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EVALUATION CLINIQUE DE L'ANTI-VEGF DANS LE CANCER COLO-RECTAL METASTATIQUE / MOUZOUNT HOUDA
Titre : EVALUATION CLINIQUE DE L'ANTI-VEGF DANS LE CANCER COLO-RECTAL METASTATIQUE Type de document : thèse Auteurs : MOUZOUNT HOUDA, Auteur Année de publication : 2008 Langues : Français (fre) Mots-clés : Cancer colorectal métastatique Angiogenèse-Bevacizumab Index. décimale : WA SANTE PUBLIQUE - PROFESSION MEDICALE Résumé : L’association du Bevacizumab à la chimiothérapie standard a prouvé son efficacité dans le traitement du cancer colorectal métastatique ; son utilisation à l’échelle nationale est récente. Le but de notre travail est l’évaluation du profil de tolérance et de l’efficacité du Bevacizumab en association à la chimiothérapie dans notre contexte.
37 dossiers de cancer colorectal métastatique ont été étudiés de façon prospective de Mars 2005 à Février 2008, dans le service d’oncologie médicale à l’institut national d’oncologie de Rabat. L’analyse systématique de ces dossiers a permis d’établir le profil de sécurité du Bevacizumab, ainsi que son efficacité.
Le Bevacizumab a été associé aux protocoles de chimiothérapie standard à base de 5FU, capécitabine, oxaliplatine et irinotecan. Il a été administré selon deux modalités : 5mg /kg/15 jours ou 7,5mg/kg/21jours. 22 patients avaient reçu en première ligne, et 11 patients en deuxième ligne de traitement.
Les effets indésirables observés étaient l’hypertension artérielle (10,8% des cas), la protéinurie (13,5%), les syndromes hémorragiques (8,1%), 42% des malades n’avaient présenté aucune toxicité.
Les taux de réponse objective étaient de 31,8% en première ligne et 27% en deuxième ligne, la durée de survie était de 18 mois en 1ère ligne et 22 mois en 2ème ligne, le temps médian jusqu’à progression était de 6 mois en 1ère ligne et 9 mois en 2ème ligne.
La comparaison de nos résultats avec les essais de la littérature montre une concordance concernant les profils de tolérance et d’efficacité. Le Bevacizumab permettait un allongement significatif de la durée de survie, du temps de progression et du taux de réponse, quelque soit le protocole de chimiothérapie associé en 1ère ou en 2ème ligne. Il était globalement bien toléré hormis l’hypertension artérielle qui pouvait être jugulée par un simple traitement oral.
L’utilisation du Bevacizumab est récente dans notre pays, les premiers résultats semblent être prometteurs, le problème posé réside dans le coût élevé limitant son utilisation.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M2682008 Président : EL GUEDDARI EL KHALIL BRAHIM Directeur : ERRIHANI HASSAN Juge : ICHOU MOHAMED EVALUATION CLINIQUE DE L'ANTI-VEGF DANS LE CANCER COLO-RECTAL METASTATIQUE [thèse] / MOUZOUNT HOUDA, Auteur . - 2008.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Cancer colorectal métastatique Angiogenèse-Bevacizumab Index. décimale : WA SANTE PUBLIQUE - PROFESSION MEDICALE Résumé : L’association du Bevacizumab à la chimiothérapie standard a prouvé son efficacité dans le traitement du cancer colorectal métastatique ; son utilisation à l’échelle nationale est récente. Le but de notre travail est l’évaluation du profil de tolérance et de l’efficacité du Bevacizumab en association à la chimiothérapie dans notre contexte.
37 dossiers de cancer colorectal métastatique ont été étudiés de façon prospective de Mars 2005 à Février 2008, dans le service d’oncologie médicale à l’institut national d’oncologie de Rabat. L’analyse systématique de ces dossiers a permis d’établir le profil de sécurité du Bevacizumab, ainsi que son efficacité.
Le Bevacizumab a été associé aux protocoles de chimiothérapie standard à base de 5FU, capécitabine, oxaliplatine et irinotecan. Il a été administré selon deux modalités : 5mg /kg/15 jours ou 7,5mg/kg/21jours. 22 patients avaient reçu en première ligne, et 11 patients en deuxième ligne de traitement.
Les effets indésirables observés étaient l’hypertension artérielle (10,8% des cas), la protéinurie (13,5%), les syndromes hémorragiques (8,1%), 42% des malades n’avaient présenté aucune toxicité.
