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ADENOME PLEOMORPHE DE LA GLANDE LACRYMALE (À PROPOS D’UN CAS CLINIQUE AVEC REVUE DE LITTERATURE) / LAGHRIB SOUFIANE
Titre : ADENOME PLEOMORPHE DE LA GLANDE LACRYMALE (À PROPOS D’UN CAS CLINIQUE AVEC REVUE DE LITTERATURE) Type de document : thèse Auteurs : LAGHRIB SOUFIANE, Auteur Année de publication : 2024 Langues : Français (fre) Mots-clés : Adénome pléomorphe la glande lacrymale exophtalmie Orbitotomie latérale Pleomorphic adenoma lacrimal gland exophthalmos lateral orbitotomy الورم الغدي متعدد الأشكال الغدة الدمعية جحوظ العين جراحة مدارية جانبية Résumé : L'adénome pléomorphe de la glande lacrymale est une tumeur bénigne rare qui présente un défi clinique et chirurgical complexe.
Cette tumeur bénigne, bien qu'elle se développe principalement au niveau des glandes salivaires, peut également affecter la glande lacrymale, suscitant ainsi un intérêt croissant en raison de sa complexité histologique et de ses implications diagnostiques et thérapeutiques.
Le maitre symptôme est l'exophtalmie, généralement modérée et son importance est liée au volume de la tumeur, il se développe de manière prolongée, progressive et sans douleur.
Le bilan clinique et radiologique est essentiel pour localiser la tumeur, tandis que l'histologie permet de préciser le type anatomopathologique.
Une Exérèse large, en bloc, sans effraction capsulaire pour éviter tout risque de récidive et de transformation maligne, d'où la contre-indication à toute biopsie préopératoire
Ce travail a pour objectif, à travers une observation clinique, de rapporter les caractéristiques cliniques, radiologiques et thérapeutiques de l'adénome pléomorphe de la glande lacrymale. Il vise également à affiner le diagnostic différentiel entre l'adénome pléomorphe et d'autres tumeurs orbitaires, et à discuter des différentes approches chirurgicales et thérapeutiques en mettant en lumière les avantages et les inconvénients de chaque méthode, en se basant sur les données de la littérature.Numéro (Thèse ou Mémoire) : M3072024 Président : Mohamed Karim EL KHATIB Directeur : Lahcen KHALFI Juge : Jalal HAMAMA Juge : Abdelhafid ACHBOUK Juge : Jawad HAFIDI ADENOME PLEOMORPHE DE LA GLANDE LACRYMALE (À PROPOS D’UN CAS CLINIQUE AVEC REVUE DE LITTERATURE) [thèse] / LAGHRIB SOUFIANE, Auteur . - 2024.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Adénome pléomorphe la glande lacrymale exophtalmie Orbitotomie latérale Pleomorphic adenoma lacrimal gland exophthalmos lateral orbitotomy الورم الغدي متعدد الأشكال الغدة الدمعية جحوظ العين جراحة مدارية جانبية Résumé : L'adénome pléomorphe de la glande lacrymale est une tumeur bénigne rare qui présente un défi clinique et chirurgical complexe.
Cette tumeur bénigne, bien qu'elle se développe principalement au niveau des glandes salivaires, peut également affecter la glande lacrymale, suscitant ainsi un intérêt croissant en raison de sa complexité histologique et de ses implications diagnostiques et thérapeutiques.
Le maitre symptôme est l'exophtalmie, généralement modérée et son importance est liée au volume de la tumeur, il se développe de manière prolongée, progressive et sans douleur.
Le bilan clinique et radiologique est essentiel pour localiser la tumeur, tandis que l'histologie permet de préciser le type anatomopathologique.
