-Fluoro-2-Désoxy-D-Glucose), ou bien l’échodoppler avec injection de produit de contraste.
Le pronostic de ces tumeurs dépend essentiellement de leur taille, leur index mitotique, leur localisation et la présence ou non de métastases.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M0892008 Président : CHAD BOUZIANE Directeur : MEDAGHRI JALIL Juge : BENAMR SAID LES TUMEURS STROMALES GASTRO-INTESTINALES EXPERIENCE DE LA CLINIQUE CHIRURGICALE B A PROPOS DE 06 OBSERVATIONS [thĂšse] / BENCHAJI IMANE, Auteur . - 2008.
Langues : Français (fre)
Mots-clĂ©s : Tumeurs stromales gastrointestinales Diagnostic Traitement Surveillance Index. dĂ©cimale : WA SANTE PUBLIQUE - PROFESSION MEDICALE RĂ©sumĂ© : Les tumeurs stromales du tractus gastro- intestinal (GIST) sont des tumeurs mésenchymateuses se développant dans la majorité des cas aux dépens de l’estomac et du grêle, plus rarement du rectum, du côlon, de l’œsophage ou du mésentère.
Dérivant des cellules de Cajal ou d’un de leur précurseur, et de phénotype typiquement CD117/KIT+ (98%) CD34+ (70%), elles sont caractérisées par la fréquente expression des protéines KIT (80%), ou PDGFRA (5%) mutées activées de manière mutuellement exclusive.
Nous avons rapporté 6 observations de tumeurs stromales gastro-intestinales diagnostiquées et traitées au service de chirurgie « B » de l’hôpital IBN SINA de Rabat entre 2002 et 2007.
L’âge moyen de nos patients était de 55 ans (avec des extrêmes allant de 45 à 65 ans).
Les localisations tumorales étaient principalement l’estomac (n=3), le rectum (n=1), l’intestin grêle (n=1), le péritoine (n=1).
La symptomatologie fonctionnelle ayant amené au diagnostic était dominée par l’hémorragie digestive et la douleur abdominale.
L’endoscopie et la TDM ont constitué les deux principaux examens complémentaires pour déceler le syndrome tumoral.
La taille moyenne des tumeurs était de 16cm (avec des extrêmes de 2 à 30cm).
L’immunomarquage au CD117 a été positif dans tous les cas.
La résection chirurgicale reste le seul traitement curatif des tumeurs stromales localisées. La survie est corrélée au caractère complet de la résection.
En cas de maladie localement avancée ou métastatique, ou en cas de récidive, le traitement de première intention est l’Imatinib (inhibiteur sélectif tyrosine kinase).
Cette révolution thérapeutique a transformé le devenir des patients métastatiques, mais les taux de réponses complètes sont faibles, ce qui soulève la question des indications de la chirurgie secondaire après Imatinib.
La surveillance après une résection complète est basée sur la TDM abdomino-pelvienne, tandis que pour les patients traités par Imatinib, elle est basée sur la TDM ou le TEP (Tomographie par émission de positron) au FDG (18-Fluoro-2-Désoxy-D-Glucose), ou bien l’échodoppler avec injection de produit de contraste.
Le pronostic de ces tumeurs dépend essentiellement de leur taille, leur index mitotique, leur localisation et la présence ou non de métastases.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M0892008 Président : CHAD BOUZIANE Directeur : MEDAGHRI JALIL Juge : BENAMR SAID RĂ©servation
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Code barre Cote Support Localisation Section DisponibilitĂ© M0892008 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2008 Disponible Ulcere de jambe : Etude retrospective a propos de 21 cas / Aminata Rassie WURIE
Titre : Ulcere de jambe : Etude retrospective a propos de 21 cas Type de document : thĂšse Auteurs : Aminata Rassie WURIE, Auteur AnnĂ©e de publication : 2008 Langues : Français (fre) Mots-clĂ©s : UlcĂšre de jambe Maladie variqueuse Insuffisance artĂ©rielle Index. dĂ©cimale : WA SANTE PUBLIQUE - PROFESSION MEDICALE RĂ©sumĂ© : Un ulcère de jambe est une perte de substance cutanée qui n’a aucune tendance à la guérison spontanée. Généralement situé sur la partie déclive des membres inférieurs et il répond, habituellement, à des causes pathologiques vasculaires veineuses et/ou artérielles.