Les taux de réponse objective étaient de 31,8% en première ligne et 27% en deuxième ligne, la durée de survie était de 18 mois en 1ère ligne et 22 mois en 2ème ligne, le temps médian jusqu’à progression était de 6 mois en 1ère ligne et 9 mois en 2ème ligne.
La comparaison de nos résultats avec les essais de la littérature montre une concordance concernant les profils de tolérance et d’efficacité. Le Bevacizumab permettait un allongement significatif de la durée de survie, du temps de progression et du taux de réponse, quelque soit le protocole de chimiothérapie associé en 1ère ou en 2ème ligne. Il était globalement bien toléré hormis l’hypertension artérielle qui pouvait être jugulée par un simple traitement oral.
L’utilisation du Bevacizumab est récente dans notre pays, les premiers résultats semblent être prometteurs, le problème posé réside dans le coût élevé limitant son utilisation.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M2682008 Président : EL GUEDDARI EL KHALIL BRAHIM Directeur : ERRIHANI HASSAN Juge : ICHOU MOHAMED Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M2682008 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2008 Disponible IMPLICATION DES GENES KRAS, NRAS ET BRAF DANS LE CANCER COLORECTAL METASTATIQUE / TIGANA Sofia dite Safiatou
Titre : IMPLICATION DES GENES KRAS, NRAS ET BRAF DANS LE CANCER COLORECTAL METASTATIQUE Type de document : thèse Auteurs : TIGANA Sofia dite Safiatou, Auteur Année de publication : 2020 Langues : Français (fre) Mots-clés : Cancer colorectal métastatique KRAS NRAS BRAF Maroc Résumé : Introduction: Le statut RAS/BRAF est un biomarqueur prédictif de la réponse aux anti-EGFR dans
le cancer colorectal métastatique (CCRm). La technologie Idylla (TI) est un système de test
moléculaire entièrement automatisé, basé sur la PCR en temps réel et permet d’obtenir des résultats
rapidement pour un temps de préparation très court.
Objectif: Evaluer le statut mutationnel full RAS et BRAF chez les patients marocains atteints de
CCRm.
Matériel et méthodes: Les échantillons fixés au formol et inclus en paraffine (FFPE), obtenus entre
février et juin 2020, ont été analysés à l'aide de la TI. Le pourcentage de cellules tumorales minimal
était de 10%, après contrôle morphologique. 1 à 5 coupes de 5 microns étaient prélevées via un
microtome dédié et insérées directement dans la cartouche Idylla.
Résultats: 40 échantillons de CCRm ont fait l’objet d’une recherche de mutation RAS/BRAF, 8
(20%) n’ont pas pu être traités pour insuffisance de matériel tumoral. Au total, 32 patients ont été
inclus dans cette étude, 46,88% étaient des femmes et 53,12%des hommes, l'âge moyen étant de
54,81ans avec des extrêmes allant de 23 à 78 ans. Tous nos patients ont été diagnostiqués pour un
adénocarcinome (ADK). 53,12 % des tumeurs étaient des mutants KRAS et la majorité des
mutations se traduisait par une substitution d’acide aminé glycine par l’acide aspartique. Les
mutations dominantes sont les transversions G>T (42,3%) et les transitions G>A (41,3%). En
revanche, les mutations NRAS ont été détectées chez une patiente. Quant au gène BRAF, seulement
2 patients étaient porteurs de la mutation V600E. Aucune relation statistiquement significative entre
les caractéristiques des patients atteints de CCRm et les mutations KRAS/NRAS/BRAF n'a été
trouvée.
Discussion et conclusion: Plusieurs études ont montré que les tests de mutations RAS/BRAF
Idylla™ peuvent être appliqués comme outils de routine sans nécessiter d'infrastructure ou
d'expertise moléculaire, pour guider le traitement personnalisé des patients atteints de CCR. Nos
résultats suggèrent que les mutations KRAS sont plus fréquentes chez les patients marocains atteints
de CCRm, ce qui est en accord avec les études antérieures. D'autres études, portant sur un plus
grand nombre de patients atteints de CCRm, sont recommandées pour confirmer nos résultats.Numéro (Thèse ou Mémoire) : MM0722020 Président : IBRAHIMI Azeddine Directeur : AANNIZ Tarik Juge : OUADGHIRI Mouna IMPLICATION DES GENES KRAS, NRAS ET BRAF DANS LE CANCER COLORECTAL METASTATIQUE [thèse] / TIGANA Sofia dite Safiatou, Auteur . - 2020.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Cancer colorectal métastatique KRAS NRAS BRAF Maroc Résumé : Introduction: Le statut RAS/BRAF est un biomarqueur prédictif de la réponse aux anti-EGFR dans
le cancer colorectal métastatique (CCRm). La technologie Idylla (TI) est un système de test
moléculaire entièrement automatisé, basé sur la PCR en temps réel et permet d’obtenir des résultats
rapidement pour un temps de préparation très court.