Une Exérèse large, en bloc, sans effraction capsulaire pour éviter tout risque de récidive et de transformation maligne, d'où la contre-indication à toute biopsie préopératoire
Ce travail a pour objectif, à travers une observation clinique, de rapporter les caractéristiques cliniques, radiologiques et thérapeutiques de l'adénome pléomorphe de la glande lacrymale. Il vise également à affiner le diagnostic différentiel entre l'adénome pléomorphe et d'autres tumeurs orbitaires, et à discuter des différentes approches chirurgicales et thérapeutiques en mettant en lumière les avantages et les inconvénients de chaque méthode, en se basant sur les données de la littérature.Numéro (Thèse ou Mémoire) : M3072024 Président : Mohamed Karim EL KHATIB Directeur : Lahcen KHALFI Juge : Jalal HAMAMA Juge : Abdelhafid ACHBOUK Juge : Jawad HAFIDI Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M3072024 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2024 Disponible L'ETHMOIDITE AIGUE DE L'ENFANT ETUDE RETROSPECTIVE DE 20 CAS / BENASILA SAKINA
Titre : L'ETHMOIDITE AIGUE DE L'ENFANT ETUDE RETROSPECTIVE DE 20 CAS Type de document : thèse Auteurs : BENASILA SAKINA, Auteur Année de publication : 2006 Langues : Français (fre) Mots-clés : ETHMOIDITE ENFANT EXOPHTALMIE ATTEINTE ORBITAIRE TDM ANTIBIOTHERAPIE DRAINAGE ETHMOIDECTOMIE Numéro (Thèse ou Mémoire) : M3492006 Président : KZADRI MOHAMED Directeur : ESSAKALI HOUSSYNI LAILA L'ETHMOIDITE AIGUE DE L'ENFANT ETUDE RETROSPECTIVE DE 20 CAS [thèse] / BENASILA SAKINA, Auteur . - 2006.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : ETHMOIDITE ENFANT EXOPHTALMIE ATTEINTE ORBITAIRE TDM ANTIBIOTHERAPIE DRAINAGE ETHMOIDECTOMIE Numéro (Thèse ou Mémoire) : M3492006 Président : KZADRI MOHAMED Directeur : ESSAKALI HOUSSYNI LAILA Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M3492006 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2006 Disponible LES HEMANGIOMES CAVERNEUX DE L’ORBITE (A PROPOS DE 07 CAS). / : Omar Dalero
Titre : LES HEMANGIOMES CAVERNEUX DE L’ORBITE (A PROPOS DE 07 CAS). Type de document : thèse Auteurs : : Omar Dalero, Auteur Année de publication : 2010 Langues : Français (fre) Mots-clés : : HEMANGIOMES CAVERNEUX ORBITE EXOPHTALMIE TUMEURS DE L’ORBITE ABORD CHIRURGICAL. Index. décimale : WA SANTE PUBLIQUE - PROFESSION MEDICALE Résumé : L’hémangiome caverneux de l’orbite représente la tumeur bénigne primitive la plus fréquente chez l’adulte dans cette localisation. Il existe une nette prépondérance féminine. L'âge moyen de survenue se situe entre la 4ème et 5ème décade de vie.
L’exophtalmie est le signe inaugural dans la majorité des cas, et s’accompagne rarement de retentissement sur la fonction visuelle et/ou la motilité oculaire.
Les moyens actuels d’imagerie permettent d’en avoir une forte présomption diagnostique préopératoire et permettent surtout de bien la situer, en déterminant ses rapports dans l’orbite, ce qui aide à porter les meilleures indications chirurgicales notamment concernant le choix de la voie d’abord, élément-clé dans le succès thérapeutique.
Tous ces éléments font que l’angiome caverneux de l’orbite a un bon pronostic fonctionnel et esthétique, malgré son siège habituellement rétrobulbaire et le plus souvent intraconique, dans une zone de grande complexité anatomique et d’abord chirurgical difficile.
