Accueil
A partir de cette page vous pouvez :
Retourner au premier écran avec les dernières notices... |
Résultat de la recherche
12 résultat(s) recherche sur le mot-clé 'Morphine'
Affiner la recherche Faire une suggestion
ANTALGIQUES MORPHINIQUES ET DÉRIVÉS DANS LA PRISE EN CHARGE DE LA DOULEUR : LIMITES ET CONTRAINTES DE PRESCRIPTION / LEMACHA KHAOULA
Titre : ANTALGIQUES MORPHINIQUES ET DÉRIVÉS DANS LA PRISE EN CHARGE DE LA DOULEUR : LIMITES ET CONTRAINTES DE PRESCRIPTION Type de document : thèse Auteurs : LEMACHA KHAOULA, Auteur Année de publication : 2021 Langues : Français (fre) Mots-clés : Antalgiques Douleur Morphine Opioïdes Stupéfiants Résumé : "Introduction : La gestion de la douleur repose notamment sur les médicaments analgésiques, y compris les produits morphiniques stupéfiants. Cet ouvrage est consacré à la mise en évidence des contraintes réglementaires auxquelles est soumise la prescription de cette catégorie de médicaments.
Méthodes : Pour assurer cet objectif, on s’est basé sur l'analyse des informations recueillies à la suite d'un questionnaire simple et direct destiné aux praticiens de la région de Rabat-Salé sur une période de deux mois entre octobre et JANVIER de l'année 2020.
Résultats : Le nombre total de prescripteurs d'opiacés interrogés est de 100 médecins, dont 20% sont des généralistes, 24% des médecins universitaires et 56% des spécialistes, avec une prédominance de la spécialité réanimation-anesthésie suivie de l'oncologie. La prescription d'analgésiques morphiniques occupe la première place lorsqu'il s'agit de douleurs intenses, avec une prédominance de la morphine et du fentanyl et de leurs dérivés, qui sont donc les plus disponibles pour la grande majorité des praticiens. Les carnets à souches, supports indispensables à la prescription de stupéfiants pour 68% des médecins, mais non disponibles en permanence pour 66%, bien qu’ils soient nécessaires pour assurer une traçabilité maximale. Cette traçabilité n'est jugée fiable que par 24% des médecins, alors que la législation relative à la prescription de stupéfiants est considérée complexe par 57% des médecins et limite encore la prescription pour 65% des médecins.
Conclusion : La prescription des stupéfiants encadrée par une réglementation stricte nécessaire pour assurer la traçabilité, mais elle rend cet acte médical lourd et encombrant."
Numéro (Thèse ou Mémoire) : P0632021 Président : ICHOU MOHAMED Directeur : DERRAJI SOUFIANE Juge : BAITE ABDELOUAHED Juge : EL HARTI JAOUAD ANTALGIQUES MORPHINIQUES ET DÉRIVÉS DANS LA PRISE EN CHARGE DE LA DOULEUR : LIMITES ET CONTRAINTES DE PRESCRIPTION [thèse] / LEMACHA KHAOULA, Auteur . - 2021.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Antalgiques Douleur Morphine Opioïdes Stupéfiants Résumé : "Introduction : La gestion de la douleur repose notamment sur les médicaments analgésiques, y compris les produits morphiniques stupéfiants. Cet ouvrage est consacré à la mise en évidence des contraintes réglementaires auxquelles est soumise la prescription de cette catégorie de médicaments.
Méthodes : Pour assurer cet objectif, on s’est basé sur l'analyse des informations recueillies à la suite d'un questionnaire simple et direct destiné aux praticiens de la région de Rabat-Salé sur une période de deux mois entre octobre et JANVIER de l'année 2020.
Résultats : Le nombre total de prescripteurs d'opiacés interrogés est de 100 médecins, dont 20% sont des généralistes, 24% des médecins universitaires et 56% des spécialistes, avec une prédominance de la spécialité réanimation-anesthésie suivie de l'oncologie. La prescription d'analgésiques morphiniques occupe la première place lorsqu'il s'agit de douleurs intenses, avec une prédominance de la morphine et du fentanyl et de leurs dérivés, qui sont donc les plus disponibles pour la grande majorité des praticiens. Les carnets à souches, supports indispensables à la prescription de stupéfiants pour 68% des médecins, mais non disponibles en permanence pour 66%, bien qu’ils soient nécessaires pour assurer une traçabilité maximale. Cette traçabilité n'est jugée fiable que par 24% des médecins, alors que la législation relative à la prescription de stupéfiants est considérée complexe par 57% des médecins et limite encore la prescription pour 65% des médecins.
Conclusion : La prescription des stupéfiants encadrée par une réglementation stricte nécessaire pour assurer la traçabilité, mais elle rend cet acte médical lourd et encombrant."
Numéro (Thèse ou Mémoire) : P0632021 Président : ICHOU MOHAMED Directeur : DERRAJI SOUFIANE Juge : BAITE ABDELOUAHED Juge : EL HARTI JAOUAD Réservation
Réserver ce document
Exemplaires
Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité P0632021 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesPharm2021 Disponible P0632021-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesPharm2021 Disponible Documents numériques
P0632021URL LES ANTALGIQUES EN ONCOLOGIE : ACTUALITÉS THÉRAPEUTIQUES / BOUBEKEUR HIBA
Titre : LES ANTALGIQUES EN ONCOLOGIE : ACTUALITÉS THÉRAPEUTIQUES Type de document : thèse Auteurs : BOUBEKEUR HIBA, Auteur Année de publication : 2023 Langues : Français (fre) Mots-clés : Antalgiques Douleur Cancer Opioïdes Morphine Analgesics pain cancer opioids morphine مسكنات، لأ م سرطا مو لأفيوني مو فين Résumé : La douleur en oncologie reste un aspect primordial de la vie des patients. C’est ce qu’ils craignent le plus que ce soit celle liée au traitement ou causée par le cancer en soit. La douleur réduit considérablement la qualité de vie ainsi que la santé physique et mentale des patients. D’où l’importance que le personnel de santé y accorde son attention pour chaque cas.
Au fur et à mesure des années une liste contenant une panoplie d’analgésiques a été établie pour aider à atténuer les symptômes douloureux des différents types de cancer. L’Organisation Mondiale de la Santé les classe selon 3 paliers : Les plus forts étant les opiacés forts dont la morphine et ses dérivés, suivis par les opiacés faibles et les antalgiques non opioïdes en dernier lieu.
Par la suite on retrouve les analgésiques adjuvants. Il y’a ceux qui restent polyvalents comme les antidépresseurs et les corticostéroïdes et ceux spécifiques pour le traitement de certaines douleurs qu’elles soient neuropathiques, osseuses ou musculo-squelettiques.
Il existe également un traitement non habituel utilisé depuis quelques années à l’occident. Il s’agit du cannabidiol extrait de la plante cannabis sativa. Il soulage l’anxiété, la dépression, les nausées, vomissements et les mucites buccales liées au traitement du cancer.
