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L’ACCOUCHEMENT EN PRESENTATION DE SIEGE A LA MATERNITE SOUISSI DE RABATA PROPOS DE 275 CAS / BACHIRA EL BAKKALI
Titre : L’ACCOUCHEMENT EN PRESENTATION DE SIEGE A LA MATERNITE SOUISSI DE RABATA PROPOS DE 275 CAS Type de document : thèse Auteurs : BACHIRA EL BAKKALI, Auteur Année de publication : 2012 Langues : Français (fre) Mots-clés : SIEGE ACCOUCHEMENT ETIOLOGIE DIAGNOSTIC PRONOSTIC. Résumé : La présentation du siège est le type d'accouchement à haut risque dont l'issue demeure incertaine et la conduite reste un sujet de discussion.
A la lumière de cette étude rétrospective réalisée au sein de la Maternité Souissi I à Rabat à propos de 275 sièges, sur une période d’une année allant du 1er Janvier au 31 Décembre 2010. Nous avons précisé les modalités de prise en charge obstétricale de cette présentation, les moyens de diagnostic et le pronostic maternel et néonatal de ce type d’accouchement en étudiant la morbidité et la mortalité.
Nos résultats sont comme suit:
• La présentation du siège représente 3,71% des accouchements.
• La voie basse a été le mode d'accouchement chez 46% des parturientes avec 73,23% d'accouchements spontanés et 26,77% d'accouchements assistés, alors que la césarienne a été réalisée dans 54% des cas
• chez les parturientes âgées de moins de 20 ans, La mortalité périnatale était plus élevée et la fréquence de la césarienne était inversement proportionnelle à l'âge maternel.
• la césarienne a été effectuée chez 65,71% des primipares et chez 37,25% des multipares.
• La mortalité néonatale est évaluée à 3,64%, dont la fréquence la plus élevée a été observée en cas d’accouchement par voie basse : 7,09%, contre 0,68% en cas d’accouchement par la césarienne.
• La morbidité néonatale a été représentée par 11,02% de souffrances néonatales et 0,02% de traumatismes obstétricaux dans l’accouchement par voie basse.
• La mortalité maternelle a été nulle et la morbidité a été de 2,7% en cas de césarienne et 2,36% en cas d’accouchement par voie basse.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M1032012 Président : DRISS FERHATI Directeur : SAMIRA KHABOUZ Juge : NAJIA ZERAIDI Juge : ASMAE MDAGHRI ALAOUI L’ACCOUCHEMENT EN PRESENTATION DE SIEGE A LA MATERNITE SOUISSI DE RABATA PROPOS DE 275 CAS [thèse] / BACHIRA EL BAKKALI, Auteur . - 2012.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : SIEGE ACCOUCHEMENT ETIOLOGIE DIAGNOSTIC PRONOSTIC. Résumé : La présentation du siège est le type d'accouchement à haut risque dont l'issue demeure incertaine et la conduite reste un sujet de discussion.
A la lumière de cette étude rétrospective réalisée au sein de la Maternité Souissi I à Rabat à propos de 275 sièges, sur une période d’une année allant du 1er Janvier au 31 Décembre 2010. Nous avons précisé les modalités de prise en charge obstétricale de cette présentation, les moyens de diagnostic et le pronostic maternel et néonatal de ce type d’accouchement en étudiant la morbidité et la mortalité.
Nos résultats sont comme suit:
• La présentation du siège représente 3,71% des accouchements.
• La voie basse a été le mode d'accouchement chez 46% des parturientes avec 73,23% d'accouchements spontanés et 26,77% d'accouchements assistés, alors que la césarienne a été réalisée dans 54% des cas
• chez les parturientes âgées de moins de 20 ans, La mortalité périnatale était plus élevée et la fréquence de la césarienne était inversement proportionnelle à l'âge maternel.
• la césarienne a été effectuée chez 65,71% des primipares et chez 37,25% des multipares.
• La mortalité néonatale est évaluée à 3,64%, dont la fréquence la plus élevée a été observée en cas d’accouchement par voie basse : 7,09%, contre 0,68% en cas d’accouchement par la césarienne.
• La morbidité néonatale a été représentée par 11,02% de souffrances néonatales et 0,02% de traumatismes obstétricaux dans l’accouchement par voie basse.
• La mortalité maternelle a été nulle et la morbidité a été de 2,7% en cas de césarienne et 2,36% en cas d’accouchement par voie basse.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M1032012 Président : DRISS FERHATI Directeur : SAMIRA KHABOUZ Juge : NAJIA ZERAIDI Juge : ASMAE MDAGHRI ALAOUI Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M1032012 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2012 Disponible Aphtes : étiologies, maladies inflammatoires associées, traitement et conseils à l’officine / Kaoutar ZENATI
Titre : Aphtes : étiologies, maladies inflammatoires associées, traitement et conseils à l’officine Type de document : thèse Auteurs : Kaoutar ZENATI, Auteur Année de publication : 2018 Langues : Français (fre) Mots-clés : Aphte étiologie pathologie traitement prévention. Résumé : L’aphte est un symptôme banal, douloureux retrouvé couramment dans la population générale. On distingue trois formes cliniques : l’aphte mineur, majeur et herpétiforme.
Le mécanisme étiopathogénique des aphtoses n’est pas encore clairement élucidé, bien que différentes hypothèses aient été mises en évidence, menant à une origine multifactorielle et mettant en avant des facteurs prédisposant tels que les facteurs génétiques, environnementaux et physiologiques.
Le diagnostic est basé sur l’anamnèse et l’examen clinique, complété en cas de nécessité par l’exclusion des diagnostics différentiels, qui sont nombreux et regroupent des affections d’origines diverses. Cette lésion ulcéreuse est également retrouvée dans plusieurs pathologies inflammatoires, lors de déficiences nutritionnelles et de désordres immunitaires.
Dans la majorité des cas un traitement symptomatique local est suffisant et sera donc mis en place en première intention, avec pour but de soulager le patient et de réduire la durée des poussées. Cependant certaines aphtoses buccales invalidantes nécessitent un traitement systémique suite à l’échec des thérapeutiques locales.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : P0332018 Président : ZOUHDI.M Directeur : SEKHSOKH.Y Juge : EL HAMZAOUI.S Juge : NAZIH.M Juge : TELLAL.S Aphtes : étiologies, maladies inflammatoires associées, traitement et conseils à l’officine [thèse] / Kaoutar ZENATI, Auteur . - 2018.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Aphte étiologie pathologie traitement prévention. Résumé : L’aphte est un symptôme banal, douloureux retrouvé couramment dans la population générale. On distingue trois formes cliniques : l’aphte mineur, majeur et herpétiforme.
Le mécanisme étiopathogénique des aphtoses n’est pas encore clairement élucidé, bien que différentes hypothèses aient été mises en évidence, menant à une origine multifactorielle et mettant en avant des facteurs prédisposant tels que les facteurs génétiques, environnementaux et physiologiques.
Le diagnostic est basé sur l’anamnèse et l’examen clinique, complété en cas de nécessité par l’exclusion des diagnostics différentiels, qui sont nombreux et regroupent des affections d’origines diverses. Cette lésion ulcéreuse est également retrouvée dans plusieurs pathologies inflammatoires, lors de déficiences nutritionnelles et de désordres immunitaires.