Les ulcères de jambe d’origine veineuse sont très habituels est représentent une grande proportion de l’ensemble des cas (70 %), alors que ceux d’origine artérielle viennent en seconde position. D’autres causes moins habituelles comme les vascularites, les infections ou autres causes immuno-hématologiques rendent compte de moins de 10% des causes.
Dans cette étude rétrospective, nous avons analysé des éléments épidémiologiques, des données cliniques et thérapeutiques surtout symptomatiques de quelques 21 patients hospitalisés pour ulcère de jambe entre Janvier 2001 à Décembre 2007 au service de dermatologie de l’Hôpital Militaire d’Instruction Mohammed V de Rabat.
21 cas, soit 19 hommes (90.5 %) et 2 femmes ont été retenus dans cette étude. La jambe gauche a porté 68,3 % des ulcères. La moyenne d’âge a été aux environ de 44 ans avec des extrêmes de 11 à 72 ans. L’âge semble être un facteur déterminant pour la survenue des ulcères de jambe, ainsi 61.9 % de nos patients dépassaient les 45 ans ; 8 avaient plus de 55 ans. De nombreux autres facteurs de risque ont été identifiés comme le tabagisme, l’hypertension artérielle, la maladie variqueuse et le diabète.
La maladie variqueuse à elle seule assume la responsabilité de 9 cas soit 42.9 % des ulcères, dont un cas associe deux causes : une drépanocytose et un syndrome de Klippel Trenaunay, 5 autres cas avaient une étiologie artérielle et 4 étaient des ulcères infectieux.
Tous ces ulcères de jambe ont eu des soins locaux habituels bien que variés et un traitement étiologique chaque fois que possible. Une guérison complète a été observée dans 13 cas : 3 veineux, 3 artériels, 4 infectieux, 2 traumatiques et 1 cas de vasculite hypertensive. Des récidives ont été notées dans 4 cas, il s’agissait de 3 ulcères variqueux et un ulcère artériel. La chronicité a été le lot de 4 autres sujets, dont 2 avaient une maladie variqueuse, une artériopathie, alors que le dernier présentait une association de drépanocytose et un syndrome de Klippel Trenaunay.
L’ulcère de jambe est une affection commune qui a une répercussion significative sur la qualité de vie des patients et leur rendement professionnel. La prise en charge repose sur le diagnostic étiologique qui oriente un traitement adapté en plus de la prise en charge symptomatique. Notre étude, à l’instar des autres séries marocaines montre que la cause veineuse est l’étiologie la plus fréquente des ulcères de jambes, et contrairement à la littérature européenne, une prédominance masculine.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M0782008 Président : BENSAID YOUNOUS Directeur : SEDRATI OMAR Juge : ZBIREL MEHDI Juge : BELMEJDOUB GHIZLAINE/ Juge : BELMEJDOUB GHIZLAINE/ Ulcere de jambe : Etude retrospective a propos de 21 cas [thĂšse] / Aminata Rassie WURIE, Auteur . - 2008.
Langues : Français (fre)
Mots-clĂ©s : UlcĂšre de jambe Maladie variqueuse Insuffisance artĂ©rielle Index. dĂ©cimale : WA SANTE PUBLIQUE - PROFESSION MEDICALE RĂ©sumĂ© : Un ulcère de jambe est une perte de substance cutanée qui n’a aucune tendance à la guérison spontanée. Généralement situé sur la partie déclive des membres inférieurs et il répond, habituellement, à des causes pathologiques vasculaires veineuses et/ou artérielles.
Les ulcères de jambe d’origine veineuse sont très habituels est représentent une grande proportion de l’ensemble des cas (70 %), alors que ceux d’origine artérielle viennent en seconde position. D’autres causes moins habituelles comme les vascularites, les infections ou autres causes immuno-hématologiques rendent compte de moins de 10% des causes.
Dans cette étude rétrospective, nous avons analysé des éléments épidémiologiques, des données cliniques et thérapeutiques surtout symptomatiques de quelques 21 patients hospitalisés pour ulcère de jambe entre Janvier 2001 à Décembre 2007 au service de dermatologie de l’Hôpital Militaire d’Instruction Mohammed V de Rabat.
