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8 résultat(s) recherche sur le mot-clé 'Immunoglobuline monoclonale'
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ExpĂ©rience du laboratoire de Biochimie de l'HMIMV dans lâisotypage des immunoglobulines monoclonales. / ELFOUNINI Siham
Titre : ExpĂ©rience du laboratoire de Biochimie de l'HMIMV dans lâisotypage des immunoglobulines monoclonales. Type de document : thĂšse Auteurs : ELFOUNINI Siham, Auteur AnnĂ©e de publication : 2017 Langues : Français (fre) Mots-clĂ©s : Immunoglobuline monoclonale ElectrophorĂšse des protĂ©ines Isotypage Immunofixation Immunosoustraction RĂ©sumĂ© : Objectif
Le présent travail a pour objectif de partager l’expérience du laboratoire de Biochimie de l’HMIMV en matière d’identification immunologique des immunoglobulines monoclonales et de discuter les résultats comparativement aux données de la littérature.
Matériels et Méthodes
Il s’agit d’une étude rétrospective réalisée au service de Biochimie de l’HMIMV, sur une période de quatre années (2013-2016). Nous avons récupéré puis analysé les données biologiques d’une cohorte de 837 cas pour lesquels une électrophorèse des protéines sériques et un isotypage ont été réalisés.
Résultats
Sur les 837 électrophorèses des protéines sériques on a identifié 498 cas d’immunoglobulinopathies dont 320 cas d’immunoglobulines monoclonales (64.38%). La répartition selon le sexe trouve un sexe- ratio de 1,73, en faveur des hommes. La médiane d’âge est à 63 ans avec un pic de fréquence aux alentours de 60ans.
Quand le pic d’allure monoclonale est bien individulisé, Il est principalement situé au niveau de la zone des γ-globulines (333 cas), suivi de la zone des beta-globulines avec 96 cas. Nous avons enregistré une forte prédominance de l’isotype IgG soit 74%des cas. Les chaînes légères kappa semblent majoritaires pour les IgG et IgM, alors que pour les IgA, les chaînes lambda prédominent. Nous avons noté une concordance globale entre les deux techniques d’isotypage de 84%, et une discordance de 17%. On note une évolution considérable dans l’utilisation de l’immunosoustraction sur Capillarys® au laboratoire. Cependant l’immunofixation reste la technique de référence.
Conclusion
A la lumière de nos résultats, il serait intéressant de pouvoir compléter ce travail, par une étude prospective pour pouvoir comparer les deux techniques d’isotypage à savoir l’immunofixation et l’immunosoustraction.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : P1072017 Président : BOUHSAIN.S Directeur : ELMACHTANI IDRISSI.S Juge : DAMI.A Juge : MASRAR.A Juge : BENCHEKROUN.L ExpĂ©rience du laboratoire de Biochimie de l'HMIMV dans lâisotypage des immunoglobulines monoclonales. [thĂšse] / ELFOUNINI Siham, Auteur . - 2017.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Immunoglobuline monoclonale ElectrophorÚse des protéines Isotypage Immunofixation Immunosoustraction Résumé : Objectif
Le présent travail a pour objectif de partager l’expérience du laboratoire de Biochimie de l’HMIMV en matière d’identification immunologique des immunoglobulines monoclonales et de discuter les résultats comparativement aux données de la littérature.
Matériels et Méthodes
Il s’agit d’une étude rétrospective réalisée au service de Biochimie de l’HMIMV, sur une période de quatre années (2013-2016). Nous avons récupéré puis analysé les données biologiques d’une cohorte de 837 cas pour lesquels une électrophorèse des protéines sériques et un isotypage ont été réalisés.
Résultats
Sur les 837 électrophorèses des protéines sériques on a identifié 498 cas d’immunoglobulinopathies dont 320 cas d’immunoglobulines monoclonales (64.38%). La répartition selon le sexe trouve un sexe- ratio de 1,73, en faveur des hommes. La médiane d’âge est à 63 ans avec un pic de fréquence aux alentours de 60ans.
Quand le pic d’allure monoclonale est bien individulisé, Il est principalement situé au niveau de la zone des γ-globulines (333 cas), suivi de la zone des beta-globulines avec 96 cas. Nous avons enregistré une forte prédominance de l’isotype IgG soit 74%des cas. Les chaînes légères kappa semblent majoritaires pour les IgG et IgM, alors que pour les IgA, les chaînes lambda prédominent. Nous avons noté une concordance globale entre les deux techniques d’isotypage de 84%, et une discordance de 17%. On note une évolution considérable dans l’utilisation de l’immunosoustraction sur Capillarys® au laboratoire. Cependant l’immunofixation reste la technique de référence.
