Accueil
A partir de cette page vous pouvez :
Retourner au premier écran avec les dernières notices... |
Résultat de la recherche
6 résultat(s) recherche sur le mot-clé 'COMORBIDITES'
Affiner la recherche Faire une suggestion
Titre : LA CHIRURGIE BARIATRIQUE : TECHNIQUES, INDICATIONS ET RESULTAT Type de document : thèse Auteurs : Mariam KONSO, Auteur Année de publication : 2021 Langues : Français (fre) Mots-clés : Chirurgie bariatrique Obésité morbide Chirurgie métabolique Comorbidités Résumé : Matériel et méthodes : Nous avons mené une étude rétrospective et comparative qui a
porté sur des patients présentant une obésité morbide, au sein du service de chirurgie viscérale
« C » au Centre Hospitalier Ibn-Sina de Rabat, incluant 22 patients (hommes et femmes) sur
une période allant de l’année 2013 à 2019.
Résultats : L’âge moyen de nos patients est de 38 ans (24-56 ans), avec une
prédominance féminine un sexe ratio H/F : 0,15. L’IMC maximal moyen est de 48,19kg/m²
(74 - 36,4). Tous nos patients avaient une comorbidité associée à leur obésité morbide. Toutes
les indications chirurgicales ont été discutées en RCP obésité, 21 de nos patients ont bénéficié
d’une Sleeve gastrectomie et une patiente un By-pass gastrique. L’évolution a été marquée
par une réduction pondérale avec un pourcentage de perte de poids à 1-3ans de 14-51%, et par
la résolution du DT2, de l’HTA, et SAS.
La chirurgie bariatrique est dominée actuellement par la Sleeve gastrectomie et le
Bypass gastrique en Y, avec un déclin pour l’anneau ajustable. Les dérivations biliopancratiques sont moins réalisées. La mortalité est faible et la morbidité comporte
l’hémorragie et les fistules.
Le suivi postopératoire conditionne les résultats à long terme.
Conclusion : La chirurgie de l’obésité reste la méthode de perte de poids la plus
efficace et la plus durable pour les patients en obésité morbide, évoluant ainsi vers un concept
de chirurgie métabolique à part entière. Tous candidats à la chirurgie bariatrique doit être
intégrer dans un circuit multidisciplinaire, et doit être informé de la nécessité du suivis
rigoureux à long terme.Numéro (Thèse ou Mémoire) : M1302021 Président : Abdelmalek HRORA Directeur : Mohammed RAISS Juge : Mohamed El Hassan GHARBI Juge : Ikram ERRABIH LA CHIRURGIE BARIATRIQUE : TECHNIQUES, INDICATIONS ET RESULTAT [thèse] / Mariam KONSO, Auteur . - 2021.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Chirurgie bariatrique Obésité morbide Chirurgie métabolique Comorbidités Résumé : Matériel et méthodes : Nous avons mené une étude rétrospective et comparative qui a
porté sur des patients présentant une obésité morbide, au sein du service de chirurgie viscérale
« C » au Centre Hospitalier Ibn-Sina de Rabat, incluant 22 patients (hommes et femmes) sur
une période allant de l’année 2013 à 2019.
Résultats : L’âge moyen de nos patients est de 38 ans (24-56 ans), avec une
prédominance féminine un sexe ratio H/F : 0,15. L’IMC maximal moyen est de 48,19kg/m²
(74 - 36,4). Tous nos patients avaient une comorbidité associée à leur obésité morbide. Toutes
les indications chirurgicales ont été discutées en RCP obésité, 21 de nos patients ont bénéficié
d’une Sleeve gastrectomie et une patiente un By-pass gastrique. L’évolution a été marquée
par une réduction pondérale avec un pourcentage de perte de poids à 1-3ans de 14-51%, et par
la résolution du DT2, de l’HTA, et SAS.
La chirurgie bariatrique est dominée actuellement par la Sleeve gastrectomie et le
Bypass gastrique en Y, avec un déclin pour l’anneau ajustable. Les dérivations biliopancratiques sont moins réalisées. La mortalité est faible et la morbidité comporte
l’hémorragie et les fistules.
Le suivi postopératoire conditionne les résultats à long terme.