Il faut noter que les médicaments destinés aux humains dont le principe actif est une substance vénéneuse ne peuvent être délivrés qu’à travers une prescription médicale obligatoire. Ces médicaments sont ainsi classés selon plusieurs listes Ces listes sont variables selon les pays et évoluent avec le temps.
De nombreux nouveaux traitements contre la douleur cancéreuse apparaissent récemment et continuent d’apparaitre à travers les années. C’est un domaine qui doit rester en évolution continue afin de toujours répondre aux attentes des patients.Numéro (Thèse ou Mémoire) : P1232023 Président : Rachid TANZ Directeur : ALAOUI SLIMANI Khaoula Juge : MAHFOUD Tarik Juge : EL MAJJAOUI Sanaa Juge : KHMAMOUCHE Mohamed Reda LES ANTALGIQUES EN ONCOLOGIE : ACTUALITÉS THÉRAPEUTIQUES [thèse] / BOUBEKEUR HIBA, Auteur . - 2023.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Antalgiques Douleur Cancer Opioïdes Morphine Analgesics pain cancer opioids morphine مسكنات، لأ م سرطا مو لأفيوني مو فين Résumé : La douleur en oncologie reste un aspect primordial de la vie des patients. C’est ce qu’ils craignent le plus que ce soit celle liée au traitement ou causée par le cancer en soit. La douleur réduit considérablement la qualité de vie ainsi que la santé physique et mentale des patients. D’où l’importance que le personnel de santé y accorde son attention pour chaque cas.
Au fur et à mesure des années une liste contenant une panoplie d’analgésiques a été établie pour aider à atténuer les symptômes douloureux des différents types de cancer. L’Organisation Mondiale de la Santé les classe selon 3 paliers : Les plus forts étant les opiacés forts dont la morphine et ses dérivés, suivis par les opiacés faibles et les antalgiques non opioïdes en dernier lieu.
Par la suite on retrouve les analgésiques adjuvants. Il y’a ceux qui restent polyvalents comme les antidépresseurs et les corticostéroïdes et ceux spécifiques pour le traitement de certaines douleurs qu’elles soient neuropathiques, osseuses ou musculo-squelettiques.
Il existe également un traitement non habituel utilisé depuis quelques années à l’occident. Il s’agit du cannabidiol extrait de la plante cannabis sativa. Il soulage l’anxiété, la dépression, les nausées, vomissements et les mucites buccales liées au traitement du cancer.
Il faut noter que les médicaments destinés aux humains dont le principe actif est une substance vénéneuse ne peuvent être délivrés qu’à travers une prescription médicale obligatoire. Ces médicaments sont ainsi classés selon plusieurs listes Ces listes sont variables selon les pays et évoluent avec le temps.
De nombreux nouveaux traitements contre la douleur cancéreuse apparaissent récemment et continuent d’apparaitre à travers les années. C’est un domaine qui doit rester en évolution continue afin de toujours répondre aux attentes des patients.Numéro (Thèse ou Mémoire) : P1232023 Président : Rachid TANZ Directeur : ALAOUI SLIMANI Khaoula Juge : MAHFOUD Tarik Juge : EL MAJJAOUI Sanaa Juge : KHMAMOUCHE Mohamed Reda Réservation
Réserver ce document
Exemplaires
Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité P1232023 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesPharm2023 Disponible BLOC MAXILLAIRE BILATERAL PAR VOIE SUPRA ZYGOMATIQUE DANS LA CHIRURGIE DE LA FENTE LABIO PALATINE CHEZ L’ENFANT : VERS UNE ANESTHESIE SANS MORPHINIQUE / Yousra GUELZIM
Titre : BLOC MAXILLAIRE BILATERAL PAR VOIE SUPRA ZYGOMATIQUE DANS LA CHIRURGIE DE LA FENTE LABIO PALATINE CHEZ L’ENFANT : VERS UNE ANESTHESIE SANS MORPHINIQUE Type de document : thèse Auteurs : Yousra GUELZIM, Auteur Année de publication : 2021 Langues : Français (fre) Mots-clés : Bloc maxillaire supra zygomatique Anesthésie Analgésie Morphine Résumé : Introduction: Cleft lip and palate repair surgery is painful and highly risked in terms of
respiratory complications, which are emphasized with morphine-type administration.
Maxillary nerve block loco-regional anesthesia is an alternative technic to conventional
analgesic approaches.
Our study objective is to determine Bupicavine efficient minimum dose to be injected « In-
plan» through suprazygomatic block approach while ensuring method’s safety and efficiency
Material & method: This prospective randomized triple-blinded study has been realized
in the main operating unit of Rabat’s Children Hospital’s facility, over a 12 months period [Jan.
20 – Dec. 20]
Patients treated with suprazygomatic block approach that have been split into 2 equal
groups (G1 & G2 - 30 people each), with the following ventilation: G1 bupivacaine 0,125%
& G2 bupivacaine 0,25%.
Main assessment criterion was postoperative pain measurement through FLACC score
method.
Results: Suprazygomatic block technic was successfully executed on every patient of both
groups. No differences have been identified within demographic DATA nor clinical features.
Intraoperatively, in both groups, heart rate and mean blood pressure have decreased in
comparison to surgical incision momentum (p=0,039 et p0,001)
Postoperatively, analgesia duration within G1 was at 23,6 ± 1,12 hours vs. 19,73 ± 5,39
within G2 (p= 0,026).
In parallel, Morphine total consumptions were at 93 0-200 g and 200 0-240 g
(p=0,049). No serious complications have occurred
Conclusion: Usage of 0,125% Bupivacaine solution provide a qualitative post operation
anesthesia equivalent and comparable to the one gained with 0,25% Bupivacaine.Numéro (Thèse ou Mémoire) : M1002021 Président : Salma ECH-CHERIF EL KETTANI Directeur : Alae EL KORAICHI Juge : Aziza BENTALHA Juge : Nawfal FEJJAL BLOC MAXILLAIRE BILATERAL PAR VOIE SUPRA ZYGOMATIQUE DANS LA CHIRURGIE DE LA FENTE LABIO PALATINE CHEZ L’ENFANT : VERS UNE ANESTHESIE SANS MORPHINIQUE [thèse] / Yousra GUELZIM, Auteur . - 2021.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Bloc maxillaire supra zygomatique Anesthésie Analgésie Morphine Résumé : Introduction: Cleft lip and palate repair surgery is painful and highly risked in terms of
respiratory complications, which are emphasized with morphine-type administration.
Maxillary nerve block loco-regional anesthesia is an alternative technic to conventional
analgesic approaches.
Our study objective is to determine Bupicavine efficient minimum dose to be injected « In-
plan» through suprazygomatic block approach while ensuring method’s safety and efficiency
Material & method: This prospective randomized triple-blinded study has been realized
in the main operating unit of Rabat’s Children Hospital’s facility, over a 12 months period [Jan.