Dans la majorité des cas un traitement symptomatique local est suffisant et sera donc mis en place en première intention, avec pour but de soulager le patient et de réduire la durée des poussées. Cependant certaines aphtoses buccales invalidantes nécessitent un traitement systémique suite à l’échec des thérapeutiques locales.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : P0332018 Président : ZOUHDI.M Directeur : SEKHSOKH.Y Juge : EL HAMZAOUI.S Juge : NAZIH.M Juge : TELLAL.S Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité P0332018 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2018 Disponible P0332018-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2018 Disponible LES CARDIOMYOPATHIES RESTRICTIVES CHEZ L'ENFANT / BELRHITI ZAKARIA
Titre : LES CARDIOMYOPATHIES RESTRICTIVES CHEZ L'ENFANT Type de document : thèse Auteurs : BELRHITI ZAKARIA, Auteur Année de publication : 2007 Langues : Français (fre) Mots-clés : CARDIOMYOPATHIES RESTRICTIVES EPIDEMIOLOGIE ETIOLOGIE CLINIQUE GENETIQUE TRAITEMENT Index. décimale : WA SANTE PUBLIQUE - PROFESSION MEDICALE Numéro (Thèse ou Mémoire) : M1822007 Président : BENTAHILA ABDELALI Directeur : BENTAHILA ABDELALI Juge : BENOUACHANE THAMI Juge : JABOUIRIK FATIMA/ Juge : JABOUIRIK FATIMA/ LES CARDIOMYOPATHIES RESTRICTIVES CHEZ L'ENFANT [thèse] / BELRHITI ZAKARIA, Auteur . - 2007.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : CARDIOMYOPATHIES RESTRICTIVES EPIDEMIOLOGIE ETIOLOGIE CLINIQUE GENETIQUE TRAITEMENT Index. décimale : WA SANTE PUBLIQUE - PROFESSION MEDICALE Numéro (Thèse ou Mémoire) : M1822007 Président : BENTAHILA ABDELALI Directeur : BENTAHILA ABDELALI Juge : BENOUACHANE THAMI Juge : JABOUIRIK FATIMA/ Juge : JABOUIRIK FATIMA/ Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M1822007 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2007 Disponible Erysipèle chez l’enfant diagnostic et traitement / NissrineJait
Titre : Erysipèle chez l’enfant diagnostic et traitement Type de document : thèse Auteurs : NissrineJait, Auteur Année de publication : 2015 Langues : Français (fre) Mots-clés : étiologie aspect clinique traitement évolution prévention Résumé : L’érysipèle est une dermo-hypodermite aigue non nécrosante d’origine bactérienne, essentiellement streptococcique, pouvant récidiver. Il est cliniquement défini par la survenue d’un placard inflammatoire, avec fièvre, de début aigu.
Les facteurs favorisants locorégionaux et généraux sont présents dans la majorité des cas.
Le diagnostic est principalement clinique, mais parfois il est difficile de le distinguer de l’ensemble des diagnostics différentiels (ostéomyélite, ostéoarthrite, staphylococcie maligne, fasciite nécrosante, cellulite…) vu la fréquence des tableaux cliniques incomplets chez l’enfant et le nourrisson.
La localisation des membres inférieurs est la plus fréquente représentant 66à 76%
des cas.
Les examens paracliniques ont peu d’intérêt pour son diagnostic et sa prise en charge.
Le traitement de l’érysipèle fait appel principalement à antibiothérapie active visant le streptocoque : la pénicilline G
En cas d’échec d’une antibiothérapie antistreptococcique, l’ensemble des diagnostics différentiels de l’érysipèle (staphylococcie maligne, fasciite nécrosante, cellulite…) doivent être discuté.
En cas d’érysipèle typique et en l’absence de signes de gravité, le traitement peut être conduit à domicile avec surveillance quotidienne. L’hospitalisation s’impose d’emblée dans les cas graves, douteux ou, secondairement, en l’absence d’amélioration malgré un traitement bien suivi.
Cette affection dont l’évolution est le plus souvent favorable peut, cependant, exposer à des complications graves.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M1082015 Président : BENTAHILA.A Directeur : JABOUIRIK.F Juge : MANSOURI.F Juge : EL HAMZAOUI.S Erysipèle chez l’enfant diagnostic et traitement [thèse] / NissrineJait, Auteur . - 2015.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : étiologie aspect clinique traitement évolution prévention Résumé : L’érysipèle est une dermo-hypodermite aigue non nécrosante d’origine bactérienne, essentiellement streptococcique, pouvant récidiver. Il est cliniquement défini par la survenue d’un placard inflammatoire, avec fièvre, de début aigu.
Les facteurs favorisants locorégionaux et généraux sont présents dans la majorité des cas.
Le diagnostic est principalement clinique, mais parfois il est difficile de le distinguer de l’ensemble des diagnostics différentiels (ostéomyélite, ostéoarthrite, staphylococcie maligne, fasciite nécrosante, cellulite…) vu la fréquence des tableaux cliniques incomplets chez l’enfant et le nourrisson.
La localisation des membres inférieurs est la plus fréquente représentant 66à 76%
des cas.
Les examens paracliniques ont peu d’intérêt pour son diagnostic et sa prise en charge.
Le traitement de l’érysipèle fait appel principalement à antibiothérapie active visant le streptocoque : la pénicilline G
En cas d’échec d’une antibiothérapie antistreptococcique, l’ensemble des diagnostics différentiels de l’érysipèle (staphylococcie maligne, fasciite nécrosante, cellulite…) doivent être discuté.
En cas d’érysipèle typique et en l’absence de signes de gravité, le traitement peut être conduit à domicile avec surveillance quotidienne. L’hospitalisation s’impose d’emblée dans les cas graves, douteux ou, secondairement, en l’absence d’amélioration malgré un traitement bien suivi.
Cette affection dont l’évolution est le plus souvent favorable peut, cependant, exposer à des complications graves.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M1082015 Président : BENTAHILA.A Directeur : JABOUIRIK.F Juge : MANSOURI.F Juge : EL HAMZAOUI.S Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M1082015 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2015 Disponible M1082015-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2015 Disponible LES IMMUNOGLOBULINOPATHIES MONOCLONALES : ETUDE EPIDEMIOLOGIQUE, BIOCHIMIQUE ET ETIOLOGIQUE D’UNE COHORTE DE 214 CAS / KHADIJA SADOUKE
Titre : LES IMMUNOGLOBULINOPATHIES MONOCLONALES : ETUDE EPIDEMIOLOGIQUE, BIOCHIMIQUE ET ETIOLOGIQUE D’UNE COHORTE DE 214 CAS Type de document : thèse Auteurs : KHADIJA SADOUKE, Auteur Année de publication : 2009 Langues : Français (fre) Mots-clés : IMMUNOGLOBULINE MONOCLONALE GAMMAPATHIE MONOCLONALE EXPLORATION BIOCHIMIQUE ETIOLOGIE Index. décimale : WA SANTE PUBLIQUE - PROFESSION MEDICALE Résumé : Les immunoglobulinopathies monoclonales (IM), improprement appelées gammapathies monoclonales (GM) regroupent des pathologies diverses pouvant relever d’étiologies malignes ou bénignes. Assez fréquentes dans la population générale surtout d’un âge avancé, elles représentent un problème quotidien en pratique clinique.
