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LES CORPS ETRANGERS INTRAVAGINAUX CHEZ LA FILLE / KABBASSI SAMIHA
Titre : LES CORPS ETRANGERS INTRAVAGINAUX CHEZ LA FILLE Type de document : thèse Auteurs : KABBASSI SAMIHA, Auteur Année de publication : 2023 Langues : Français (fre) Mots-clés : corps étranger vagin vaginoscopie fille foreign body Vagina vaginoscopy pediatric surgery جسم غريب مهبل تنظير المهبل فتاة Résumé : Un corps étranger intra vaginal (CEIV) peut être définit comme étant tout objet ou substance étrangère à l’organisme, introduit volontairement ou accidentellement dans la cavité vaginale. C’est un phénomène assez rare dont les circonstances d’insertion du corps sont multiples ainsi que la nature des corps est variable. Il est rencontré à n’importe quel âge et peut exposer à des complications graves pouvant menacer le pronostic vital.
Le tableau clinique est dominé par des vulvovaginites récidivantes. La vaginoscopie reste le moyen le plus bénéfique pour le diagnostic et le traitement des corps étranger intravaginaux.
Dans ce travail, nous exposons le cas d’une fille âgée de 5 ans, sans antécédents particuliers. Admise pour prise en charge d'un CEIV diagnostiqué à titre externe. Le CEIV a été suspectée devant des douleurs pelviennes et des leucorrhées malodorantes.
Une ASP a été réalisée et a objectivée une structure cylindrique radio opaque au niveau pelvien. L'examen paraclinique a été complété par une échographie pelvienne qui a mis en évidence la présence d’une collection liquidienne para- urétérale impure de 15.5 mm d’épaisseur en amont d’un corps étranger vaginal de 45 mm.
Sous anesthésie générale, l’exploration a mis en évidence la présence d’une pile au niveau intravaginal. L’extraction de la pile a été faite par une pince sous contrôle endoscopique. La patiente a été mise sous prescription médicamenteuse, les suites étaient normales.
Malgré la rareté du phénomène, les CEIV doivent être évoqués chez les filles présentant des vulvovaginites surtout qui sont récidivantes et résistantes au traitement sans oublier la nécessité de l’évaluation psychiatrique et l’éducation pour prévenir les récidives.Numéro (Thèse ou Mémoire) : M2852023 Président : TLIGUI Houssain Directeur : KISRA Mounir Juge : ERRAJI Mounir Juge : ZERHOUNI Hicham LES CORPS ETRANGERS INTRAVAGINAUX CHEZ LA FILLE [thèse] / KABBASSI SAMIHA, Auteur . - 2023.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : corps étranger vagin vaginoscopie fille foreign body Vagina vaginoscopy pediatric surgery جسم غريب مهبل تنظير المهبل فتاة Résumé : Un corps étranger intra vaginal (CEIV) peut être définit comme étant tout objet ou substance étrangère à l’organisme, introduit volontairement ou accidentellement dans la cavité vaginale. C’est un phénomène assez rare dont les circonstances d’insertion du corps sont multiples ainsi que la nature des corps est variable. Il est rencontré à n’importe quel âge et peut exposer à des complications graves pouvant menacer le pronostic vital.
Le tableau clinique est dominé par des vulvovaginites récidivantes. La vaginoscopie reste le moyen le plus bénéfique pour le diagnostic et le traitement des corps étranger intravaginaux.
Dans ce travail, nous exposons le cas d’une fille âgée de 5 ans, sans antécédents particuliers. Admise pour prise en charge d'un CEIV diagnostiqué à titre externe. Le CEIV a été suspectée devant des douleurs pelviennes et des leucorrhées malodorantes.
Une ASP a été réalisée et a objectivée une structure cylindrique radio opaque au niveau pelvien. L'examen paraclinique a été complété par une échographie pelvienne qui a mis en évidence la présence d’une collection liquidienne para- urétérale impure de 15.5 mm d’épaisseur en amont d’un corps étranger vaginal de 45 mm.