Conclusion : La chirurgie de l’obésité reste la méthode de perte de poids la plus
efficace et la plus durable pour les patients en obésité morbide, évoluant ainsi vers un concept
de chirurgie métabolique à part entière. Tous candidats à la chirurgie bariatrique doit être
intégrer dans un circuit multidisciplinaire, et doit être informé de la nécessité du suivis
rigoureux à long terme.Numéro (Thèse ou Mémoire) : M1302021 Président : Abdelmalek HRORA Directeur : Mohammed RAISS Juge : Mohamed El Hassan GHARBI Juge : Ikram ERRABIH Réservation
Réserver ce document
Exemplaires
Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M1302021 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2021 Disponible M1302021-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2021 Disponible Documents numériques
M1302021URL Les comorbidités de la Bronchopneumopathie chronique obstructive / LAHMOURI Mofdi
Titre : Les comorbidités de la Bronchopneumopathie chronique obstructive Type de document : thèse Auteurs : LAHMOURI Mofdi, Auteur Année de publication : 2016 Langues : Français (fre) Mots-clés : Comorbidités BPCO Résumé : La bronchopneumopathie chronique obstructive (BPCO) est une maladie respiratoire mais aussi générale avec de nombreuses comorbidités
La relation physiopathologique entre la BPCO et ses comorbidités, outre le rôle du tabagisme, repose sur l’existence d’une inflammation systémique
Connaître les comorbidités est donc essentiel pour la prise en charge d’un patient atteint de BPCO
Notre étude est prospective portant sur 46 patients colligés à l’hôpital Moulay Youssef chez qui on a cherché les principales comorbidités associées
Seuls 6,5% des BPCO n’avaient aucune comorbidité alors que 93,5% en avaient une ou plusieurs. Les comorbidités étaient plus fréquentes dans les stades avancées de BPCO.
Les principales comorbidités retrouvées sont l’atteinte cardiovasculaire dans 39% des cas,l’ostéoporose dans 32,6% la dénutrition dans 26%, la dépression dans 52% ,l’anxiété 45% la somnolence diurne dans 13% , l’anémie dans 24% ;et le diabète dans 9% .
D’où la nécessité de rechercher les comorbidités de principe dans le bilan d’une BPCO. Elles doivent être diagnostiquées précocement et traitées car elles ont un impact négatif sur l’évolution et le pronostic de la BPCO
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M2612016 Président : BOURKADI.J.E Directeur : SOUALHI.M Juge : MARC.K Juge : BEN AMOUR.J Juge : ZAHRAOUI.R Les comorbidités de la Bronchopneumopathie chronique obstructive [thèse] / LAHMOURI Mofdi, Auteur . - 2016.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Comorbidités BPCO Résumé : La bronchopneumopathie chronique obstructive (BPCO) est une maladie respiratoire mais aussi générale avec de nombreuses comorbidités
La relation physiopathologique entre la BPCO et ses comorbidités, outre le rôle du tabagisme, repose sur l’existence d’une inflammation systémique
Connaître les comorbidités est donc essentiel pour la prise en charge d’un patient atteint de BPCO
Notre étude est prospective portant sur 46 patients colligés à l’hôpital Moulay Youssef chez qui on a cherché les principales comorbidités associées
Seuls 6,5% des BPCO n’avaient aucune comorbidité alors que 93,5% en avaient une ou plusieurs. Les comorbidités étaient plus fréquentes dans les stades avancées de BPCO.
Les principales comorbidités retrouvées sont l’atteinte cardiovasculaire dans 39% des cas,l’ostéoporose dans 32,6% la dénutrition dans 26%, la dépression dans 52% ,l’anxiété 45% la somnolence diurne dans 13% , l’anémie dans 24% ;et le diabète dans 9% .
D’où la nécessité de rechercher les comorbidités de principe dans le bilan d’une BPCO. Elles doivent être diagnostiquées précocement et traitées car elles ont un impact négatif sur l’évolution et le pronostic de la BPCO
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M2612016 Président : BOURKADI.J.E Directeur : SOUALHI.M Juge : MARC.K Juge : BEN AMOUR.J Juge : ZAHRAOUI.R Réservation
Réserver ce document
Exemplaires
Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M2612016 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2016 Disponible M2612016-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2016 Disponible LES COMORBIDITES DE LA BRONCHOPNEUMOPATHIE CHRONIQUE OBSTRUCTIVE / FNINE AZIZA
Titre : LES COMORBIDITES DE LA BRONCHOPNEUMOPATHIE CHRONIQUE OBSTRUCTIVE Type de document : thèse Auteurs : FNINE AZIZA, Auteur Année de publication : 2023 Langues : Français (fre) Mots-clés : Comorbidités BPCO Comorbidities COPD الأمراض المصاحبة مرض الانسداد الرئوي Résumé : La bronchopneumopathie chronique obstructive (BPCO) est définie comme une affection respiratoire chronique progressive qui se caractérise par une réduction des débits aériens, qui n'est pas complètement réversible. Elle est responsable d’une morbidité et d’une mortalité lourde. La BPCO est associée à une inflammation systémique, responsable de nombreuses comorbidités dontl’évaluation est un élément majeur de la prise en charge de cette pathologie.
Nous avons mené une étude rétrospective descriptive portant sur 91 patients hospitalisé à l’Hôpital Moulay Youssef CHU IBN SINA RABAT qui a pour objectif principal la recherche des comorbidités associées à la BPCO.
La majorité (77%)de nos patients atteints de BPCO présententune ou plusieurs comorbidités. Elles sont plusfréquentes chez les patients aux stades 2 et 3 de la classification GOLD de la BPCO.
Les principales comorbidités identifiées comprennent la dénutrition dans 34,6 % des cas,l’atteinte cardiovasculaire dans 30 %, l’anémie dans 25 %, le diabète dans 7 %.et l'ostéoporose dans 5,5 %, tandis que la dépression,l’anxiété, somnolence diurne et les autres comorbidités ne sont pas retrouvé dans les dossiers des patients.