Objectif: Evaluer le statut mutationnel full RAS et BRAF chez les patients marocains atteints de
CCRm.
Matériel et méthodes: Les échantillons fixés au formol et inclus en paraffine (FFPE), obtenus entre
février et juin 2020, ont été analysés à l'aide de la TI. Le pourcentage de cellules tumorales minimal
était de 10%, après contrôle morphologique. 1 à 5 coupes de 5 microns étaient prélevées via un
microtome dédié et insérées directement dans la cartouche Idylla.
Résultats: 40 échantillons de CCRm ont fait l’objet d’une recherche de mutation RAS/BRAF, 8
(20%) n’ont pas pu être traités pour insuffisance de matériel tumoral. Au total, 32 patients ont été
inclus dans cette étude, 46,88% étaient des femmes et 53,12%des hommes, l'âge moyen étant de
54,81ans avec des extrêmes allant de 23 à 78 ans. Tous nos patients ont été diagnostiqués pour un
adénocarcinome (ADK). 53,12 % des tumeurs étaient des mutants KRAS et la majorité des
mutations se traduisait par une substitution d’acide aminé glycine par l’acide aspartique. Les
mutations dominantes sont les transversions G>T (42,3%) et les transitions G>A (41,3%). En
revanche, les mutations NRAS ont été détectées chez une patiente. Quant au gène BRAF, seulement
2 patients étaient porteurs de la mutation V600E. Aucune relation statistiquement significative entre
les caractéristiques des patients atteints de CCRm et les mutations KRAS/NRAS/BRAF n'a été
trouvée.
Discussion et conclusion: Plusieurs études ont montré que les tests de mutations RAS/BRAF
Idylla™ peuvent être appliqués comme outils de routine sans nécessiter d'infrastructure ou
d'expertise moléculaire, pour guider le traitement personnalisé des patients atteints de CCR. Nos
résultats suggèrent que les mutations KRAS sont plus fréquentes chez les patients marocains atteints
de CCRm, ce qui est en accord avec les études antérieures. D'autres études, portant sur un plus
grand nombre de patients atteints de CCRm, sont recommandées pour confirmer nos résultats.Numéro (Thèse ou Mémoire) : MM0722020 Président : IBRAHIMI Azeddine Directeur : AANNIZ Tarik Juge : OUADGHIRI Mouna Réservation
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MM0722020URL INHIBITEURS DES POINTS DE CONTROLE IMMUNITAIRE DANS LE TRAITEMENT DU CANCER COLORECTAL METASTATIQUE : EXPERIENCE DU SERVICE D’ONCOLOGIE MEDICALE - HMIMV / Hala BASSIR
Titre : INHIBITEURS DES POINTS DE CONTROLE IMMUNITAIRE DANS LE TRAITEMENT DU CANCER COLORECTAL METASTATIQUE : EXPERIENCE DU SERVICE D’ONCOLOGIE MEDICALE - HMIMV Type de document : thèse Auteurs : Hala BASSIR, Auteur Année de publication : 2024 Langues : Français (fre) Mots-clés : Cancer colorectal métastatique MSI dMMR Immunothérapie Résumé : Le cancer colorectal métastatique (CCRm) présentant une instabilité élevée des
microsatellites (MSI-H) constitue un sous-type moléculaire spécifique, survenant dans environ
3 à 5 % des cas et qui est dû à une déficience du système MMR.
Nous avons réalisé une étude rétrospective descriptive, incluant des patients atteints de
CCR métastatique MSI-H, colligés au service d'oncologie médicale à l’Hôpital Militaire
d'Instruction Mohamed V à Rabat, de janvier 2021 à février 2024. Nous avons étudié les
données épidémiologiques, cliniques ainsi que les modalités et les résultats thérapeutiques.
Notre étude a inclus six patients. L’âge moyen était de 51 ans (42-65), avec un sex-ratio
de 2. La symptomatologie était dominée par les rectorragies et les troubles du transit. Toutes
les biopsies ont été effectuées par endoscopie et ont révélé la présence d'un adénocarcinome.