Sous anesthésie générale, l’exploration a mis en évidence la présence d’une pile au niveau intravaginal. L’extraction de la pile a été faite par une pince sous contrôle endoscopique. La patiente a été mise sous prescription médicamenteuse, les suites étaient normales.
Malgré la rareté du phénomène, les CEIV doivent être évoqués chez les filles présentant des vulvovaginites surtout qui sont récidivantes et résistantes au traitement sans oublier la nécessité de l’évaluation psychiatrique et l’éducation pour prévenir les récidives.Numéro (Thèse ou Mémoire) : M2852023 Président : TLIGUI Houssain Directeur : KISRA Mounir Juge : ERRAJI Mounir Juge : ZERHOUNI Hicham Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M2852023 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2023 Disponible Les masses pelviennes chez la fille / KADIRI Maryeme
Titre : Les masses pelviennes chez la fille Type de document : thèse Auteurs : KADIRI Maryeme, Auteur Langues : Français (fre) Mots-clés : Masse pelvis fille Résumé : Les masses pelviennes chez la fille posent souvent un problème diagnostic et thérapeutique.
Ce travail est une étude rétrospective portant sur les masses pelviennes chez la fille, colligées au service de chirurgie pédiatrique A, en collaboration avec le SHOP, sur une période de 5 ans entre 2010 et 2015. L’objectif est d’analyser les caractéristiques épidémiologiques et cliniques, d’identifier les différentes étiologies, discuter les modalités thérapeutique ainsi que la difficulté de la prise en charge.
30 filles ont été diagnostiquées comme porteuses de masses pelviennes durant cette période.
L’âge de nos patientes varie entre 28 jours et 14 ans. La masse est découverte par les parents dans 50% des cas, elle est découverte lors de complications dans 3.3%, en période néonatale et prénatal dans 3.3% chacune.
Ces masses sont d’origine gynécologiques dans 80% des cas dont (45.8% d’origine ovariennes, 37.5% malformatives et 16.6% provenant du sinus urogénitale) et pré-sacrées dans 20% des cas.
Les masses d’origine maligne constituent 53.3% des cas, elles sont dominées par les tumeurs germinales puis le Rhabdomyosarcome. Les masses d’origine malformatives constituent 30% des cas, représentées par l’hydrocolpos et l’hydrométrocolpos. Enfin les masses tumorales bénignes constituent 16.6% des cas.
La chirurgie a pris une place importante dans la prise en charge de nos patientes.
93.3% des cas ont bénéficié d’un geste chirurgical.la chimiothérapie a été largement indiquée chez les patientes en pré et postopératoire.
L’évolution de nos patientes était favorable chez 70% des cas.
A la lumière de ces résultats, les masses pelviennes chez la fille ne sont pas rares, et cachent derrière plusieurs étiologies, le plus souvent malignes, imposant une instauration rapide du traitement.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M1782016 Président : BENHMAMOUCHE.M.N Directeur : KISRA.M Juge : ABDELHAK.M Juge : OULAHYANE.R Les masses pelviennes chez la fille [thèse] / KADIRI Maryeme, Auteur . - [s.d.].
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Masse pelvis fille Résumé : Les masses pelviennes chez la fille posent souvent un problème diagnostic et thérapeutique.
Ce travail est une étude rétrospective portant sur les masses pelviennes chez la fille, colligées au service de chirurgie pédiatrique A, en collaboration avec le SHOP, sur une période de 5 ans entre 2010 et 2015. L’objectif est d’analyser les caractéristiques épidémiologiques et cliniques, d’identifier les différentes étiologies, discuter les modalités thérapeutique ainsi que la difficulté de la prise en charge.
30 filles ont été diagnostiquées comme porteuses de masses pelviennes durant cette période.
L’âge de nos patientes varie entre 28 jours et 14 ans. La masse est découverte par les parents dans 50% des cas, elle est découverte lors de complications dans 3.3%, en période néonatale et prénatal dans 3.3% chacune.