Dans ce travail de thèse, nous rapportons de façon rétrospective 7 cas d’hémangiomes caverneux de l’orbite prouvés histologiquement, suivis au service d’Ophtalmologie A, à l’Hôpital des Spécialités de Rabat, entre 1997 et 2007. Parmi ces cas, 6 ont bénéficié d’une cure chirurgicale, avec résultat satisfaisant sur le plan anatomique et fonctionnel, et stable après un recul de plus d’une année. Aucun cas de récidive n’a été rapporté.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M0902010 Président : RAJAE DAOUDI Directeur : MOULAY ZAHID BENCHERIF Juge : SANAE SEFIANI LES HEMANGIOMES CAVERNEUX DE L’ORBITE (A PROPOS DE 07 CAS). [thèse] / : Omar Dalero, Auteur . - 2010.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : : HEMANGIOMES CAVERNEUX ORBITE EXOPHTALMIE TUMEURS DE L’ORBITE ABORD CHIRURGICAL. Index. décimale : WA SANTE PUBLIQUE - PROFESSION MEDICALE Résumé : L’hémangiome caverneux de l’orbite représente la tumeur bénigne primitive la plus fréquente chez l’adulte dans cette localisation. Il existe une nette prépondérance féminine. L'âge moyen de survenue se situe entre la 4ème et 5ème décade de vie.
L’exophtalmie est le signe inaugural dans la majorité des cas, et s’accompagne rarement de retentissement sur la fonction visuelle et/ou la motilité oculaire.
Les moyens actuels d’imagerie permettent d’en avoir une forte présomption diagnostique préopératoire et permettent surtout de bien la situer, en déterminant ses rapports dans l’orbite, ce qui aide à porter les meilleures indications chirurgicales notamment concernant le choix de la voie d’abord, élément-clé dans le succès thérapeutique.
Tous ces éléments font que l’angiome caverneux de l’orbite a un bon pronostic fonctionnel et esthétique, malgré son siège habituellement rétrobulbaire et le plus souvent intraconique, dans une zone de grande complexité anatomique et d’abord chirurgical difficile.
Dans ce travail de thèse, nous rapportons de façon rétrospective 7 cas d’hémangiomes caverneux de l’orbite prouvés histologiquement, suivis au service d’Ophtalmologie A, à l’Hôpital des Spécialités de Rabat, entre 1997 et 2007. Parmi ces cas, 6 ont bénéficié d’une cure chirurgicale, avec résultat satisfaisant sur le plan anatomique et fonctionnel, et stable après un recul de plus d’une année. Aucun cas de récidive n’a été rapporté.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M0902010 Président : RAJAE DAOUDI Directeur : MOULAY ZAHID BENCHERIF Juge : SANAE SEFIANI Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M0902010 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2010 Disponible MUCOCELES FRONTO-ORBITAIRES A PROPOS DE 12 CAS ET REVUE DE LA LITTERATURE / ESSAID OMAR
Titre : MUCOCELES FRONTO-ORBITAIRES A PROPOS DE 12 CAS ET REVUE DE LA LITTERATURE Type de document : thèse Auteurs : ESSAID OMAR, Auteur Année de publication : 2008 Langues : Français (fre) Mots-clés : Mucolcèle Extension intra-orbitaire Exophtalmie TDM Voie sourciliére Ostéomucocèle Index. décimale : WA SANTE PUBLIQUE - PROFESSION MEDICALE Résumé : Introduction :
La mucocèle est une formation pseudokystique bénigne aseptique développée à partir d’une cavité nasosinusienne et se comportant comme un processus expansif. Leur pouvoir expansif est imprévisible. L’extension d’une mucocèle vers l’orbite est rare et pose le double problème de traiter la mucocèle et d’améliorer, voir guérir le préjudice esthétique sous forme d’une exophtalmie fréquente.
Objectif : rapporter de façon rétrospective l’expérience du service de neurochirurgie à propos de 12 mucocèles fronto-orbitaire, et d’analyser les résultats à la lumière des données de la littérature.
Méthodes et Résultats : 12 cas de mucocèles fronto-orbitaire colligés dans le service de neurochirurgie de l’hôpital militaire d’instruction Mohammed V de Rabat, entre décembre 2000 et Août 2008, sont l’occasion pour nous d’une mise au point épidémiologique, clinique, paraclinique, et thérapeutique des mucocèles fronto-orbitaires.