En vue d’étudier les caractéristiques épidémiologiques, biochimiques et étiologiques des IM, nous avons mené un travail rétrospectif portant sur une cohorte de 214 cas colligés à L’HMIMV de Rabat, durant une période de 9 ans (Janvier 2000 à Décembre 2008). Nous avons tenté de comparer nos résultats avec ceux de nombreuses autres études menées dans le même cadre que la nôtre.
Notre population inclut 153 hommes et 61 femmes, d’âge moyen de 59.87±12.46 ans, avec des extrêmes à 23 et 97 ans. Elle comporte 81 cas de MGUS et 133 cas d’IMM, dont 113 observations de myélome et les 20 restants sont des cas de MGW (n =8), de Lymphomes (n =9) et de LLC (n =3).
Sur le plan clinique, les douleurs osseuses et l’AEG représentent dans près de 50% des cas, les signes révélateurs de ces pathologies surtout dans le groupe des IMM. Les MGUS sont le plus souvent, associées aux maladies rhumatismales, à l’IR, aux affections hépatobiliaires et au diabète (plus de 50%).
Sur le plan biologique on note :
• Une augmentation significative de la protidémie chez les IMM par rapport aux MGUS.
• L’absence de pic à l’électrophorèse des protéines sériques chez 13.55% de nos patients. La mise en évidence du composant monoclonal est plus difficile dans le cas des chaines légères libres monoclonales: 25faux négatifs sur 30 (soit 83%). Chez les 185 patients, où le pic était présent à l’électrophorèse, celui-ci était le plus souvent dans la zone γ (82.16%) et rarement dans la zone β (17.84 %).
• Une sensibilité de 88.1% et une spécificité de 100% de l’EPP lorsque l’IF est prise comme technique de référence,
• Une sensibilité 98.68% et une spécificité de 20% du rapport κ/λ lorsque l’IF est prise comme technique de référence,
• Une augmentation significative du taux du composant monoclonal et une répression de synthèse des Ig polyclonales objectivées dans les I MM comparativement aux MGUS,
• La prédominance de l’isotype IgG (55.61%), encore plus dans les MGUS (72.8%),
• La présence d’une PBJ chez 35.6 % des cas, généralement des I MM.
Ainsi, par rapport à la plupart des grandes séries internationales, notre étude révèle des résultats concordants quant à la prédominance masculine et de l’iso type Ig ainsi que l’âge avancé. Elle s’en distingue en revanche par :
o La faible fréquence de la macroglobulinémie de Waldenström,
o La fréquence relativement élevé des MM à chaines légères,
o Le retard dans le diagnostic des IMM, particulièrement du MM, expliquant la lourdeur de la prise en charge des patients.
L’amélioration des techniques, allant de pair avec l’évolution de la biologie, joue sans doute un rôle prépondérant dans la mise en évidence de profils diversifiés.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : P0462009 Président : LAYACHI CHABRAOUI Directeur : ZOUHRA OUZZIF Juge : ABDERRAHMANI RHORFI ISMAIL LES IMMUNOGLOBULINOPATHIES MONOCLONALES : ETUDE EPIDEMIOLOGIQUE, BIOCHIMIQUE ET ETIOLOGIQUE D’UNE COHORTE DE 214 CAS [thèse] / KHADIJA SADOUKE, Auteur . - 2009.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : IMMUNOGLOBULINE MONOCLONALE GAMMAPATHIE MONOCLONALE EXPLORATION BIOCHIMIQUE ETIOLOGIE Index. décimale : WA SANTE PUBLIQUE - PROFESSION MEDICALE Résumé : Les immunoglobulinopathies monoclonales (IM), improprement appelées gammapathies monoclonales (GM) regroupent des pathologies diverses pouvant relever d’étiologies malignes ou bénignes. Assez fréquentes dans la population générale surtout d’un âge avancé, elles représentent un problème quotidien en pratique clinique.
En vue d’étudier les caractéristiques épidémiologiques, biochimiques et étiologiques des IM, nous avons mené un travail rétrospectif portant sur une cohorte de 214 cas colligés à L’HMIMV de Rabat, durant une période de 9 ans (Janvier 2000 à Décembre 2008). Nous avons tenté de comparer nos résultats avec ceux de nombreuses autres études menées dans le même cadre que la nôtre.
Notre population inclut 153 hommes et 61 femmes, d’âge moyen de 59.87±12.46 ans, avec des extrêmes à 23 et 97 ans. Elle comporte 81 cas de MGUS et 133 cas d’IMM, dont 113 observations de myélome et les 20 restants sont des cas de MGW (n =8), de Lymphomes (n =9) et de LLC (n =3).
Sur le plan clinique, les douleurs osseuses et l’AEG représentent dans près de 50% des cas, les signes révélateurs de ces pathologies surtout dans le groupe des IMM. Les MGUS sont le plus souvent, associées aux maladies rhumatismales, à l’IR, aux affections hépatobiliaires et au diabète (plus de 50%).
Sur le plan biologique on note :
• Une augmentation significative de la protidémie chez les IMM par rapport aux MGUS.
• L’absence de pic à l’électrophorèse des protéines sériques chez 13.55% de nos patients. La mise en évidence du composant monoclonal est plus difficile dans le cas des chaines légères libres monoclonales: 25faux négatifs sur 30 (soit 83%). Chez les 185 patients, où le pic était présent à l’électrophorèse, celui-ci était le plus souvent dans la zone γ (82.16%) et rarement dans la zone β (17.84 %).
• Une sensibilité de 88.1% et une spécificité de 100% de l’EPP lorsque l’IF est prise comme technique de référence,
• Une sensibilité 98.68% et une spécificité de 20% du rapport κ/λ lorsque l’IF est prise comme technique de référence,
• Une augmentation significative du taux du composant monoclonal et une répression de synthèse des Ig polyclonales objectivées dans les I MM comparativement aux MGUS,
• La prédominance de l’isotype IgG (55.61%), encore plus dans les MGUS (72.8%),
• La présence d’une PBJ chez 35.6 % des cas, généralement des I MM.
Ainsi, par rapport à la plupart des grandes séries internationales, notre étude révèle des résultats concordants quant à la prédominance masculine et de l’iso type Ig ainsi que l’âge avancé. Elle s’en distingue en revanche par :
o La faible fréquence de la macroglobulinémie de Waldenström,
o La fréquence relativement élevé des MM à chaines légères,
o Le retard dans le diagnostic des IMM, particulièrement du MM, expliquant la lourdeur de la prise en charge des patients.
L’amélioration des techniques, allant de pair avec l’évolution de la biologie, joue sans doute un rôle prépondérant dans la mise en évidence de profils diversifiés.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : P0462009 Président : LAYACHI CHABRAOUI Directeur : ZOUHRA OUZZIF Juge : ABDERRAHMANI RHORFI ISMAIL Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité P0462009 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesPharm2009 Disponible PARALYSIES FACIALES PÉRIPHÉRIQUES : PROFIL ÉPIDEMIOLOGIQUE, CLINIQUE ET PARACLINIQUE, / EL HABBOU SOUFIANE
Titre : PARALYSIES FACIALES PÉRIPHÉRIQUES : PROFIL ÉPIDEMIOLOGIQUE, CLINIQUE ET PARACLINIQUE, Type de document : thèse Auteurs : EL HABBOU SOUFIANE, Auteur Année de publication : 2021 Langues : Français (fre) Mots-clés : Paralysie faciale périphérique (PFP) Idiopathique Épidémiologie Étiologie Résumé : Introduction :
La paralysie faciale périphérique (PFP) est fréquente en consultation ORL. Quoique
bénigne, elle demeure grave du fait du préjudice esthétique. Le but de notre travail est d’étudier le
profil épidémiologique, étiologique et pronostique des PFP avec une revue de littérature.