21 cas, soit 19 hommes (90.5 %) et 2 femmes ont été retenus dans cette étude. La jambe gauche a porté 68,3 % des ulcères. La moyenne d’âge a été aux environ de 44 ans avec des extrêmes de 11 à 72 ans. L’âge semble être un facteur déterminant pour la survenue des ulcères de jambe, ainsi 61.9 % de nos patients dépassaient les 45 ans ; 8 avaient plus de 55 ans. De nombreux autres facteurs de risque ont été identifiés comme le tabagisme, l’hypertension artérielle, la maladie variqueuse et le diabète.
La maladie variqueuse à elle seule assume la responsabilité de 9 cas soit 42.9 % des ulcères, dont un cas associe deux causes : une drépanocytose et un syndrome de Klippel Trenaunay, 5 autres cas avaient une étiologie artérielle et 4 étaient des ulcères infectieux.
Tous ces ulcères de jambe ont eu des soins locaux habituels bien que variés et un traitement étiologique chaque fois que possible. Une guérison complète a été observée dans 13 cas : 3 veineux, 3 artériels, 4 infectieux, 2 traumatiques et 1 cas de vasculite hypertensive. Des récidives ont été notées dans 4 cas, il s’agissait de 3 ulcères variqueux et un ulcère artériel. La chronicité a été le lot de 4 autres sujets, dont 2 avaient une maladie variqueuse, une artériopathie, alors que le dernier présentait une association de drépanocytose et un syndrome de Klippel Trenaunay.
L’ulcère de jambe est une affection commune qui a une répercussion significative sur la qualité de vie des patients et leur rendement professionnel. La prise en charge repose sur le diagnostic étiologique qui oriente un traitement adapté en plus de la prise en charge symptomatique. Notre étude, à l’instar des autres séries marocaines montre que la cause veineuse est l’étiologie la plus fréquente des ulcères de jambes, et contrairement à la littérature européenne, une prédominance masculine.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M0782008 Président : BENSAID YOUNOUS Directeur : SEDRATI OMAR Juge : ZBIREL MEHDI Juge : BELMEJDOUB GHIZLAINE/ Juge : BELMEJDOUB GHIZLAINE/ RĂ©servation
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Code barre Cote Support Localisation Section DisponibilitĂ© M0782008 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2008 Disponible UTILITE DES EXAMENS COMPLEMENTAIRES AUX URGENCES RADIOGRAPHIE THORACIQUE ECG, ENZYMES CARDIAQUE, NT PRO BNP / BAALAL HASSAN
Titre : UTILITE DES EXAMENS COMPLEMENTAIRES AUX URGENCES RADIOGRAPHIE THORACIQUE ECG, ENZYMES CARDIAQUE, NT PRO BNP Type de document : thÚse Auteurs : BAALAL HASSAN, Auteur Année de publication : 2008 Langues : Français (fre) Mots-clés : EXAMENS COMPLEMENTAIRES URGENCES RADIOGRAPHIE THORACIQUE ECG ENZYMES CARDIAQUES NT PRO BNP Index. décimale : WA SANTE PUBLIQUE - PROFESSION MEDICALE Résumé : INTRODUCTION :
Les médecins exerçant dans le service des urgences d’une façon permanente ou non doivent prendre an charge des pathologies diversifiées et souvent complexes. Le pronostic vital laisse parfois peu de temps pour une analyse complète de la symptomatologie clinique. Ainsi dans de nombreux cas, des examens complémentaires justifiés ou non sont demandés surtout par les jeunes médecins pour plus de sécurité. Cette démarche excessive entraîne sûrement un surcoût de dépense de santé et peut être un raisonnement erroné.
MATERIEL ET METHODE :
Il s’agit d’une étude prospective réalisée dans le service des urgences aux cours de l’année 2003, composée de 2 parties :
ï Analyser l apport de 3 examens les plus demandes aux urgences à Savoir radiographie du thorax, électrocardiogramme, enzymes cardiaques.
ï Évaluer l’intérêt diagnostique de NT-pro BNP dans les dyspnées aigues au service des urgences.
DISCUSSION :
La prescription d’un examen paraclinique est un art difficile qui requiert un savoir-faire qui ne doit rien à l’intuition ni aux rituels. Dans le cadre particulier de l’urgence, la prescription –plus que dans d’autres domaines – doit répondre à des impératifs de moyens et non de résultats. L’objectif de la prescription doit être clair. Un marqueur biologique est utile en urgence si une question urgente concernant la maladie ou le malade mérite d’être posée et si le marqueur y répond de façon performante.