Il s’agit de 10 hommes et 2 femmes, avec un âge moyen de 42.6 ans avec des extrêmes allant de 15 à 78 ans. Seul 9 dossiers exploitables feront l’objet de la mise au point.
Les facteurs étiologiques retrouvés sont comme suit : un antécédent de sinusite dans 2 cas, un polype dans 1 cas, un traumatisme crânien frontal intéressant les sinus frontaux dans 2 cas, et la notion de chirurgie sinusienne préalable dans 1 cas. Chez 4 patients aucun antécédent n’a été objectivé. Les lésions associées favorisant la mucocèle fronto-orbitaire notées chez nos patient sont : 3 ostéomes du sinus frontal, un ostéochondrome dans 1 cas, un fibrome ossifiant fronto-ethmoïdo-orbitaire dans 1 cas et un méningiome fronto-orbitaire dans un cas.
La symptomatologie clinique révélatrice est largement dominée par l’exophtalmie (77.7%), les céphalées fronto-orbitaires ou généralisées (77.7%) et une tuméfaction frontale ou de l’angle interne de l’œil dans tous les cas (100%).
Tous les malades ont bénéficiés de radiologie standard et d’une TDM fronto-orbitaire, l’IRM a été demandée chez 3 patients. L’imagerie a mis en évidence l’extension intra-orbitaire dans tous les cas (100%). L’extension endocrânienne dans 3 cas (33.3%).
Tous les malades ont bénéficié d’un avis ORL, et un examen ophtalmologique, systématiquement et d’une consultation pré-anesthésique avant d’être opérés.
Le principe de la chirurgie des mucocèles est l’exérèse de la mucocèle, la marsupialisation et d’essayer de rétablir l’aération du sinus.
La voie d’abord sourcilière plus ou moins élargie vers l’angle interne de l’œil (Paralatéronasale à minima) a été utilisée dans 8 cas, la voie paralatéronasale a été utilisée chaque fois que la tumeur à une extension vers l’ethmoïde.
Chez une patiente l’abord a été fronto-orbitaire par incision bitragale. L’histologie a confirmé le diagnostic de mucocèle et a permis de documenter les lésions associées à l’origine de la mucocèle. Les suites opératoires ont été simples avec régression de l’exophtalmie dans tous les cas. Avec un recul moyen de 4 ans, aucune récidive n’a été notée.
Conclusion : La mucocèle fronto-orbitaire est une pathologie quoi que rare peut compromettre le pronostic fonctionnel visuel par l’extension intra-orbitaire et endocrânienne. La voie sourcilière, est une voie mini-invasive qui a permis de traiter ses mucocèles fronto-orbitaires avec de bon résultats esthétique et peu de morbidité.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M2662008 Président : BOUCETTA MOHAMED Directeur : MOUSTARCHID BRAHIM Juge : MESSARY ABDELHAMID Juge : EL MAAQILI MY RACHID MUCOCELES FRONTO-ORBITAIRES A PROPOS DE 12 CAS ET REVUE DE LA LITTERATURE [thèse] / ESSAID OMAR, Auteur . - 2008.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Mucolcèle Extension intra-orbitaire Exophtalmie TDM Voie sourciliére Ostéomucocèle Index. décimale : WA SANTE PUBLIQUE - PROFESSION MEDICALE Résumé : Introduction :
La mucocèle est une formation pseudokystique bénigne aseptique développée à partir d’une cavité nasosinusienne et se comportant comme un processus expansif. Leur pouvoir expansif est imprévisible. L’extension d’une mucocèle vers l’orbite est rare et pose le double problème de traiter la mucocèle et d’améliorer, voir guérir le préjudice esthétique sous forme d’une exophtalmie fréquente.
Objectif : rapporter de façon rétrospective l’expérience du service de neurochirurgie à propos de 12 mucocèles fronto-orbitaire, et d’analyser les résultats à la lumière des données de la littérature.