Il est donc essentiel de chercher systématiquement les comorbidités lors de l'évaluation d'un patient atteint de BPCO. Leur détection précoce et leur traitement sont cruciaux, car elles peuvent avoir un impact négatif sur l'évolution et le pronostic de la BPCO.Numéro (Thèse ou Mémoire) : M4272023 Président : Jamal-Eddine BOURKADI Directeur : Jamal-Eddine BOURKADI Juge : Karima MARC Juge : Mouna SOUALHI Juge : Rachida ZAHRAOUI LES COMORBIDITES DE LA BRONCHOPNEUMOPATHIE CHRONIQUE OBSTRUCTIVE [thèse] / FNINE AZIZA, Auteur . - 2023.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Comorbidités BPCO Comorbidities COPD الأمراض المصاحبة مرض الانسداد الرئوي Résumé : La bronchopneumopathie chronique obstructive (BPCO) est définie comme une affection respiratoire chronique progressive qui se caractérise par une réduction des débits aériens, qui n'est pas complètement réversible. Elle est responsable d’une morbidité et d’une mortalité lourde. La BPCO est associée à une inflammation systémique, responsable de nombreuses comorbidités dontl’évaluation est un élément majeur de la prise en charge de cette pathologie.
Nous avons mené une étude rétrospective descriptive portant sur 91 patients hospitalisé à l’Hôpital Moulay Youssef CHU IBN SINA RABAT qui a pour objectif principal la recherche des comorbidités associées à la BPCO.
La majorité (77%)de nos patients atteints de BPCO présententune ou plusieurs comorbidités. Elles sont plusfréquentes chez les patients aux stades 2 et 3 de la classification GOLD de la BPCO.
Les principales comorbidités identifiées comprennent la dénutrition dans 34,6 % des cas,l’atteinte cardiovasculaire dans 30 %, l’anémie dans 25 %, le diabète dans 7 %.et l'ostéoporose dans 5,5 %, tandis que la dépression,l’anxiété, somnolence diurne et les autres comorbidités ne sont pas retrouvé dans les dossiers des patients.
Il est donc essentiel de chercher systématiquement les comorbidités lors de l'évaluation d'un patient atteint de BPCO. Leur détection précoce et leur traitement sont cruciaux, car elles peuvent avoir un impact négatif sur l'évolution et le pronostic de la BPCO.Numéro (Thèse ou Mémoire) : M4272023 Président : Jamal-Eddine BOURKADI Directeur : Jamal-Eddine BOURKADI Juge : Karima MARC Juge : Mouna SOUALHI Juge : Rachida ZAHRAOUI Réservation
Réserver ce document
Exemplaires
Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M4272023 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2023 Disponible PREVALENCE DES MALADIES CHRONIQUES RESPIRATOIRES OBSTRUCTIVES CHEZ LES MARINS PECHEURS AU NORD DU MAROC. / HAMMOUDA Reda
Titre : PREVALENCE DES MALADIES CHRONIQUES RESPIRATOIRES OBSTRUCTIVES CHEZ LES MARINS PECHEURS AU NORD DU MAROC. Type de document : thèse Auteurs : HAMMOUDA Reda, Auteur Année de publication : 2019 Langues : Français (fre) Mots-clés : Marins pêcheurs Maladies respiratoires chroniques BPCO asthme Bronchite chronique comorbidités Résumé : L’objectif était de dépister et d’estimer la prévalence des symptômes et des pathologies respiratoires chroniques obstructives avec leurs comorbidités chez les marins pêcheurs et de proposer une stratégie de prévention de la BPCO.
Méthode : Cette étude épidémiologique observationnelle et transversale a intéressé 924 hommes âgés de plus de 20 ans et ayant au moins deux années d’ancienneté. Elle a comporté un questionnaire et une spirométrie. Le questionnaire est composé de quatre rubriques : caractéristiques sociodémographiques et professionnelles, habitudes toxiques, antécédents médicaux et symptômes cliniques respiratoires.
Résultats : les prévalences des symptômes d’irritation trachéo-bronchique étaient de 9,2 % pour la toux, 8,2 % pour les expectorations, 7,8 % pour la dyspnée et 8.1% pour les sifflements thoraciques. Celle de la rhinite était de 17,1 %, de l’asthme 6,8 %, de la bronchite chronique 7,3 % et de la bronchopneumopathie chronique obstructive de 4,1 % (5,4 % chez les fumeurs actuels et les anciens fumeurs versus 1,1 % chez les non-fumeurs). Cette dernière a atteint 6,8 % chez ceux ayant fumés plus de 10 paquets-années, 17,9 % chez ceux ayant fumés plus de 20 paquets-années. Chez les sujets ayant plus de 40 ans et ayant fumé plus de 10 paquets-années, la prévalence de la BPCO était de 8,1%. 30,8% des personnes ayant une BPCO avaient rapportées une ou plusieurs comorbidités chroniques : 20,2% des troubles musculosquelettiques, 14,1% des troubles cardiovasculaires, 18,1% des troubles neuropsychiatriques, 11,7% des troubles digestives et 15,1% des troubles métaboliques.