L’immunohistochimie a objectivé l’existence du statut dMMR chez tous nos patients. Le bilan
d’extension a été principalement fait par TDM TAP. Le foie, le péritoine et les ganglions étaient
les principaux sites métastatiques, suivis du poumon puis des ovaires. Tous nos patients ont
reçu du pembrolizumab en 1ère ligne de traitement, dont 66,7% n’ont pas montré de progression
de la maladie. De plus, une réponse globale a été obtenue chez la moitié des patients (3/6).
Nos résultats ne sont pas encore assez matures pour tirer une conclusion, mais il faut noter
que les résultats de l’étude KEYNOTE-177, qui a évalué l'utilisation du pembrolizumab comme
nouveau standard de traitement chez les patients atteints de CCR métastatique MSI-H, ont été
véritablement révolutionnaires, ouvrant la voie à une approche thérapeutique plus ciblée et
personnalisée.Numéro (Thèse ou Mémoire) : M1862024 Président : Rachid TANZ Directeur : Tarik MAHFOUD Juge : Khaoula ALAOUI SLIMANI Juge : Mohamed Reda KHMAMOUCHE Juge : Ibrahim El GHISSASSI INHIBITEURS DES POINTS DE CONTROLE IMMUNITAIRE DANS LE TRAITEMENT DU CANCER COLORECTAL METASTATIQUE : EXPERIENCE DU SERVICE D’ONCOLOGIE MEDICALE - HMIMV [thèse] / Hala BASSIR, Auteur . - 2024.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Cancer colorectal métastatique MSI dMMR Immunothérapie Résumé : Le cancer colorectal métastatique (CCRm) présentant une instabilité élevée des
microsatellites (MSI-H) constitue un sous-type moléculaire spécifique, survenant dans environ
3 à 5 % des cas et qui est dû à une déficience du système MMR.
Nous avons réalisé une étude rétrospective descriptive, incluant des patients atteints de
CCR métastatique MSI-H, colligés au service d'oncologie médicale à l’Hôpital Militaire
d'Instruction Mohamed V à Rabat, de janvier 2021 à février 2024. Nous avons étudié les
données épidémiologiques, cliniques ainsi que les modalités et les résultats thérapeutiques.
Notre étude a inclus six patients. L’âge moyen était de 51 ans (42-65), avec un sex-ratio
de 2. La symptomatologie était dominée par les rectorragies et les troubles du transit. Toutes
les biopsies ont été effectuées par endoscopie et ont révélé la présence d'un adénocarcinome.
L’immunohistochimie a objectivé l’existence du statut dMMR chez tous nos patients. Le bilan
d’extension a été principalement fait par TDM TAP. Le foie, le péritoine et les ganglions étaient
les principaux sites métastatiques, suivis du poumon puis des ovaires. Tous nos patients ont
reçu du pembrolizumab en 1ère ligne de traitement, dont 66,7% n’ont pas montré de progression
de la maladie. De plus, une réponse globale a été obtenue chez la moitié des patients (3/6).
Nos résultats ne sont pas encore assez matures pour tirer une conclusion, mais il faut noter
que les résultats de l’étude KEYNOTE-177, qui a évalué l'utilisation du pembrolizumab comme
nouveau standard de traitement chez les patients atteints de CCR métastatique MSI-H, ont été
véritablement révolutionnaires, ouvrant la voie à une approche thérapeutique plus ciblée et
personnalisée.Numéro (Thèse ou Mémoire) : M1862024 Président : Rachid TANZ Directeur : Tarik MAHFOUD Juge : Khaoula ALAOUI SLIMANI Juge : Mohamed Reda KHMAMOUCHE Juge : Ibrahim El GHISSASSI Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M1862024 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2024 Disponible LA TOLERANCE DU BEVACIZUMAB CHEZ LES SUJETS AGES MAROCAINS ATTEINTS D’UN CANCER COLORECTAL METASTATIQUE / Salma BOUCHAMA
Titre : LA TOLERANCE DU BEVACIZUMAB CHEZ LES SUJETS AGES MAROCAINS ATTEINTS D’UN CANCER COLORECTAL METASTATIQUE Type de document : thèse Auteurs : Salma BOUCHAMA, Auteur Année de publication : 2019 Langues : Français (fre) Mots-clés : Bevacizumab effets secondaires cancer colorectal métastatique sujet âgé. Résumé : Le bevacizumab est un anticorps monoclonal anti VEGF qui inhibe l’angiogenèse. Associé à la chimiothérapie, il augmente la survie dans plusieurs cancers notamment le cancer colorectal métastatique (CCRm).
