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APPORT DE L’IPSS DANS LE TRAITEMENT DE L’HYPERTROPHIE BENIGNE DE LA PROSTATE PAR TECHNIQUE ENDOSCOPIQUE ET ADENOMECTOMIE PAR VOIE HAUTE. / DJRE TAYIRI BLAISE ARNAUD
Titre : APPORT DE L’IPSS DANS LE TRAITEMENT DE L’HYPERTROPHIE BENIGNE DE LA PROSTATE PAR TECHNIQUE ENDOSCOPIQUE ET ADENOMECTOMIE PAR VOIE HAUTE. Type de document : thèse Auteurs : DJRE TAYIRI BLAISE ARNAUD, Auteur Année de publication : 2012 Langues : Français (fre) Mots-clés : IPSS HYPERTROPHIE PROSTATE ENDOSCOPIQUE ADENOMECTOMIE. Résumé : Évaluer l’apport du score IPSS avant et après chirurgie de l’HBP et l’association avec l’échelle visuelle analogique EVA.
Notre étude était prospective, à propos de 96 patients ayant une HBP symptomatique. Tous avaient bénéficié soit d’une incision cervicoprostatique ICP, d’une résection transurétrale de la prostate RTUP ou d’une adénomectomie par voie haute AVH. Pour chacun des patients, un score IPSS (QDV comprise) était établi avant et 1mois après chirurgie. De la même façon, l’intensité des symptômes urinaires était évaluée par EVA.
Ainsi, nous avons noté une amélioration statistiquement significative de l’IPSS dans les 3 types d’intervention allant de 13.3 à 7.8/35 pour les patients traités par ICP, de 20.8 à 14.5/35 pour RTUP, et de 19.4 à 14.2/35 pour AVH. De même pour la QDV ou nous avons relevé : pour l’ICP une valeur allant de 3.8 à 1.3 points/6, pour la RTUP 4.6 à 2 points/6, et pour l’AVH 4.4 à 2.2 points/6. Cependant, parlant d’efficacité, il n’existait pas de différence significative entre les traitements.
L’intensité des symptômes urinaires à travers l’EVA avait significativement diminué avec pour l’ICP une valeur allant de 6 à 4.3 points/10, pour la RTUP 6.7 à 4.7 points/10, et pour l’AVH 6.6 à 3.9 points/10.
A travers notre étude et après analyse statistique, il ressort que le score IPSS est un indicateur efficace de l’évolution des patients traités chirurgicalement pour HBP, montrant ainsi l’impact que peuvent avoir les différentes techniques employées.
Par ailleurs, pour une maitrise plus objective de la symptomatologie urinaire, son évaluation par EVA améliorerait la prise en charge de l’HBP.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M1552012 Président : ABBAR.M Directeur : AMEUR.A APPORT DE L’IPSS DANS LE TRAITEMENT DE L’HYPERTROPHIE BENIGNE DE LA PROSTATE PAR TECHNIQUE ENDOSCOPIQUE ET ADENOMECTOMIE PAR VOIE HAUTE. [thèse] / DJRE TAYIRI BLAISE ARNAUD, Auteur . - 2012.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : IPSS HYPERTROPHIE PROSTATE ENDOSCOPIQUE ADENOMECTOMIE. Résumé : Évaluer l’apport du score IPSS avant et après chirurgie de l’HBP et l’association avec l’échelle visuelle analogique EVA.
Notre étude était prospective, à propos de 96 patients ayant une HBP symptomatique. Tous avaient bénéficié soit d’une incision cervicoprostatique ICP, d’une résection transurétrale de la prostate RTUP ou d’une adénomectomie par voie haute AVH. Pour chacun des patients, un score IPSS (QDV comprise) était établi avant et 1mois après chirurgie. De la même façon, l’intensité des symptômes urinaires était évaluée par EVA.
Ainsi, nous avons noté une amélioration statistiquement significative de l’IPSS dans les 3 types d’intervention allant de 13.3 à 7.8/35 pour les patients traités par ICP, de 20.8 à 14.5/35 pour RTUP, et de 19.4 à 14.2/35 pour AVH. De même pour la QDV ou nous avons relevé : pour l’ICP une valeur allant de 3.8 à 1.3 points/6, pour la RTUP 4.6 à 2 points/6, et pour l’AVH 4.4 à 2.2 points/6. Cependant, parlant d’efficacité, il n’existait pas de différence significative entre les traitements.
L’intensité des symptômes urinaires à travers l’EVA avait significativement diminué avec pour l’ICP une valeur allant de 6 à 4.3 points/10, pour la RTUP 6.7 à 4.7 points/10, et pour l’AVH 6.6 à 3.9 points/10.
A travers notre étude et après analyse statistique, il ressort que le score IPSS est un indicateur efficace de l’évolution des patients traités chirurgicalement pour HBP, montrant ainsi l’impact que peuvent avoir les différentes techniques employées.
Par ailleurs, pour une maitrise plus objective de la symptomatologie urinaire, son évaluation par EVA améliorerait la prise en charge de l’HBP.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M1552012 Président : ABBAR.M Directeur : AMEUR.A Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M1552012 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2012 Disponible Le cancer localise de la prostate Chez les patients ages De moins de 60 ans. / AGOUZOUL Karima
Titre : Le cancer localise de la prostate Chez les patients ages De moins de 60 ans. Type de document : thèse Auteurs : AGOUZOUL Karima, Auteur Année de publication : 2015 Langues : Français (fre) Mots-clés : prostate cancer localisé homme jeune prostatectomie radicale rétro-pubienne. Résumé : Objectifs :
Analyser les particularités du cancer localisé de la prostate chez les patients âgés de moins de 60 ans.
Matériel et méthodes :
Nous avons réalisé une étude rétrospective basée sur l’étude des dossiers de 20 patients traités pour cancer localisé de la prostate par prostatectomie radicale et dont l’âge est inferieure à 60 ans à l’Hôpital Militaire d’Instruction Mohamed V de Rabat entre janvier 2004 et octobre 2014.
Les calculs de moyennes et de fréquences ont été réalisés grâce au logiciel Microsoft Office Excel.
Résultats :
L’âge moyen était de 55.5 ans. Le taux de PSA moyen était de 9.8 ng/ml. Les troubles mictionnels étaient la circonstance de diagnostic dans 70% contre 30% de l’élévation isolée de PSA. Le toucher rectal était considéré comme normal par l’urologue dans 80% des cas. Les Cap opérés étaient confinés à l’organe dans 100% des cas dont 30% étaient à un stade clinique de T2b, un adénocarcinome a été trouvé pour tous les patients avec un score de Gleason < 7 present chez 80 % des cas. Dans notre sériée tout les patients ont bénéficie d’une prostatectomie radical rétro-pubienne avec curage ganglionnaire avec conservation des deux bandelettes neuro-vasculaires dans 15 cas, unilatérale droite dans 3 cas, unilatérale gauche dans é cas.
Le dosage du PSA au cours du suivi postopératoire permet de juger des résultats carcinologiques à distance de l’intervention. Nous nous limitons au suivi jusq’à 12 mois A 12 mois 1 patient avait présenté une augmentation de la valeur de PSA.
Conclusion :
Le jeune âge ne semble pas influencer les résultats carcinologiques des différents traitements. En revanche, les hommes jeunes semblent avoir moins de risque de séquelles urinaires et sexuelles sévères, notamment après prostatectomie radicale.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M3002015 Président : EL KHADER.K Directeur : GHADOUANE.M Juge : JANANE.A Juge : AL BOUZIDI.A Juge : SIFAT.H Le cancer localise de la prostate Chez les patients ages De moins de 60 ans. [thèse] / AGOUZOUL Karima, Auteur . - 2015.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : prostate cancer localisé homme jeune prostatectomie radicale rétro-pubienne. Résumé : Objectifs :
Analyser les particularités du cancer localisé de la prostate chez les patients âgés de moins de 60 ans.
Matériel et méthodes :
Nous avons réalisé une étude rétrospective basée sur l’étude des dossiers de 20 patients traités pour cancer localisé de la prostate par prostatectomie radicale et dont l’âge est inferieure à 60 ans à l’Hôpital Militaire d’Instruction Mohamed V de Rabat entre janvier 2004 et octobre 2014.
Les calculs de moyennes et de fréquences ont été réalisés grâce au logiciel Microsoft Office Excel.
Résultats :
L’âge moyen était de 55.5 ans. Le taux de PSA moyen était de 9.8 ng/ml. Les troubles mictionnels étaient la circonstance de diagnostic dans 70% contre 30% de l’élévation isolée de PSA. Le toucher rectal était considéré comme normal par l’urologue dans 80% des cas. Les Cap opérés étaient confinés à l’organe dans 100% des cas dont 30% étaient à un stade clinique de T2b, un adénocarcinome a été trouvé pour tous les patients avec un score de Gleason < 7 present chez 80 % des cas. Dans notre sériée tout les patients ont bénéficie d’une prostatectomie radical rétro-pubienne avec curage ganglionnaire avec conservation des deux bandelettes neuro-vasculaires dans 15 cas, unilatérale droite dans 3 cas, unilatérale gauche dans é cas.
Le dosage du PSA au cours du suivi postopératoire permet de juger des résultats carcinologiques à distance de l’intervention. Nous nous limitons au suivi jusq’à 12 mois A 12 mois 1 patient avait présenté une augmentation de la valeur de PSA.
Conclusion :
Le jeune âge ne semble pas influencer les résultats carcinologiques des différents traitements. En revanche, les hommes jeunes semblent avoir moins de risque de séquelles urinaires et sexuelles sévères, notamment après prostatectomie radicale.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M3002015 Président : EL KHADER.K Directeur : GHADOUANE.M Juge : JANANE.A Juge : AL BOUZIDI.A Juge : SIFAT.H Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M3002015 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2015 Disponible M3002015-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2015 Disponible CANCER LOCALISE DE LA PROSTATE : PLACE DE LA PROSTATECTOMIE RADICALE RETROPUBIENNE (A PROPOS DE 87 CAS) / BALLA BOUZID
Titre : CANCER LOCALISE DE LA PROSTATE : PLACE DE LA PROSTATECTOMIE RADICALE RETROPUBIENNE (A PROPOS DE 87 CAS) Type de document : thèse Auteurs : BALLA BOUZID, Auteur Année de publication : 2009 Langues : Français (fre) Mots-clés : Cancer localisé prostate prostatectomie radicale retropubienne. Index. décimale : WA SANTE PUBLIQUE - PROFESSION MEDICALE Résumé : Nous relatons une étude rétrospective de 87 cas de cancer de la prostate localisé ayant bénéficié d’une prostatectomie radicale retropubienne, colligés au service de l’urologie a l’hôpital militaire d’instruction Mohammed V durant une période de neuf ans, allant de janvier 2000 a décembre 2008.
L’âge moyen de nos patients est de 67 ans (47-76), avec 73% des cas diagnostiqués entre 50 et 70 ans et un seul cas âgé de moins de 50 ans.