Il n’a pas d’intérêt si la question est mal posée, si l’examen demande n’est pas adapté ou si la réponse apportée était évidente. En effet, un examen complémentaire ne donne pas de bonne réponse à une question mal posée ou s’il n’est pas adapté à la question, et n’offre qu’une réponse inutile à une question qui ne se pose pas.
CONCLUSION :
Le bilan complémentaire aux urgences doit permettre d’améliorer le diagnostic, de préciser le terrain et/ou de stratifier la gravité d’un malade.
le BNP permet d’améliorer la morbidité des patients admis pour dyspnée aiguë. Compte tenu de l’intérêt pronostique de la précocité du diagnostic d’ICA, le dosage rapide du BNP ou du NT-pro BNP devrait être accessible 24 heures sur 24 en urgence.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M1682008 Président : BENCHEKROUN ABDELLATIF Directeur : HSAIDA RACHID Juge : BOUGHALEM MOHAMED Juge : AKTBAITE ABDELOUAHED UTILITE DES EXAMENS COMPLEMENTAIRES AUX URGENCES RADIOGRAPHIE THORACIQUE ECG, ENZYMES CARDIAQUE, NT PRO BNP [thĂšse] / BAALAL HASSAN, Auteur . - 2008.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : EXAMENS COMPLEMENTAIRES URGENCES RADIOGRAPHIE THORACIQUE ECG ENZYMES CARDIAQUES NT PRO BNP Index. décimale : WA SANTE PUBLIQUE - PROFESSION MEDICALE Résumé : INTRODUCTION :
Les médecins exerçant dans le service des urgences d’une façon permanente ou non doivent prendre an charge des pathologies diversifiées et souvent complexes. Le pronostic vital laisse parfois peu de temps pour une analyse complète de la symptomatologie clinique. Ainsi dans de nombreux cas, des examens complémentaires justifiés ou non sont demandés surtout par les jeunes médecins pour plus de sécurité. Cette démarche excessive entraîne sûrement un surcoût de dépense de santé et peut être un raisonnement erroné.
MATERIEL ET METHODE :
Il s’agit d’une étude prospective réalisée dans le service des urgences aux cours de l’année 2003, composée de 2 parties :
ï Analyser l apport de 3 examens les plus demandes aux urgences à Savoir radiographie du thorax, électrocardiogramme, enzymes cardiaques.
ï Évaluer l’intérêt diagnostique de NT-pro BNP dans les dyspnées aigues au service des urgences.
DISCUSSION :
La prescription d’un examen paraclinique est un art difficile qui requiert un savoir-faire qui ne doit rien à l’intuition ni aux rituels. Dans le cadre particulier de l’urgence, la prescription –plus que dans d’autres domaines – doit répondre à des impératifs de moyens et non de résultats. L’objectif de la prescription doit être clair. Un marqueur biologique est utile en urgence si une question urgente concernant la maladie ou le malade mérite d’être posée et si le marqueur y répond de façon performante.
Il n’a pas d’intérêt si la question est mal posée, si l’examen demande n’est pas adapté ou si la réponse apportée était évidente. En effet, un examen complémentaire ne donne pas de bonne réponse à une question mal posée ou s’il n’est pas adapté à la question, et n’offre qu’une réponse inutile à une question qui ne se pose pas.
CONCLUSION :
Le bilan complémentaire aux urgences doit permettre d’améliorer le diagnostic, de préciser le terrain et/ou de stratifier la gravité d’un malade.
le BNP permet d’améliorer la morbidité des patients admis pour dyspnée aiguë. Compte tenu de l’intérêt pronostique de la précocité du diagnostic d’ICA, le dosage rapide du BNP ou du NT-pro BNP devrait être accessible 24 heures sur 24 en urgence.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M1682008 Président : BENCHEKROUN ABDELLATIF Directeur : HSAIDA RACHID Juge : BOUGHALEM MOHAMED Juge : AKTBAITE ABDELOUAHED RĂ©servation
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Code barre Cote Support Localisation Section DisponibilitĂ© M1682008 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2008 Disponible VITILIGO CHEZ L'ENFANT A PROPOS DE 04 CAS / BELHOUARI MOUNIA
Titre : VITILIGO CHEZ L'ENFANT A PROPOS DE 04 CAS Type de document : thĂšse Auteurs : BELHOUARI MOUNIA, Auteur AnnĂ©e de publication : 2008 Langues : Français (fre) Mots-clĂ©s : Vitiligo EpidĂ©miologie Clinique Traitement Evolution Index. dĂ©cimale : WA SANTE PUBLIQUE - PROFESSION MEDICALE RĂ©sumĂ© : Le vitiligo est une dépigmentation particulière de la peau connue depuis l’antiquité, elle atteint 1 à 2 % de la population mondiale. Evoluant par des plaques la plupart du temps définitives.