Patients et méthodes :
Il s’agit d’une étude rétrospective portant sur une série de 59 patients, hospitalisés pour une
PFP, au sein du service d’ORL de l’Hôpital Militaire de Rabat, de janvier 2017 à décembre 2019.
Résultats :
L’âge moyen de notre série est 38 ans. 40 cas sont de sexe féminin. 35 cas ont une PFP
droite. 47,4% des cas n’ont pas d’antécédents particuliers. Le diabète est présent chez 20,33% des
cas et dans 6,7% des cas, la PFP était récidivante. Un seul cas était victime d’un traumatisme du
rocher (1,6%). Le délai de consultation est de 67,77% dans les trois premiers jours. 30,5% des
patients ont eu leur PFP durant les mois de Novembre, Décembre et Janvier. Le stade IV
représente 55,93% des PFP. La PFP à frigore représente 84,7% des étiologies, 46 cas ont un test
de Schirmer positif et des réflexes stapédiens absents. 48 cas ont eu une récupération
complète. Neuf patients ont eu une récupération incomplète dont 3 avec des syncinésies et des
spasmes. 2 cas n’ont pas récupéré.
Conclusion :
La PFP est une manifestation clinique qui peut révéler de graves pathologies.
L’étiologie herpétique est la plus fréquente dans notre série, son pronostic reste meilleur que les
autres étiologiesNuméro (Thèse ou Mémoire) : M0122021 Président : Mohammed ZALAGH Directeur : Fouad BENARIBA Juge : Leila ESSAKALI HOSSYNI Juge : Noureddine ERRAMI Juge : Bouchaib HEMMAOUI PARALYSIES FACIALES PÉRIPHÉRIQUES : PROFIL ÉPIDEMIOLOGIQUE, CLINIQUE ET PARACLINIQUE, [thèse] / EL HABBOU SOUFIANE, Auteur . - 2021.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Paralysie faciale périphérique (PFP) Idiopathique Épidémiologie Étiologie Résumé : Introduction :
La paralysie faciale périphérique (PFP) est fréquente en consultation ORL. Quoique
bénigne, elle demeure grave du fait du préjudice esthétique. Le but de notre travail est d’étudier le
profil épidémiologique, étiologique et pronostique des PFP avec une revue de littérature.
Patients et méthodes :
Il s’agit d’une étude rétrospective portant sur une série de 59 patients, hospitalisés pour une
PFP, au sein du service d’ORL de l’Hôpital Militaire de Rabat, de janvier 2017 à décembre 2019.
Résultats :
L’âge moyen de notre série est 38 ans. 40 cas sont de sexe féminin. 35 cas ont une PFP
droite. 47,4% des cas n’ont pas d’antécédents particuliers. Le diabète est présent chez 20,33% des
cas et dans 6,7% des cas, la PFP était récidivante. Un seul cas était victime d’un traumatisme du
rocher (1,6%). Le délai de consultation est de 67,77% dans les trois premiers jours. 30,5% des
patients ont eu leur PFP durant les mois de Novembre, Décembre et Janvier. Le stade IV
représente 55,93% des PFP. La PFP à frigore représente 84,7% des étiologies, 46 cas ont un test
de Schirmer positif et des réflexes stapédiens absents. 48 cas ont eu une récupération
complète. Neuf patients ont eu une récupération incomplète dont 3 avec des syncinésies et des
spasmes. 2 cas n’ont pas récupéré.
Conclusion :
La PFP est une manifestation clinique qui peut révéler de graves pathologies.
L’étiologie herpétique est la plus fréquente dans notre série, son pronostic reste meilleur que les
autres étiologiesNuméro (Thèse ou Mémoire) : M0122021 Président : Mohammed ZALAGH Directeur : Fouad BENARIBA Juge : Leila ESSAKALI HOSSYNI Juge : Noureddine ERRAMI Juge : Bouchaib HEMMAOUI Réservation
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Exemplaires
Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M0122021 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2021 Disponible M0122021-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2021 Disponible Documents numériques
M0122021URL
Titre : Les principales étiologies de l’urticaire chez l’enfant. Type de document : thèse Auteurs : ELKHASSAR youssra, Auteur Année de publication : 2018 Langues : Français (fre) Mots-clés : Aspect clinique épidémiologie étiologie traitement Résumé : L’urticaire est une dermatose inflammatoire fréquente. Cliniquement définie par la Survenue de lésions papuleuses œdémateuses « ortiées », rosées ou érythémateuses, à bordure nette, de taille variable, isolées ou confluant. Fugaces, les lésions persistent de quelques minutes à quelques heures et disparaissent sans laisser de traces.
Lorsque les crises urticariennes apparaissent de façon quotidienne ou quasi quotidienne pendant plus de six semaines, on parle alors d’urticaire chronique (UC).
L’urticaire aiguë est la présentation clinique la plus fréquente chez les enfants, souvent déclenchée par une infection virale d’origine respiratoire.
Sur le plan physiopathologique, c’est l’activation des mastocytes et des polynucléaires basophiles qui est le phénomèneclef.
La plupart des urticaires chroniques relèvent d’un mécanisme non allergique.
Le diagnostic de l’urticaire est clinique reposant sur l’interrogatoire et l’examen clinique.
L’origine allergique d’une urticaire aiguë està suspecter si les lésions surviennent dans lesminutes (ou au maximum dans un délai de 2 heures) après l’ingestion d’un aliment ou d’un médicament.Passé ce délai, l’origine allergique est très peuprobable.
Le traitement de l’urticaire reste symptomatique avec les antihistaminiques H1 de 2ème génération en première intention.
En cas d’urticaire chronique, un traitement de fond prolongé par antihistaminiques à posologie augmentée peut être nécessaire. Chez la majorité des patients, ce traitement est suffisant pour contrôler l’urticaire chronique.
La grande majorité des urticaires aigues dure quelques jours puis régresse sans séquelle : 5,4% des enfants sont encore affectés après 15 jours d’évolution. Seuls 0,1-0,3% évoluent vers une urticaire chronique (> 6 semaines d’évolution).
Le pronostic des urticaires chroniques pédiatriques est jugé bon avec 50% des enfants en rémission après 5 ans d’évolution.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M2582018 Président : BENTAHILA.A Directeur : JABOUIRIK.F Juge : EL HAMZAOUI.S Juge : TELLAL.S Juge : SEKHSOKH.Y Les principales étiologies de l’urticaire chez l’enfant. [thèse] / ELKHASSAR youssra, Auteur . - 2018.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Aspect clinique épidémiologie étiologie traitement Résumé : L’urticaire est une dermatose inflammatoire fréquente. Cliniquement définie par la Survenue de lésions papuleuses œdémateuses « ortiées », rosées ou érythémateuses, à bordure nette, de taille variable, isolées ou confluant. Fugaces, les lésions persistent de quelques minutes à quelques heures et disparaissent sans laisser de traces.
Lorsque les crises urticariennes apparaissent de façon quotidienne ou quasi quotidienne pendant plus de six semaines, on parle alors d’urticaire chronique (UC).