Le cancer de la prostate était symptomatique dans la majorité des cas (82%). Le toucher rectal était considéré comme anormal dans 11%. Le taux de PSA médian était de 9,9 ng/ml. Le nombre de carottes positives par patient était < 3 dans 70% des cas et ≥ 3 pour le reste (30%). Le Score de Gleason biopsique était ≤ 6 dans 76% des cas, égal à 7 dans 18% des cas et ≥ 8 dans 6%. Un engainement péri-nerveux était retrouvé dans 68% des cas.
Après prostatectomie radicale, la concordance entre les données cliniques et ceux de l’étude anatomopathologique de la pièce opératoire était identique dans, respectivement, 30% des cas pour les stades cT-pT et 43% des cas pour les scores de Gleason, une migration du stade et/ou du Grade de Gleason à un niveau plus élevé était observée respectivement dans 51% et 39% des cas .Une migration à la baisse du stade ou du grade de Gleason était observée dans respectivement 20% des cas et18% des cas. Le taux de marges chirurgicales positives était de 40%, dont 34% étaient focales et très limitées (R1), et 6% étendues (R2). Le besoin d’un traitement adjuvant était de 16%.
Le taux de mortalité et de morbidité était acceptable, avec un cas décèdé, un taux de transfusions de 8%, une sténose de l’anastomose uretro-vésicale dans 18%.
Les résultats fonctionnels relevés dans notre série étaient encourageants, avec une incontinence urinaire dans 23%, et une dysfonction érectile dans 43%.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M2122009 Président : MOHAMED ABBAR Directeur : MOHAMED GHADOUANE Juge : AHMED ANDALOUSSI IBN ATTYA Juge : AHMED AMEUR CANCER LOCALISE DE LA PROSTATE : PLACE DE LA PROSTATECTOMIE RADICALE RETROPUBIENNE (A PROPOS DE 87 CAS) [thèse] / BALLA BOUZID, Auteur . - 2009.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Cancer localisé prostate prostatectomie radicale retropubienne. Index. décimale : WA SANTE PUBLIQUE - PROFESSION MEDICALE Résumé : Nous relatons une étude rétrospective de 87 cas de cancer de la prostate localisé ayant bénéficié d’une prostatectomie radicale retropubienne, colligés au service de l’urologie a l’hôpital militaire d’instruction Mohammed V durant une période de neuf ans, allant de janvier 2000 a décembre 2008.
L’âge moyen de nos patients est de 67 ans (47-76), avec 73% des cas diagnostiqués entre 50 et 70 ans et un seul cas âgé de moins de 50 ans.
Le cancer de la prostate était symptomatique dans la majorité des cas (82%). Le toucher rectal était considéré comme anormal dans 11%. Le taux de PSA médian était de 9,9 ng/ml. Le nombre de carottes positives par patient était < 3 dans 70% des cas et ≥ 3 pour le reste (30%). Le Score de Gleason biopsique était ≤ 6 dans 76% des cas, égal à 7 dans 18% des cas et ≥ 8 dans 6%. Un engainement péri-nerveux était retrouvé dans 68% des cas.
Après prostatectomie radicale, la concordance entre les données cliniques et ceux de l’étude anatomopathologique de la pièce opératoire était identique dans, respectivement, 30% des cas pour les stades cT-pT et 43% des cas pour les scores de Gleason, une migration du stade et/ou du Grade de Gleason à un niveau plus élevé était observée respectivement dans 51% et 39% des cas .Une migration à la baisse du stade ou du grade de Gleason était observée dans respectivement 20% des cas et18% des cas. Le taux de marges chirurgicales positives était de 40%, dont 34% étaient focales et très limitées (R1), et 6% étendues (R2). Le besoin d’un traitement adjuvant était de 16%.
Le taux de mortalité et de morbidité était acceptable, avec un cas décèdé, un taux de transfusions de 8%, une sténose de l’anastomose uretro-vésicale dans 18%.
Les résultats fonctionnels relevés dans notre série étaient encourageants, avec une incontinence urinaire dans 23%, et une dysfonction érectile dans 43%.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M2122009 Président : MOHAMED ABBAR Directeur : MOHAMED GHADOUANE Juge : AHMED ANDALOUSSI IBN ATTYA Juge : AHMED AMEUR Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M2122009 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2009 Disponible CANCER DE LA PROSTATE AVEC PSA < 5NG/ML A PROPOS DE 7 CAS / YEMLAHI CHAKIB
Titre : CANCER DE LA PROSTATE AVEC PSA < 5NG/ML A PROPOS DE 7 CAS Type de document : thèse Auteurs : YEMLAHI CHAKIB, Auteur Année de publication : 2006 Langues : Français (fre) Mots-clés : CANCER PROSTATE PSA TRAITEMENT Numéro (Thèse ou Mémoire) : M3962006 Président : ABBAR MOHAMED Directeur : AMEUR AHMED CANCER DE LA PROSTATE AVEC PSA < 5NG/ML A PROPOS DE 7 CAS [thèse] / YEMLAHI CHAKIB, Auteur . - 2006.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : CANCER PROSTATE PSA TRAITEMENT Numéro (Thèse ou Mémoire) : M3962006 Président : ABBAR MOHAMED Directeur : AMEUR AHMED Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M3962006 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2006 Disponible
Titre : La chirurgie coronaire chez l’obèse. Type de document : thèse Auteurs : Charaf BOUABBADI, Auteur Année de publication : 2015 Langues : Français (fre) Mots-clés : prostate cancer localisé homme jeune prostatectomie radicale rétro-pubienne. Résumé : Objectifs :
Analyser les particularités du cancer localisé de la prostate chez les patients âgés de moins de 60 ans.
Matériel et méthodes :
Nous avons réalisé une étude rétrospective basée sur l’étude des dossiers de 20 patients traités pour cancer localisé de la prostate par prostatectomie radicale et dont l’âge est inferieure à 60 ans à l’Hôpital Militaire d’Instruction Mohamed V de Rabat entre janvier 2004 et octobre 2014.
Les calculs de moyennes et de fréquences ont été réalisés grâce au logiciel Microsoft Office Excel.
Résultats :
L’âge moyen était de 55.5 ans. Le taux de PSA moyen était de 9.8 ng/ml. Les troubles mictionnels étaient la circonstance de diagnostic dans 70% contre 30% de l’élévation isolée de PSA. Le toucher rectal était considéré comme normal par l’urologue dans 80% des cas. Les Cap opérés étaient confinés à l’organe dans 100% des cas dont 30% étaient à un stade clinique de T2b, un adénocarcinome a été trouvé pour tous les patients avec un score de Gleason < 7 present chez 80 % des cas. Dans notre sériée tout les patients ont bénéficie d’une prostatectomie radical rétro-pubienne avec curage ganglionnaire avec conservation des deux bandelettes neuro-vasculaires dans 15 cas, unilatérale droite dans 3 cas, unilatérale gauche dans é cas.
Le dosage du PSA au cours du suivi postopératoire permet de juger des résultats carcinologiques à distance de l’intervention. Nous nous limitons au suivi jusq’à 12 mois A 12 mois 1 patient avait présenté une augmentation de la valeur de PSA.
Conclusion :
Le jeune âge ne semble pas influencer les résultats carcinologiques des différents traitements. En revanche, les hommes jeunes semblent avoir moins de risque de séquelles urinaires et sexuelles sévères, notamment après prostatectomie radicale.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M3072015 Président : BOULAHYA.A Directeur : AIT HOUSSA Juge : LAAROUSSI.M Juge : SABRY.M La chirurgie coronaire chez l’obèse. [thèse] / Charaf BOUABBADI, Auteur . - 2015.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : prostate cancer localisé homme jeune prostatectomie radicale rétro-pubienne. Résumé : Objectifs :
Analyser les particularités du cancer localisé de la prostate chez les patients âgés de moins de 60 ans.
Matériel et méthodes :
Nous avons réalisé une étude rétrospective basée sur l’étude des dossiers de 20 patients traités pour cancer localisé de la prostate par prostatectomie radicale et dont l’âge est inferieure à 60 ans à l’Hôpital Militaire d’Instruction Mohamed V de Rabat entre janvier 2004 et octobre 2014.
Les calculs de moyennes et de fréquences ont été réalisés grâce au logiciel Microsoft Office Excel.
Résultats :
L’âge moyen était de 55.5 ans. Le taux de PSA moyen était de 9.8 ng/ml. Les troubles mictionnels étaient la circonstance de diagnostic dans 70% contre 30% de l’élévation isolée de PSA. Le toucher rectal était considéré comme normal par l’urologue dans 80% des cas. Les Cap opérés étaient confinés à l’organe dans 100% des cas dont 30% étaient à un stade clinique de T2b, un adénocarcinome a été trouvé pour tous les patients avec un score de Gleason < 7 present chez 80 % des cas. Dans notre sériée tout les patients ont bénéficie d’une prostatectomie radical rétro-pubienne avec curage ganglionnaire avec conservation des deux bandelettes neuro-vasculaires dans 15 cas, unilatérale droite dans 3 cas, unilatérale gauche dans é cas.
Le dosage du PSA au cours du suivi postopératoire permet de juger des résultats carcinologiques à distance de l’intervention. Nous nous limitons au suivi jusq’à 12 mois A 12 mois 1 patient avait présenté une augmentation de la valeur de PSA.