Ces masses sont d’origine gynécologiques dans 80% des cas dont (45.8% d’origine ovariennes, 37.5% malformatives et 16.6% provenant du sinus urogénitale) et pré-sacrées dans 20% des cas.
Les masses d’origine maligne constituent 53.3% des cas, elles sont dominées par les tumeurs germinales puis le Rhabdomyosarcome. Les masses d’origine malformatives constituent 30% des cas, représentées par l’hydrocolpos et l’hydrométrocolpos. Enfin les masses tumorales bénignes constituent 16.6% des cas.
La chirurgie a pris une place importante dans la prise en charge de nos patientes.
93.3% des cas ont bénéficié d’un geste chirurgical.la chimiothérapie a été largement indiquée chez les patientes en pré et postopératoire.
L’évolution de nos patientes était favorable chez 70% des cas.
A la lumière de ces résultats, les masses pelviennes chez la fille ne sont pas rares, et cachent derrière plusieurs étiologies, le plus souvent malignes, imposant une instauration rapide du traitement.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M1782016 Président : BENHMAMOUCHE.M.N Directeur : KISRA.M Juge : ABDELHAK.M Juge : OULAHYANE.R Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M1782016 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2016 Disponible M1782016-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2016 Disponible L’ostéochondrite primitive de hanche chez la fille. À propos de 19 cas / TALIB Sarah
Titre : L’ostéochondrite primitive de hanche chez la fille. À propos de 19 cas Type de document : thèse Auteurs : TALIB Sarah, Auteur Année de publication : 2015 Langues : Français (fre) Mots-clés : ostéochondrite primitive hanche fille particularités. Résumé : L’ostéochondrite primitive de hanche est une nécrose de la tête fémorale en période de croissance. Son étiologie n’est pas encore élucidée. Bien que rare chez la fille, la maladie revêt un caractère plus grave que dans la forme masculine. Le but de notre étude est de vérifier cette notion de sévérité féminine dans notre contexte et à partir de cette notion, discuter l’apport des différentes thérapeutiques.
Nous avons réalisé une étude rétrospective, effectuée sur 19 patientes colligées au service de traumato-orthopédie pédiatrique de l’hôpital d’enfants de Rabat, sur une période de 17 ans, allant de 1998 à 2014.
Notre série est caractérisée par un âge moyen de 8 ans et 9 mois, nous avons noté une fréquence élevée de la forme unilatérale (90%).
Le couple douleur – boiterie était le principal motif de consultation et 62% des hanches présentaient une limitation de la mobilité articulaire notamment en abduction et en rotation interne, à un moment quelconque de l’histoire de la patiente.
La fragmentation était le stade prédominant (42,86%) et les signes définissant la hanche à risque étaient rencontrés au niveau de 17 hanches (81%).
L’indication opératoire a été posée pour 63,16% des cas et la Butée était la méthode la plus utilisée (64,28%) ;
L’agressivité de la maladie chez la fille explique la fréquence des mauvais résultats obtenus au dernier recul (85,7%).
Le recours à la chirurgie chez nos patientes ne semble pas influencer le cours évolutif de la maladie.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M0782015 Président : MAHFOUD.M Directeur : DENDANE.M.A Juge : BOUHAFS.M.A Juge : BOUSSOUGA.M L’ostéochondrite primitive de hanche chez la fille. À propos de 19 cas [thèse] / TALIB Sarah, Auteur . - 2015.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : ostéochondrite primitive hanche fille particularités. Résumé : L’ostéochondrite primitive de hanche est une nécrose de la tête fémorale en période de croissance. Son étiologie n’est pas encore élucidée. Bien que rare chez la fille, la maladie revêt un caractère plus grave que dans la forme masculine. Le but de notre étude est de vérifier cette notion de sévérité féminine dans notre contexte et à partir de cette notion, discuter l’apport des différentes thérapeutiques.
Nous avons réalisé une étude rétrospective, effectuée sur 19 patientes colligées au service de traumato-orthopédie pédiatrique de l’hôpital d’enfants de Rabat, sur une période de 17 ans, allant de 1998 à 2014.