Cette dermatose est due à la disparition des mélanocytes fonctionnels et à la diminution de la mélanine dans l’épiderme.
Cette affection est bénigne, d’étiologie inconnue, et plusieurs hypothèses pathogéniques n’expliquent pas l’ensemble des formes de la maladie.
La prise en charge des patients inclus la protection contre le soleil, le camouflage par les cosmétiques ainsi qu’une repigmentation médicale et chirurgicale.
Les traitements médicaux consistent en une irradiation par des ultraviolets B de spectre étroit, laser excimer à 308, l'utilisation d'une corticothérapie et en d’autres nouvelles approches.
Le traitement chirurgical est généralement recommandé pour le vitiligo stable et focal, lorsque le traitement médical est inefficace.
Nous rapportons à travers ce travail 4 cas de vitiligo périorificiel de localisation particulière chez l’enfant (orbitaire, péribuccale, génitale, et périanale).
L’age de ces enfants se situe entre 3 et 12 ans avec une notion de maladies auto-immunes familiales.
Ces malades ont bien évolué sous traitement médical local, et les suites ont été simples.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M2402008 Président : BENTAHILA ABDELALI Directeur : JABOURIK FATIMA Juge : CHERRADI NADIA VITILIGO CHEZ L'ENFANT A PROPOS DE 04 CAS [thĂšse] / BELHOUARI MOUNIA, Auteur . - 2008.
Langues : Français (fre)
Mots-clĂ©s : Vitiligo EpidĂ©miologie Clinique Traitement Evolution Index. dĂ©cimale : WA SANTE PUBLIQUE - PROFESSION MEDICALE RĂ©sumĂ© : Le vitiligo est une dépigmentation particulière de la peau connue depuis l’antiquité, elle atteint 1 à 2 % de la population mondiale. Evoluant par des plaques la plupart du temps définitives.
Cette dermatose est due à la disparition des mélanocytes fonctionnels et à la diminution de la mélanine dans l’épiderme.
Cette affection est bénigne, d’étiologie inconnue, et plusieurs hypothèses pathogéniques n’expliquent pas l’ensemble des formes de la maladie.
La prise en charge des patients inclus la protection contre le soleil, le camouflage par les cosmétiques ainsi qu’une repigmentation médicale et chirurgicale.
Les traitements médicaux consistent en une irradiation par des ultraviolets B de spectre étroit, laser excimer à 308, l'utilisation d'une corticothérapie et en d’autres nouvelles approches.
Le traitement chirurgical est généralement recommandé pour le vitiligo stable et focal, lorsque le traitement médical est inefficace.
Nous rapportons à travers ce travail 4 cas de vitiligo périorificiel de localisation particulière chez l’enfant (orbitaire, péribuccale, génitale, et périanale).
L’age de ces enfants se situe entre 3 et 12 ans avec une notion de maladies auto-immunes familiales.
Ces malades ont bien évolué sous traitement médical local, et les suites ont été simples.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M2402008 Président : BENTAHILA ABDELALI Directeur : JABOURIK FATIMA Juge : CHERRADI NADIA RĂ©servation
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Code barre Cote Support Localisation Section DisponibilitĂ© M2402008 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2008 Disponible XERODERMA PIGMENTOSUM ET CANCERS CUTANES CHEZ L'ENFANT A PROPOS DE 01 CAS / BELFQUIH RIM
Titre : XERODERMA PIGMENTOSUM ET CANCERS CUTANES CHEZ L'ENFANT A PROPOS DE 01 CAS Type de document : thĂšse Auteurs : BELFQUIH RIM, Auteur AnnĂ©e de publication : 2008 Langues : Français (fre) Mots-clĂ©s : Xeroderma pigmentosum EpidĂ©miologie Clinique EtiopathogĂ©nie Diagnostic Traitement Evolution Pronostic Index. dĂ©cimale : WA SANTE PUBLIQUE - PROFESSION MEDICALE RĂ©sumĂ© : Le xeroderma pigmentosum (XP) est une rare génodermatose, à transmission autosomique récessive. Elle comporte sept groupes génétiques dit groupes de complémentation XP (classés de A à G), en plus du XP variant.