Méthodes et Résultats : 12 cas de mucocèles fronto-orbitaire colligés dans le service de neurochirurgie de l’hôpital militaire d’instruction Mohammed V de Rabat, entre décembre 2000 et Août 2008, sont l’occasion pour nous d’une mise au point épidémiologique, clinique, paraclinique, et thérapeutique des mucocèles fronto-orbitaires.
Il s’agit de 10 hommes et 2 femmes, avec un âge moyen de 42.6 ans avec des extrêmes allant de 15 à 78 ans. Seul 9 dossiers exploitables feront l’objet de la mise au point.
Les facteurs étiologiques retrouvés sont comme suit : un antécédent de sinusite dans 2 cas, un polype dans 1 cas, un traumatisme crânien frontal intéressant les sinus frontaux dans 2 cas, et la notion de chirurgie sinusienne préalable dans 1 cas. Chez 4 patients aucun antécédent n’a été objectivé. Les lésions associées favorisant la mucocèle fronto-orbitaire notées chez nos patient sont : 3 ostéomes du sinus frontal, un ostéochondrome dans 1 cas, un fibrome ossifiant fronto-ethmoïdo-orbitaire dans 1 cas et un méningiome fronto-orbitaire dans un cas.
La symptomatologie clinique révélatrice est largement dominée par l’exophtalmie (77.7%), les céphalées fronto-orbitaires ou généralisées (77.7%) et une tuméfaction frontale ou de l’angle interne de l’œil dans tous les cas (100%).
Tous les malades ont bénéficiés de radiologie standard et d’une TDM fronto-orbitaire, l’IRM a été demandée chez 3 patients. L’imagerie a mis en évidence l’extension intra-orbitaire dans tous les cas (100%). L’extension endocrânienne dans 3 cas (33.3%).
Tous les malades ont bénéficié d’un avis ORL, et un examen ophtalmologique, systématiquement et d’une consultation pré-anesthésique avant d’être opérés.
Le principe de la chirurgie des mucocèles est l’exérèse de la mucocèle, la marsupialisation et d’essayer de rétablir l’aération du sinus.
La voie d’abord sourcilière plus ou moins élargie vers l’angle interne de l’œil (Paralatéronasale à minima) a été utilisée dans 8 cas, la voie paralatéronasale a été utilisée chaque fois que la tumeur à une extension vers l’ethmoïde.
Chez une patiente l’abord a été fronto-orbitaire par incision bitragale. L’histologie a confirmé le diagnostic de mucocèle et a permis de documenter les lésions associées à l’origine de la mucocèle. Les suites opératoires ont été simples avec régression de l’exophtalmie dans tous les cas. Avec un recul moyen de 4 ans, aucune récidive n’a été notée.
Conclusion : La mucocèle fronto-orbitaire est une pathologie quoi que rare peut compromettre le pronostic fonctionnel visuel par l’extension intra-orbitaire et endocrânienne. La voie sourcilière, est une voie mini-invasive qui a permis de traiter ses mucocèles fronto-orbitaires avec de bon résultats esthétique et peu de morbidité.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M2662008 Président : BOUCETTA MOHAMED Directeur : MOUSTARCHID BRAHIM Juge : MESSARY ABDELHAMID Juge : EL MAAQILI MY RACHID Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M2662008 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2008 Disponible Syringome chondroïde bénin de l’orbite : à propos d’un cas et revue de la littérature. / CHEMLALI Bochra
Titre : Syringome chondroïde bénin de l’orbite : à propos d’un cas et revue de la littérature. Type de document : thèse Auteurs : CHEMLALI Bochra, Auteur Année de publication : 2014 Langues : Français (fre) Mots-clés : Syringome chondroïde orbite exophtalmie orbitotomie latérale. Résumé : INTRODUCTION : Le syringome chondroïde bénin de l’orbite est une tumeur extrêmement rare. A notre connaissance, notre cas est le 2ème cas rapporté dans la littérature.