Conclusion :
Le jeune âge ne semble pas influencer les résultats carcinologiques des différents traitements. En revanche, les hommes jeunes semblent avoir moins de risque de séquelles urinaires et sexuelles sévères, notamment après prostatectomie radicale.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M3072015 Président : BOULAHYA.A Directeur : AIT HOUSSA Juge : LAAROUSSI.M Juge : SABRY.M Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M3072015 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2015 Disponible M3072015-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2015 Disponible Documents numériques
M3072015URL Les complications infectieuses secondaires à la biopsie de la prostate. / Hajar JAMII
Titre : Les complications infectieuses secondaires à la biopsie de la prostate. Type de document : thèse Auteurs : Hajar JAMII, Auteur Année de publication : 2018 Langues : Français (fre) Mots-clés : Cancer Biopsie prostate Antibioprophylaxie Complications Résumé : La biopsie de la prostate (BP) est un geste qui fait partie intégrante de la pratique quotidienne de l’urologue. Elle réalisée dans le but de diagnostiquer le cancer de la prostate. Cet acte médical consiste en une série de prélèvements multiples selon un protocole réalisant une véritable cartographie de la prostate. Bien qu’il s’agisse d’une procédure sûre et rapide, elle n’est pas dépourvue des complications potentiellement graves, notamment infectieuses. Elle peut aller d'une bactériurie asymptomatique ou d'une infection des voies urinaires à une prostatite, une bactériémie et une septicémie sévère. Ceux-ci justifient une prophylaxie dans l’intérêt est de minimiser les risques d’ordre infectieux. Cependant, ces dernières années, une augmentation remarquable de l’incidence des complications infectieuses secondaires à la BP a été documentée par des études rétrospectives menées au Canada, aux Etats unies et en Europe. Il convient toutefois de noter que des études récentes suggèrent une association émergente entre la biopsie prostatique et l’infection subséquente. Les bactéries les plus fréquemment impliquées dans les infections urinaires post-biopsique sont des bactéries à Gram négatif (E. coli, K. pneumoniae, A baumannii, E.cloacae et P. mirabilis) bien que des bactéries à Gram positif (E. faecalis, S.saprophyticus, C. perfringens) puissent également être responsables. Les bactéries anaérobies sont rarement retrouvées. Ces agents pathogènes constituent un défi aux cliniciens qui tentent de déterminer les schémas empiriques (thérapeutiques et prophylactiques) les plus appropriés. En raison des prévalences de l’infection par des bactéries multirésistantes dont la fréquence mondiale est élevée, la réalisation de la biopsie doit respecter les recommandations en rapport avec les indications et les techniques, tout en prenant en considération les consignes d’hygiène. Ces derniers ainsi qu’une antibiothérapie ciblée doivent être envisagé afin de diminuer le risque de complications. Numéro (Thèse ou Mémoire) : P0032018 Président : SEKHSOKH.Y Directeur : EL HAMZAOUI.S Juge : TELLAL.S Juge : CHADLI.M Les complications infectieuses secondaires à la biopsie de la prostate. [thèse] / Hajar JAMII, Auteur . - 2018.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Cancer Biopsie prostate Antibioprophylaxie Complications Résumé : La biopsie de la prostate (BP) est un geste qui fait partie intégrante de la pratique quotidienne de l’urologue. Elle réalisée dans le but de diagnostiquer le cancer de la prostate. Cet acte médical consiste en une série de prélèvements multiples selon un protocole réalisant une véritable cartographie de la prostate. Bien qu’il s’agisse d’une procédure sûre et rapide, elle n’est pas dépourvue des complications potentiellement graves, notamment infectieuses. Elle peut aller d'une bactériurie asymptomatique ou d'une infection des voies urinaires à une prostatite, une bactériémie et une septicémie sévère. Ceux-ci justifient une prophylaxie dans l’intérêt est de minimiser les risques d’ordre infectieux. Cependant, ces dernières années, une augmentation remarquable de l’incidence des complications infectieuses secondaires à la BP a été documentée par des études rétrospectives menées au Canada, aux Etats unies et en Europe. Il convient toutefois de noter que des études récentes suggèrent une association émergente entre la biopsie prostatique et l’infection subséquente. Les bactéries les plus fréquemment impliquées dans les infections urinaires post-biopsique sont des bactéries à Gram négatif (E. coli, K. pneumoniae, A baumannii, E.cloacae et P. mirabilis) bien que des bactéries à Gram positif (E. faecalis, S.saprophyticus, C. perfringens) puissent également être responsables. Les bactéries anaérobies sont rarement retrouvées. Ces agents pathogènes constituent un défi aux cliniciens qui tentent de déterminer les schémas empiriques (thérapeutiques et prophylactiques) les plus appropriés. En raison des prévalences de l’infection par des bactéries multirésistantes dont la fréquence mondiale est élevée, la réalisation de la biopsie doit respecter les recommandations en rapport avec les indications et les techniques, tout en prenant en considération les consignes d’hygiène. Ces derniers ainsi qu’une antibiothérapie ciblée doivent être envisagé afin de diminuer le risque de complications. Numéro (Thèse ou Mémoire) : P0032018 Président : SEKHSOKH.Y Directeur : EL HAMZAOUI.S Juge : TELLAL.S Juge : CHADLI.M Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité P0032018 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesPharm2018 Disponible P0032018-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesPharm2018 Disponible Le drainage pelvien après adénomectomie prostatique reste il indispensable ? / MANSAR Salah-Eddine
Titre : Le drainage pelvien après adénomectomie prostatique reste il indispensable ? Type de document : thèse Auteurs : MANSAR Salah-Eddine, Auteur Année de publication : 2018 Langues : Français (fre) Mots-clés : Prostate Hyperplasie Adénomectomie Drainage Complication Résumé : Objectif: La chirurgie ouverte garde encore sa place dans la prise en charge de l’hyperplasie bénigne de la prostate (HBP).
Nous rapportons notre expérience préliminaire d’adénomectomie par voie haute sans drainage sous péritonéal.
Patients et méthodes: Nous avons évalué de façon prospective 100 adénomectomies consécutives pour(HBP), effectuées par voie haute entre 2016 et 2017. L’énucléation de l’adénome était faite par voie transvésicale. Chez les 50 premiers patients (groupe 1), un drain de Redon aspiratif a été placé en sous péritonéal. Chez les 50 suivants (groupe 2), après une épreuve d’étanchéité, aucun drain n’a été mis en place.
Résultats: Les deux groupes avaient un âge moyen et un volume prostatique comparables. Le séjour hospitalier était supérieur d’un jour dans le premier groupe. Le taux global de complications postopératoires était identique dans les deux groupes (10%).
Conclusion: L’absence de drainage sous péritonéal après adénomectomie de la prostate ne s’accompagne pas de plus de complications que dans la technique classique avec drainage. Un gain en jours d’hospitalisation peut au contraire s’en suivre.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M0322018 Président : TAJDINE.M.T Directeur : GHNOUNDALE.O Juge : BOUNAIM.A Juge : JANANE.A Juge : EL SAYEGH.H Le drainage pelvien après adénomectomie prostatique reste il indispensable ? [thèse] / MANSAR Salah-Eddine, Auteur . - 2018.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Prostate Hyperplasie Adénomectomie Drainage Complication Résumé : Objectif: La chirurgie ouverte garde encore sa place dans la prise en charge de l’hyperplasie bénigne de la prostate (HBP).
Nous rapportons notre expérience préliminaire d’adénomectomie par voie haute sans drainage sous péritonéal.
Patients et méthodes: Nous avons évalué de façon prospective 100 adénomectomies consécutives pour(HBP), effectuées par voie haute entre 2016 et 2017. L’énucléation de l’adénome était faite par voie transvésicale. Chez les 50 premiers patients (groupe 1), un drain de Redon aspiratif a été placé en sous péritonéal. Chez les 50 suivants (groupe 2), après une épreuve d’étanchéité, aucun drain n’a été mis en place.
Résultats: Les deux groupes avaient un âge moyen et un volume prostatique comparables. Le séjour hospitalier était supérieur d’un jour dans le premier groupe. Le taux global de complications postopératoires était identique dans les deux groupes (10%).
Conclusion: L’absence de drainage sous péritonéal après adénomectomie de la prostate ne s’accompagne pas de plus de complications que dans la technique classique avec drainage. Un gain en jours d’hospitalisation peut au contraire s’en suivre.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M0322018 Président : TAJDINE.M.T Directeur : GHNOUNDALE.O Juge : BOUNAIM.A Juge : JANANE.A Juge : EL SAYEGH.H Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M0322018 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2018 Disponible M0322018-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2018 Disponible IMMUNOTHERAPIE EN UROLOGIE / RHAYOUR ANASS
Titre : IMMUNOTHERAPIE EN UROLOGIE Type de document : thèse Auteurs : RHAYOUR ANASS, Auteur Année de publication : 2023 Langues : Français (fre) Mots-clés : Immunothérapie Cancer Rein Vessie Prostate Immunotherapy Cancer Kidney Bladder Prostate العلاج المناعي سرطان المسالك البولیة كلیة مثانة البروستات Résumé : Introduction: L'immunothérapie contre le cancer est une approche novatrice dans le
traitement du cancer qui vise à stimuler le système immunitaire du patient pour combattre la
tumeur. Cette approche a commencé à être explorée au début du XXème siècle, mais ce n'est
qu'au début des années 2010 qu'elle a commencé à montrer des résultats prometteurs en
clinique.
Le but de notre étude est de montrer la place de l’immunothérapie dans la prise en
charge des différents cancers urologiques (description et indications).
Matériels et méthodes: Une recherche a été menée, en 2022, sur la base de données
Pubmed, Embase et la librairie Cochrane. L’utilisation de filtres a permis de limiter la
recherche aux études cliniques rédigées en langue anglaise et française.
Résultats : l’efficacité et la place de l’immunothérapie dans la prise en charge des
cancers urologiques notamment les cancers du rein (amélioration de la survie global allant
jusqu’à 45mois selon les études CheckMate 214, CLEAR, JAVELIN-renal 101 et Keynote426), vessie (amélioration de la survie sans récidive pour le TVNIM et avec une survie allant
de 8 mois jusqu’à 12 mois pour les TVIM métastatiques selon les études KEYNOTE-012, 45
et 52) et les voies excrétrices supérieures (avec une survie global allant de 10 mois jusqu’à 20
mois selon l’étude KEYNOTE-45 et IMVigor-211) concernant les autres cancers des études
sont en cours d’essais.
Discussion et conclusion : l'immunothérapie a transformé le traitement des cancers
urologiques et offre une nouvelle voie prometteuse pour les patients à un stade avancé de la
maladie. Cependant, l'utilisation de l'immunothérapie doit être soigneusement équilibrée avec
les risques d'effets indésirables liés à l'immunité, et des recherches supplémentaires sont
nécessaires pour optimiser la sélection des patients et la gestion de ces effets.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M1852022 Président : Ahmed IBEN ATTYA ANDALOUSSI Directeur : Abdellatif KOUTANI Juge : Khalid EL KHADER Juge : Ibrahim EL GHISSASSI Juge : Amine SALOU IMMUNOTHERAPIE EN UROLOGIE [thèse] / RHAYOUR ANASS, Auteur . - 2023.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Immunothérapie Cancer Rein Vessie Prostate Immunotherapy Cancer Kidney Bladder Prostate العلاج المناعي سرطان المسالك البولیة كلیة مثانة البروستات Résumé : Introduction: L'immunothérapie contre le cancer est une approche novatrice dans le
traitement du cancer qui vise à stimuler le système immunitaire du patient pour combattre la
tumeur. Cette approche a commencé à être explorée au début du XXème siècle, mais ce n'est
qu'au début des années 2010 qu'elle a commencé à montrer des résultats prometteurs en
clinique.
Le but de notre étude est de montrer la place de l’immunothérapie dans la prise en
charge des différents cancers urologiques (description et indications).
Matériels et méthodes: Une recherche a été menée, en 2022, sur la base de données
Pubmed, Embase et la librairie Cochrane. L’utilisation de filtres a permis de limiter la
recherche aux études cliniques rédigées en langue anglaise et française.
Résultats : l’efficacité et la place de l’immunothérapie dans la prise en charge des
cancers urologiques notamment les cancers du rein (amélioration de la survie global allant
jusqu’à 45mois selon les études CheckMate 214, CLEAR, JAVELIN-renal 101 et Keynote426), vessie (amélioration de la survie sans récidive pour le TVNIM et avec une survie allant
de 8 mois jusqu’à 12 mois pour les TVIM métastatiques selon les études KEYNOTE-012, 45
et 52) et les voies excrétrices supérieures (avec une survie global allant de 10 mois jusqu’à 20
mois selon l’étude KEYNOTE-45 et IMVigor-211) concernant les autres cancers des études
sont en cours d’essais.