Conclusion
A la lumière de nos résultats, il serait intéressant de pouvoir compléter ce travail, par une étude prospective pour pouvoir comparer les deux techniques d’isotypage à savoir l’immunofixation et l’immunosoustraction.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : P1072017 Président : BOUHSAIN.S Directeur : ELMACHTANI IDRISSI.S Juge : DAMI.A Juge : MASRAR.A Juge : BENCHEKROUN.L RĂ©servation
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Code barre Cote Support Localisation Section DisponibilitĂ© P1072017 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesPharm2017 Disponible P1072017-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesPharm2017 Disponible Gammapathies monoclonales avec atteinte rĂ©nale : De la physiopathologie au diagnostic (ExpĂ©rience au CHU Ibn Sina-Rabat). / MUHANUKA Jean-Luc
Titre : Gammapathies monoclonales avec atteinte rĂ©nale : De la physiopathologie au diagnostic (ExpĂ©rience au CHU Ibn Sina-Rabat). Type de document : thĂšse Auteurs : MUHANUKA Jean-Luc, Auteur AnnĂ©e de publication : 2017 Langues : Français (fre) Mots-clĂ©s : Immunoglobuline monoclonale Atteinte rĂ©nale MyĂ©lome multiple Gammapathie monoclonale de Signification RĂ©nale (MGRS) RĂ©sumĂ© : Introduction : La gammapathie monoclonale avec atteinte rénale est une entité qui nécessite une prise en charge particulière pour diminuer sa morbi-mortalité. A travers ce travail, nous nous proposons d’effectuer une revue de la littérature sur les gammapathies monoclonales et atteinte rénale pour comprendre davantage la physiopathologie de cette affection complexe. Sera abordée par la suite l’expérience du laboratoire central de biochimie du centre hospitalo-universitaire Ibn Sina qui veille à diagnostiquer et à suivre des patients adressés par le service de Néphro-hémodialyse.
Matériels et méthodes : C’est une étude rétrospective menée au centre hospitalo-universitaireIbnSina de Rabat sur une période de 5 ans (Janvier 2008 à début Janvier 2013) au cours de laquelle nous avons analysé les données cliniques et biologiques d’une série de 48 patients atteints de gammapathies monoclonales avec atteinte rénale.
Résultats : Nous avons trouvé un sex-ratio de 2,2en faveur deshommes et une moyenne d’âge de 58,86 ans. L’isotypeIgGλ est prédominant à un taux de 34,1%descas. Une prédominance de 65,7% des CLL λ versus 34,3%des CLL κ a été retrouvée dans la protéine de Bence Jones.
Conclusion :La tendance générale vise à repérer précocement les personnes souffrant de gammapathies monoclonales de signification indéterminée avec du début d’atteinte rénale pour désamorcer le mécanisme délétère d’atteinte rénale. Le but est de sauvegarder le capital rénal dans un cadre préventif. Par ailleurs, il est utile de sensibiliser les équipes au respect des procédures et aux nouvelles approches préventives visant la néphroprotéction.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : P0762017 Président : OUZEDDOUN.N Directeur : BOUABDELLAH.M Juge : TELLA.S Juge : MASRAR.A Juge : BALOUCH.L Gammapathies monoclonales avec atteinte rĂ©nale : De la physiopathologie au diagnostic (ExpĂ©rience au CHU Ibn Sina-Rabat). [thĂšse] / MUHANUKA Jean-Luc, Auteur . - 2017.
Langues : Français (fre)
Mots-clĂ©s : Immunoglobuline monoclonale Atteinte rĂ©nale MyĂ©lome multiple Gammapathie monoclonale de Signification RĂ©nale (MGRS) RĂ©sumĂ© : Introduction : La gammapathie monoclonale avec atteinte rénale est une entité qui nécessite une prise en charge particulière pour diminuer sa morbi-mortalité. A travers ce travail, nous nous proposons d’effectuer une revue de la littérature sur les gammapathies monoclonales et atteinte rénale pour comprendre davantage la physiopathologie de cette affection complexe. Sera abordée par la suite l’expérience du laboratoire central de biochimie du centre hospitalo-universitaire Ibn Sina qui veille à diagnostiquer et à suivre des patients adressés par le service de Néphro-hémodialyse.
Matériels et méthodes : C’est une étude rétrospective menée au centre hospitalo-universitaireIbnSina de Rabat sur une période de 5 ans (Janvier 2008 à début Janvier 2013) au cours de laquelle nous avons analysé les données cliniques et biologiques d’une série de 48 patients atteints de gammapathies monoclonales avec atteinte rénale.
Résultats : Nous avons trouvé un sex-ratio de 2,2en faveur deshommes et une moyenne d’âge de 58,86 ans. L’isotypeIgGλ est prédominant à un taux de 34,1%descas. Une prédominance de 65,7% des CLL λ versus 34,3%des CLL κ a été retrouvée dans la protéine de Bence Jones.
