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IMPACT DE LA MORPHINE INTRATHECALE SUR L’ANALGESIE POST-OPERATOIRE DANS LA CHIRURGIE TRAUMATOORTHOPEDIQUE. (ÉTUDE PROSPECTIVE , A PROPOS DE 105 CAS) / HMIMIDI Kholoud
Titre : IMPACT DE LA MORPHINE INTRATHECALE SUR L’ANALGESIE POST-OPERATOIRE DANS LA CHIRURGIE TRAUMATOORTHOPEDIQUE. (ÉTUDE PROSPECTIVE , A PROPOS DE 105 CAS) Type de document : thèse Auteurs : HMIMIDI Kholoud, Auteur Année de publication : 2024 Langues : Français (fre) Mots-clés : analgésie post-opératoire rachianesthésie à la bupivacaïne morphine intrathécale chirurgie traumato-orthopédique douleur post-opératoire Résumé : Rationnel et Objectifs : La douleur post-opératoire est un problème majeur en chirurgie
orthopédique. Cette étude vise à évaluer les pratiques de prise en charge de la douleur et à
déterminer la méthode la plus efficace pour un contrôle optimal de la douleur, tout en
minimisant les effets indésirables notamment en comparant la rachianesthésie à la bupivacaïne
associée à l’ITM versus la rachianesthésie à la bupivacaïne seule.
Matériel et Méthode : Il s'agit d'une étude observationnelle, prospective, descriptive et
analytique, non randomisée et monocentrique, réalisée au CHU Avicenne Rabat. Elle a inclus
des patients âgés de 18 ans et plus ayant subi une chirurgie traumato-orthopédique tout en
respectant les critère d’inclusions et exclusions.
Résultats : Sur 105 patients, 50 ont reçu une rachianesthésie à la bupivacaïne avec morphine
intrathécale, tandis que 55 ont eu uniquement de la bupivacaïne. La morphine a montré un
contrôle plus rapide de la douleur dans les six premières heures (p < 0.001). À 24 heures, les
deux groupes avaient une gestion similaire de la douleur (p = 0.196). Cependant, la
rachianesthésie à la bupivacaïne a entraîné moins d'effets secondaires, notamment gastrointestinaux.
Conclusion : Bien que La morphine intrathécale présente des avantages significatifs en matière
d'analgésie prolongée, souvent supérieure à celle de la bupivacaïne seule, réduisant ainsi la
nécessité d'opioïdes oraux supplémentaires en postopératoire. Cependant elle comporte un
risque d'effets indésirables par rapport à la rachianesthésie à la bupivacaïne seule , qui offre une
meilleure tolérance dans ce contexte.Numéro (Thèse ou Mémoire) : M5102024 Président : Naoufel Madani Directeur : Jawad Tadili Juge : Laarbi Aberouch Juge : Abdelilah Ghannam Juge : Aziza Bentalha-Omar El Aoufir-Rachid Razine IMPACT DE LA MORPHINE INTRATHECALE SUR L’ANALGESIE POST-OPERATOIRE DANS LA CHIRURGIE TRAUMATOORTHOPEDIQUE. (ÉTUDE PROSPECTIVE , A PROPOS DE 105 CAS) [thèse] / HMIMIDI Kholoud, Auteur . - 2024.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : analgésie post-opératoire rachianesthésie à la bupivacaïne morphine intrathécale chirurgie traumato-orthopédique douleur post-opératoire Résumé : Rationnel et Objectifs : La douleur post-opératoire est un problème majeur en chirurgie
orthopédique. Cette étude vise à évaluer les pratiques de prise en charge de la douleur et à
déterminer la méthode la plus efficace pour un contrôle optimal de la douleur, tout en
minimisant les effets indésirables notamment en comparant la rachianesthésie à la bupivacaïne
associée à l’ITM versus la rachianesthésie à la bupivacaïne seule.
Matériel et Méthode : Il s'agit d'une étude observationnelle, prospective, descriptive et
analytique, non randomisée et monocentrique, réalisée au CHU Avicenne Rabat. Elle a inclus
des patients âgés de 18 ans et plus ayant subi une chirurgie traumato-orthopédique tout en
respectant les critère d’inclusions et exclusions.
Résultats : Sur 105 patients, 50 ont reçu une rachianesthésie à la bupivacaïne avec morphine
intrathécale, tandis que 55 ont eu uniquement de la bupivacaïne. La morphine a montré un
contrôle plus rapide de la douleur dans les six premières heures (p < 0.001). À 24 heures, les
deux groupes avaient une gestion similaire de la douleur (p = 0.196). Cependant, la
rachianesthésie à la bupivacaïne a entraîné moins d'effets secondaires, notamment gastrointestinaux.