Discussion et conclusion : l'immunothérapie a transformé le traitement des cancers
urologiques et offre une nouvelle voie prometteuse pour les patients à un stade avancé de la
maladie. Cependant, l'utilisation de l'immunothérapie doit être soigneusement équilibrée avec
les risques d'effets indésirables liés à l'immunité, et des recherches supplémentaires sont
nécessaires pour optimiser la sélection des patients et la gestion de ces effets.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M1852022 Président : Ahmed IBEN ATTYA ANDALOUSSI Directeur : Abdellatif KOUTANI Juge : Khalid EL KHADER Juge : Ibrahim EL GHISSASSI Juge : Amine SALOU Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M1852023 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2023 Disponible Infections et colonisations urinaires masculines en urologie / RHARRIT Sara
Titre : Infections et colonisations urinaires masculines en urologie Type de document : thèse Auteurs : RHARRIT Sara, Auteur Année de publication : 2016 Langues : Français (fre) Mots-clés : Infection urinaire masculine colonisation urinaire masculine bactériurie prostate urologie. Résumé : Introduction : Les IU masculines ont longtemps été intégrées au seul cadre nosologique des prostatites aigues. Des données récentes de la littérature permettent désormais de considérer avec plus de précision la diversité des IU masculines et leurs spécificités. L’objectif de cette étude est d’évaluer d’urologie, tout en faisant la part entre infection et colonisation urinaire, ainsi que la fréquence des différentes bactéries uropathogènes isolées chez l’homme.
Matériels et méthodes : Il s’agit d’une étude prospective réalisée entre le laboratoire de bactériologie et le service d’urologie de l’HMIMV. Cette étude s’étend sur une période de six mois du 1er Novembre 2014 au 31 Avril 2015. L’étude s’est intéressée aux patients de sexe masculin hospitalisés dans le service d’urologie, qui ont présenté une IU ou une colonisation urinaire.
Résultats : Nous avons rapporté 53 cas de colonisations urinaires (62 %) et 32 cas d’infection urinaire (38 %). L’incidence des bactériuries masculines était de l’ordre de. . L’âge moyen était de plus de 65 ans. Les germes urinaires étaient dominés essentiellement par les entérobactéries dans 67 %. Escherichia Coli vient en tête à 34 %, suivie de Klebsiella pneumoniae à 17 %. L’entérocoque était présent chez 12 % des hommes infectés et vient en troisième position. La résistance des entérobactéries touche de nombreuses familles d’antibiotiques, d’où la sélection des souches productrice de β-lactamase à spectre élargi (48 %).
Conclusion : L’urologie étant régulièrement confrontée aux bactéries multi-résistantes, la prise de mesures de prévention par le personnel soignant est essentielle, diminuant ainsi la morbidité et le coût. Une bonne connaissance de l’écologie bactérienne au sein d’un service permet de mener une antibiothérapie efficace et diminue l’émergence de bactéries multi-résistantes.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : P0502016 Président : ZOUHDI.M Directeur : CHADLI.M Juge : AMEUR.A Juge : TELLAL.S Juge : SEKHSOKH.Y Infections et colonisations urinaires masculines en urologie [thèse] / RHARRIT Sara, Auteur . - 2016.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Infection urinaire masculine colonisation urinaire masculine bactériurie prostate urologie. Résumé : Introduction : Les IU masculines ont longtemps été intégrées au seul cadre nosologique des prostatites aigues. Des données récentes de la littérature permettent désormais de considérer avec plus de précision la diversité des IU masculines et leurs spécificités. L’objectif de cette étude est d’évaluer d’urologie, tout en faisant la part entre infection et colonisation urinaire, ainsi que la fréquence des différentes bactéries uropathogènes isolées chez l’homme.
Matériels et méthodes : Il s’agit d’une étude prospective réalisée entre le laboratoire de bactériologie et le service d’urologie de l’HMIMV. Cette étude s’étend sur une période de six mois du 1er Novembre 2014 au 31 Avril 2015. L’étude s’est intéressée aux patients de sexe masculin hospitalisés dans le service d’urologie, qui ont présenté une IU ou une colonisation urinaire.
Résultats : Nous avons rapporté 53 cas de colonisations urinaires (62 %) et 32 cas d’infection urinaire (38 %). L’incidence des bactériuries masculines était de l’ordre de. . L’âge moyen était de plus de 65 ans. Les germes urinaires étaient dominés essentiellement par les entérobactéries dans 67 %. Escherichia Coli vient en tête à 34 %, suivie de Klebsiella pneumoniae à 17 %. L’entérocoque était présent chez 12 % des hommes infectés et vient en troisième position. La résistance des entérobactéries touche de nombreuses familles d’antibiotiques, d’où la sélection des souches productrice de β-lactamase à spectre élargi (48 %).
Conclusion : L’urologie étant régulièrement confrontée aux bactéries multi-résistantes, la prise de mesures de prévention par le personnel soignant est essentielle, diminuant ainsi la morbidité et le coût. Une bonne connaissance de l’écologie bactérienne au sein d’un service permet de mener une antibiothérapie efficace et diminue l’émergence de bactéries multi-résistantes.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : P0502016 Président : ZOUHDI.M Directeur : CHADLI.M Juge : AMEUR.A Juge : TELLAL.S Juge : SEKHSOKH.Y Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité P0502016 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesPharm2016 Disponible P0502016-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesPharm2016 Disponible INTERET DE L’ANTIBIOPROPHYLAXIE CIBLEE DANS LA PREVENTION DES PROSTATITES POST BIOPSIE PROSTATIQUE / DRIOUACH Ikram
Titre : INTERET DE L’ANTIBIOPROPHYLAXIE CIBLEE DANS LA PREVENTION DES PROSTATITES POST BIOPSIE PROSTATIQUE Type de document : thèse Auteurs : DRIOUACH Ikram, Auteur Année de publication : 2019 Langues : Français (fre) Mots-clés : Antibioprophylaxie Biopsie Prostate Prostatite Résumé : Objectifs : Présenter les résultats d’une étude prospective randomisée, comparant l’efficacité d’une antibioprophylaxie ciblée dirigée par écouvillonnage rectal et coproculture et celle d’une antibioprophylaxie classique à base de 500mg de fluoroquinolones, dans la prévention des infections après la biopsie de la prostate.
Matériels et méthodes : A partir d’Avril 2017 nous avons commencé un essai clinique prospectif et randomisé en double aveugle. Les patients candidats à une biopsie de la prostate dans le service d’urologie de l’hôpital militaire Mohamed V de Rabat étaient randomisés en deux groupes recevant soit une antibioprophylaxie courte en dose unique de 500 mg de ciprofloxacine débutée 1 heure avant le geste (G1), soit un antibiotique ciblant les germes retrouvés dans l’examen de coproculture (G2). L’évaluation avant la biopsie était faite par le remplissage d’un dossier médical type, comprenant les caractéristiques du patient. Un ECBU et une coproculture par écouvillonnage rectal sont réalisés à la recherche de germes résistants aux fluoroquinolones. L’antibiotique utilisé chez le G2 dépendait du profil de résistance des germes rectaux. Le critère principal de jugement dans notre étude était la survenue d’une prostatite aigue.
Résultats : L’ensemble des caractéristiques cliniques et biologiques des patients étaient similaires dans les deux groupes. Il n’y avait pas de différence statistiquement significative entre les deux groupes en ce qui concerne le taux de prostatite après la biopsie (G1:Trois patients soit 5%, G2: aucun patient soit 0%).
Conclusion : Notre étude prospective n’a pas montré de différence statistiquement significative entre une antibioprophylaxie ciblée et celle classique encadrant les biopsies prostatiques. Mais il faut noter que le nombre de patients inclus dans notre étude reste faible.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M1992019 Président : NOUINI.Y Directeur : ALAMI.M Juge : AMEUR.A Juge : EL KABBAJ.D INTERET DE L’ANTIBIOPROPHYLAXIE CIBLEE DANS LA PREVENTION DES PROSTATITES POST BIOPSIE PROSTATIQUE [thèse] / DRIOUACH Ikram, Auteur . - 2019.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Antibioprophylaxie Biopsie Prostate Prostatite Résumé : Objectifs : Présenter les résultats d’une étude prospective randomisée, comparant l’efficacité d’une antibioprophylaxie ciblée dirigée par écouvillonnage rectal et coproculture et celle d’une antibioprophylaxie classique à base de 500mg de fluoroquinolones, dans la prévention des infections après la biopsie de la prostate.
Matériels et méthodes : A partir d’Avril 2017 nous avons commencé un essai clinique prospectif et randomisé en double aveugle. Les patients candidats à une biopsie de la prostate dans le service d’urologie de l’hôpital militaire Mohamed V de Rabat étaient randomisés en deux groupes recevant soit une antibioprophylaxie courte en dose unique de 500 mg de ciprofloxacine débutée 1 heure avant le geste (G1), soit un antibiotique ciblant les germes retrouvés dans l’examen de coproculture (G2). L’évaluation avant la biopsie était faite par le remplissage d’un dossier médical type, comprenant les caractéristiques du patient. Un ECBU et une coproculture par écouvillonnage rectal sont réalisés à la recherche de germes résistants aux fluoroquinolones. L’antibiotique utilisé chez le G2 dépendait du profil de résistance des germes rectaux. Le critère principal de jugement dans notre étude était la survenue d’une prostatite aigue.
Résultats : L’ensemble des caractéristiques cliniques et biologiques des patients étaient similaires dans les deux groupes. Il n’y avait pas de différence statistiquement significative entre les deux groupes en ce qui concerne le taux de prostatite après la biopsie (G1:Trois patients soit 5%, G2: aucun patient soit 0%).