20 – Dec. 20]
Patients treated with suprazygomatic block approach that have been split into 2 equal
groups (G1 & G2 - 30 people each), with the following ventilation: G1 bupivacaine 0,125%
& G2 bupivacaine 0,25%.
Main assessment criterion was postoperative pain measurement through FLACC score
method.
Results: Suprazygomatic block technic was successfully executed on every patient of both
groups. No differences have been identified within demographic DATA nor clinical features.
Intraoperatively, in both groups, heart rate and mean blood pressure have decreased in
comparison to surgical incision momentum (p=0,039 et p0,001)
Postoperatively, analgesia duration within G1 was at 23,6 ± 1,12 hours vs. 19,73 ± 5,39
within G2 (p= 0,026).
In parallel, Morphine total consumptions were at 93 0-200 g and 200 0-240 g
(p=0,049). No serious complications have occurred
Conclusion: Usage of 0,125% Bupivacaine solution provide a qualitative post operation
anesthesia equivalent and comparable to the one gained with 0,25% Bupivacaine.Numéro (Thèse ou Mémoire) : M1002021 Président : Salma ECH-CHERIF EL KETTANI Directeur : Alae EL KORAICHI Juge : Aziza BENTALHA Juge : Nawfal FEJJAL Réservation
Réserver ce document
Exemplaires
Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M1002021 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2021 Disponible M1002021-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2021 Disponible Documents numériques
M1002021URL Efficacité et effets secondaires de la morphine intrathécale en chirurgie sous ombilicale : 100µg vs 75µg : étude prospective comparative de 100 patients et revue de la littérature / ELBAKAL Ayoub
Titre : Efficacité et effets secondaires de la morphine intrathécale en chirurgie sous ombilicale : 100µg vs 75µg : étude prospective comparative de 100 patients et revue de la littérature Type de document : thèse Auteurs : ELBAKAL Ayoub, Auteur Année de publication : 2017 Langues : Français (fre) Mots-clés : morphine rachianesthésie analgésie postopératoire effets secondaires Résumé : La Rachianesthésie associant la morphine à la Marcaine est une technique anesthésique simple, sécurisante et moins onéreuse, indiquée pour la chirurgie sous ombilicale, procurant une analgésie postopératoire efficace de longue durée.
L’objectif de notre étude était de démontrer d’une part l’efficacité de la morphine injectée en intathécale pour le contrôle de la douleur postopératoire et d’autre part les effets secondaires de la morphine, en comparant deux doses différentes.
L’étude a concernée 100 patients, ayant bénéficiés d’une chirurgie sous
ombilicale programmée sous rachianesthésie, qui ont été randomisés en deux groupes : le groupe A sous 100 µg, et le groupe B sous 75µg de morphine intrathécale combinée à 12,5 mg de bupivacaïne hyperbare 0,5% ,
L’âge moyen de nos patients était de 46 ans avec une prédominance du sexe masculin (sexe ratio a 3,16), L’hypertension artérielle a prédominé dans les antécédents médicaux (14%) La chirurgie traumatologique et orthopédique a dominé les indications opératoires ( 49%)
Les résultats étaient superposables au sein des deux groupes concernant l’évolution de l’état hémodynamique et respiratoire des patients en per et post opératoire
le délai moyen de la première demande d’analgésie était supérieur dans le groupe A par rapport au groupe B, cependant l’évolution de la l’intensité de la douleur (à l’EVA) restait superposable dans les deux protocoles pendant les premières 24h post opératoire ( p = 0,82)
l’incidence des effets secondaires était plus importante chez le groupe A surtout concernant les nausées et les vomissements post-opératoire ( p = 0,04)
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M3032017 Président : AMHAJJI.L Directeur : HACHIMI.M.A Juge : LOUASTE.J Juge : AWAB.M Efficacité et effets secondaires de la morphine intrathécale en chirurgie sous ombilicale : 100µg vs 75µg : étude prospective comparative de 100 patients et revue de la littérature [thèse] / ELBAKAL Ayoub, Auteur . - 2017.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : morphine rachianesthésie analgésie postopératoire effets secondaires Résumé : La Rachianesthésie associant la morphine à la Marcaine est une technique anesthésique simple, sécurisante et moins onéreuse, indiquée pour la chirurgie sous ombilicale, procurant une analgésie postopératoire efficace de longue durée.
L’objectif de notre étude était de démontrer d’une part l’efficacité de la morphine injectée en intathécale pour le contrôle de la douleur postopératoire et d’autre part les effets secondaires de la morphine, en comparant deux doses différentes.
L’étude a concernée 100 patients, ayant bénéficiés d’une chirurgie sous
ombilicale programmée sous rachianesthésie, qui ont été randomisés en deux groupes : le groupe A sous 100 µg, et le groupe B sous 75µg de morphine intrathécale combinée à 12,5 mg de bupivacaïne hyperbare 0,5% ,
L’âge moyen de nos patients était de 46 ans avec une prédominance du sexe masculin (sexe ratio a 3,16), L’hypertension artérielle a prédominé dans les antécédents médicaux (14%) La chirurgie traumatologique et orthopédique a dominé les indications opératoires ( 49%)
Les résultats étaient superposables au sein des deux groupes concernant l’évolution de l’état hémodynamique et respiratoire des patients en per et post opératoire
le délai moyen de la première demande d’analgésie était supérieur dans le groupe A par rapport au groupe B, cependant l’évolution de la l’intensité de la douleur (à l’EVA) restait superposable dans les deux protocoles pendant les premières 24h post opératoire ( p = 0,82)
l’incidence des effets secondaires était plus importante chez le groupe A surtout concernant les nausées et les vomissements post-opératoire ( p = 0,04)
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M3032017 Président : AMHAJJI.L Directeur : HACHIMI.M.A Juge : LOUASTE.J Juge : AWAB.M Réservation
Réserver ce document
Exemplaires
Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M3032017 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2017 Disponible M3032017-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2017 Disponible ETUDE DE LA RACHIANALGESIE MORPHINIQUE DANS LA CHIRURGIE ABDOMINALE LOURDE ETUDE PROSPECTIVE DE 50 PATIENTS ET REVUE DE LA LITTERATURE / WAFAE EL OTMANI
Titre : ETUDE DE LA RACHIANALGESIE MORPHINIQUE DANS LA CHIRURGIE ABDOMINALE LOURDE ETUDE PROSPECTIVE DE 50 PATIENTS ET REVUE DE LA LITTERATURE Type de document : thèse Auteurs : WAFAE EL OTMANI, Auteur Année de publication : 2012 Langues : Français (fre) Mots-clés : MORPHINE ANALGESIE INJECTION INTRATHECALE DOULEUR POSTOPERATOIRE. Résumé : La rachianalgésie morphinique est une technique adéquate pour assurer l’analgésie postopératoire après une laparotomie lourde. L’injection préopératoire intrathécale de morphine assure une analgésie efficace dès le réveil, de longue durée tout en respectant les conditions de sécurité du patient. Le but de cette étude est d’évaluer l’intérêt de la rachianalgésie morphinique en chirurgie abdominale lourde.