Conclusion : le tabagisme était fréquent chez les gens de mer. Les symptômes et les pathologies respiratoires restaient sous diagnostiquées. La prévention doit être prioritaire dans ce secteur.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M0212019 Président : EL BOURKADI.J.E Directeur : BENAMOR.J Juge : MARC.M Juge : RHORFI.I.A Juge : LARAQUI.C PREVALENCE DES MALADIES CHRONIQUES RESPIRATOIRES OBSTRUCTIVES CHEZ LES MARINS PECHEURS AU NORD DU MAROC. [thèse] / HAMMOUDA Reda, Auteur . - 2019.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Marins pêcheurs Maladies respiratoires chroniques BPCO asthme Bronchite chronique comorbidités Résumé : L’objectif était de dépister et d’estimer la prévalence des symptômes et des pathologies respiratoires chroniques obstructives avec leurs comorbidités chez les marins pêcheurs et de proposer une stratégie de prévention de la BPCO.
Méthode : Cette étude épidémiologique observationnelle et transversale a intéressé 924 hommes âgés de plus de 20 ans et ayant au moins deux années d’ancienneté. Elle a comporté un questionnaire et une spirométrie. Le questionnaire est composé de quatre rubriques : caractéristiques sociodémographiques et professionnelles, habitudes toxiques, antécédents médicaux et symptômes cliniques respiratoires.
Résultats : les prévalences des symptômes d’irritation trachéo-bronchique étaient de 9,2 % pour la toux, 8,2 % pour les expectorations, 7,8 % pour la dyspnée et 8.1% pour les sifflements thoraciques. Celle de la rhinite était de 17,1 %, de l’asthme 6,8 %, de la bronchite chronique 7,3 % et de la bronchopneumopathie chronique obstructive de 4,1 % (5,4 % chez les fumeurs actuels et les anciens fumeurs versus 1,1 % chez les non-fumeurs). Cette dernière a atteint 6,8 % chez ceux ayant fumés plus de 10 paquets-années, 17,9 % chez ceux ayant fumés plus de 20 paquets-années. Chez les sujets ayant plus de 40 ans et ayant fumé plus de 10 paquets-années, la prévalence de la BPCO était de 8,1%. 30,8% des personnes ayant une BPCO avaient rapportées une ou plusieurs comorbidités chroniques : 20,2% des troubles musculosquelettiques, 14,1% des troubles cardiovasculaires, 18,1% des troubles neuropsychiatriques, 11,7% des troubles digestives et 15,1% des troubles métaboliques.
Conclusion : le tabagisme était fréquent chez les gens de mer. Les symptômes et les pathologies respiratoires restaient sous diagnostiquées. La prévention doit être prioritaire dans ce secteur.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M0212019 Président : EL BOURKADI.J.E Directeur : BENAMOR.J Juge : MARC.M Juge : RHORFI.I.A Juge : LARAQUI.C Réservation
Réserver ce document
Exemplaires
Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M0212019 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2019 Disponible M0212019-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2019 Disponible Documents numériques
M0212019URL PROFIL SOCIODEMOGRAPHIQUE ET CLINIQUE DES PATIENTS BIPOLAIRES HOSPITALISES A L'HOPITAL AR-RAZI DE SALE A PROPOS DE 240 CAS / OUTARAHOUT MOUNA
Titre : PROFIL SOCIODEMOGRAPHIQUE ET CLINIQUE DES PATIENTS BIPOLAIRES HOSPITALISES A L'HOPITAL AR-RAZI DE SALE A PROPOS DE 240 CAS Type de document : thèse Auteurs : OUTARAHOUT MOUNA, Auteur Année de publication : 2008 Langues : Français (fre) Mots-clés : TROUBLE BIPOLAIRE ACCES MANIAQUE ACCES DEPRESSIF EVOLUTION OBSERVANCE COMORBIDITES Index. décimale : WA SANTE PUBLIQUE - PROFESSION MEDICALE Résumé : Introduction & présentation du trouble bipolaire: Les troubles bipolaires (héritiers de la classique PMD), sont fréquents et très handicapants. Ils sont largement sous diagnostiqués et insuffisamment traités. Ils sont responsables d'une surmortalité importante, pas seulement par suicide mais aussi de par les comorbidités psychiatriques, addictives et somatiques. Ils ont de ce fait un retentissement médico-social très important, puisqu'ils affectent toute la vie des patients.
La récurrence des épisodes maniaques et dépressifs définit la cyclicité qui est l'essence même du tableau clinique du trouble bipolaire. Si en présence d'un accès maniaque typique, le diagnostic de trouble bipolaire est généralement facilement porté, certaines formes atténué~s, ou les prodromes restent trop souvent ignorés. La reconnaissance officielle de l'importance et de la complexité du spectre de la bipolarité (dont Akiskal en a été le visionnaire) constitue un progrès majeur.