Conclusion : Notre étude prospective n’a pas montré de différence statistiquement significative entre une antibioprophylaxie ciblée et celle classique encadrant les biopsies prostatiques. Mais il faut noter que le nombre de patients inclus dans notre étude reste faible.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M1992019 Président : NOUINI.Y Directeur : ALAMI.M Juge : AMEUR.A Juge : EL KABBAJ.D Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M1992019 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2019 Disponible M1992019-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2019 Disponible Documents numériques
M1992019URL LA MALADIE OLIGOMÉTASTATIQUE DANS LE CANCER DE LA PROSTATE / Mariam AFAHLI
Titre : LA MALADIE OLIGOMÉTASTATIQUE DANS LE CANCER DE LA PROSTATE Type de document : thèse Auteurs : Mariam AFAHLI, Auteur Année de publication : 2023 Langues : Français (fre) Mots-clés : maladie oligométastatique cancer prostate stéréotaxie métastase biomarqueurs Oligometastatic disease cancer prostate stereotaxy,biomarkers مرض قليل النقائل سرطان بروستاتا تجسيمي، نقيلة واصمات Øيوية Résumé : Hellman & Weichselbaum sont les premiers à avoir défini un stade « oligométastatique », intermédiaire entre un stade localisé et une maladie diffuse avec un nombre limité de sites atteints. Le cancer de la prostate métastatique a longtemps été pris en charge par des traitements systémiques, les traitements locaux n’étaient considérés que dans un but purement palliatif. Plusieurs études cependant ont permis d’objectiver un bénéfice d’un traitement local de la tumeur primitive et éventuellement d’un traitement local dirigé sur la métastase, particulièrement les oligométastases. Le cancer oligométastatique correspond à un état intermédiaire de cancer, entre la tumeur localisée et la néoplasie polymétastatique, avec des différences probables dans le contexte génétique et moléculaire, son phénotype est caractérisé par un nombre restreint de localisations secondaires et une croissance tumorale lente. Ce stade devient de plus en plus fréquent du fait du progrès de l’imagerie notamment l’utilisation des nouveaux traceurs marqués (choline ou PSMA) par la tomographie par émission de positrons (TEP). Cet état transitoire conduit dans un délai variable à une dissémination systémique. Il existe cependant une fenêtre thérapeutique durant laquelle le patient pourrait bénéficier d’un traitement local ablatif. En fonction des thérapeutiques adoptées, une espérance de vie prolongée voire même une guérison peut parfois survenir. Numéro (Thèse ou Mémoire) : P0152023 Président : Abderrahim DOUDOUH Directeur : Mohammed EL MARJANY Juge : Khalid ANDALOUSSI SAGHIR Juge : Hachem ELSAYEGH Juge : Meryem EDDERAI ; Mohamed Reda KHMAMOUCHE LA MALADIE OLIGOMÉTASTATIQUE DANS LE CANCER DE LA PROSTATE [thèse] / Mariam AFAHLI, Auteur . - 2023.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : maladie oligométastatique cancer prostate stéréotaxie métastase biomarqueurs Oligometastatic disease cancer prostate stereotaxy,biomarkers مرض قليل النقائل سرطان بروستاتا تجسيمي، نقيلة واصمات Øيوية Résumé : Hellman & Weichselbaum sont les premiers à avoir défini un stade « oligométastatique », intermédiaire entre un stade localisé et une maladie diffuse avec un nombre limité de sites atteints. Le cancer de la prostate métastatique a longtemps été pris en charge par des traitements systémiques, les traitements locaux n’étaient considérés que dans un but purement palliatif. Plusieurs études cependant ont permis d’objectiver un bénéfice d’un traitement local de la tumeur primitive et éventuellement d’un traitement local dirigé sur la métastase, particulièrement les oligométastases. Le cancer oligométastatique correspond à un état intermédiaire de cancer, entre la tumeur localisée et la néoplasie polymétastatique, avec des différences probables dans le contexte génétique et moléculaire, son phénotype est caractérisé par un nombre restreint de localisations secondaires et une croissance tumorale lente. Ce stade devient de plus en plus fréquent du fait du progrès de l’imagerie notamment l’utilisation des nouveaux traceurs marqués (choline ou PSMA) par la tomographie par émission de positrons (TEP). Cet état transitoire conduit dans un délai variable à une dissémination systémique. Il existe cependant une fenêtre thérapeutique durant laquelle le patient pourrait bénéficier d’un traitement local ablatif. En fonction des thérapeutiques adoptées, une espérance de vie prolongée voire même une guérison peut parfois survenir. Numéro (Thèse ou Mémoire) : P0152023 Président : Abderrahim DOUDOUH Directeur : Mohammed EL MARJANY Juge : Khalid ANDALOUSSI SAGHIR Juge : Hachem ELSAYEGH Juge : Meryem EDDERAI ; Mohamed Reda KHMAMOUCHE Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité P0152023 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesPharm2023 Disponible les modifications histologiques dans les cancers de la prostate hormo-resistants / GUERROUANI ALAE
Titre : les modifications histologiques dans les cancers de la prostate hormo-resistants Type de document : thèse Auteurs : GUERROUANI ALAE, Auteur Année de publication : 2008 Langues : Français (fre) Mots-clés : prostate cancer hormone resistance differenciation neuroendocrine Index. décimale : WA SANTE PUBLIQUE - PROFESSION MEDICALE Résumé : Introduction : L’hormonothérapie constitue, depuis de nombreuses années, un élément majeur du traitement palliatif du cancer de la prostate. Ce dernier y est sensible au début, mais quelques mois plus tard, apparaît une hormono-résistance. De nombreux mécanismes en sont responsables, dont certaines modifications histologiques et notamment la différenciation neuroendocrine.
Matériels et Méthodes : Nous avons mené une étude prospective, au sein du service d’urologie de l’Hôpital Militaire d’Instruction Mohammed V, étalée sur une durée de 20 mois. Notre but était de déceler les cancers de la prostate échappant au contrôle hormonal et d’y étudier, grâce à des biopsies, les éventuelles modifications histologiques. Une différenciation neuroendocrine a été recherchée par l’utilisation d’anticorps dirigés contre la Chromogranine A et la Synaptophysine.
Résultats : Notre étude a inclus 6 patients qui répondaient aux critères d’inclusion adoptés, à savoir : l’augmentation du PSA à 2 ou 3 reprises, à une semaine d’intervalle, au moins, et une testosteronémie de moins de 50 ng/dl.
L’âge moyen était de 72 ans et 6 mois. La moitié des patients présentait une différenciation neuroendocrine lors de l’échappement.
Les 3 patients sans différenciation neuroendocrine, avaient des métastases osseuses au diagnostic. Le PSA initial de ce groupe était de 83,40 ng/ml en moyenne et le PSA en échappement était en moyenne de 161,23 ng/ml, alors que pour le groupe avec différenciation neuroendocrine, ces valeurs étaient respectivement de 21,95 ng/ml et 37,55 ng/ml. Le délai moyen d’échappement était de 22 mois pour le groupe en différenciation neuroendocrine contre 17 mois et 2 semaines pour le groupe sans différenciation neuroendocrine.
Discussion : Plusieurs transformations histologiques ont été rapportées lors de l’échappement hormonal d’un cancer de la prostate. Les plus connues sont : la diminution du volume tumoral et de l’atteinte capsulaire, ainsi qu’un plus faible pourcentage des marges d’exérèse positives, par rapport aux cancers jamais traité par hormonothérapie. Certains auteurs ont aussi noté une augmentation du score de Gleason, qu’ils ne considèrent pas approprié à la gradation histologique des cancers de la prostate hormono-résistants. Dans notre étude, deux des 6 patients ont, à l’opposé, présenté une baisse du score de Gleason après hormonothérapie. Enfin, le paramètre qui attire le plus l’attention des auteurs reste la différenciation neuroendocrine, que certains considèrent comme un mécanisme impliqué dans l’échappement. Dans notre étude, la moitié des patients en échappement présentaient une différenciation neuroendocrine. Celle-ci constituerait un facteur pronostic selon certains auteurs, alors que d’autres ne sont pas convaincus de son implication pronostique.
Conclusion : L’étude des modifications histologiques dans les cancers de la prostate hormono-résistants est d’un intérêt majeur aussi bien pour les anatomopathologistes, que pour les urologues et les oncologues. L’implication de ces transformations reste encore imprécise, et plusieurs études seront nécessaires afin d’éclaircir les différents points d’ombre persistants.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M1622008 Président : ABBAR MOHAMED Directeur : AMEUR AHMED Juge : AL BOUZIDI ABDERRAHMANE les modifications histologiques dans les cancers de la prostate hormo-resistants [thèse] / GUERROUANI ALAE, Auteur . - 2008.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : prostate cancer hormone resistance differenciation neuroendocrine Index. décimale : WA SANTE PUBLIQUE - PROFESSION MEDICALE Résumé : Introduction : L’hormonothérapie constitue, depuis de nombreuses années, un élément majeur du traitement palliatif du cancer de la prostate. Ce dernier y est sensible au début, mais quelques mois plus tard, apparaît une hormono-résistance. De nombreux mécanismes en sont responsables, dont certaines modifications histologiques et notamment la différenciation neuroendocrine.
Matériels et Méthodes : Nous avons mené une étude prospective, au sein du service d’urologie de l’Hôpital Militaire d’Instruction Mohammed V, étalée sur une durée de 20 mois. Notre but était de déceler les cancers de la prostate échappant au contrôle hormonal et d’y étudier, grâce à des biopsies, les éventuelles modifications histologiques. Une différenciation neuroendocrine a été recherchée par l’utilisation d’anticorps dirigés contre la Chromogranine A et la Synaptophysine.
Résultats : Notre étude a inclus 6 patients qui répondaient aux critères d’inclusion adoptés, à savoir : l’augmentation du PSA à 2 ou 3 reprises, à une semaine d’intervalle, au moins, et une testosteronémie de moins de 50 ng/dl.
L’âge moyen était de 72 ans et 6 mois. La moitié des patients présentait une différenciation neuroendocrine lors de l’échappement.
Les 3 patients sans différenciation neuroendocrine, avaient des métastases osseuses au diagnostic. Le PSA initial de ce groupe était de 83,40 ng/ml en moyenne et le PSA en échappement était en moyenne de 161,23 ng/ml, alors que pour le groupe avec différenciation neuroendocrine, ces valeurs étaient respectivement de 21,95 ng/ml et 37,55 ng/ml. Le délai moyen d’échappement était de 22 mois pour le groupe en différenciation neuroendocrine contre 17 mois et 2 semaines pour le groupe sans différenciation neuroendocrine.
Discussion : Plusieurs transformations histologiques ont été rapportées lors de l’échappement hormonal d’un cancer de la prostate. Les plus connues sont : la diminution du volume tumoral et de l’atteinte capsulaire, ainsi qu’un plus faible pourcentage des marges d’exérèse positives, par rapport aux cancers jamais traité par hormonothérapie. Certains auteurs ont aussi noté une augmentation du score de Gleason, qu’ils ne considèrent pas approprié à la gradation histologique des cancers de la prostate hormono-résistants. Dans notre étude, deux des 6 patients ont, à l’opposé, présenté une baisse du score de Gleason après hormonothérapie. Enfin, le paramètre qui attire le plus l’attention des auteurs reste la différenciation neuroendocrine, que certains considèrent comme un mécanisme impliqué dans l’échappement. Dans notre étude, la moitié des patients en échappement présentaient une différenciation neuroendocrine. Celle-ci constituerait un facteur pronostic selon certains auteurs, alors que d’autres ne sont pas convaincus de son implication pronostique.
Conclusion : L’étude des modifications histologiques dans les cancers de la prostate hormono-résistants est d’un intérêt majeur aussi bien pour les anatomopathologistes, que pour les urologues et les oncologues. L’implication de ces transformations reste encore imprécise, et plusieurs études seront nécessaires afin d’éclaircir les différents points d’ombre persistants.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M1622008 Président : ABBAR MOHAMED Directeur : AMEUR AHMED Juge : AL BOUZIDI ABDERRAHMANE Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M1622008 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2008 Disponible PRISE EN CHARGE DU CANCER DE LA PROSTATE OLIGOMETASTATIQUE (A PROPOS DE 6 CAS) / ERRAHMANI AYOUB
Titre : PRISE EN CHARGE DU CANCER DE LA PROSTATE OLIGOMETASTATIQUE (A PROPOS DE 6 CAS) Type de document : thèse Auteurs : ERRAHMANI AYOUB, Auteur Année de publication : 2023 Langues : Français (fre) Mots-clés : Cancer Prostate Oligométastatique Prostatectomie PSA Cancer Prostate Oligometastatic Prostatectomy PSA سرطا بر ستاتا Ù‚ يل لانت ا ستئ ال بر ستاتا ستضد بر ستاتا نوع ÙŠ Résumé : Objectif : Ressortir l’intérêt d’un traitement local en cas de cancer de la prostate oligométastatique.