Conclusion : Bien que La morphine intrathécale présente des avantages significatifs en matière
d'analgésie prolongée, souvent supérieure à celle de la bupivacaïne seule, réduisant ainsi la
nécessité d'opioïdes oraux supplémentaires en postopératoire. Cependant elle comporte un
risque d'effets indésirables par rapport à la rachianesthésie à la bupivacaïne seule , qui offre une
meilleure tolérance dans ce contexte.Numéro (Thèse ou Mémoire) : M5102024 Président : Naoufel Madani Directeur : Jawad Tadili Juge : Laarbi Aberouch Juge : Abdelilah Ghannam Juge : Aziza Bentalha-Omar El Aoufir-Rachid Razine Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M5102024 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2024 Disponible LA RACHIANALGÉSIE MORPHINIQUE EN CHIRURGIE COLORECTALE CARCINOLOGIQUE: ETUDE PROSPECTIVE COMPARANT LES DOSES 100µg ET 200 µg / THANIA LAHADJI
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Titre : LA RACHIANALGÉSIE MORPHINIQUE EN CHIRURGIE COLORECTALE CARCINOLOGIQUE: ETUDE PROSPECTIVE COMPARANT LES DOSES 100µg ET 200 µg Type de document : thèse Auteurs : THANIA LAHADJI, Auteur Année de publication : 2022 Langues : Français (fre) Mots-clés : Morphine intrathécale Analgésie Chirurgie colorectale carcinologique Intrathecal morphine analgesia colorectal cancer surgery المورفین داخل القراب تسكین الالم جراحة أورام القولون والمستقیم Résumé : : La chirurgie colorectale carcinologique représente une source
majeure de douleurs aigues avec un haut potentiel de chronicisation. Hormis les douleurs
propres au cancer, les douleurs postopératoires représentent également un facteur de
pérennisation de la convalescence des patients. La prise en charge des douleurs
postopératoires nécessite une analgésie efficace faisant appel à la morphine intrathécale à une
dose optimale avec le moins d’effets secondaires possibles. L’objectif de notre étude était de
comparer l’efficacité de la morphine intrathécale à la dose de 100μg et de 200μg en évaluant
leurs effets secondaires et leurs avantages.
MATERIELS ET METHODES : une étude interventionnelle, prospective, de type
essai randomisé contrôlé mono centrique en double aveugle incluant 116 patients programmés
pour une chirurgie colorectale carcinologique, réalisée à l’Institut National d’Oncologie. Ils
ont été divisés en deux groupes, l’un a reçu 0,1 mg de morphine intrathécale et le groupe a
reçu 0,2 mg, puis comparés selon l’incidence des effets secondaires et leur consommation de
morphine postopératoire.
RESULTATS: En somme, les besoins en morphine postopératoire dans le groupe ayant
reçu la morphine intrathécale étaient plus élevés, avec une dose moyenne de 6 mg alors que
dans le groupe contrôle, la morphine utilisée en postopératoire était en moyenne à 2,3 mg. Les
principaux effets secondaires retrouvés, étaient les nausées et vomissements postopératoires
avec une incidence de 14,65%, et le prurit chez 9,48% des patients. La comparaison des effets
secondaires entre les deux groupes de notre étude n’était pas statistiquement significative.
CONCLUSION : Ces résultats nous ont permis d’affirmer que la dose de 0,2 mg
procure une analgésie plus efficace par rapport à la dose de 0,1 mg, durant les premières 24
heures qui suivent la rachianalgésie morphinique, avec une différence non significative de
l’incidence des effets secondaires.Numéro (Thèse ou Mémoire) : M4792022 Président : Raouf MOHSINE Directeur : Brahim ELAHMADI Juge : Abdelilah GHANNAM Juge : Rachid EL MOUSSAOUI Juge : Amine SOUADKA LA RACHIANALGÉSIE MORPHINIQUE EN CHIRURGIE COLORECTALE CARCINOLOGIQUE: ETUDE PROSPECTIVE COMPARANT LES DOSES 100µg ET 200 µg [thèse] / THANIA LAHADJI, Auteur . - 2022.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Morphine intrathécale Analgésie Chirurgie colorectale carcinologique Intrathecal morphine analgesia colorectal cancer surgery المورفین داخل القراب تسكین الالم جراحة أورام القولون والمستقیم Résumé : : La chirurgie colorectale carcinologique représente une source
majeure de douleurs aigues avec un haut potentiel de chronicisation. Hormis les douleurs
propres au cancer, les douleurs postopératoires représentent également un facteur de
pérennisation de la convalescence des patients. La prise en charge des douleurs
postopératoires nécessite une analgésie efficace faisant appel à la morphine intrathécale à une
dose optimale avec le moins d’effets secondaires possibles. L’objectif de notre étude était de
comparer l’efficacité de la morphine intrathécale à la dose de 100μg et de 200μg en évaluant
leurs effets secondaires et leurs avantages.
MATERIELS ET METHODES : une étude interventionnelle, prospective, de type
essai randomisé contrôlé mono centrique en double aveugle incluant 116 patients programmés
pour une chirurgie colorectale carcinologique, réalisée à l’Institut National d’Oncologie. Ils
ont été divisés en deux groupes, l’un a reçu 0,1 mg de morphine intrathécale et le groupe a
reçu 0,2 mg, puis comparés selon l’incidence des effets secondaires et leur consommation de
morphine postopératoire.
RESULTATS: En somme, les besoins en morphine postopératoire dans le groupe ayant
reçu la morphine intrathécale étaient plus élevés, avec une dose moyenne de 6 mg alors que
dans le groupe contrôle, la morphine utilisée en postopératoire était en moyenne à 2,3 mg. Les
principaux effets secondaires retrouvés, étaient les nausées et vomissements postopératoires
avec une incidence de 14,65%, et le prurit chez 9,48% des patients. La comparaison des effets
secondaires entre les deux groupes de notre étude n’était pas statistiquement significative.
CONCLUSION : Ces résultats nous ont permis d’affirmer que la dose de 0,2 mg
procure une analgésie plus efficace par rapport à la dose de 0,1 mg, durant les premières 24
heures qui suivent la rachianalgésie morphinique, avec une différence non significative de
l’incidence des effets secondaires.Numéro (Thèse ou Mémoire) : M4792022 Président : Raouf MOHSINE Directeur : Brahim ELAHMADI Juge : Abdelilah GHANNAM Juge : Rachid EL MOUSSAOUI Juge : Amine SOUADKA Réservation
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