Notre série est caractérisée par un âge moyen de 8 ans et 9 mois, nous avons noté une fréquence élevée de la forme unilatérale (90%).
Le couple douleur – boiterie était le principal motif de consultation et 62% des hanches présentaient une limitation de la mobilité articulaire notamment en abduction et en rotation interne, à un moment quelconque de l’histoire de la patiente.
La fragmentation était le stade prédominant (42,86%) et les signes définissant la hanche à risque étaient rencontrés au niveau de 17 hanches (81%).
L’indication opératoire a été posée pour 63,16% des cas et la Butée était la méthode la plus utilisée (64,28%) ;
L’agressivité de la maladie chez la fille explique la fréquence des mauvais résultats obtenus au dernier recul (85,7%).
Le recours à la chirurgie chez nos patientes ne semble pas influencer le cours évolutif de la maladie.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M0782015 Président : MAHFOUD.M Directeur : DENDANE.M.A Juge : BOUHAFS.M.A Juge : BOUSSOUGA.M Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M0782015 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2015 Disponible M0782015-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2015 Disponible
Titre : La pathologie gynécologique tumorale chez la jeune fille. Type de document : thèse Auteurs : AZIZA GUENNOUN, Auteur Année de publication : 2015 Langues : Français (fre) Mots-clés : tumeurs gynécologie ovaire rhabdomyosarcome fille Résumé : Introduction :La pathologie gynécologique tumorale de la jeune fille est une pathologie rare.
Matériel et méthodes : Dans ce travail rétrospectif, nous avons revu 15 cas de tumeurs malignes de l’ovaire et 2 cas de rhabdomyosarcome utérovaginal.
Résultats : 17 filles ont été incluses dans notre étude. La douleur et l’augmentation du volume abdominale étaient les signes d’appels les plus fréquents concernant les tumeurs ovariennes, le rhabdomyosarcome utérovaginal s est révélé par des hémorragies génitales et une masse extériorisée à la vulve. Le diagnostic était basé sur une biopsie avec examen anatomo-pathologique et immunohistochimique. Le diagnostic des tumeurs ovariennes était basé sur l’échographie et le dosage des marqueurs tumoraux. 11 patientes ont bénéficié d’une annexectomie, 3 patientes d’ovariectomie unilatérale. La chimiothérapie a été indiquée chez 9 patientes. Aucune de nos patientes n’a bénéficié de radiothérapie. Une chimiothérapie a été indiquée dès le diagnostic de rhabdomyosarcome utérovaginal. Une conisation et une trachélectomie ont été réalisées et complétées ou non par une radiothérapie.
Discussion : La rareté de la pathologie est admise, dominée par les tumeurs ovariennes et le rhabdomyosarcome utérovaginal. Cette pathologie peut être révélée par une douleur, une augmentation du volume abdominal, des hémorragies génitales et une masse extériorisée à la vulve. L’examen trouve une masse abdominale ou vaginale, la biopsie a permis le diagnostic des tumeurs utérovaginales. L’échographie est indiquée, complétée par TDM ou IRM. Le dosage des marqueurs tumoraux est indispensable pour le diagnostic et le suivi des tumeurs ovariennes. La chirurgie, la chimiothérapie et la radiothérapie constituent le trépied de la prise en charge de ces tumeurs malignes. Le diagnostic précoce a permis d’améliorer le pronostic de ces tumeurs.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M3202015 Président : BENHMAMOUCH.M.N Directeur : KISRA.M Juge : OULAHYANE.R Juge : ABDELHAK.M La pathologie gynécologique tumorale chez la jeune fille. [thèse] / AZIZA GUENNOUN, Auteur . - 2015.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : tumeurs gynécologie ovaire rhabdomyosarcome fille Résumé : Introduction :La pathologie gynécologique tumorale de la jeune fille est une pathologie rare.
Matériel et méthodes : Dans ce travail rétrospectif, nous avons revu 15 cas de tumeurs malignes de l’ovaire et 2 cas de rhabdomyosarcome utérovaginal.