L’urticaire aiguë est la présentation clinique la plus fréquente chez les enfants, souvent déclenchée par une infection virale d’origine respiratoire.
Sur le plan physiopathologique, c’est l’activation des mastocytes et des polynucléaires basophiles qui est le phénomèneclef.
La plupart des urticaires chroniques relèvent d’un mécanisme non allergique.
Le diagnostic de l’urticaire est clinique reposant sur l’interrogatoire et l’examen clinique.
L’origine allergique d’une urticaire aiguë està suspecter si les lésions surviennent dans lesminutes (ou au maximum dans un délai de 2 heures) après l’ingestion d’un aliment ou d’un médicament.Passé ce délai, l’origine allergique est très peuprobable.
Le traitement de l’urticaire reste symptomatique avec les antihistaminiques H1 de 2ème génération en première intention.
En cas d’urticaire chronique, un traitement de fond prolongé par antihistaminiques à posologie augmentée peut être nécessaire. Chez la majorité des patients, ce traitement est suffisant pour contrôler l’urticaire chronique.
La grande majorité des urticaires aigues dure quelques jours puis régresse sans séquelle : 5,4% des enfants sont encore affectés après 15 jours d’évolution. Seuls 0,1-0,3% évoluent vers une urticaire chronique (> 6 semaines d’évolution).
Le pronostic des urticaires chroniques pédiatriques est jugé bon avec 50% des enfants en rémission après 5 ans d’évolution.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M2582018 Président : BENTAHILA.A Directeur : JABOUIRIK.F Juge : EL HAMZAOUI.S Juge : TELLAL.S Juge : SEKHSOKH.Y Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M2582018 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2018 Disponible M2582018-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2018 Disponible Documents numériques
M2582018URL La prise en charge du pied creux chez l’enfant. Etude rétrospective à propos de 54 cas / LIDYA Imad
Titre : La prise en charge du pied creux chez l’enfant. Etude rétrospective à propos de 54 cas Type de document : thèse Auteurs : LIDYA Imad, Auteur Année de publication : 2015 Langues : Français (fre) Mots-clés : Pied creux Diagnostic Etiologie Traitement Enfant. Résumé : Le pied creuxest une maladie acquise avec la croissance, exceptionnellement congénitale, il est communément caractérisé par l’accentuation de la voûte plantaire, correspondant à l’augmentation de hauteur des arches longitudinales du pied. La surface d'appui du pied au sol s’en trouve diminuée.
Nous avons donc entrepris de faire la synthèse des travaux de littérature concernant cette affection, ainsi qu’une étude rétrospective clinique, étiologique et thérapeutique
sur 54 cas de pied creux (34enfants) colligés au service de Traumato-orthopédie Pédiatrique de l’Hôpital d’Enfants de Rabat.
Cette étude nous a permis de dégager quelques-unes des pathologies responsables
du pied creux chez l’enfant, qui sont dominées par les affections neurologiques.la maladie
de Charcot-Marie-Tooth en est la plus fréquente, chez 68% des cas de notre série.
Le traitement était surtout chirurgical, les moyens médicaux conservateurs peuvent permettre de prolonger la tolérance du pied creux. Leur insuffisance peut conduire à des interventions chirurgicales correctrices comportant des transferts et allongements tendineux, une libération plantaire, des ostéotomies extra-articulaires, métatarsiennes, tarsiennes
ou calcanéennes, voire des arthrodèses dans les cas les plus évolués.
Les indications thérapeutiques dépendent de l’âge, de l’évolutivité du pied creux, ainsi que des associations lésionnelles et de leur réductibilité.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M0872015 Président : EL MADHI.T Directeur : EL ALAMI.F.Z Juge : KISRA.M Juge : ERRAJI.M Juge : ZERHOUNI.H La prise en charge du pied creux chez l’enfant. Etude rétrospective à propos de 54 cas [thèse] / LIDYA Imad, Auteur . - 2015.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Pied creux Diagnostic Etiologie Traitement Enfant. Résumé : Le pied creuxest une maladie acquise avec la croissance, exceptionnellement congénitale, il est communément caractérisé par l’accentuation de la voûte plantaire, correspondant à l’augmentation de hauteur des arches longitudinales du pied. La surface d'appui du pied au sol s’en trouve diminuée.
Nous avons donc entrepris de faire la synthèse des travaux de littérature concernant cette affection, ainsi qu’une étude rétrospective clinique, étiologique et thérapeutique
sur 54 cas de pied creux (34enfants) colligés au service de Traumato-orthopédie Pédiatrique de l’Hôpital d’Enfants de Rabat.
Cette étude nous a permis de dégager quelques-unes des pathologies responsables
du pied creux chez l’enfant, qui sont dominées par les affections neurologiques.la maladie
de Charcot-Marie-Tooth en est la plus fréquente, chez 68% des cas de notre série.
Le traitement était surtout chirurgical, les moyens médicaux conservateurs peuvent permettre de prolonger la tolérance du pied creux. Leur insuffisance peut conduire à des interventions chirurgicales correctrices comportant des transferts et allongements tendineux, une libération plantaire, des ostéotomies extra-articulaires, métatarsiennes, tarsiennes
ou calcanéennes, voire des arthrodèses dans les cas les plus évolués.
Les indications thérapeutiques dépendent de l’âge, de l’évolutivité du pied creux, ainsi que des associations lésionnelles et de leur réductibilité.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M0872015 Président : EL MADHI.T Directeur : EL ALAMI.F.Z Juge : KISRA.M Juge : ERRAJI.M Juge : ZERHOUNI.H Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M0872015 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2015 Disponible M0872015-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2015 Disponible PROFIL ETIOLOGIQUE ET EVOLUTIF DES PANCREATITES AIGUES EXPERIENCE DU SERVICE DE GASTRO-ENTEROLOGIE I DE L’HOPITAL MILITAIRE MOHAMMED V. / ABDOUL BASTOI Mariama
Titre : PROFIL ETIOLOGIQUE ET EVOLUTIF DES PANCREATITES AIGUES EXPERIENCE DU SERVICE DE GASTRO-ENTEROLOGIE I DE L’HOPITAL MILITAIRE MOHAMMED V. Type de document : thèse Auteurs : ABDOUL BASTOI Mariama, Auteur Année de publication : 2019 Langues : Français (fre) Mots-clés : Etiologie Pancréatite aigüe Pronostic Résumé : Introduction :
La pancréatite aigüe est un processus inflammatoire du pancréas. Le pronostic et l’évolution dépendent de l’étendue des lésions, du caractère systémique de l’affection, de l’étiologie, et du terrain. C’est une urgence médico-chirurgicale dont l’incidence paraît en augmentation.
Objectif :
Etudier le profil étiologique des pancréatites aigues et décrire l’évolution des malades dans le contexte marocain.
Matériel et méthodes :
Etude prospective, descriptive, portant sur 40 patients colligés au service de gastro-entérologie I de l’hôpital militaire Mohamed V pour Pancréatite aiguë durant une période de 3 ans allant de décembre 2015 à décembre 2018.
Résultats :
L’âge moyen 56,8 ans (extrême 20 à 83 ans) avec 64.3% des femmes et 35,7% d’hommes, sexe ratio 1,8.