Le XP appartient aux pathologies dues à la déficience du système de réparation de l’ADN par excision de nucléotide. Ce défaut est responsable d’une sensibilité anormalement élevée aux rayons ultraviolets.
Sur le plan clinique, le XP se manifeste par des lésions cutanées polymorphes réalisant un aspect poïkilodermie-like, une atteinte ophtalmique et une atteinte neurologique de sévérité variable. L’apparition précoce de multiples tumeurs cutanées bénignes et surtout malignes, des zones photoexposées de la peau, conditionne le pronostic fonctionnel et vital de cette maladie.
Le diagnostic est basé principalement sur des critères cliniques et des tests de réparation de l’ADN après exposition aux UV (unscheduled DNA synthesis : UDS).
A ce jour, aucun traitement curatif n’existe pour cette pathologie. La prise en charge de ces patients est essentiellement préventive et symptomatique : elle repose sur la photoprotection totale et rigoureuse, le conseil génétique et le diagnostic prénatal dans les familles à risque. La thérapie génique représente un espoir d’avenir.
Ainsi le pronostic du XP reste à ce jour sombre et l’espérance de vie de ces patients est d’autant plus réduite que leur niveau socioéconomique est bas.
Dans ce travail, nous rapportons le cas d’un enfant âgé de 14 ans suivi pour xeroderma pigmentosum depuis l’âge de 2 ans en consultation de dermatologie à l’hôpital d’enfant de Rabat et qui a développé à l’âge de 8 ans des tumeurs cutanées faciales (au niveau de la joue droite, de la joue gauche et du cou) pour lesquelles il a été traité chirurgicalement. Malheureusement, l’enfant a développé récemment une autre tumeur temporale droite.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M1962008 Président : BENTAHILA ABDELALI Directeur : JABOURIK FATIMA Juge : CHERRADI NADIA XERODERMA PIGMENTOSUM ET CANCERS CUTANES CHEZ L'ENFANT A PROPOS DE 01 CAS [thĂšse] / BELFQUIH RIM, Auteur . - 2008.
Langues : Français (fre)
Mots-clĂ©s : Xeroderma pigmentosum EpidĂ©miologie Clinique EtiopathogĂ©nie Diagnostic Traitement Evolution Pronostic Index. dĂ©cimale : WA SANTE PUBLIQUE - PROFESSION MEDICALE RĂ©sumĂ© : Le xeroderma pigmentosum (XP) est une rare génodermatose, à transmission autosomique récessive. Elle comporte sept groupes génétiques dit groupes de complémentation XP (classés de A à G), en plus du XP variant.
Le XP appartient aux pathologies dues à la déficience du système de réparation de l’ADN par excision de nucléotide. Ce défaut est responsable d’une sensibilité anormalement élevée aux rayons ultraviolets.
Sur le plan clinique, le XP se manifeste par des lésions cutanées polymorphes réalisant un aspect poïkilodermie-like, une atteinte ophtalmique et une atteinte neurologique de sévérité variable. L’apparition précoce de multiples tumeurs cutanées bénignes et surtout malignes, des zones photoexposées de la peau, conditionne le pronostic fonctionnel et vital de cette maladie.
Le diagnostic est basé principalement sur des critères cliniques et des tests de réparation de l’ADN après exposition aux UV (unscheduled DNA synthesis : UDS).
A ce jour, aucun traitement curatif n’existe pour cette pathologie. La prise en charge de ces patients est essentiellement préventive et symptomatique : elle repose sur la photoprotection totale et rigoureuse, le conseil génétique et le diagnostic prénatal dans les familles à risque. La thérapie génique représente un espoir d’avenir.
Ainsi le pronostic du XP reste à ce jour sombre et l’espérance de vie de ces patients est d’autant plus réduite que leur niveau socioéconomique est bas.