Avant l’induction d’une anesthésie générale, les patients reçoivent une injection intrathécale de 0,25 mg de morphine. Les scores de douleur, les besoins en morphine, les effets secondaires et la satisfaction des patients sont recueillis pendant les 48 heures postopératoires.
50 patients candidats à une chirurgie abdominale lourde ont été inclus dans l’étude ; 27 hommes (54%) et 23 femmes (46%). la chirurgie vasculaire était la plus fréquente (35%) suivie de la chirurgie colorectale (19%) et celle du pancréas (16%). Au réveil, le score de douleur était de 0 chez 32 patients (64%) et inférieur à 3 chez 6 (12%). 22 patients n’ont pas nécessité d’administration supplémentaire de morphine après le réveil. Les paramètres hémodynamiques postopératoires sont restés stables. Aucune complication grave neurologique ou respiratoire n’a été notée. La plupart des patients étaient satisfaits ou très satisfaits de l’analgésie.
La rachianalgésie morphinique est séduisante par sa simplicité et sa fiabilité dans la prise en charge de la douleur postopératoire. La stabilité hémodynamique postopératoire est un avantage non négligeable notamment chez les patients à risque cardiovasculaire élevé. Son association à d’autres moyens pourrait constituer une alternative à la péridurale analgésique à risque plus élevé de complications
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M0652012 Président : ABDERRAHIM AZZOUZI Directeur : AHMED EL HIJRI Juge : ABDELMAJID MOUSSAOUI Juge : MOUSTAPHA ALILOU ETUDE DE LA RACHIANALGESIE MORPHINIQUE DANS LA CHIRURGIE ABDOMINALE LOURDE ETUDE PROSPECTIVE DE 50 PATIENTS ET REVUE DE LA LITTERATURE [thèse] / WAFAE EL OTMANI, Auteur . - 2012.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : MORPHINE ANALGESIE INJECTION INTRATHECALE DOULEUR POSTOPERATOIRE. Résumé : La rachianalgésie morphinique est une technique adéquate pour assurer l’analgésie postopératoire après une laparotomie lourde. L’injection préopératoire intrathécale de morphine assure une analgésie efficace dès le réveil, de longue durée tout en respectant les conditions de sécurité du patient. Le but de cette étude est d’évaluer l’intérêt de la rachianalgésie morphinique en chirurgie abdominale lourde.
Avant l’induction d’une anesthésie générale, les patients reçoivent une injection intrathécale de 0,25 mg de morphine. Les scores de douleur, les besoins en morphine, les effets secondaires et la satisfaction des patients sont recueillis pendant les 48 heures postopératoires.
50 patients candidats à une chirurgie abdominale lourde ont été inclus dans l’étude ; 27 hommes (54%) et 23 femmes (46%). la chirurgie vasculaire était la plus fréquente (35%) suivie de la chirurgie colorectale (19%) et celle du pancréas (16%). Au réveil, le score de douleur était de 0 chez 32 patients (64%) et inférieur à 3 chez 6 (12%). 22 patients n’ont pas nécessité d’administration supplémentaire de morphine après le réveil. Les paramètres hémodynamiques postopératoires sont restés stables. Aucune complication grave neurologique ou respiratoire n’a été notée. La plupart des patients étaient satisfaits ou très satisfaits de l’analgésie.
La rachianalgésie morphinique est séduisante par sa simplicité et sa fiabilité dans la prise en charge de la douleur postopératoire. La stabilité hémodynamique postopératoire est un avantage non négligeable notamment chez les patients à risque cardiovasculaire élevé. Son association à d’autres moyens pourrait constituer une alternative à la péridurale analgésique à risque plus élevé de complications
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M0652012 Président : ABDERRAHIM AZZOUZI Directeur : AHMED EL HIJRI Juge : ABDELMAJID MOUSSAOUI Juge : MOUSTAPHA ALILOU Réservation
Réserver ce document
Exemplaires
Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M0652012 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2012 Disponible L’IMPACT DE LA RACHIANALGESIE MORPHINIQUE SELON LA DOSE, SUR L’INTENSITE DE LA DOULEUR POSTOPERATOIRE, APRES CHIRURGIE GYNECOLOGIQUE / Yousra LAMARTI
Titre : L’IMPACT DE LA RACHIANALGESIE MORPHINIQUE SELON LA DOSE, SUR L’INTENSITE DE LA DOULEUR POSTOPERATOIRE, APRES CHIRURGIE GYNECOLOGIQUE Type de document : thèse Auteurs : Yousra LAMARTI, Auteur Année de publication : 2022 Langues : Français (fre) Mots-clés : rachianalgésie morphine injection intrathécale douleur post opératoire chirurgie
gynécologique.Résumé : Introduction : Le cancer gynécologique représente 50% des cancers féminins dans le monde. La
douleur postopératoire après chirurgie gynécologique reste prévisible et souvent intense. La
rachianalgésie morphinique dans ce contexte s’est avérée bien tolérée et assurant une analgésie
efficace.
L’objectif de notre travail est de déterminer l’impact de la rachianalgésie morphinique selon la
dose 0.1 à 0.2 µg, sur l’intensité de la douleur chronique post chirurgicale et d’évaluer les effets
indésirables de la morphine intrathécale.
Matériel et méthode :
Il s’agit d’une étude interventionnelle, prospective, de type essai randomisé contrôlé mono
centrique en double aveugle ayant eu lieu à l’Institut National d’Oncologie (INO) de Rabat,
s’étendant sur une période de 6 mois (du premier octobre 2021 au premier avril 2022). Cette
étude porte sur des femmes ayant un âge supérieur ou égale à 18 ans et inférieur à 70 ans, un
statut physique de classe I à III de ASA et devant subir une chirurgie gynécologique de type
Wertheim, (colpohystérectomie totale avec annexectomie bilatérale). Les patientes ont été
réparties en deux groupes comparables : l’un ayant reçu 100 µg de morphine intrathécale, l’autre
200 µg. Après recueil des données nous avons analysé l’efficacité de l’analgésie post opératoire
dans les deux groupes.
Résultats :
Au total, 60 patientes ont été incluses dans l’étude, avec 30 malades pour chaque groupe.