Le diagnostic de la pancréatite aigüe a été établi devant des douleurs abdominales associé à une hyperlipasémie . La TDM est l’examen de choix pour l’évaluation pronostique : score de Balthazar
Le pronostic a été évalué par le score SIRS .
L’étiologie était dominée par l’origine biliaire dans 78,6%, alcoolique 7,1%, médicamenteuse 3,6%, métabolique 3,6% alors que 10,7% étaient d’origines indéterminées.
Tous les patients ont bénéficié du traitement médical, 32,1% de cholangiopancréatographie rétrograde endoscopique, 14,3% de cholécystectomie.
L’évolution favorable chez 96,4%, bien qu’ayant une atteinte multi-viscérale à l’entrée.
Le taux de mortalité 3,6% et la durée moyenne d’hospitalisation 10 jours.
Conclusion :
La Pancréatite Aiguë reste une urgence médico-chirurgicale dont les étiologies d’origine biliaire et alcoolique. La recherche et le traitement de la cause sont essentiels pour éviter les récidives et doivent se faire à distance de la poussée en multipliant si besoin les examens d’imagerie.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M2402019 Président : BALKHI.H Directeur : AOURARH.A Juge : AIT ALI.A Juge : SALIHOUN.M PROFIL ETIOLOGIQUE ET EVOLUTIF DES PANCREATITES AIGUES EXPERIENCE DU SERVICE DE GASTRO-ENTEROLOGIE I DE L’HOPITAL MILITAIRE MOHAMMED V. [thèse] / ABDOUL BASTOI Mariama, Auteur . - 2019.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Etiologie Pancréatite aigüe Pronostic Résumé : Introduction :
La pancréatite aigüe est un processus inflammatoire du pancréas. Le pronostic et l’évolution dépendent de l’étendue des lésions, du caractère systémique de l’affection, de l’étiologie, et du terrain. C’est une urgence médico-chirurgicale dont l’incidence paraît en augmentation.
Objectif :
Etudier le profil étiologique des pancréatites aigues et décrire l’évolution des malades dans le contexte marocain.
Matériel et méthodes :
Etude prospective, descriptive, portant sur 40 patients colligés au service de gastro-entérologie I de l’hôpital militaire Mohamed V pour Pancréatite aiguë durant une période de 3 ans allant de décembre 2015 à décembre 2018.
Résultats :
L’âge moyen 56,8 ans (extrême 20 à 83 ans) avec 64.3% des femmes et 35,7% d’hommes, sexe ratio 1,8.
Le diagnostic de la pancréatite aigüe a été établi devant des douleurs abdominales associé à une hyperlipasémie . La TDM est l’examen de choix pour l’évaluation pronostique : score de Balthazar
Le pronostic a été évalué par le score SIRS .
L’étiologie était dominée par l’origine biliaire dans 78,6%, alcoolique 7,1%, médicamenteuse 3,6%, métabolique 3,6% alors que 10,7% étaient d’origines indéterminées.
Tous les patients ont bénéficié du traitement médical, 32,1% de cholangiopancréatographie rétrograde endoscopique, 14,3% de cholécystectomie.
L’évolution favorable chez 96,4%, bien qu’ayant une atteinte multi-viscérale à l’entrée.
Le taux de mortalité 3,6% et la durée moyenne d’hospitalisation 10 jours.
Conclusion :
La Pancréatite Aiguë reste une urgence médico-chirurgicale dont les étiologies d’origine biliaire et alcoolique. La recherche et le traitement de la cause sont essentiels pour éviter les récidives et doivent se faire à distance de la poussée en multipliant si besoin les examens d’imagerie.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M2402019 Président : BALKHI.H Directeur : AOURARH.A Juge : AIT ALI.A Juge : SALIHOUN.M Réservation
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M2402019URL PROFIL DES THROMBOSES VEINEUSES DIGESTIVES : A PROPOS DE 49 CAS / ZAIZAA MERYEM
Titre : PROFIL DES THROMBOSES VEINEUSES DIGESTIVES : A PROPOS DE 49 CAS Type de document : thèse Auteurs : ZAIZAA MERYEM, Auteur Année de publication : 2023 Langues : Français (fre) Mots-clés : Thrombose veineuse digestive Etiologie Anticoagulation Résumé : Introduction : La maladie veineuse thromboembolique est un sujet toujours d’actualité,
nous nous intéressons à travers cette étude aux thromboses veineuses digestives, dont le but
est d’analyser le profil épidémiologique, clinique, étiologique et évolutif.
Matériels et Méthodes : Etude rétrospective descriptive sur dossiers des patients
hospitalisés pour thromboses veineuses digestives au sein des services de médecine interne de
l’Hôpital Militaire d’Instruction Mohammed V de Rabat, s’étalant sur une période de 10 ans
(entre janvier 2013 et novembre 2022).
Résultats : Un total de 49 patients était recensé, l’âge moyen était de 51,8 ans+/- 17, 8,
avec une prédominance féminine.
Les circonstances de découverte étaient dominées par la douleur abdominale (n=43)
dans les formes aigue et les signes d’hypertension portale (n=15) dans les formes chroniques.
La découverte fortuite n’était pas exceptionnelle (n=7).
La topographie de la thrombose concernait la veine porte (n=29), les veines sus
hépatiques (n=10) , la veine mésentérique inférieure (n=2), la veine mésentérique supérieur
(n=12) , la veine cave inférieur (n=6) et le tronc spléno-mésaraïque (n=6).
La néoplasie digestive et la cirrhose hépatique constituaient les causes locales majeures,
concernant respectivement 12,2% et 16,3% des patients dans notre étude. La thrombophilie
héréditaire est retrouvée chez 7 patients, la maladie de Behçet dans 4 cas, le syndrome
myéloprolifératif dans 2 cas, le syndrome des antiphospholipides dans 2 cas, un cas de
maladie cœliaque, 4 cas de tumeur solide.
La thrombose veineuse digestive idiopathique est objectivée dans 14,3% des cas.
Le traitement était basée sur l’anticoagulation curative associée au traitement
étiologique. L‘évolution est marquée par la reperméabilisation dans 51,2%, le décès qui est
survenu chez 6 de nos patients.
Conclusion : On conclut que les thromboses veineuses digestives constituent un défi
clinique et étiologique quotidien. La prise en charge thérapeutique est basée sur les
anticoagulants, sans omettre le traitement étiologique qui s’avère nécessaire.Numéro (Thèse ou Mémoire) : MS0012024 Directeur : Adil RKIOUAK PROFIL DES THROMBOSES VEINEUSES DIGESTIVES : A PROPOS DE 49 CAS [thèse] / ZAIZAA MERYEM, Auteur . - 2023.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Thrombose veineuse digestive Etiologie Anticoagulation Résumé : Introduction : La maladie veineuse thromboembolique est un sujet toujours d’actualité,
nous nous intéressons à travers cette étude aux thromboses veineuses digestives, dont le but
est d’analyser le profil épidémiologique, clinique, étiologique et évolutif.
Matériels et Méthodes : Etude rétrospective descriptive sur dossiers des patients
hospitalisés pour thromboses veineuses digestives au sein des services de médecine interne de
l’Hôpital Militaire d’Instruction Mohammed V de Rabat, s’étalant sur une période de 10 ans
(entre janvier 2013 et novembre 2022).
Résultats : Un total de 49 patients était recensé, l’âge moyen était de 51,8 ans+/- 17, 8,
avec une prédominance féminine.