Les approches cliniques et thérapeutiques des troubles bipolaires ont changé au coùrs de ces dernières décennies et sont encore en perpétuel remodelage. La convergence d'éléments plurifactoriels donne une dimension complexe au spectre bipolaire, qui émerge à peine dans la nosographie actuelle. L'étiopathogénie des troubles bipolaires demeure hypothétique. Les progrès dans la clinique, l'épidémiologie, les traitements, la génétique, la neurobiologie, l'imagerie mais aussi les vulnérabilités individuelles évoluant avec le temps, tendent à éclaircir les champs sémiologiques, et les catégories cliniques et
. diagnostiques des troubles bipolaires, les maintenant au faîte de l'actualité.
Ainsi les questions qui font débat sont: les limites diagnostiques, la détection et la prévention précoce (réel défi pour le clinicien surtout dans les formes atypiques et comorbides), la pnse en charge des patients et leur entourage, l'adéquation des stratégies thérapeutiques face à un trouble évolutif, le maintien d'une observance thérapeutique de qualité, garante de la bonne évolution de la maladie, la lutte contre les complications psychosociales.
Patients & méthodes: Nous avons fait une étude rétrospective descriptive du trouble bipolaire au sein des services de l'hôpital psychiatrique AR-RAZI de Salé. Nous nous sommes intéressés au profil sociodémographique et clinique d'un échantillon composé de 240 patients hospitalisés entre l'année 2003 et 2006. Nous nous sommes basés, pour le recueil des données socio démographiques, sur une fiche d'exploitation préétablie. Le diagnostic retenu se base sur les critères du DSM¬IV.
Résultats & discussion:
Les caractéristiques socio démographiques: Sur les 240 cas inclus dans notre série, il y a une prédominance masculine . qui s'explique par une supériorité de recrutement des hommes. L'âge des patients va de 16 à 66 ans. La plus forte proportion de nos patients ont fait des études secondaires (38%) et supérieures (25%). Quant au statut matrimonial, le profil général montre que la majorité des patients sont célibataires (46%), et seulement 14% sont divorcés. Les patients ont, en majorité (46%) une activité professionnelle, les autres (44%) sont sans profession mais pas obligatoirement sans revenu (femmes aux foyers). La majorité a un niveau socio-économique moyen et le quart, des patients est issu d'un milieu aisé. Le profil sociodémographique de nos patients bipolaires concorde bien avec les résultas des études faites dans des pays en voies de développement comme le Maroc (Tunisie en l'occurrence). Le patient bipolaire type à l'hôpital Ar-razi est: un homme âgé de 41 ans (l'âge médian), célibataire, fonctionnaire (travaillant avec un revenu moyen), ayant un niveau bac.
Caractéristiques cliniques : Le diagnostic retenu en majorité dans notre échantillon était celui de TBP l, la grande majorité de nos patients auraient inauguré leur maladie par. un accès maniaque, et ce entre 20-26 ans. Pour ces paramètres nos résultats sont en accord avec ceux de la plupart des équipes (notamment Goodwin et Angst) sauf que nous décrivons un âge de début légèrement plus bas. Parmi les patients de notre échantillon, la moitié avait des antécédents psychiatriques, dont 14% avait des antécédents familiaux de trouble bipolaire. Notre résultat reste sous estimé, mais en adéquation avec les écrits et les hypothèses génétiques. Les parents des bipolaires ont un risque de développer la maladie 5 à 10 fois plus grand que dans la population générale. Seulement 20% des patients auraient déclaré leur maladie - ou auraient récidivé - sans aucun facteur déclenchant; 30% ont eu des facteurs déclenchants, et nous avons noté• que la nature de ce facteur ou événement de vie importait peu. Mais le facteur finalement qui intervient le plus, non pas dans la déclaration de la maladie, mais dans la rechute du patient, est l'arrêt du traitement; la moitié exacte de notre échantillon récidivait peu de temps après l'arrêt du traitement. La notion d'événement de vie précipitant les accès se vérifie dans notre étude, ainsi que la théorie du kindling. Les patients qui ont déclaré la maladie par un facteur de stress ont récidivé selon le même mode. Mais la proportion représentée ne doit pas être entière, certains dossiers ne mentionnaient pas tout. Un autre élément qui intervient dans l'évolution défavorable de la maladie est l'errance diagnostique. 16% de nos patients ont eu un retard diagnostique, encore une fois, ce chiffre est sous estimé. La majorité de nos patients avaient une ancienneté de la maladie comprise entre 6 mois et 6 ans. Le nombre d'accès, dans cette tranche particulièrement, était en majorité entre 2 et 3 accès. L'intervalle entre les accès atteint des extrêmes allant de 4 mois à 19 ans; chaque patient fait en moyenne 0,3 épisode/an; en comparaison, pour l'OMS, la durée moyenne d'un épisode est de 4 à 13 mois et chaque patient fait en moyenne 0,6 épisode par an. Le caractère saisonnier des accès a été décrit autant dans notre étude que dans la littérature.