L’analgésie postopératoire était plus efficace avec des doses à 200 µg par rapport à 100 µg. La
consommation des morphiniques par voie intraveineuse en post opératoire, était beaucoup plus
supérieure dans le groupe ayant reçu 100 µg par rapport au groupe ayant reçu 200 µg, avec un
pourcentage de 53,3% versus 20,0% (p =0,007). L’utilisation d’une rachianalgésie avec une dose
de 200 µg de morphine a permis donc de diminuer la consommation des morphiniques en
postopératoireNuméro (Thèse ou Mémoire) : MS0152022 Président : Abdel-Ilah GHANNAM L’IMPACT DE LA RACHIANALGESIE MORPHINIQUE SELON LA DOSE, SUR L’INTENSITE DE LA DOULEUR POSTOPERATOIRE, APRES CHIRURGIE GYNECOLOGIQUE [thèse] / Yousra LAMARTI, Auteur . - 2022.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : rachianalgésie morphine injection intrathécale douleur post opératoire chirurgie
gynécologique.Résumé : Introduction : Le cancer gynécologique représente 50% des cancers féminins dans le monde. La
douleur postopératoire après chirurgie gynécologique reste prévisible et souvent intense. La
rachianalgésie morphinique dans ce contexte s’est avérée bien tolérée et assurant une analgésie
efficace.
L’objectif de notre travail est de déterminer l’impact de la rachianalgésie morphinique selon la
dose 0.1 à 0.2 µg, sur l’intensité de la douleur chronique post chirurgicale et d’évaluer les effets
indésirables de la morphine intrathécale.
Matériel et méthode :
Il s’agit d’une étude interventionnelle, prospective, de type essai randomisé contrôlé mono
centrique en double aveugle ayant eu lieu à l’Institut National d’Oncologie (INO) de Rabat,
s’étendant sur une période de 6 mois (du premier octobre 2021 au premier avril 2022). Cette
étude porte sur des femmes ayant un âge supérieur ou égale à 18 ans et inférieur à 70 ans, un
statut physique de classe I à III de ASA et devant subir une chirurgie gynécologique de type
Wertheim, (colpohystérectomie totale avec annexectomie bilatérale). Les patientes ont été
réparties en deux groupes comparables : l’un ayant reçu 100 µg de morphine intrathécale, l’autre
200 µg. Après recueil des données nous avons analysé l’efficacité de l’analgésie post opératoire
dans les deux groupes.
Résultats :
Au total, 60 patientes ont été incluses dans l’étude, avec 30 malades pour chaque groupe.
L’analgésie postopératoire était plus efficace avec des doses à 200 µg par rapport à 100 µg. La
consommation des morphiniques par voie intraveineuse en post opératoire, était beaucoup plus
supérieure dans le groupe ayant reçu 100 µg par rapport au groupe ayant reçu 200 µg, avec un
pourcentage de 53,3% versus 20,0% (p =0,007). L’utilisation d’une rachianalgésie avec une dose
de 200 µg de morphine a permis donc de diminuer la consommation des morphiniques en
postopératoireNuméro (Thèse ou Mémoire) : MS0152022 Président : Abdel-Ilah GHANNAM Réservation
Réserver ce document
Exemplaires
Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité MS0152022 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires Mémoires de Spécialités Disponible MS0152022-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires Mémoires de Spécialités Disponible Documents numériques
MS0152022URL INNOCUITE ET EFFICACITE DE LA RACHIANESTHESIE A FAIBLES DOSES DE BUPIVACAINE ASSOCIEE A LA MORPHINE EN CHIRURGIE PROCTOLOGIQUE / ZHIRI AHMED
Titre : INNOCUITE ET EFFICACITE DE LA RACHIANESTHESIE A FAIBLES DOSES DE BUPIVACAINE ASSOCIEE A LA MORPHINE EN CHIRURGIE PROCTOLOGIQUE Type de document : thèse Auteurs : ZHIRI AHMED, Auteur Année de publication : 2021 Langues : Français (fre) Mots-clés : Rachianesthésie Bupivacaïne Morphine Chirurgie proctologique Résumé : "La RA associant de faibles doses de bupivacaïne à la morphine, par l’excellente analgésie qu’elle procure, semble être une option intéressante en chirurgie proctologique. Cependant, son utilisation peut engendrer des effets indésirables non négligeables.
L’objectif de notre étude est d’évaluer, durant les 24 premières heures post-opératoires, l’efficacité et l’innocuité de la RA à faibles doses de bupivacaïne associée à la morphine chez des patients prévus pour chirurgie proctologique.
L’étude incluait 35 patients devant subir une chirurgie proctologique. Tous les patients étaient opérés sous RA à base de 5mg de bupivacaïne et 0,1mg de morphine intrathécale. L’efficacité de la RA était essentiellement évaluée par la qualité du bloc sensitif, profondeur du bloc moteur, ainsi que l’état hémodynamique et le besoin en vasoconstricteurs en peropératoire. L’efficacité de l’analgésie post-opératoire était évaluée à l’aide de l’EVA de douleur en période postopératoire. Pour apprécier l’innocuité, les effets indésirables étaient recueillis.
L’âge moyen des patients était de 46 ans, avec prédominance masculine. Le diabète et l’HTA dominaient les antécédents médicaux. La fistule anale était l’indication chirurgicale la plus fréquente. La technique a permis un bloc sensitif suffisant et de bonne qualité chez tous nos patients, bloc moteur rapidement résolutif, ainsi qu’une bonne stabilité hémodynamique peropératoire. L’analgésie post-opératoire était satisfaisante puisque l’EVA est restée à 3 chez tous les patients, et aucun n’a nécessité l’injection de morphine durant les premières 24 heures postopératoires. L’incidence de RAU post-opératoire et NVPO était nulle parmi nos patients, seulement 14,29% présentaient un prurit. Les patients comme les chirurgiens étaient totalement satisfaits de la qualité de l’anesthésie et l’analgésie post-opératoire, ces derniers n’ont pas constaté de changement par rapport à la technique habituelle.
Devant ces résultats, l’utilisation, en chirurgie proctologique, de la RA avec 5mg de bupivacaïne associée à la morphine est largement justifiée.
"
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M2412021 Président : IFRINE LAHSSAN Directeur : ALILOU MUSTAPHA Juge : AWAB AL MAHDI Juge : TADILI SIDI JAW INNOCUITE ET EFFICACITE DE LA RACHIANESTHESIE A FAIBLES DOSES DE BUPIVACAINE ASSOCIEE A LA MORPHINE EN CHIRURGIE PROCTOLOGIQUE [thèse] / ZHIRI AHMED, Auteur . - 2021.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Rachianesthésie Bupivacaïne Morphine Chirurgie proctologique Résumé : "La RA associant de faibles doses de bupivacaïne à la morphine, par l’excellente analgésie qu’elle procure, semble être une option intéressante en chirurgie proctologique. Cependant, son utilisation peut engendrer des effets indésirables non négligeables.
L’objectif de notre étude est d’évaluer, durant les 24 premières heures post-opératoires, l’efficacité et l’innocuité de la RA à faibles doses de bupivacaïne associée à la morphine chez des patients prévus pour chirurgie proctologique.