Les circonstances de découverte étaient dominées par la douleur abdominale (n=43)
dans les formes aigue et les signes d’hypertension portale (n=15) dans les formes chroniques.
La découverte fortuite n’était pas exceptionnelle (n=7).
La topographie de la thrombose concernait la veine porte (n=29), les veines sus
hépatiques (n=10) , la veine mésentérique inférieure (n=2), la veine mésentérique supérieur
(n=12) , la veine cave inférieur (n=6) et le tronc spléno-mésaraïque (n=6).
La néoplasie digestive et la cirrhose hépatique constituaient les causes locales majeures,
concernant respectivement 12,2% et 16,3% des patients dans notre étude. La thrombophilie
héréditaire est retrouvée chez 7 patients, la maladie de Behçet dans 4 cas, le syndrome
myéloprolifératif dans 2 cas, le syndrome des antiphospholipides dans 2 cas, un cas de
maladie cœliaque, 4 cas de tumeur solide.
La thrombose veineuse digestive idiopathique est objectivée dans 14,3% des cas.
Le traitement était basée sur l’anticoagulation curative associée au traitement
étiologique. L‘évolution est marquée par la reperméabilisation dans 51,2%, le décès qui est
survenu chez 6 de nos patients.
Conclusion : On conclut que les thromboses veineuses digestives constituent un défi
clinique et étiologique quotidien. La prise en charge thérapeutique est basée sur les
anticoagulants, sans omettre le traitement étiologique qui s’avère nécessaire.Numéro (Thèse ou Mémoire) : MS0012024 Directeur : Adil RKIOUAK Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité MS0012024 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires Mémoires de Spécialités Disponible LES REPRISES CHIRURGICALES EN PATHOLOGIE DIGESTIVE: FACTEURS ETIOLOGIQUES ET PRONOSTIQUES. / Bahi Mohamed
Titre : LES REPRISES CHIRURGICALES EN PATHOLOGIE DIGESTIVE: FACTEURS ETIOLOGIQUES ET PRONOSTIQUES. Type de document : thèse Auteurs : Bahi Mohamed, Auteur Année de publication : 2010 Langues : Français (fre) Mots-clés : REPRISE CHIRURGIE DIGESTIVE ETIOLOGIE PRONOSTIC. Index. décimale : WA SANTE PUBLIQUE - PROFESSION MEDICALE Résumé : Notre étude est une étude rétrospective qui décrit les reprises chirurgicales en pathologie digestive sur les plans épidémiologique, diagnostique, thérapeutique et pronostique, afin d'évaluer notre prise en charge.
Matériel et méthodes:
Pour rendre ce travail possible nous avons étudié 25 observations de malades qui ont subi une ou plusieurs reprises chirurgicales et qui ont séjourné au service de réanimation chirurgicale de l'hôpital militaire d'instruction Mohammed V de Rabat, sur une période s'étendant de Janvier 2008 à Novembre 2009.
Résultats:
Parmi les 25 observations étudiées, nous avons noté une prédominance du sexe masculin 72%. L'âge moyen était de 54 ans. Les péritonites post opératoires étaient la cause la plus fréquente ayant posé l'indication de la relaparotomie 76%. La reprise chirurgicale ainsi que l'antibiothérapie à large spectre et la réanimation étaient les moyens thérapeutiques fondamentaux. La mortalité globale était de 28%.
Discussion
Dans cette série les données sont globalement comparables à celles publiées actuellement par la majorité des auteurs. Le délai de la réintervention ainsi que le traitement adapté en fonction des cas, ont montré une nette progression de la prise en charge.
Conclusion:
Il est évident qu'on peut améliorer le pronostic des reprises chirurgicales en pathologie digestive en optimisant la prise en charge.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M0322010 Président : SIF EDDINE AL KANDRI Directeur : ABDELWAHED BAITE Juge : AHMED BOUNAIM LES REPRISES CHIRURGICALES EN PATHOLOGIE DIGESTIVE: FACTEURS ETIOLOGIQUES ET PRONOSTIQUES. [thèse] / Bahi Mohamed, Auteur . - 2010.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : REPRISE CHIRURGIE DIGESTIVE ETIOLOGIE PRONOSTIC. Index. décimale : WA SANTE PUBLIQUE - PROFESSION MEDICALE Résumé : Notre étude est une étude rétrospective qui décrit les reprises chirurgicales en pathologie digestive sur les plans épidémiologique, diagnostique, thérapeutique et pronostique, afin d'évaluer notre prise en charge.
Matériel et méthodes:
Pour rendre ce travail possible nous avons étudié 25 observations de malades qui ont subi une ou plusieurs reprises chirurgicales et qui ont séjourné au service de réanimation chirurgicale de l'hôpital militaire d'instruction Mohammed V de Rabat, sur une période s'étendant de Janvier 2008 à Novembre 2009.
Résultats:
Parmi les 25 observations étudiées, nous avons noté une prédominance du sexe masculin 72%. L'âge moyen était de 54 ans. Les péritonites post opératoires étaient la cause la plus fréquente ayant posé l'indication de la relaparotomie 76%. La reprise chirurgicale ainsi que l'antibiothérapie à large spectre et la réanimation étaient les moyens thérapeutiques fondamentaux. La mortalité globale était de 28%.
Discussion
Dans cette série les données sont globalement comparables à celles publiées actuellement par la majorité des auteurs. Le délai de la réintervention ainsi que le traitement adapté en fonction des cas, ont montré une nette progression de la prise en charge.
Conclusion:
Il est évident qu'on peut améliorer le pronostic des reprises chirurgicales en pathologie digestive en optimisant la prise en charge.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M0322010 Président : SIF EDDINE AL KANDRI Directeur : ABDELWAHED BAITE Juge : AHMED BOUNAIM Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M0322010 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2010 Disponible
Titre : Urticaire chez l’enfant démarche diagnostic et traitement Type de document : thèse Auteurs : Ichar Mariem, Auteur Année de publication : 2014 Langues : Français (fre) Mots-clés : épidémiologie Aspect clinique étiologie traitement Résumé : L’urticaire est une dermatose inflammatoire fréquente. Elle est cliniquement définie par la survenue de lésions papuleuses cutanées et/ou muqueuses fugaces et migratrices appelées plaques parfois associées à des œdèmes sous-cutanés ou muqueux appelés angio-œdèmes. On différencie selon leur durée d’évolution les urticaires aiguës des urticaires chroniques qui durent plus de 6 semaines.
Différentes formes cliniques d’urticaires peuvent coexister chez un même patient. L’urticaire résulte d’une activation des mastocytes.
Le diagnostic de l’urticaire est clinique reposant sur l’interrogatoire et l’examen clinique. Une étiologie allergique en cas d’urticaire aiguë, bien que rare, est systématiquement à rechercher et à éliminer.
L’urticaire chronique n’est pas allergique, son diagnostic repose sur un interrogatoire et un examen clinique soigneux pour éliminer des diagnostics différentiels. Peu d’examens paracliniques sont nécessaires pour son diagnostic et sa prise en charge.
Le traitement de l’urticaire est symptomatique et repose sur les antihistaminiques anti-H1 de 2egénération en première intention. En cas d’urticaire chronique, un traitement de fond prolongé par antihistaminiques à posologie augmentée peut être nécessaire. Chez la majorité des patients, ce traitement est suffisant pour contrôler l’urticaire chronique.