MATERIEL, METHODES ET RESULTATS : Nous rapportant dans ce travail le cas d’une patiente âgée de 41 ans, présentant un S.C de l’orbite évoluant depuis 8 ans, à l’origine d’une exophtalmie non axile, indolore de l’œil gauche. La TDM a objectivé une masse intraorbitaire, isodense, rehaussée après injection de produit de contraste, sans érosion osseuse. A l’IRM la tumeur était iso-intense en T1, légèrement Hyper-intense en T2 et rehaussée après administration du Gadolinium. Une orbitotomie latérale a mis en évidence une masse bien circonscrite, extracônique et sans adhérence aux structures avoisinantes. L’exérèse de la tumeur était complète, facilitée par l’usage de la cryothérapie. Le diagnostic de S.C était confirmé à l’examen anatomopathologique. L’évolution était marquée par la réduction totale de l’exophtalmie et l’amélioration des signes cliniques. La TDM de contrôle a confirmé l’exérèse complète de la tumeur et a montré une bonne reconstruction orbitaire. Pas de récidive notée après un an de suivi.
DISCUSSION : A la lumière de notre cas, et après revue de la littérature, nous pouvons retenir que le S.C de l’orbite est une pathologie exceptionnelle de l’orbite, dont l’aspect clinique et neuroradiologique restent non spécifiques. Le traitement de choix est l’exérèse totale de la tumeur et l’examen anatomopathologique confirme le diagnostique. Un contrôle à long terme est nécessaire pour prévenir une éventuelle récidive.
CONCLUSION : Le S.C bénin de l’orbite malgré sa rareté doit faire partie intégrante de la liste des tumeurs orbitaires.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M1592014 Directeur : EL MOSTARCHID.B Juge : REDA.K Juge : EL MAAQILI.M.R Juge : OUKABLI.M Syringome chondroïde bénin de l’orbite : à propos d’un cas et revue de la littérature. [thèse] / CHEMLALI Bochra, Auteur . - 2014.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Syringome chondroïde orbite exophtalmie orbitotomie latérale. Résumé : INTRODUCTION : Le syringome chondroïde bénin de l’orbite est une tumeur extrêmement rare. A notre connaissance, notre cas est le 2ème cas rapporté dans la littérature.
MATERIEL, METHODES ET RESULTATS : Nous rapportant dans ce travail le cas d’une patiente âgée de 41 ans, présentant un S.C de l’orbite évoluant depuis 8 ans, à l’origine d’une exophtalmie non axile, indolore de l’œil gauche. La TDM a objectivé une masse intraorbitaire, isodense, rehaussée après injection de produit de contraste, sans érosion osseuse. A l’IRM la tumeur était iso-intense en T1, légèrement Hyper-intense en T2 et rehaussée après administration du Gadolinium. Une orbitotomie latérale a mis en évidence une masse bien circonscrite, extracônique et sans adhérence aux structures avoisinantes. L’exérèse de la tumeur était complète, facilitée par l’usage de la cryothérapie. Le diagnostic de S.C était confirmé à l’examen anatomopathologique. L’évolution était marquée par la réduction totale de l’exophtalmie et l’amélioration des signes cliniques. La TDM de contrôle a confirmé l’exérèse complète de la tumeur et a montré une bonne reconstruction orbitaire. Pas de récidive notée après un an de suivi.
DISCUSSION : A la lumière de notre cas, et après revue de la littérature, nous pouvons retenir que le S.C de l’orbite est une pathologie exceptionnelle de l’orbite, dont l’aspect clinique et neuroradiologique restent non spécifiques. Le traitement de choix est l’exérèse totale de la tumeur et l’examen anatomopathologique confirme le diagnostique. Un contrôle à long terme est nécessaire pour prévenir une éventuelle récidive.
CONCLUSION : Le S.C bénin de l’orbite malgré sa rareté doit faire partie intégrante de la liste des tumeurs orbitaires.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M1592014 Directeur : EL MOSTARCHID.B Juge : REDA.K Juge : EL MAAQILI.M.R Juge : OUKABLI.M Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M1592014 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2014 Disponible M1592014-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2014 Disponible Documents numériques
M1592014URL