L’étude incluait 35 patients devant subir une chirurgie proctologique. Tous les patients étaient opérés sous RA à base de 5mg de bupivacaïne et 0,1mg de morphine intrathécale. L’efficacité de la RA était essentiellement évaluée par la qualité du bloc sensitif, profondeur du bloc moteur, ainsi que l’état hémodynamique et le besoin en vasoconstricteurs en peropératoire. L’efficacité de l’analgésie post-opératoire était évaluée à l’aide de l’EVA de douleur en période postopératoire. Pour apprécier l’innocuité, les effets indésirables étaient recueillis.
L’âge moyen des patients était de 46 ans, avec prédominance masculine. Le diabète et l’HTA dominaient les antécédents médicaux. La fistule anale était l’indication chirurgicale la plus fréquente. La technique a permis un bloc sensitif suffisant et de bonne qualité chez tous nos patients, bloc moteur rapidement résolutif, ainsi qu’une bonne stabilité hémodynamique peropératoire. L’analgésie post-opératoire était satisfaisante puisque l’EVA est restée à 3 chez tous les patients, et aucun n’a nécessité l’injection de morphine durant les premières 24 heures postopératoires. L’incidence de RAU post-opératoire et NVPO était nulle parmi nos patients, seulement 14,29% présentaient un prurit. Les patients comme les chirurgiens étaient totalement satisfaits de la qualité de l’anesthésie et l’analgésie post-opératoire, ces derniers n’ont pas constaté de changement par rapport à la technique habituelle.
Devant ces résultats, l’utilisation, en chirurgie proctologique, de la RA avec 5mg de bupivacaïne associée à la morphine est largement justifiée.
"
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M2412021 Président : IFRINE LAHSSAN Directeur : ALILOU MUSTAPHA Juge : AWAB AL MAHDI Juge : TADILI SIDI JAW Réservation
Réserver ce document
Exemplaires
Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M2412021 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2021 Disponible M2412021-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2021 Disponible Documents numériques
M2412021URL INTERET DU BLOC MAXILLAIRE SUPRA ZYGOMATIQUE DANS LA CHIRUGIE DE LA FENTE LABIO PALATINE EN PEDIATRIE / Mariame AMELLAL
Titre : INTERET DU BLOC MAXILLAIRE SUPRA ZYGOMATIQUE DANS LA CHIRUGIE DE LA FENTE LABIO PALATINE EN PEDIATRIE Type de document : thèse Auteurs : Mariame AMELLAL, Auteur Année de publication : 2022 Langues : Français (fre) Mots-clés : Bloc maxillaire supra zygomatique Anesthésie Analgésie Morphine Résumé : Introduction: l’anesthésie locorégionale du nerf maxillaire utilisée dans la
chirurgie de la fente labio-palatine chez l’enfant a démontré son efficacité en
terme d’analgésie et de diminution des complications pos opératoires.
L’objectif est de rechercher la dose minimale de bupivacaine dans le bloc
maxillaire par voie supra-zygomatique réalisée pour la première fois par une
technique dans le plan et de comparer son efficacité.
Matériel et méthode: C’est une étude prospective comparative randomisée
s’étalant sur 12 mois (du 16/01/2020 jusqu’au 12/12/2020) dans le bloc central de
l’hôpital d’enfants de Rabat.
Les patients ont été répartis en 2 groupes (30 par groupe) : G1 bupivacaine 0,125%
et G2 bupivacaine 0,25%
Résultats:
Chez tous nos malades, le bloc a été réussi on ne notant une similitude
concernant : les caractéristiques cliniques et démographiques, avec diminution
comparable des paramètres hémodynamiques en période opératoires dans les
deux groupes, avec une consommation similaire de morphine.
Conclusion: L’utilisation de la bupivacaine à une concentration de 0,125% a
démontré de bons résultats en terme d’analgésie post opératoire, ces résultats ont
été superposables à ceux que procure une concentration de bupivacaine à 0.25%Numéro (Thèse ou Mémoire) : MS0042022 Président : Alae El Koraichi INTERET DU BLOC MAXILLAIRE SUPRA ZYGOMATIQUE DANS LA CHIRUGIE DE LA FENTE LABIO PALATINE EN PEDIATRIE [thèse] / Mariame AMELLAL, Auteur . - 2022.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Bloc maxillaire supra zygomatique Anesthésie Analgésie Morphine Résumé : Introduction: l’anesthésie locorégionale du nerf maxillaire utilisée dans la
chirurgie de la fente labio-palatine chez l’enfant a démontré son efficacité en
terme d’analgésie et de diminution des complications pos opératoires.
L’objectif est de rechercher la dose minimale de bupivacaine dans le bloc
maxillaire par voie supra-zygomatique réalisée pour la première fois par une
technique dans le plan et de comparer son efficacité.
Matériel et méthode: C’est une étude prospective comparative randomisée
s’étalant sur 12 mois (du 16/01/2020 jusqu’au 12/12/2020) dans le bloc central de
l’hôpital d’enfants de Rabat.
Les patients ont été répartis en 2 groupes (30 par groupe) : G1 bupivacaine 0,125%
et G2 bupivacaine 0,25%
Résultats:
Chez tous nos malades, le bloc a été réussi on ne notant une similitude
concernant : les caractéristiques cliniques et démographiques, avec diminution
comparable des paramètres hémodynamiques en période opératoires dans les
deux groupes, avec une consommation similaire de morphine.
Conclusion: L’utilisation de la bupivacaine à une concentration de 0,125% a
démontré de bons résultats en terme d’analgésie post opératoire, ces résultats ont
été superposables à ceux que procure une concentration de bupivacaine à 0.25%Numéro (Thèse ou Mémoire) : MS0042022 Président : Alae El Koraichi Réservation
Réserver ce document
Exemplaires
Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité MS0042022 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires Mémoires de Spécialités Disponible MS0042022-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires Mémoires de Spécialités Disponible Documents numériques
MS0042022URL Morphine bolus + titration vs morphine titration pour le traitement des douleurs aigues sévères aux urgences de l’HMIMV / AHCHOUCH Sara
Titre : Morphine bolus + titration vs morphine titration pour le traitement des douleurs aigues sévères aux urgences de l’HMIMV Type de document : thèse Auteurs : AHCHOUCH Sara, Auteur Année de publication : 2015 Langues : Français (fre) Mots-clés : Douleur sévère aigue urgence morphine Résumé : Introduction : La titration morphinique par voie intraveineuse est la méthode de choix pour le traitement de la douleur aigue sévère aux urgences.
L’objectif de l’étude est la comparaison entre 02 protocolesde titration intraveineuse de morphine pour le traitement de la douleur aigue sévère aux urgences ayant fait l’objet de recommandation par la SFAR.
Patients et méthodes : 202 patients adultes admis aux urgences, ayant présentés un EVA ≥6 étaient inclus. Il s’agit d’une étude randomisée où le groupe 1 recevait une dose de charge de 0,1mg/kg suivie de doses successives de 2mg (Poids<60kg) ou 3mg (poids≥60kg) jusqu’à l’obtention d’un EVA≤ 3. Le 2ème groupe ne recevait pas de dose de charge initiale.