En cas d’échec des antihistaminiques, d’autres traitements en particulier immunomodulateurs peuvent être proposés dans des centres spécialisés.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M1262014 Président : BENTAHILA.A Directeur : JABOURIK.F Juge : CHOKAIRI.O Juge : MANSOURI.F Urticaire chez l’enfant démarche diagnostic et traitement [thèse] / Ichar Mariem, Auteur . - 2014.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : épidémiologie Aspect clinique étiologie traitement Résumé : L’urticaire est une dermatose inflammatoire fréquente. Elle est cliniquement définie par la survenue de lésions papuleuses cutanées et/ou muqueuses fugaces et migratrices appelées plaques parfois associées à des œdèmes sous-cutanés ou muqueux appelés angio-œdèmes. On différencie selon leur durée d’évolution les urticaires aiguës des urticaires chroniques qui durent plus de 6 semaines.
Différentes formes cliniques d’urticaires peuvent coexister chez un même patient. L’urticaire résulte d’une activation des mastocytes.
Le diagnostic de l’urticaire est clinique reposant sur l’interrogatoire et l’examen clinique. Une étiologie allergique en cas d’urticaire aiguë, bien que rare, est systématiquement à rechercher et à éliminer.
L’urticaire chronique n’est pas allergique, son diagnostic repose sur un interrogatoire et un examen clinique soigneux pour éliminer des diagnostics différentiels. Peu d’examens paracliniques sont nécessaires pour son diagnostic et sa prise en charge.
Le traitement de l’urticaire est symptomatique et repose sur les antihistaminiques anti-H1 de 2egénération en première intention. En cas d’urticaire chronique, un traitement de fond prolongé par antihistaminiques à posologie augmentée peut être nécessaire. Chez la majorité des patients, ce traitement est suffisant pour contrôler l’urticaire chronique.
En cas d’échec des antihistaminiques, d’autres traitements en particulier immunomodulateurs peuvent être proposés dans des centres spécialisés.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M1262014 Président : BENTAHILA.A Directeur : JABOURIK.F Juge : CHOKAIRI.O Juge : MANSOURI.F Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M1262014 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2014 Disponible M1262014-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2014 Disponible Documents numériques
M1262014URL Vulvo-vaginite : diagnostic clinique-etiologique et conduite therapetique / MARRAHA FARAH
Titre : Vulvo-vaginite : diagnostic clinique-etiologique et conduite therapetique Type de document : thèse Auteurs : MARRAHA FARAH, Auteur Année de publication : 2016 Langues : Français (fre) Mots-clés : Vulvo-vaginite Fille Clinique Etiologie Traitement Résumé : La vulvo-vaginite est généralement considéré comme le problème gynécologique le plus fréquemment rencontré chez les filles prépubères. La susceptibilité accrue des filles à cette pathologie est due à un ensemble de facteurs anatomiques, environnementaux et comportementaux.
En pratique, les termes vulvite, vaginite et vulvo-vaginite sont souvent utilisés de façon interchangeable pour le diagnostic des affections inflammatoires du tractus génital inférieur.
Les symptômes les plus fréquents de cette pathologie sont les pertes vaginales, prurit, érythème, et la douleur.
Le diagnostic de l'infection est souvent difficile car il existe un chevauchement entre la flore vaginale pathogène et normale ; le diagnostic étiologique doit être donc l’aboutissement de la confrontation des orientations cliniques et des résultats paracliniques.
Les causes non infectieuses sont de loin le diagnostic prédominant (manque d’hygiène et les irritants chimiques), un agent infectieux n’est cultivé que dans 20 à 26% des cas.
Le streptocoque β-hémolytique du groupe A est l’agent pathogène le plus identifié lors des vulvo-vaginites prépubères. Les autres agents pathogènes non sexuellement transmissibles sont Haemophilusinfluenzae, Staphylococcus aureus, Streptococcus pneumoniae, Neisseriameningitidis, Shigella et Yersinia entercolitica. En dehors d’un terrain particulier (immunodépression, diabète antibiothérapie récente), le Candidaalbicans est rarement isolé chez la jeune fille.
Les oxyures, le corps étranger et les dermatoses inflammatoires à localisation vulvo-vaginale sont les autres causes des vulvo-vaginites.
L’isolement d’un agent pathogène sexuellement transmissible chez les enfants prépubères (Neisseriagonorrhoeae, Trichomonas vaginalis ou Chlamydia trachomatis) est très évocateur d’un abus sexuel, même si d’autres modes de transmission sont possibles.
La prise en charge primaire repose sur des mesures d’hygiènes et l’éviction des facteurs irritants, les traitements spécifiques ne doivent être administrés qu’après une confirmation clinique et paraclinique.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M0622016 Président : BENTAHILA.A Directeur : JABOUIRIK.F Juge : EL HAMZAOUI.S Juge : BERNOUSSI.Z Vulvo-vaginite : diagnostic clinique-etiologique et conduite therapetique [thèse] / MARRAHA FARAH, Auteur . - 2016.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Vulvo-vaginite Fille Clinique Etiologie Traitement Résumé : La vulvo-vaginite est généralement considéré comme le problème gynécologique le plus fréquemment rencontré chez les filles prépubères. La susceptibilité accrue des filles à cette pathologie est due à un ensemble de facteurs anatomiques, environnementaux et comportementaux.
En pratique, les termes vulvite, vaginite et vulvo-vaginite sont souvent utilisés de façon interchangeable pour le diagnostic des affections inflammatoires du tractus génital inférieur.
Les symptômes les plus fréquents de cette pathologie sont les pertes vaginales, prurit, érythème, et la douleur.
Le diagnostic de l'infection est souvent difficile car il existe un chevauchement entre la flore vaginale pathogène et normale ; le diagnostic étiologique doit être donc l’aboutissement de la confrontation des orientations cliniques et des résultats paracliniques.
Les causes non infectieuses sont de loin le diagnostic prédominant (manque d’hygiène et les irritants chimiques), un agent infectieux n’est cultivé que dans 20 à 26% des cas.
Le streptocoque β-hémolytique du groupe A est l’agent pathogène le plus identifié lors des vulvo-vaginites prépubères. Les autres agents pathogènes non sexuellement transmissibles sont Haemophilusinfluenzae, Staphylococcus aureus, Streptococcus pneumoniae, Neisseriameningitidis, Shigella et Yersinia entercolitica. En dehors d’un terrain particulier (immunodépression, diabète antibiothérapie récente), le Candidaalbicans est rarement isolé chez la jeune fille.
Les oxyures, le corps étranger et les dermatoses inflammatoires à localisation vulvo-vaginale sont les autres causes des vulvo-vaginites.
L’isolement d’un agent pathogène sexuellement transmissible chez les enfants prépubères (Neisseriagonorrhoeae, Trichomonas vaginalis ou Chlamydia trachomatis) est très évocateur d’un abus sexuel, même si d’autres modes de transmission sont possibles.
La prise en charge primaire repose sur des mesures d’hygiènes et l’éviction des facteurs irritants, les traitements spécifiques ne doivent être administrés qu’après une confirmation clinique et paraclinique.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M0622016 Président : BENTAHILA.A Directeur : JABOUIRIK.F Juge : EL HAMZAOUI.S Juge : BERNOUSSI.Z Réservation
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Exemplaires
Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M0622016 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2016 Disponible M0622016-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2016 Disponible