Patients et méthodes :
Il s’agit d’une étude rétrospective, menée au service d’urologie de l’Hôpital Militaire Mohammed V, entre Mars 2022 et Juin 2023, ayant inclus tous les patients présentant un cancer de la prostate oligométastatique qui ont bénéficié d’un traitement local (prostatectomie radicale ou radiothérapie).
Résultats :
Sur l’ensemble des dossiers étudiés, 6 ont répondu aux critères d’inclusion.
L’âge moyen de nos patients est 65 ans.
5 patients ont bénéficié d’une prostatectomie radicale et un seul patient a bénéficié d’une Radiothérapie.
Tous les patients opérés ont bénéficié d’une prostatectomie radicale par voie coelioscopique.
Aucune complication grade IV ou V n’a été observée.
Le PSA était détectable chez l’ensemble des patients à 6 semaines de la prostatectomie radicale.
Un traitement adjuvant par radio-hormonothérapie a été proposé chez les patients opéré avec une très bonne réponse biologique.
Conclusion :
Le traitement local du cancer de la prostate oligométastatique notamment par prostatectomie radicale associé à un traitement adjuvant permet une bonne survie avec moins de symptômes locaux et un bon contrôle de la maladie.Numéro (Thèse ou Mémoire) : M3232023 Président : Ahmed AMEUR Directeur : Ahmed AMEUR Juge : Mohammed ALAMI Juge : Yassir SBITTI Juge : Mohamed OUKABLI ; Hachem EL SAYEGH PRISE EN CHARGE DU CANCER DE LA PROSTATE OLIGOMETASTATIQUE (A PROPOS DE 6 CAS) [thèse] / ERRAHMANI AYOUB, Auteur . - 2023.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Cancer Prostate Oligométastatique Prostatectomie PSA Cancer Prostate Oligometastatic Prostatectomy PSA سرطا بر ستاتا Ù‚ يل لانت ا ستئ ال بر ستاتا ستضد بر ستاتا نوع ÙŠ Résumé : Objectif : Ressortir l’intérêt d’un traitement local en cas de cancer de la prostate oligométastatique.
Patients et méthodes :
Il s’agit d’une étude rétrospective, menée au service d’urologie de l’Hôpital Militaire Mohammed V, entre Mars 2022 et Juin 2023, ayant inclus tous les patients présentant un cancer de la prostate oligométastatique qui ont bénéficié d’un traitement local (prostatectomie radicale ou radiothérapie).
Résultats :
Sur l’ensemble des dossiers étudiés, 6 ont répondu aux critères d’inclusion.
L’âge moyen de nos patients est 65 ans.
5 patients ont bénéficié d’une prostatectomie radicale et un seul patient a bénéficié d’une Radiothérapie.
Tous les patients opérés ont bénéficié d’une prostatectomie radicale par voie coelioscopique.
Aucune complication grade IV ou V n’a été observée.
Le PSA était détectable chez l’ensemble des patients à 6 semaines de la prostatectomie radicale.
Un traitement adjuvant par radio-hormonothérapie a été proposé chez les patients opéré avec une très bonne réponse biologique.
Conclusion :
Le traitement local du cancer de la prostate oligométastatique notamment par prostatectomie radicale associé à un traitement adjuvant permet une bonne survie avec moins de symptômes locaux et un bon contrôle de la maladie.Numéro (Thèse ou Mémoire) : M3232023 Président : Ahmed AMEUR Directeur : Ahmed AMEUR Juge : Mohammed ALAMI Juge : Yassir SBITTI Juge : Mohamed OUKABLI ; Hachem EL SAYEGH Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M3232023 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2023 Disponible LA PROSTATECTOMIE RADICALE LAPAROSCOPIQUE : EXPERIENCE DU SERVICE D’UROLOGIE-A DE L’HOPITAL IBN SINA DE RABAT / Mohamed Yassine MAZOUZI
Titre : LA PROSTATECTOMIE RADICALE LAPAROSCOPIQUE : EXPERIENCE DU SERVICE D’UROLOGIE-A DE L’HOPITAL IBN SINA DE RABAT Type de document : thèse Auteurs : Mohamed Yassine MAZOUZI, Auteur Année de publication : 2022 Langues : Français (fre) Mots-clés : Prostate Cancer localisé prostatectomie radicale laparoscopique Résumé : Le cancer de la prostate est le cancer le plus fréquent chez l’homme de plus
de 50 ans et la cinquième cause de décès par cancer chez l’homme tout âge
confondu.
La prostatectomie radicale est l’un des traitements de référence des cancers
localisés de la prostate. La chirurgie prostatique a beaucoup évolué sur le plan
technique. L’introduction de la chirurgie cœlioscopique et robot-assistée a donné
naissance aux techniques mini-invasives.
Objectifs :
Rapporter l’expérience au sein du service d’Urologie-A des cinq dernières
années dans le traitement du cancer localisé de la prostate par voie laparoscopique
transpéritonéale et comparer les résultats de notre expérience avec les données de
la littérature internationale.
Matériels et Méthodes :
Il s’agit d’une étude rétrospective monocentrique à propos de 10 cas de
Cancer localisé de la prostate traité par prostatectomie radicale laparoscopique par
voie transpéritonéale au sein du service d’Urologie A de l’hôpital Ibn Sina de
Rabat entre décembre 2017 et juin 2022.
Résultats :
L’âge moyen de nos patients était de 66.4 ans. Tous nos patients
présentaient des symptômes du bas appareil urinaire ayant motivé la consultation.
Le toucher rectal a noté la présence de nodules dans 100% des cas : cT2a chez
10%, cT2b chez 60% et cT2c chez 30% des cas. La valeur moyenne du PSA était
de 17.53ng/ml. L'étude anatomopathologique de la biopsie était en faveur d'un
adénocarcinome acinaire de la prostate chez tous nos patients. Le grade biopsique
était : G6/ISUP1 chez 30%, G7/ISUP2 chez 20%, G7/ISUP3 chez 30% et
G8/ISUP4 chez 20% des cas. Le risque selon la classification de D’Amico était
intermédiaire et élevé chez respectivement 30% et 70% des patients.
Tous nos patients ont bénéficié d’une prostatectomie radicale
laparoscopique avec curage ganglionnaire ilio-obturateur étendu sans
conservation des bandelettes neurovasculaires. L’intervention a duré 234min en
moyenne et les pertes sanguines moyennes étaient estimées à 393.8ml. La
conversion en chirurgie ouverte a été nécessaire chez 3 patients. Des fuites
anastomotiques sont survenues chez 2 patients dont l’un a nécessité une
réintervention. Le taux de marges positives était de 20%. Un seul patient a
présenté une sténose anastomotique et a été traité par urétrotomie endoscopique.
A 3 mois, 80% de nos patients étaient continents sans port de protection.
L’érection spontanée a été conservée chez un seul patient. La récidive biologique
est survenue chez un seul patient. La radiothérapie de rattrapage a été prescrite
chez ce patients ainsi que les deux autres présentant des marges chirurgicales
positives.
Conclusion :
Les résultats de notre série restent comparables à ceux publiés dans la
littérature internationale. Toutefois, notre étude a été principalement limitée par
l’effectif réduit de nos patients.Numéro (Thèse ou Mémoire) : M4602022 Président : Yassine NOUINI Directeur : Yassine NOUINI Juge : Ittimade NASSAR Juge : Ahmed AMEUR Juge : Fouad ZOUAIDIA-Ahmed IBRAHIMI LA PROSTATECTOMIE RADICALE LAPAROSCOPIQUE : EXPERIENCE DU SERVICE D’UROLOGIE-A DE L’HOPITAL IBN SINA DE RABAT [thèse] / Mohamed Yassine MAZOUZI, Auteur . - 2022.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Prostate Cancer localisé prostatectomie radicale laparoscopique Résumé : Le cancer de la prostate est le cancer le plus fréquent chez l’homme de plus
de 50 ans et la cinquième cause de décès par cancer chez l’homme tout âge
confondu.
La prostatectomie radicale est l’un des traitements de référence des cancers
localisés de la prostate. La chirurgie prostatique a beaucoup évolué sur le plan
technique. L’introduction de la chirurgie cœlioscopique et robot-assistée a donné
naissance aux techniques mini-invasives.
Objectifs :
Rapporter l’expérience au sein du service d’Urologie-A des cinq dernières
années dans le traitement du cancer localisé de la prostate par voie laparoscopique
transpéritonéale et comparer les résultats de notre expérience avec les données de
la littérature internationale.
Matériels et Méthodes :
Il s’agit d’une étude rétrospective monocentrique à propos de 10 cas de
Cancer localisé de la prostate traité par prostatectomie radicale laparoscopique par
voie transpéritonéale au sein du service d’Urologie A de l’hôpital Ibn Sina de
Rabat entre décembre 2017 et juin 2022.
Résultats :
L’âge moyen de nos patients était de 66.4 ans. Tous nos patients
présentaient des symptômes du bas appareil urinaire ayant motivé la consultation.
Le toucher rectal a noté la présence de nodules dans 100% des cas : cT2a chez
10%, cT2b chez 60% et cT2c chez 30% des cas. La valeur moyenne du PSA était
de 17.53ng/ml. L'étude anatomopathologique de la biopsie était en faveur d'un
adénocarcinome acinaire de la prostate chez tous nos patients. Le grade biopsique
était : G6/ISUP1 chez 30%, G7/ISUP2 chez 20%, G7/ISUP3 chez 30% et
G8/ISUP4 chez 20% des cas. Le risque selon la classification de D’Amico était
intermédiaire et élevé chez respectivement 30% et 70% des patients.
Tous nos patients ont bénéficié d’une prostatectomie radicale
laparoscopique avec curage ganglionnaire ilio-obturateur étendu sans
conservation des bandelettes neurovasculaires. L’intervention a duré 234min en
moyenne et les pertes sanguines moyennes étaient estimées à 393.8ml. La
conversion en chirurgie ouverte a été nécessaire chez 3 patients. Des fuites
anastomotiques sont survenues chez 2 patients dont l’un a nécessité une
réintervention. Le taux de marges positives était de 20%. Un seul patient a
présenté une sténose anastomotique et a été traité par urétrotomie endoscopique.
A 3 mois, 80% de nos patients étaient continents sans port de protection.
L’érection spontanée a été conservée chez un seul patient. La récidive biologique
est survenue chez un seul patient. La radiothérapie de rattrapage a été prescrite
chez ce patients ainsi que les deux autres présentant des marges chirurgicales
positives.