Résultats : 17 filles ont été incluses dans notre étude. La douleur et l’augmentation du volume abdominale étaient les signes d’appels les plus fréquents concernant les tumeurs ovariennes, le rhabdomyosarcome utérovaginal s est révélé par des hémorragies génitales et une masse extériorisée à la vulve. Le diagnostic était basé sur une biopsie avec examen anatomo-pathologique et immunohistochimique. Le diagnostic des tumeurs ovariennes était basé sur l’échographie et le dosage des marqueurs tumoraux. 11 patientes ont bénéficié d’une annexectomie, 3 patientes d’ovariectomie unilatérale. La chimiothérapie a été indiquée chez 9 patientes. Aucune de nos patientes n’a bénéficié de radiothérapie. Une chimiothérapie a été indiquée dès le diagnostic de rhabdomyosarcome utérovaginal. Une conisation et une trachélectomie ont été réalisées et complétées ou non par une radiothérapie.
Discussion : La rareté de la pathologie est admise, dominée par les tumeurs ovariennes et le rhabdomyosarcome utérovaginal. Cette pathologie peut être révélée par une douleur, une augmentation du volume abdominal, des hémorragies génitales et une masse extériorisée à la vulve. L’examen trouve une masse abdominale ou vaginale, la biopsie a permis le diagnostic des tumeurs utérovaginales. L’échographie est indiquée, complétée par TDM ou IRM. Le dosage des marqueurs tumoraux est indispensable pour le diagnostic et le suivi des tumeurs ovariennes. La chirurgie, la chimiothérapie et la radiothérapie constituent le trépied de la prise en charge de ces tumeurs malignes. Le diagnostic précoce a permis d’améliorer le pronostic de ces tumeurs.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M3202015 Président : BENHMAMOUCH.M.N Directeur : KISRA.M Juge : OULAHYANE.R Juge : ABDELHAK.M Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M3202015 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2015 Disponible M3202015-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2015 Disponible Documents numériques
M3202015URL
Titre : LES TUMEURS DU SINUS UROGENITAL CHEZ LA FILLE Type de document : thèse Auteurs : KHALLOUK ZAINEB, Auteur Année de publication : 2015 Langues : Français (fre) Mots-clés : TUMEURS SINUS UROGENITAL FILLE Résumé : Les tumeurs du sinus urogénital de l’enfant sont très rares, Le rhabdomyosarcome représente la principale tumeur. Il incluse chez la fille les tumeurs de l’utérus, du vagin, ducol, de la vulve etde la vessie.
Les rhabdomyosarcomes représentent 8℅ de toutes les affections malignes pédiatriques. La région vaginale chez la fille et paratesticulaire chez le garçon est plus touchée. La localisation utérovaginale représente 3 à 4 % des rhabdomyosarcomes toutes localisations confondues. Le rhabdomyosarcomes vésical représente environ 5 % de l’ensemble des tumeurs solides de l’enfant. Ils sont moins fréquents chez les filles que chez les garçons.
A la lumière des trois observations colligées au service de chirurgie pédiatrique deRabat, nous proposons de mieux connaitre la place chirurgie dans la prise en charge et de rappeler les différents aspects épidémiologiques, histologiques, cliniques, thérapeutiques et évolutifs.
Sur le plan clinique, le rhabdomyosarcomeutérovaginal est révélé par des hémorragies génitales ou une masse extériorisée à la vulve. La localisation vésicale est dominée par des signes urinaires : les Infections urinaires récidivantes, l’hématurie... Le diagnostic est assuré par une biopsie avec examen anatomopathologique et immunohistochimique.
Les examens complémentaires réalisés dans le cadre du bilan d’extension sont dominés par : l’échographie, l’IRM ou la TDM, une radiographie pulmonaire ou mieux un PET-scan.
Le traitement doit être pris en charge par une équipe pluridisciplinaire. Une chimiothérapie est indiquée dans tous les cas dès le diagnostic. Le traitement local repose sur une chirurgie secondaire, complétée ou non par une radiothérapie.