Résultats :
Dès la 5ème minute, le taux de soulagement des patients du groupe « bolus » était plus important 30,70% contre seulement 13,86 % dans le groupe « titration ». La moyenne d’EVA dans le groupe « bolus » était de 3[2 ; 4,25] à partir de 15minutes, situation qui n’a été enregistré dans le groupe « titration » qu’à partir de 35minutes avec une moyenne d’EVA de 3[2,25 ; 3].Enfin la majorité des patients, 94 (93,06%) du groupe « bolus » ont été soulagé au bout de 20minutes alors qu’un taux similaire 93(92,1%) n’est atteint qu’à 30 minutes dans le groupe « titration ». Les patients du groupe 1 avaient plus d’effets secondaires de types nausées et vomissements: avec une différence statistiquement significative (43,6% vs 27,7% ; p=0,019).
Conclusion : La titration de morphine avec dose de charge initiale semble plus rapide et plus efficace pour le soulagement des patients.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M2122015 Président : MOUSSAOUI.A Directeur : BELYAMANI.L Juge : EL MOUSSAOUI.R Juge : AMEZYANE.T Juge : EL KORAICHI.A Morphine bolus + titration vs morphine titration pour le traitement des douleurs aigues sévères aux urgences de l’HMIMV [thèse] / AHCHOUCH Sara, Auteur . - 2015.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Douleur sévère aigue urgence morphine Résumé : Introduction : La titration morphinique par voie intraveineuse est la méthode de choix pour le traitement de la douleur aigue sévère aux urgences.
L’objectif de l’étude est la comparaison entre 02 protocolesde titration intraveineuse de morphine pour le traitement de la douleur aigue sévère aux urgences ayant fait l’objet de recommandation par la SFAR.
Patients et méthodes : 202 patients adultes admis aux urgences, ayant présentés un EVA ≥6 étaient inclus. Il s’agit d’une étude randomisée où le groupe 1 recevait une dose de charge de 0,1mg/kg suivie de doses successives de 2mg (Poids<60kg) ou 3mg (poids≥60kg) jusqu’à l’obtention d’un EVA≤ 3. Le 2ème groupe ne recevait pas de dose de charge initiale.
Résultats :
Dès la 5ème minute, le taux de soulagement des patients du groupe « bolus » était plus important 30,70% contre seulement 13,86 % dans le groupe « titration ». La moyenne d’EVA dans le groupe « bolus » était de 3[2 ; 4,25] à partir de 15minutes, situation qui n’a été enregistré dans le groupe « titration » qu’à partir de 35minutes avec une moyenne d’EVA de 3[2,25 ; 3].Enfin la majorité des patients, 94 (93,06%) du groupe « bolus » ont été soulagé au bout de 20minutes alors qu’un taux similaire 93(92,1%) n’est atteint qu’à 30 minutes dans le groupe « titration ». Les patients du groupe 1 avaient plus d’effets secondaires de types nausées et vomissements: avec une différence statistiquement significative (43,6% vs 27,7% ; p=0,019).
Conclusion : La titration de morphine avec dose de charge initiale semble plus rapide et plus efficace pour le soulagement des patients.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M2122015 Président : MOUSSAOUI.A Directeur : BELYAMANI.L Juge : EL MOUSSAOUI.R Juge : AMEZYANE.T Juge : EL KORAICHI.A Réservation
Réserver ce document
Exemplaires
Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M2122015 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2015 Disponible M2122015-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2015 Disponible LES MORPHINIQUES CHEZ LES PATIENTS CANCEREUX / LAFOU FATIMA EZZAHRA
Titre : LES MORPHINIQUES CHEZ LES PATIENTS CANCEREUX Type de document : thèse Auteurs : LAFOU FATIMA EZZAHRA, Auteur Année de publication : 2007 Langues : Français (fre) Mots-clés : DOULEUR CANCEREUSE MORPHINE RECOMMANDATIONS DE L'MS REGLEMENTATION AU MAROC Index. décimale : WA SANTE PUBLIQUE - PROFESSION MEDICALE Numéro (Thèse ou Mémoire) : P0862007 Président : MESSARY ABDELHAMID Directeur : MAHMOUDI ABDELKRIM Juge : HANAFI SIDI MOHAMED Juge : / Juge : / LES MORPHINIQUES CHEZ LES PATIENTS CANCEREUX [thèse] / LAFOU FATIMA EZZAHRA, Auteur . - 2007.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : DOULEUR CANCEREUSE MORPHINE RECOMMANDATIONS DE L'MS REGLEMENTATION AU MAROC Index. décimale : WA SANTE PUBLIQUE - PROFESSION MEDICALE Numéro (Thèse ou Mémoire) : P0862007 Président : MESSARY ABDELHAMID Directeur : MAHMOUDI ABDELKRIM Juge : HANAFI SIDI MOHAMED Juge : / Juge : / Réservation
Réserver ce document
Exemplaires
Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité P0862007 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesPharm2007 Disponible LA PRISE EN CHARGE DE LA DOULEUR CANCEREUSE EN AMBULATOIRE. / ZINEB MESBAHI
Titre : LA PRISE EN CHARGE DE LA DOULEUR CANCEREUSE EN AMBULATOIRE. Type de document : thèse Auteurs : ZINEB MESBAHI, Auteur Année de publication : 2014 Langues : Français (fre) Mots-clés : DOULEUR CANCER MORPHINE Résumé : Introduction: Le défi du clinicien est d'adapter le traitement des douleurs cancéreuses à chaque patient.
Objectifs: L’objectif est d’évaluer, chez les patients atteints de cancer, l’évolution de la douleur, leur réponse au traitement antalgique sur les plans efficacité et tolérance.
Patients et méthodes: Il s'agit d'une étude de prévalence prospective réalisée d’Octobre 2012 à Mars 2013. Un questionnaire a été élaboré afin de récolter les données démographiques, cliniques et thérapeutiques des patients.
Une analyse statistique des données a été faite à l’aide du logiciel SPSS 13.0.
Résultats: Un total de 353 patients ont été colligés. Les cancers les plus fréquents étaient de type gynéco mammaires (35,7%), digestifs (21,2%), respiratoires et ORL (18,4%). Les patients souffraient d’une douleur nociceptive dans 89,8% des cas, et d’une douleur neuropathique dans 10,2% des cas. La valeur moyenne de l’EN était de 6,8 (± 1,4). Le traitement antérieur était par voie orale à base de morphine dans 32% des cas, Paracétamol (26%), Paracétamol + Tramadol (21%), Paracétamol + Codéine (14%), Paracétamol + Tramadol + Amitriptyline (7 %), Tramadol (4%).
Le traitement antalgique prescrit à la consultation était la morphine (51% des cas), Paracétamol + Tramadol (23%), Tramadol (5%), Tramadol + Paracétamol+ Amitriptyline (5%), Tramadol + AINS (4%), Codéine + Paracétamol (4%).