Les facteurs de gravité :
Les conduites suicidaires concernent 13 % des patients, ce qui est légèrement en deçà de certaines études (15% pour de Guze et Robins et 19°,10 pour Goodwin) ce qui reste largement supérieur à la population générale. Les femmes font plus tentatives de suicides que les hommes; 3 femmes pour 1 homme à l'image de la population générale. La plus grande majorité de notre échantillon ont des habitudes addictives, notamment face à l'alcool, le tabac et le cannabis. Mais l'alcool est consommé d'avantage pendant les crises. Il est admis que les comorbidités en particulier addictives sont souvent associées au trouble bipolaire, et le fait que l'alcool soit la substance la plus consommés pendant les accès est décrit dans la littérature. Les patients chez lesquels nous avons relevé des éléments psychotiques sont de 32%. Mais le facteur le plus important dans la gravit~ de .la maladie est l'inobservance thérapeutique, 84% des patients n'observent pas leur traitement. Pourtant nous savons que 74% avaient bien répondu aux traitements prescrits, carbamazépine ou valproate en particulier (le lithium étant difficile à manier), mais ils l'abandonnent souvent dès la sortie de l'hôpital. L'inobservance thérapeutique, bien qu'elle soit fréquemment rapportée par d'autres équipes, est particulièrement marquée dans notre échantillon, et résulte de la convergence de divers paramètres médicaux, familiaux et socio culturels.
Conclusion:L'information et l'éducation du patient avec ses proches, paraissent primordiales pour l'acceptation personnelle et sociale ainsi qu'une évolution favorable du trouble bipolaire, qui certes n'a toujours pas trouvé de traitement curatif, mais n'empêche en rien une vie •normale, familiale et professionnelle, quand il est correctement pris en charge.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M0262008 Président : TAOUFIQ JALAL Directeur : SEKKAT FATIMA ZOHRA Juge : OUANASS ABDERRAZAK Juge : KISRA HASSAN PROFIL SOCIODEMOGRAPHIQUE ET CLINIQUE DES PATIENTS BIPOLAIRES HOSPITALISES A L'HOPITAL AR-RAZI DE SALE A PROPOS DE 240 CAS [thèse] / OUTARAHOUT MOUNA, Auteur . - 2008.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : TROUBLE BIPOLAIRE ACCES MANIAQUE ACCES DEPRESSIF EVOLUTION OBSERVANCE COMORBIDITES Index. décimale : WA SANTE PUBLIQUE - PROFESSION MEDICALE Résumé : Introduction & présentation du trouble bipolaire: Les troubles bipolaires (héritiers de la classique PMD), sont fréquents et très handicapants. Ils sont largement sous diagnostiqués et insuffisamment traités. Ils sont responsables d'une surmortalité importante, pas seulement par suicide mais aussi de par les comorbidités psychiatriques, addictives et somatiques. Ils ont de ce fait un retentissement médico-social très important, puisqu'ils affectent toute la vie des patients.
La récurrence des épisodes maniaques et dépressifs définit la cyclicité qui est l'essence même du tableau clinique du trouble bipolaire. Si en présence d'un accès maniaque typique, le diagnostic de trouble bipolaire est généralement facilement porté, certaines formes atténué~s, ou les prodromes restent trop souvent ignorés. La reconnaissance officielle de l'importance et de la complexité du spectre de la bipolarité (dont Akiskal en a été le visionnaire) constitue un progrès majeur.
Les approches cliniques et thérapeutiques des troubles bipolaires ont changé au coùrs de ces dernières décennies et sont encore en perpétuel remodelage. La convergence d'éléments plurifactoriels donne une dimension complexe au spectre bipolaire, qui émerge à peine dans la nosographie actuelle. L'étiopathogénie des troubles bipolaires demeure hypothétique. Les progrès dans la clinique, l'épidémiologie, les traitements, la génétique, la neurobiologie, l'imagerie mais aussi les vulnérabilités individuelles évoluant avec le temps, tendent à éclaircir les champs sémiologiques, et les catégories cliniques et
. diagnostiques des troubles bipolaires, les maintenant au faîte de l'actualité.
Ainsi les questions qui font débat sont: les limites diagnostiques, la détection et la prévention précoce (réel défi pour le clinicien surtout dans les formes atypiques et comorbides), la pnse en charge des patients et leur entourage, l'adéquation des stratégies thérapeutiques face à un trouble évolutif, le maintien d'une observance thérapeutique de qualité, garante de la bonne évolution de la maladie, la lutte contre les complications psychosociales.
Patients & méthodes: Nous avons fait une étude rétrospective descriptive du trouble bipolaire au sein des services de l'hôpital psychiatrique AR-RAZI de Salé. Nous nous sommes intéressés au profil sociodémographique et clinique d'un échantillon composé de 240 patients hospitalisés entre l'année 2003 et 2006. Nous nous sommes basés, pour le recueil des données socio démographiques, sur une fiche d'exploitation préétablie. Le diagnostic retenu se base sur les critères du DSM¬IV.