Dans ce travail, nous rapportons le cas d’un enfant âgé de 14 ans suivi pour xeroderma pigmentosum depuis l’âge de 2 ans en consultation de dermatologie à l’hôpital d’enfant de Rabat et qui a développé à l’âge de 8 ans des tumeurs cutanées faciales (au niveau de la joue droite, de la joue gauche et du cou) pour lesquelles il a été traité chirurgicalement. Malheureusement, l’enfant a développé récemment une autre tumeur temporale droite.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M1962008 Président : BENTAHILA ABDELALI Directeur : JABOURIK FATIMA Juge : CHERRADI NADIA RĂ©servation
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Code barre Cote Support Localisation Section DisponibilitĂ© M1962008 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2008 Disponible ZONA CHEZ L'ENFANT : LOCALISATIONS PARTICULIERES A PROPOS DE 02 CAS / CHOUKRI NOUR AL ISLAM
Titre : ZONA CHEZ L'ENFANT : LOCALISATIONS PARTICULIERES A PROPOS DE 02 CAS Type de document : thĂšse Auteurs : CHOUKRI NOUR AL ISLAM, Auteur AnnĂ©e de publication : 2008 Langues : Français (fre) Mots-clĂ©s : EpidĂ©miologie Clinique Traitement Pronostic RĂ©sumĂ© : Le zona est une éruption vésiculeuse d’origine virale due à la réactivation du virus varicelle zona resté latent dans les ganglions sensitifs dorsaux après la primo-infection varicelleuse.
Le but de notre travail est de décrire les aspects épidémiologiques, cliniques, thérapeutiques et évolutifs du zona chez l’enfant.
Les formes de l’enfant sain se manifestent souvent à côté de l’atteinte cutanée classique par des signes généraux importants,leur évolution est en général favorable et de bon pronostic et les douleurs post zostériennes sont exceptionnelles. Cependant les formes de l’enfant immunodéprimé peuvent mettre en jeu le pronostic vital et imposent un traitement spécifique.
Le diagnostic repose essentiellement sur les arguments cliniques :
Antécédents de varicelle plus ou moins ancienne, caractère des lésions, et topographie unilatérale. Toutefois le recours aux examens de laboratoire s’avère important devant les formes atypiques ou graves d’emblée, chez l’immunodéprimé et le petit nourrisson.
Le traitement spécifique est à base d’aciclovir auquel sont associés un traitement symptomatique et des mesures générales.
Dans notre étude, nous rapportons deux cas de zona particuliers, le premier s’agissant d’un zona intercostal droit sur terrain immunodéprimé chez une fille de 12 ans et le deuxième concernant un zona ophtalmique gauche chez un nourrisson de 1 mois et demi avec notion de varicelle chez la mère une semaine avant l’accouchement.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M2372008 Président : BENTAHILA ABDELALI Directeur : JABOURIK FATIMA Juge : CHERRADI NADIA ZONA CHEZ L'ENFANT : LOCALISATIONS PARTICULIERES A PROPOS DE 02 CAS [thĂšse] / CHOUKRI NOUR AL ISLAM, Auteur . - 2008.
Langues : Français (fre)
Mots-clĂ©s : EpidĂ©miologie Clinique Traitement Pronostic RĂ©sumĂ© : Le zona est une éruption vésiculeuse d’origine virale due à la réactivation du virus varicelle zona resté latent dans les ganglions sensitifs dorsaux après la primo-infection varicelleuse.
Le but de notre travail est de décrire les aspects épidémiologiques, cliniques, thérapeutiques et évolutifs du zona chez l’enfant.
Les formes de l’enfant sain se manifestent souvent à côté de l’atteinte cutanée classique par des signes généraux importants,leur évolution est en général favorable et de bon pronostic et les douleurs post zostériennes sont exceptionnelles. Cependant les formes de l’enfant immunodéprimé peuvent mettre en jeu le pronostic vital et imposent un traitement spécifique.
Le diagnostic repose essentiellement sur les arguments cliniques :
Antécédents de varicelle plus ou moins ancienne, caractère des lésions, et topographie unilatérale. Toutefois le recours aux examens de laboratoire s’avère important devant les formes atypiques ou graves d’emblée, chez l’immunodéprimé et le petit nourrisson.
Le traitement spécifique est à base d’aciclovir auquel sont associés un traitement symptomatique et des mesures générales.
Dans notre étude, nous rapportons deux cas de zona particuliers, le premier s’agissant d’un zona intercostal droit sur terrain immunodéprimé chez une fille de 12 ans et le deuxième concernant un zona ophtalmique gauche chez un nourrisson de 1 mois et demi avec notion de varicelle chez la mère une semaine avant l’accouchement.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M2372008 Président : BENTAHILA ABDELALI Directeur : JABOURIK FATIMA Juge : CHERRADI NADIA RĂ©servation
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Code barre Cote Support Localisation Section DisponibilitĂ© M2372008 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2008 Disponible