Le diagnostic précoce et l’approche thérapeutique pluridisciplinaire ont permis d’améliorer sensiblement le pronostic avec une survie à 5 ans de 70 ℅ tous stades confondus.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M0392015 Président : ABDELHAK.M Directeur : KISRA.M Juge : OULAHYANE.R Juge : LAMALMI.N Juge : ROUAS LES TUMEURS DU SINUS UROGENITAL CHEZ LA FILLE [thèse] / KHALLOUK ZAINEB, Auteur . - 2015.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : TUMEURS SINUS UROGENITAL FILLE Résumé : Les tumeurs du sinus urogénital de l’enfant sont très rares, Le rhabdomyosarcome représente la principale tumeur. Il incluse chez la fille les tumeurs de l’utérus, du vagin, ducol, de la vulve etde la vessie.
Les rhabdomyosarcomes représentent 8℅ de toutes les affections malignes pédiatriques. La région vaginale chez la fille et paratesticulaire chez le garçon est plus touchée. La localisation utérovaginale représente 3 à 4 % des rhabdomyosarcomes toutes localisations confondues. Le rhabdomyosarcomes vésical représente environ 5 % de l’ensemble des tumeurs solides de l’enfant. Ils sont moins fréquents chez les filles que chez les garçons.
A la lumière des trois observations colligées au service de chirurgie pédiatrique deRabat, nous proposons de mieux connaitre la place chirurgie dans la prise en charge et de rappeler les différents aspects épidémiologiques, histologiques, cliniques, thérapeutiques et évolutifs.
Sur le plan clinique, le rhabdomyosarcomeutérovaginal est révélé par des hémorragies génitales ou une masse extériorisée à la vulve. La localisation vésicale est dominée par des signes urinaires : les Infections urinaires récidivantes, l’hématurie... Le diagnostic est assuré par une biopsie avec examen anatomopathologique et immunohistochimique.
Les examens complémentaires réalisés dans le cadre du bilan d’extension sont dominés par : l’échographie, l’IRM ou la TDM, une radiographie pulmonaire ou mieux un PET-scan.
Le traitement doit être pris en charge par une équipe pluridisciplinaire. Une chimiothérapie est indiquée dans tous les cas dès le diagnostic. Le traitement local repose sur une chirurgie secondaire, complétée ou non par une radiothérapie.
Le diagnostic précoce et l’approche thérapeutique pluridisciplinaire ont permis d’améliorer sensiblement le pronostic avec une survie à 5 ans de 70 ℅ tous stades confondus.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M0392015 Président : ABDELHAK.M Directeur : KISRA.M Juge : OULAHYANE.R Juge : LAMALMI.N Juge : ROUAS Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M0392015-1 KHA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2015 Disponible M0392015 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2015 Disponible Documents numériques
M0392015URL Vulvo-vaginite : diagnostic clinique-etiologique et conduite therapetique / MARRAHA FARAH
Titre : Vulvo-vaginite : diagnostic clinique-etiologique et conduite therapetique Type de document : thèse Auteurs : MARRAHA FARAH, Auteur Année de publication : 2016 Langues : Français (fre) Mots-clés : Vulvo-vaginite Fille Clinique Etiologie Traitement Résumé : La vulvo-vaginite est généralement considéré comme le problème gynécologique le plus fréquemment rencontré chez les filles prépubères. La susceptibilité accrue des filles à cette pathologie est due à un ensemble de facteurs anatomiques, environnementaux et comportementaux.
En pratique, les termes vulvite, vaginite et vulvo-vaginite sont souvent utilisés de façon interchangeable pour le diagnostic des affections inflammatoires du tractus génital inférieur.
Les symptômes les plus fréquents de cette pathologie sont les pertes vaginales, prurit, érythème, et la douleur.
Le diagnostic de l'infection est souvent difficile car il existe un chevauchement entre la flore vaginale pathogène et normale ; le diagnostic étiologique doit être donc l’aboutissement de la confrontation des orientations cliniques et des résultats paracliniques.