Résultats & discussion:
Les caractéristiques socio démographiques: Sur les 240 cas inclus dans notre série, il y a une prédominance masculine . qui s'explique par une supériorité de recrutement des hommes. L'âge des patients va de 16 à 66 ans. La plus forte proportion de nos patients ont fait des études secondaires (38%) et supérieures (25%). Quant au statut matrimonial, le profil général montre que la majorité des patients sont célibataires (46%), et seulement 14% sont divorcés. Les patients ont, en majorité (46%) une activité professionnelle, les autres (44%) sont sans profession mais pas obligatoirement sans revenu (femmes aux foyers). La majorité a un niveau socio-économique moyen et le quart, des patients est issu d'un milieu aisé. Le profil sociodémographique de nos patients bipolaires concorde bien avec les résultas des études faites dans des pays en voies de développement comme le Maroc (Tunisie en l'occurrence). Le patient bipolaire type à l'hôpital Ar-razi est: un homme âgé de 41 ans (l'âge médian), célibataire, fonctionnaire (travaillant avec un revenu moyen), ayant un niveau bac.
Caractéristiques cliniques : Le diagnostic retenu en majorité dans notre échantillon était celui de TBP l, la grande majorité de nos patients auraient inauguré leur maladie par. un accès maniaque, et ce entre 20-26 ans. Pour ces paramètres nos résultats sont en accord avec ceux de la plupart des équipes (notamment Goodwin et Angst) sauf que nous décrivons un âge de début légèrement plus bas. Parmi les patients de notre échantillon, la moitié avait des antécédents psychiatriques, dont 14% avait des antécédents familiaux de trouble bipolaire. Notre résultat reste sous estimé, mais en adéquation avec les écrits et les hypothèses génétiques. Les parents des bipolaires ont un risque de développer la maladie 5 à 10 fois plus grand que dans la population générale. Seulement 20% des patients auraient déclaré leur maladie - ou auraient récidivé - sans aucun facteur déclenchant; 30% ont eu des facteurs déclenchants, et nous avons noté• que la nature de ce facteur ou événement de vie importait peu. Mais le facteur finalement qui intervient le plus, non pas dans la déclaration de la maladie, mais dans la rechute du patient, est l'arrêt du traitement; la moitié exacte de notre échantillon récidivait peu de temps après l'arrêt du traitement. La notion d'événement de vie précipitant les accès se vérifie dans notre étude, ainsi que la théorie du kindling. Les patients qui ont déclaré la maladie par un facteur de stress ont récidivé selon le même mode. Mais la proportion représentée ne doit pas être entière, certains dossiers ne mentionnaient pas tout. Un autre élément qui intervient dans l'évolution défavorable de la maladie est l'errance diagnostique. 16% de nos patients ont eu un retard diagnostique, encore une fois, ce chiffre est sous estimé. La majorité de nos patients avaient une ancienneté de la maladie comprise entre 6 mois et 6 ans. Le nombre d'accès, dans cette tranche particulièrement, était en majorité entre 2 et 3 accès. L'intervalle entre les accès atteint des extrêmes allant de 4 mois à 19 ans; chaque patient fait en moyenne 0,3 épisode/an; en comparaison, pour l'OMS, la durée moyenne d'un épisode est de 4 à 13 mois et chaque patient fait en moyenne 0,6 épisode par an. Le caractère saisonnier des accès a été décrit autant dans notre étude que dans la littérature.
Les facteurs de gravité :
Les conduites suicidaires concernent 13 % des patients, ce qui est légèrement en deçà de certaines études (15% pour de Guze et Robins et 19°,10 pour Goodwin) ce qui reste largement supérieur à la population générale. Les femmes font plus tentatives de suicides que les hommes; 3 femmes pour 1 homme à l'image de la population générale. La plus grande majorité de notre échantillon ont des habitudes addictives, notamment face à l'alcool, le tabac et le cannabis. Mais l'alcool est consommé d'avantage pendant les crises. Il est admis que les comorbidités en particulier addictives sont souvent associées au trouble bipolaire, et le fait que l'alcool soit la substance la plus consommés pendant les accès est décrit dans la littérature. Les patients chez lesquels nous avons relevé des éléments psychotiques sont de 32%. Mais le facteur le plus important dans la gravit~ de .la maladie est l'inobservance thérapeutique, 84% des patients n'observent pas leur traitement. Pourtant nous savons que 74% avaient bien répondu aux traitements prescrits, carbamazépine ou valproate en particulier (le lithium étant difficile à manier), mais ils l'abandonnent souvent dès la sortie de l'hôpital. L'inobservance thérapeutique, bien qu'elle soit fréquemment rapportée par d'autres équipes, est particulièrement marquée dans notre échantillon, et résulte de la convergence de divers paramètres médicaux, familiaux et socio culturels.