Conclusion :
Les résultats de notre série restent comparables à ceux publiés dans la
littérature internationale. Toutefois, notre étude a été principalement limitée par
l’effectif réduit de nos patients.Numéro (Thèse ou Mémoire) : M4602022 Président : Yassine NOUINI Directeur : Yassine NOUINI Juge : Ittimade NASSAR Juge : Ahmed AMEUR Juge : Fouad ZOUAIDIA-Ahmed IBRAHIMI Réservation
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M4602022URL Traitement du cancer localisé de la prostate par ultrasons focalisés à haute intensité : Revue de la littérature et étude prospective à propos de 8 cas. / REGRAGUI Souhail
Titre : Traitement du cancer localisé de la prostate par ultrasons focalisés à haute intensité : Revue de la littérature et étude prospective à propos de 8 cas. Type de document : thèse Auteurs : REGRAGUI Souhail, Auteur Année de publication : 2015 Langues : Français (fre) Mots-clés : prostate cancer localisé de la prostate HIFU Ablatherm. Résumé : Le traitement par ultrasons focalisés de haute intensité (HIFU) est un traitement peu agressif du cancer localisé de la prostate bien adapté aux patients qui ne sont pas candidats à la chirurgie radicale du fait de leur espérance de vie ou de comorbidités associées.
Il s’agit d’une étude prospective portant sur 8 patients au sein du service d’urologie de l’hôpital Militaire Mohammed V de Rabat sur une période de 13 mois allant de Décembre 2013 à Février 2015, porteurs d’un cancer localisé de la prostate et qui avaient bénéficié d’un traitement par HIFU.
L’âge moyen des patients était de 65ans. Le taux de PSA initial moyen était de 12,5ng/ml. Le score de Gleason initial était à 6(3+3) pour 7 patients et à 7(3+4) pour 1 patient. 5 patients appartenaient au groupe à faible risque, 2 patients au groupe à risque intermédiaire et 1 patient au groupe à haut risque.
Le PSA nadir à 9 mois était < 0,3ng/ml chez 37,5 % des patients, entre 0,3-1ng/ml chez 12,5% des patients et > 1ng/ml chez 50% des patients. Le résultat de la biopsie prostatique de contrôle à 6 mois était négatif chez 6 patients, positif chez 1 patient (refusée par 1 patient).
L’hématurie était la seule complication postopératoire, constatée chez 2 patients. La diminution du score IIEF5 moyen était non significative (de 18 à 17,6).
Le traitement HIFU est justifié par les résultats publiés à long terme tant en termes d’efficacité carcinologique que de tolérance comparables aux autres alternatives thérapeutiques.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M1872015 Président : ABAR.M Directeur : AMEUR.A Juge : EL KHADER.K Juge : ALBOUZIDI.A Juge : ALKANDRY.S.F Traitement du cancer localisé de la prostate par ultrasons focalisés à haute intensité : Revue de la littérature et étude prospective à propos de 8 cas. [thèse] / REGRAGUI Souhail, Auteur . - 2015.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : prostate cancer localisé de la prostate HIFU Ablatherm. Résumé : Le traitement par ultrasons focalisés de haute intensité (HIFU) est un traitement peu agressif du cancer localisé de la prostate bien adapté aux patients qui ne sont pas candidats à la chirurgie radicale du fait de leur espérance de vie ou de comorbidités associées.
Il s’agit d’une étude prospective portant sur 8 patients au sein du service d’urologie de l’hôpital Militaire Mohammed V de Rabat sur une période de 13 mois allant de Décembre 2013 à Février 2015, porteurs d’un cancer localisé de la prostate et qui avaient bénéficié d’un traitement par HIFU.
L’âge moyen des patients était de 65ans. Le taux de PSA initial moyen était de 12,5ng/ml. Le score de Gleason initial était à 6(3+3) pour 7 patients et à 7(3+4) pour 1 patient. 5 patients appartenaient au groupe à faible risque, 2 patients au groupe à risque intermédiaire et 1 patient au groupe à haut risque.
Le PSA nadir à 9 mois était < 0,3ng/ml chez 37,5 % des patients, entre 0,3-1ng/ml chez 12,5% des patients et > 1ng/ml chez 50% des patients. Le résultat de la biopsie prostatique de contrôle à 6 mois était négatif chez 6 patients, positif chez 1 patient (refusée par 1 patient).
L’hématurie était la seule complication postopératoire, constatée chez 2 patients. La diminution du score IIEF5 moyen était non significative (de 18 à 17,6).
Le traitement HIFU est justifié par les résultats publiés à long terme tant en termes d’efficacité carcinologique que de tolérance comparables aux autres alternatives thérapeutiques.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M1872015 Président : ABAR.M Directeur : AMEUR.A Juge : EL KHADER.K Juge : ALBOUZIDI.A Juge : ALKANDRY.S.F Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M1872015 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2015 Disponible M1872015-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2015 Disponible LE TRAITEMENT DU CANCER DE LA PROSTATE OLIGOMETASTATIQUE : REVUE DE LITTERATURE / Adam WASMINE
Titre : LE TRAITEMENT DU CANCER DE LA PROSTATE OLIGOMETASTATIQUE : REVUE DE LITTERATURE Type de document : thèse Auteurs : Adam WASMINE, Auteur Année de publication : 2024 Langues : Français (fre) Mots-clés : Cancer Prostate Oligométastatique Résumé : Le cancer de la prostate oligométastatique est une nouvelle entité en oncologie qui
diffère de la maladie polymétastatique par sa biologie et son caractère moins agressif, et dont
la définition, le diagnostic et la thérapeutique présentent toujours un manque de consensus et
des questions sans réponses. La définition la plus utilisée reste néanmoins la présence de 5
lésions au maximum sans atteinte viscérale.
Nous avons réalisé une revue systématique de la littérature entre 2010 et 2024 abordant
le sujet du cancer de la prostate oligométastatique. Les articles étaient rédigés en anglais et les
données extraites ont été traduites en français.
Nous avons organisé la discussion en divisant le sujet selon les différentes présentations
de la maladie oligométastatique, à savoir les formes synchrone, métachrone, et
oligoprogressive, ainsi que selon les différentes approches thérapeutiques disponibles, puis en
citant les recommandations les plus récentes des sociétés savantes.
Nous avons abordé la supériorité des nouvelles techniques d'imagerie moléculaire, à
savoir le PET-PSMA et le PET-FCH, dans le diagnostic positif, le bilan d'extension et le suivi
de la maladie oligométastatique par rapport à l'imagerie conventionnelle.
Nous avons colligé et comparé les résultats des différents essais et études concernant les
thérapies de privation androgénique, hormonothérapie de 2ème génération, chimiothérapie,
chirurgie, et radiothérapie que ce soit sur le primitif ou les métastases du cancer de la prostate
oligométastatique. Cependant, des essais cliniques de phase III dédiés à l'étude des différentes
modalités thérapeutiques du stade oligométastatique du cancer de la prostate sont nécessaires
afin d'avoir des recommandations claires et concises de la prise en charge thérapeutique.Numéro (Thèse ou Mémoire) : M2282024 Président : Abderrahim DOUDOUH Directeur : Khalid ANDALOUSSI SAGHIR Juge : Khalid HADDADI Juge : Hassane ENNOUALI LE TRAITEMENT DU CANCER DE LA PROSTATE OLIGOMETASTATIQUE : REVUE DE LITTERATURE [thèse] / Adam WASMINE, Auteur . - 2024.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Cancer Prostate Oligométastatique Résumé : Le cancer de la prostate oligométastatique est une nouvelle entité en oncologie qui
diffère de la maladie polymétastatique par sa biologie et son caractère moins agressif, et dont
la définition, le diagnostic et la thérapeutique présentent toujours un manque de consensus et
des questions sans réponses. La définition la plus utilisée reste néanmoins la présence de 5
lésions au maximum sans atteinte viscérale.
Nous avons réalisé une revue systématique de la littérature entre 2010 et 2024 abordant
le sujet du cancer de la prostate oligométastatique. Les articles étaient rédigés en anglais et les
données extraites ont été traduites en français.
Nous avons organisé la discussion en divisant le sujet selon les différentes présentations
de la maladie oligométastatique, à savoir les formes synchrone, métachrone, et
oligoprogressive, ainsi que selon les différentes approches thérapeutiques disponibles, puis en
citant les recommandations les plus récentes des sociétés savantes.
Nous avons abordé la supériorité des nouvelles techniques d'imagerie moléculaire, à
savoir le PET-PSMA et le PET-FCH, dans le diagnostic positif, le bilan d'extension et le suivi
de la maladie oligométastatique par rapport à l'imagerie conventionnelle.
Nous avons colligé et comparé les résultats des différents essais et études concernant les
thérapies de privation androgénique, hormonothérapie de 2ème génération, chimiothérapie,
chirurgie, et radiothérapie que ce soit sur le primitif ou les métastases du cancer de la prostate
oligométastatique. Cependant, des essais cliniques de phase III dédiés à l'étude des différentes
modalités thérapeutiques du stade oligométastatique du cancer de la prostate sont nécessaires
afin d'avoir des recommandations claires et concises de la prise en charge thérapeutique.Numéro (Thèse ou Mémoire) : M2282024 Président : Abderrahim DOUDOUH Directeur : Khalid ANDALOUSSI SAGHIR Juge : Khalid HADDADI Juge : Hassane ENNOUALI Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M2282024 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2024 Disponible TRAITEMENT CHIRURGICAL DES FISTULES PROSTATO-RECTAL / Mouad STATOUA
Titre : TRAITEMENT CHIRURGICAL DES FISTULES PROSTATO-RECTAL Type de document : thèse Auteurs : Mouad STATOUA, Auteur Année de publication : 2010 Langues : Français (fre) Mots-clés : Fistule Prostate Rectum Voie York Mason Index. décimale : WA SANTE PUBLIQUE - PROFESSION MEDICALE Résumé : Les fistules prostato-rectales sont des affections rares, de diagnostic facile, mais qui posent essentiellement le problème de choix de la technique chirurgicale la plus adéquate.
L’étiologie est dominée par la cause iatrogène.
Nous rapportons une série de 7 cas de fistule postato-rectale pris en charge dans notre formation entre 1996 et 2007.
Les suites post opératoire étaient bonnes avec fermeture du trajet fistuleux et reprise d’une bonne diurèse.
Le traitement des fistules uréthro-prostato-rectale est essentiellement chirurgicale, il pose double problème : la voie d’abord et la technique de suture utilisé.
Plusieurs voies et procédés de réparation ont été proposés, mais la voie de YORK MASON a été largement utilisée du fait de la bonne exposition per opératoire, des bons résultats obtenus et d’une excellente continence rectale post opératoire, contrairement à la voie périnéale qui expose aussi bien à l’impuissance qu’à l’incontinence anale.
Les autres techniques ont une exposition encor plus limitée.