La douleur était absente ou diminuée chez 27,2% des patients, et elle était persistante voir augmentée chez 20,4% des patients.
Conclusion: Le traitement antalgique le plus prescrit est la morphine. Malgré une bonne observance, la moitié des patients présentent une résistance au traitement.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : P0062014 Président : CHERRAH.Y Directeur : AHID.S Juge : HESSISSEN.L Juge : MESBAHI.R Juge : BELKHADIR.Z LA PRISE EN CHARGE DE LA DOULEUR CANCEREUSE EN AMBULATOIRE. [thèse] / ZINEB MESBAHI, Auteur . - 2014.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : DOULEUR CANCER MORPHINE Résumé : Introduction: Le défi du clinicien est d'adapter le traitement des douleurs cancéreuses à chaque patient.
Objectifs: L’objectif est d’évaluer, chez les patients atteints de cancer, l’évolution de la douleur, leur réponse au traitement antalgique sur les plans efficacité et tolérance.
Patients et méthodes: Il s'agit d'une étude de prévalence prospective réalisée d’Octobre 2012 à Mars 2013. Un questionnaire a été élaboré afin de récolter les données démographiques, cliniques et thérapeutiques des patients.
Une analyse statistique des données a été faite à l’aide du logiciel SPSS 13.0.
Résultats: Un total de 353 patients ont été colligés. Les cancers les plus fréquents étaient de type gynéco mammaires (35,7%), digestifs (21,2%), respiratoires et ORL (18,4%). Les patients souffraient d’une douleur nociceptive dans 89,8% des cas, et d’une douleur neuropathique dans 10,2% des cas. La valeur moyenne de l’EN était de 6,8 (± 1,4). Le traitement antérieur était par voie orale à base de morphine dans 32% des cas, Paracétamol (26%), Paracétamol + Tramadol (21%), Paracétamol + Codéine (14%), Paracétamol + Tramadol + Amitriptyline (7 %), Tramadol (4%).
Le traitement antalgique prescrit à la consultation était la morphine (51% des cas), Paracétamol + Tramadol (23%), Tramadol (5%), Tramadol + Paracétamol+ Amitriptyline (5%), Tramadol + AINS (4%), Codéine + Paracétamol (4%).
La douleur était absente ou diminuée chez 27,2% des patients, et elle était persistante voir augmentée chez 20,4% des patients.
Conclusion: Le traitement antalgique le plus prescrit est la morphine. Malgré une bonne observance, la moitié des patients présentent une résistance au traitement.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : P0062014 Président : CHERRAH.Y Directeur : AHID.S Juge : HESSISSEN.L Juge : MESBAHI.R Juge : BELKHADIR.Z Réservation
Réserver ce document
Exemplaires
Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité P0062014 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesPharm2014 Disponible P0062014-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesPharm2014 Disponible RACHIANALGESIE A LA MORPHINE DANS LA CHIRURGIE CARCINOLOGIQUE GYNECOLOGIQUE / Marwa BAKKOUR
Titre : RACHIANALGESIE A LA MORPHINE DANS LA CHIRURGIE CARCINOLOGIQUE GYNECOLOGIQUE Type de document : thèse Auteurs : Marwa BAKKOUR, Auteur Année de publication : 2023 Langues : Français (fre) Mots-clés : Rachianalgésie morphine douleur postopératoire chirurgie gynécologique carcinologique Résumé : La rachianalgésie à la morphine est une technique simple qui a prouvé son efficacité
dans le contrôle de la douleur postopératoire.
L’objectif de notre étude est de déterminer l’efficacité des doses de 100 µg et 200 µg
de morphine intrathécale sur la douleur postopératoire et d’évaluer les effets
indésirables de la rachianalgésie à la morphine.
C’est une étude interventionnelle, prospective, de type essai randomisé contrôlé
mono centrique en double aveugle à l’Institut National d’Oncologie (INO) de
Rabat. Elle concerne des femmes ayant un âge supérieur ou égal à 18 ans et
inférieur à 70 ans, devant subir une chirurgie gynécologique de type Wertheim
(colpohystérectomie totale avec anexectomie bilatérale). Les patientes ont été
réparties en deux groupes : un groupe a reçu 100 µg de morphine intrathécale, et
l’autre a reçu 200 µg.
Les résultats ont montré une efficacité analgésique supérieure de la dose de 200 µg
par rapport à la dose de 100 µg. La consommation des morphiniques par voie
intraveineuse en postopératoire était beaucoup plus importante dans le groupe
ayant reçu 100 µg. Les effets indésirables rapportés ; nausées, vomissements, prurit,
était plus présents dans le groupe ayant reçu 100 µg de morphine intrathécale.Numéro (Thèse ou Mémoire) : M1342023 Président : Hafid HACHI Directeur : Hafid HACHI Juge : Zakaria Houssain Belkhadir Juge : Abdelilah GHANNAM Juge : Brahim EL AHMADI RACHIANALGESIE A LA MORPHINE DANS LA CHIRURGIE CARCINOLOGIQUE GYNECOLOGIQUE [thèse] / Marwa BAKKOUR, Auteur . - 2023.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Rachianalgésie morphine douleur postopératoire chirurgie gynécologique carcinologique Résumé : La rachianalgésie à la morphine est une technique simple qui a prouvé son efficacité
dans le contrôle de la douleur postopératoire.
L’objectif de notre étude est de déterminer l’efficacité des doses de 100 µg et 200 µg
de morphine intrathécale sur la douleur postopératoire et d’évaluer les effets
indésirables de la rachianalgésie à la morphine.
C’est une étude interventionnelle, prospective, de type essai randomisé contrôlé
mono centrique en double aveugle à l’Institut National d’Oncologie (INO) de
Rabat. Elle concerne des femmes ayant un âge supérieur ou égal à 18 ans et
inférieur à 70 ans, devant subir une chirurgie gynécologique de type Wertheim
(colpohystérectomie totale avec anexectomie bilatérale). Les patientes ont été
réparties en deux groupes : un groupe a reçu 100 µg de morphine intrathécale, et
l’autre a reçu 200 µg.
Les résultats ont montré une efficacité analgésique supérieure de la dose de 200 µg
par rapport à la dose de 100 µg. La consommation des morphiniques par voie
intraveineuse en postopératoire était beaucoup plus importante dans le groupe
ayant reçu 100 µg. Les effets indésirables rapportés ; nausées, vomissements, prurit,
était plus présents dans le groupe ayant reçu 100 µg de morphine intrathécale.Numéro (Thèse ou Mémoire) : M1342023 Président : Hafid HACHI Directeur : Hafid HACHI Juge : Zakaria Houssain Belkhadir Juge : Abdelilah GHANNAM Juge : Brahim EL AHMADI Réservation
Réserver ce document
Exemplaires
Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M1342023 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2023 Disponible