Conclusion:L'information et l'éducation du patient avec ses proches, paraissent primordiales pour l'acceptation personnelle et sociale ainsi qu'une évolution favorable du trouble bipolaire, qui certes n'a toujours pas trouvé de traitement curatif, mais n'empêche en rien une vie •normale, familiale et professionnelle, quand il est correctement pris en charge.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M0262008 Président : TAOUFIQ JALAL Directeur : SEKKAT FATIMA ZOHRA Juge : OUANASS ABDERRAZAK Juge : KISRA HASSAN Réservation
Réserver ce document
Exemplaires
Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M0262008 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2008 Disponible Risque d’infection de la chirurgie bariatrique : rôle de pharmacien dans l’accompagnement des patients. / Soukaina MAMOU
Titre : Risque d’infection de la chirurgie bariatrique : rôle de pharmacien dans l’accompagnement des patients. Type de document : thèse Auteurs : Soukaina MAMOU, Auteur Année de publication : 2018 Langues : Français (fre) Mots-clés : chirurgie bariatrique obésité comorbidités médicament poids Résumé : L’obésité est une problématique de santé publique, sa prévalence ne cesse d’augmenter à l’échelle mondiale. Les deux principaux facteurs de risques extrinsèques associés au surpoids et à l’obésité sont l’alimentation et la diminution de l’activité physique. Le pharmacien d’officine à un rôle indispensable de conseil et d’accompagnement autour de ces deux axes.
Le respect des règles hygiéno-diététiques est indispensable avant d’envisager une chirurgie bariatrique et/ou un traitement médicamenteux.
A l’heure ou la lutte contre l’obésité demeure un enjeu majeur de sante publique, le développement de la chirurgie bariatrique trouve toute sa place. Les patients candidats doivent répondre à des critères bien précis et leur prise en charge s’effectue par une équipe pluridisciplinaire qui décidera de la technique opératoire utilisée. Actuellement, 4 types de chirurgie de l’obesite, à savoir, l’anneau gastrique, la sleeve gastrique, le bypass gastrique et la dérivation biliopancréatique avec des risques de morbi-mortalite et des résultats en termes de perte pondérale respectivement croissants. La chirurgie permet une perte de poids importante et rapide mais elle connait des limites. Ainsi, la stabilisation pondérale n’est possible que si le patient respecte les règles hygiéno-diététiques qui lui ont été prodiguées lors de l’étape de la préparation à la chirurgie.
Le suivi médical à vie des patients opérés est recommandé, notamment pour déceler d’éventuelles carences nutritionnelles C’est pourquoi, parmi des rôles primordial du pharmacien est de s’assurer le suivi du statut nutritionnel de son patient, et l’orientation du patient vers une adaptation des traitements en cas d’amélioration ou de la rémission des comorbidités (diabète..) associés à l’obésité en postopératoire de la chirurgie bariatrique.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : P0602018 Président : ZOUHDI.M Directeur : SEKHSOKH.Y Juge : GAOUZI.A Juge : CHADLI.M Juge : EL HARTI.J Risque d’infection de la chirurgie bariatrique : rôle de pharmacien dans l’accompagnement des patients. [thèse] / Soukaina MAMOU, Auteur . - 2018.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : chirurgie bariatrique obésité comorbidités médicament poids Résumé : L’obésité est une problématique de santé publique, sa prévalence ne cesse d’augmenter à l’échelle mondiale. Les deux principaux facteurs de risques extrinsèques associés au surpoids et à l’obésité sont l’alimentation et la diminution de l’activité physique. Le pharmacien d’officine à un rôle indispensable de conseil et d’accompagnement autour de ces deux axes.
Le respect des règles hygiéno-diététiques est indispensable avant d’envisager une chirurgie bariatrique et/ou un traitement médicamenteux.
A l’heure ou la lutte contre l’obésité demeure un enjeu majeur de sante publique, le développement de la chirurgie bariatrique trouve toute sa place. Les patients candidats doivent répondre à des critères bien précis et leur prise en charge s’effectue par une équipe pluridisciplinaire qui décidera de la technique opératoire utilisée. Actuellement, 4 types de chirurgie de l’obesite, à savoir, l’anneau gastrique, la sleeve gastrique, le bypass gastrique et la dérivation biliopancréatique avec des risques de morbi-mortalite et des résultats en termes de perte pondérale respectivement croissants. La chirurgie permet une perte de poids importante et rapide mais elle connait des limites. Ainsi, la stabilisation pondérale n’est possible que si le patient respecte les règles hygiéno-diététiques qui lui ont été prodiguées lors de l’étape de la préparation à la chirurgie.
Le suivi médical à vie des patients opérés est recommandé, notamment pour déceler d’éventuelles carences nutritionnelles C’est pourquoi, parmi des rôles primordial du pharmacien est de s’assurer le suivi du statut nutritionnel de son patient, et l’orientation du patient vers une adaptation des traitements en cas d’amélioration ou de la rémission des comorbidités (diabète..) associés à l’obésité en postopératoire de la chirurgie bariatrique.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : P0602018 Président : ZOUHDI.M Directeur : SEKHSOKH.Y Juge : GAOUZI.A Juge : CHADLI.M Juge : EL HARTI.J Réservation
Réserver ce document
Exemplaires
Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité P0602018 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesPharm2018 Disponible P0602018-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesPharm2018 Disponible Documents numériques
P0602018URL