L’objectif de notre travail est d'évaluer la tolérance du bevacizumab chez les patients âgés en association avec la chimiothérapie comme traitement de première ligne du CCRm, en nous appuyant sur une étude observationnelle rétrospective de 47cas colligés au service d'oncologie médicale de l'hôpital militaire Mohamed V de Rabat, entre décembre 2009 et mai 2014.
L'âge de nos patients variait entre 66 et 81 ans avec une moyenne de 71 ans et 2 mois, avec un sexe ratio de 2,92 au profit du sexe masculin.
La localisation tumorale a intéressé le colon dans 65,96% des cas, et le rectum dans 34,04% des cas.
Les symptômes les plus fréquemment rencontrés étaient les douleurs abdominales et les troubles du transit.
Le foie était le principal site métastatique, suivi par le péritoine et les poumons.
Le bevacizumab était associé à une chimiothérapie chez tous les patients. La majorité des patients avaient un OMS 1 au début de l'initiation du bevacizumab, avec un nombre médian de 12 cycles reçus tout au long du traitement.
L'hypertension artérielle (19,15%), la protéinurie (14,89%) et les accidents thromboemboliques (10,63%) étaient les effets indésirables les plus fréquents. D’autres EI étaient moins fréquents : les hémorragies digestives graves (2,12%), et les fistules digestives (2,12%). En revanche, aucune perforation gastro-intestinale ni cardiopathie ischémique n’a été enregistrée.
Malgré la faible puissance statistique de notre étude, l’utilisation du bevacizumab chez les patients âgés ne semble pas entraîner un excès de toxicité.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M2482019 Président : ICHOU .M Directeur : TANZ.R Juge : AIT ALI.A Juge : EL GHISSASSI.I Juge : ALAOUI SLIMANI.K LA TOLERANCE DU BEVACIZUMAB CHEZ LES SUJETS AGES MAROCAINS ATTEINTS D’UN CANCER COLORECTAL METASTATIQUE [thèse] / Salma BOUCHAMA, Auteur . - 2019.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Bevacizumab effets secondaires cancer colorectal métastatique sujet âgé. Résumé : Le bevacizumab est un anticorps monoclonal anti VEGF qui inhibe l’angiogenèse. Associé à la chimiothérapie, il augmente la survie dans plusieurs cancers notamment le cancer colorectal métastatique (CCRm).
L’objectif de notre travail est d'évaluer la tolérance du bevacizumab chez les patients âgés en association avec la chimiothérapie comme traitement de première ligne du CCRm, en nous appuyant sur une étude observationnelle rétrospective de 47cas colligés au service d'oncologie médicale de l'hôpital militaire Mohamed V de Rabat, entre décembre 2009 et mai 2014.
L'âge de nos patients variait entre 66 et 81 ans avec une moyenne de 71 ans et 2 mois, avec un sexe ratio de 2,92 au profit du sexe masculin.
La localisation tumorale a intéressé le colon dans 65,96% des cas, et le rectum dans 34,04% des cas.
Les symptômes les plus fréquemment rencontrés étaient les douleurs abdominales et les troubles du transit.
Le foie était le principal site métastatique, suivi par le péritoine et les poumons.
Le bevacizumab était associé à une chimiothérapie chez tous les patients. La majorité des patients avaient un OMS 1 au début de l'initiation du bevacizumab, avec un nombre médian de 12 cycles reçus tout au long du traitement.
L'hypertension artérielle (19,15%), la protéinurie (14,89%) et les accidents thromboemboliques (10,63%) étaient les effets indésirables les plus fréquents. D’autres EI étaient moins fréquents : les hémorragies digestives graves (2,12%), et les fistules digestives (2,12%). En revanche, aucune perforation gastro-intestinale ni cardiopathie ischémique n’a été enregistrée.
Malgré la faible puissance statistique de notre étude, l’utilisation du bevacizumab chez les patients âgés ne semble pas entraîner un excès de toxicité.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M2482019 Président : ICHOU .M Directeur : TANZ.R Juge : AIT ALI.A Juge : EL GHISSASSI.I Juge : ALAOUI SLIMANI.K Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M2482019 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2019 Disponible M2482019-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2019 Disponible Documents numériques
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