Les causes non infectieuses sont de loin le diagnostic prédominant (manque d’hygiène et les irritants chimiques), un agent infectieux n’est cultivé que dans 20 à 26% des cas.
Le streptocoque β-hémolytique du groupe A est l’agent pathogène le plus identifié lors des vulvo-vaginites prépubères. Les autres agents pathogènes non sexuellement transmissibles sont Haemophilusinfluenzae, Staphylococcus aureus, Streptococcus pneumoniae, Neisseriameningitidis, Shigella et Yersinia entercolitica. En dehors d’un terrain particulier (immunodépression, diabète antibiothérapie récente), le Candidaalbicans est rarement isolé chez la jeune fille.
Les oxyures, le corps étranger et les dermatoses inflammatoires à localisation vulvo-vaginale sont les autres causes des vulvo-vaginites.
L’isolement d’un agent pathogène sexuellement transmissible chez les enfants prépubères (Neisseriagonorrhoeae, Trichomonas vaginalis ou Chlamydia trachomatis) est très évocateur d’un abus sexuel, même si d’autres modes de transmission sont possibles.
La prise en charge primaire repose sur des mesures d’hygiènes et l’éviction des facteurs irritants, les traitements spécifiques ne doivent être administrés qu’après une confirmation clinique et paraclinique.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M0622016 Président : BENTAHILA.A Directeur : JABOUIRIK.F Juge : EL HAMZAOUI.S Juge : BERNOUSSI.Z Vulvo-vaginite : diagnostic clinique-etiologique et conduite therapetique [thèse] / MARRAHA FARAH, Auteur . - 2016.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Vulvo-vaginite Fille Clinique Etiologie Traitement Résumé : La vulvo-vaginite est généralement considéré comme le problème gynécologique le plus fréquemment rencontré chez les filles prépubères. La susceptibilité accrue des filles à cette pathologie est due à un ensemble de facteurs anatomiques, environnementaux et comportementaux.
En pratique, les termes vulvite, vaginite et vulvo-vaginite sont souvent utilisés de façon interchangeable pour le diagnostic des affections inflammatoires du tractus génital inférieur.
Les symptômes les plus fréquents de cette pathologie sont les pertes vaginales, prurit, érythème, et la douleur.
Le diagnostic de l'infection est souvent difficile car il existe un chevauchement entre la flore vaginale pathogène et normale ; le diagnostic étiologique doit être donc l’aboutissement de la confrontation des orientations cliniques et des résultats paracliniques.
Les causes non infectieuses sont de loin le diagnostic prédominant (manque d’hygiène et les irritants chimiques), un agent infectieux n’est cultivé que dans 20 à 26% des cas.
Le streptocoque β-hémolytique du groupe A est l’agent pathogène le plus identifié lors des vulvo-vaginites prépubères. Les autres agents pathogènes non sexuellement transmissibles sont Haemophilusinfluenzae, Staphylococcus aureus, Streptococcus pneumoniae, Neisseriameningitidis, Shigella et Yersinia entercolitica. En dehors d’un terrain particulier (immunodépression, diabète antibiothérapie récente), le Candidaalbicans est rarement isolé chez la jeune fille.
Les oxyures, le corps étranger et les dermatoses inflammatoires à localisation vulvo-vaginale sont les autres causes des vulvo-vaginites.
L’isolement d’un agent pathogène sexuellement transmissible chez les enfants prépubères (Neisseriagonorrhoeae, Trichomonas vaginalis ou Chlamydia trachomatis) est très évocateur d’un abus sexuel, même si d’autres modes de transmission sont possibles.
La prise en charge primaire repose sur des mesures d’hygiènes et l’éviction des facteurs irritants, les traitements spécifiques ne doivent être administrés qu’après une confirmation clinique et paraclinique.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M0622016 Président : BENTAHILA.A Directeur : JABOUIRIK.F Juge : EL HAMZAOUI.S Juge : BERNOUSSI.Z Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M0622016 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2016 Disponible M0622016-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2016 Disponible