Malgré la rareté de l’affection, le meilleur traitement reste la prévention.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M0972010 Président : MOHAMED HACHIMI Directeur : TAREK KARMOUNI Juge : YASSINE NOUINI TRAITEMENT CHIRURGICAL DES FISTULES PROSTATO-RECTAL [thèse] / Mouad STATOUA, Auteur . - 2010.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Fistule Prostate Rectum Voie York Mason Index. décimale : WA SANTE PUBLIQUE - PROFESSION MEDICALE Résumé : Les fistules prostato-rectales sont des affections rares, de diagnostic facile, mais qui posent essentiellement le problème de choix de la technique chirurgicale la plus adéquate.
L’étiologie est dominée par la cause iatrogène.
Nous rapportons une série de 7 cas de fistule postato-rectale pris en charge dans notre formation entre 1996 et 2007.
Les suites post opératoire étaient bonnes avec fermeture du trajet fistuleux et reprise d’une bonne diurèse.
Le traitement des fistules uréthro-prostato-rectale est essentiellement chirurgicale, il pose double problème : la voie d’abord et la technique de suture utilisé.
Plusieurs voies et procédés de réparation ont été proposés, mais la voie de YORK MASON a été largement utilisée du fait de la bonne exposition per opératoire, des bons résultats obtenus et d’une excellente continence rectale post opératoire, contrairement à la voie périnéale qui expose aussi bien à l’impuissance qu’à l’incontinence anale.
Les autres techniques ont une exposition encor plus limitée.
Malgré la rareté de l’affection, le meilleur traitement reste la prévention.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M0972010 Président : MOHAMED HACHIMI Directeur : TAREK KARMOUNI Juge : YASSINE NOUINI Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M0972010 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2010 Disponible TUMEURS NEUROENDOCRINES DE LA PROSTATE A PROPOS DE 02 CAS ET REVUE DE LITTERATURE / MIHFAD NADIA
Titre : TUMEURS NEUROENDOCRINES DE LA PROSTATE A PROPOS DE 02 CAS ET REVUE DE LITTERATURE Type de document : thèse Auteurs : MIHFAD NADIA, Auteur Année de publication : 2007 Langues : Français (fre) Mots-clés : PROSTATE TUMEUR NEURO-ENDOCRINE CARCINOME A PETITES CELLULES IMMUNOHISTOCHIMIE Index. décimale : WA SANTE PUBLIQUE - PROFESSION MEDICALE Numéro (Thèse ou Mémoire) : M1842007 Président : FAIK MOHAMED Directeur : FAIK MOHAMED Juge : LACHKAR AZZOUZ Juge : BERNOUSSI ZAKYA/ Juge : BERNOUSSI ZAKYA/ TUMEURS NEUROENDOCRINES DE LA PROSTATE A PROPOS DE 02 CAS ET REVUE DE LITTERATURE [thèse] / MIHFAD NADIA, Auteur . - 2007.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : PROSTATE TUMEUR NEURO-ENDOCRINE CARCINOME A PETITES CELLULES IMMUNOHISTOCHIMIE Index. décimale : WA SANTE PUBLIQUE - PROFESSION MEDICALE Numéro (Thèse ou Mémoire) : M1842007 Président : FAIK MOHAMED Directeur : FAIK MOHAMED Juge : LACHKAR AZZOUZ Juge : BERNOUSSI ZAKYA/ Juge : BERNOUSSI ZAKYA/ Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M1842007 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2007 Disponible Tumeurs neuroendocrines de la prostate a propos de 9 cas et revue de la litterature / MPIGA EKAMBOU LUDJER
Titre : Tumeurs neuroendocrines de la prostate a propos de 9 cas et revue de la litterature Type de document : thèse Auteurs : MPIGA EKAMBOU LUDJER, Auteur Année de publication : 2008 Langues : Français (fre) Mots-clés : Prostate Tumeur neuroendocrine Anatomie pathologique Immunohistochimie Index. décimale : WA SANTE PUBLIQUE - PROFESSION MEDICALE Résumé : Le cancer neuroendocrine de la prostate est une variante histologique rare.
La différenciation neuroendocrine au sein de l’adénocarcinome de la prostate a reçu une attention croissante ces dernières années en raison de ses implications pronostiques et thérapeutiques.
La différenciation neuroendocrine est présente au moins dans 10% de tous les adénocarcinomes prostatiques.
Objectifs
L’objectif de ce travail était d’évaluer l’intérêt de l’immunohistochimie, dans la mise en évidence de la différenciation neuroendocrine, au sein de l’adénocarcinome de la prostate, et d’évaluer les circonstances diagnostiques et les signes cliniques, le profil évolutif et les modalités thérapeutiques de la différenciation neuroendocrine.
Matériel et méthodes.
Nous avons éffectué une étude rétrospective descriptive à propos de neuf cas de tumeurs neuroendocrines de la prostate entre 2000 et 2006 diagnostiquées au service d’urologie et d’anatomie pathologique de l’hôpital militaire d’instruction Mohamed V.
La différenciation neuroendocrine a été suspectée tantôt sur des arguments cliniques, tantôt sur des arguments morphologiques.
Les fragments de tissus provenant de biopsie prostatique, de résection transurethrale de la prostate et de pièce d’adénomectomie ont été examinés.
Un immunomarquage aux anticorps anti chromogranine A, anti NSE et anti synaptophysine a été réalisé.
Résultats
L’âge moyen de nos patients était de 63 ans (50-74).
La dysurie et la pollakiurie étaient les signes les plus fréquemment rencontrés. Des douleurs abdominales étaient présentes chez trois patients ; deux patients avaient un syndrome paranéoplasique neurologique (parésie des membres inferieurs). Des signes d’extension tumorale étaient présents.
Une discordance entre un toucher rectal anormal et un PSA faible (PSA<4ng/ml) était détectée chez 66 % patients.
L’immunomarquage à la chromogranine A était positif chez 77 % des patients, contre 44 % pour la NSE.
Sept patients avaient un adénocarcinome de la prostate avec différenciation neuroendocrine ; deux patients avaient un carcinome neuroendocrine pur.
Deux patients avaient un score de Gleason à 9 ; un patient avait un score de Gleason à 8 ; deux patients avaient un score de Gleason à 7 ; deux patients avaient un score de Gleason à 6. Les deux derniers étaient des carcinomes neuroendocrines purs pour lesquels on n’évalue pas le score de Gleason.
Le scanner thoraco abdominal a révélé chez trois patients des métastases pulmonaires et chez un patient des métastases ganglionnaires.
Le traitement de référence était la chimiothérapie. Il était à base d’etoposide et de cisplatine.
Quatre patients sont décédés trois à six mois après la chimiothérapie par métastase et coagulation intravasculaire disséminé et myocardite post chimiothérapique.
Conclusion
Cette étude permis de montrer que l’immunomarquage aux anticorps antichromogranine A est presque toujours positif dans les adénocarcinomes avec différenciation neuroendocrine. Un immunomarquage systématique serait souhaitable devant des signes de présomption.
Les tumeurs neuroendocrines sont de mauvais pronostic.
La prise en charge de ce genre de tumeurs doit être précoce, multidisciplinaire. La polychimiotherapie est à la base du traitement.
D’autres thérapeutiques ciblées sont en cours d’essais cliniques.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M1162008 Président : ABBAR MOHAMED Directeur : AL BOUZIDI ABDERRAHMANE Juge : TELLAL SAIDA Tumeurs neuroendocrines de la prostate a propos de 9 cas et revue de la litterature [thèse] / MPIGA EKAMBOU LUDJER, Auteur . - 2008.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Prostate Tumeur neuroendocrine Anatomie pathologique Immunohistochimie Index. décimale : WA SANTE PUBLIQUE - PROFESSION MEDICALE Résumé : Le cancer neuroendocrine de la prostate est une variante histologique rare.
La différenciation neuroendocrine au sein de l’adénocarcinome de la prostate a reçu une attention croissante ces dernières années en raison de ses implications pronostiques et thérapeutiques.
La différenciation neuroendocrine est présente au moins dans 10% de tous les adénocarcinomes prostatiques.
Objectifs
L’objectif de ce travail était d’évaluer l’intérêt de l’immunohistochimie, dans la mise en évidence de la différenciation neuroendocrine, au sein de l’adénocarcinome de la prostate, et d’évaluer les circonstances diagnostiques et les signes cliniques, le profil évolutif et les modalités thérapeutiques de la différenciation neuroendocrine.
Matériel et méthodes.
Nous avons éffectué une étude rétrospective descriptive à propos de neuf cas de tumeurs neuroendocrines de la prostate entre 2000 et 2006 diagnostiquées au service d’urologie et d’anatomie pathologique de l’hôpital militaire d’instruction Mohamed V.
La différenciation neuroendocrine a été suspectée tantôt sur des arguments cliniques, tantôt sur des arguments morphologiques.
Les fragments de tissus provenant de biopsie prostatique, de résection transurethrale de la prostate et de pièce d’adénomectomie ont été examinés.
Un immunomarquage aux anticorps anti chromogranine A, anti NSE et anti synaptophysine a été réalisé.
Résultats
L’âge moyen de nos patients était de 63 ans (50-74).
La dysurie et la pollakiurie étaient les signes les plus fréquemment rencontrés. Des douleurs abdominales étaient présentes chez trois patients ; deux patients avaient un syndrome paranéoplasique neurologique (parésie des membres inferieurs). Des signes d’extension tumorale étaient présents.
Une discordance entre un toucher rectal anormal et un PSA faible (PSA<4ng/ml) était détectée chez 66 % patients.
L’immunomarquage à la chromogranine A était positif chez 77 % des patients, contre 44 % pour la NSE.
Sept patients avaient un adénocarcinome de la prostate avec différenciation neuroendocrine ; deux patients avaient un carcinome neuroendocrine pur.
Deux patients avaient un score de Gleason à 9 ; un patient avait un score de Gleason à 8 ; deux patients avaient un score de Gleason à 7 ; deux patients avaient un score de Gleason à 6. Les deux derniers étaient des carcinomes neuroendocrines purs pour lesquels on n’évalue pas le score de Gleason.
Le scanner thoraco abdominal a révélé chez trois patients des métastases pulmonaires et chez un patient des métastases ganglionnaires.
Le traitement de référence était la chimiothérapie. Il était à base d’etoposide et de cisplatine.
Quatre patients sont décédés trois à six mois après la chimiothérapie par métastase et coagulation intravasculaire disséminé et myocardite post chimiothérapique.
Conclusion
Cette étude permis de montrer que l’immunomarquage aux anticorps antichromogranine A est presque toujours positif dans les adénocarcinomes avec différenciation neuroendocrine. Un immunomarquage systématique serait souhaitable devant des signes de présomption.
Les tumeurs neuroendocrines sont de mauvais pronostic.
La prise en charge de ce genre de tumeurs doit être précoce, multidisciplinaire. La polychimiotherapie est à la base du traitement.
D’autres thérapeutiques ciblées sont en cours d’essais cliniques.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M1162008 Président : ABBAR MOHAMED Directeur : AL BOUZIDI ABDERRAHMANE Juge : TELLAL SAIDA Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M1162008 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2008 Disponible