Conclusion :La tendance générale vise à repérer précocement les personnes souffrant de gammapathies monoclonales de signification indéterminée avec du début d’atteinte rénale pour désamorcer le mécanisme délétère d’atteinte rénale. Le but est de sauvegarder le capital rénal dans un cadre préventif. Par ailleurs, il est utile de sensibiliser les équipes au respect des procédures et aux nouvelles approches préventives visant la néphroprotéction.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : P0762017 Président : OUZEDDOUN.N Directeur : BOUABDELLAH.M Juge : TELLA.S Juge : MASRAR.A Juge : BALOUCH.L RĂ©servation
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Code barre Cote Support Localisation Section DisponibilitĂ© P0762017 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2017 Disponible P0762017-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2017 Disponible GAMMAPATHIES MONOCLONALES MALIGNES (MYELOME MULTIPLE ET MACROGLOBULINEMIE DE WALDENSTRĂM) : ASPECTS EPIDEMIOLOGIQUES, CLINIQUES ET BIOLOGIQUES DES CAS COLLIGES, SUR UNE PERIODE DE 19 ANS, AU LABORATOIRE DE BIOCHIMIE-TOXICOLOGIE DE LâHMIMV DE RABAT / Asma BELLOUCH
Titre : GAMMAPATHIES MONOCLONALES MALIGNES (MYELOME MULTIPLE ET MACROGLOBULINEMIE DE WALDENSTRĂM) : ASPECTS EPIDEMIOLOGIQUES, CLINIQUES ET BIOLOGIQUES DES CAS COLLIGES, SUR UNE PERIODE DE 19 ANS, AU LABORATOIRE DE BIOCHIMIE-TOXICOLOGIE DE LâHMIMV DE RABAT Type de document : thĂšse Auteurs : Asma BELLOUCH, Auteur AnnĂ©e de publication : 2021 Langues : Français (fre) Mots-clĂ©s : Immunoglobuline monoclonale Gammapathies monoclonales malignes MyĂ©lome Multiple MacroglobulinĂ©mie de Waldenström ElectrophorĂšse
des protĂ©inesRĂ©sumĂ© : Mots clés : immunoglobuline monoclonale, gammapathies monoclonales malignes, Myélome
Multiple, Macroglobulinémie de Waldenström, électrophorèse des protéines.
Introduction : Les gammapathies monoclonales constituent un groupe très hétérogène de
maladies d’étiologies différentes. Dans 30% des cas, elles sont associées à une hémopathie
lymphoïde B : Myélome Multiple (MM), Macroglobulinémie de Waldenström (MGW),
maladie lymphoproliférative, amylose. Le MM est l’étiologie de loin la fréquente dans ce
cadre nosologique.
Type et objectif de l’étude : il s’agit d’une étude rétrospective descriptive, portant sur les cas
de gammapathies monoclonales colligés, sur une période de 19 ans, au laboratoire de
Biochimie-Toxicologie de l’HMIMV. L’objectif est de décrire les caractéristiques
épidémiologiques, cliniques et biologiques des cas de MM et de MGW.
Résultats : 516 cas de gammapathies monoclonales, pour lesquels un diagnostic a été établi,
ont fait l’objet de notre étude. Les gammapathies monoclonales malignes prédominaient, avec
59% des patients contre 37% pour les MGUS. En ce qui concerne le MM; l’âge moyen était
de 60,90 ans avec un sex-ratio (H/F) de 2,68. Les douleurs osseuses étaient les signes
révélateurs les plus fréquents (42%). Le pic monoclonal était évocateur dans 83% des cas
avec une nette prédilection pour la zone gammaglobuline (71%). Une prédominance des
Myélomes à IgG a été observée (53,45%).
La MGW ne représente que 5% des cas. L’âge moyen était de 63 ans, avec un sexe ratio (H/F)
de 1,70. La symptomatologie clinique est dominée par le syndrome anémique (23%). Une
prédominance des IgMK a été objectivée (74%).
Conclusion : Les gammapathies monoclonales malignes représentent plus de 50 % des cas.
Compte tenu de leur fréquence croissante, il paraît important de définir une stratégie
diagnostique et de surveillance adaptée.Numéro (Thèse ou Mémoire) : P0502021 Président : Kamal DOGHMI Directeur : Zohra OUZZIF Juge : Khalid ENNIBI Juge : Abdellah DAMI Juge : Mounya BOUABDELLAH GAMMAPATHIES MONOCLONALES MALIGNES (MYELOME MULTIPLE ET MACROGLOBULINEMIE DE WALDENSTRĂM) : ASPECTS EPIDEMIOLOGIQUES, CLINIQUES ET BIOLOGIQUES DES CAS COLLIGES, SUR UNE PERIODE DE 19 ANS, AU LABORATOIRE DE BIOCHIMIE-TOXICOLOGIE DE LâHMIMV DE RABAT [thĂšse] / Asma BELLOUCH, Auteur . - 2021.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Immunoglobuline monoclonale Gammapathies monoclonales malignes Myélome Multiple Macroglobulinémie de Waldenström ElectrophorÚse
des protĂ©inesRĂ©sumĂ© : Mots clés : immunoglobuline monoclonale, gammapathies monoclonales malignes, Myélome
Multiple, Macroglobulinémie de Waldenström, électrophorèse des protéines.
Introduction : Les gammapathies monoclonales constituent un groupe très hétérogène de
maladies d’étiologies différentes. Dans 30% des cas, elles sont associées à une hémopathie
lymphoïde B : Myélome Multiple (MM), Macroglobulinémie de Waldenström (MGW),
maladie lymphoproliférative, amylose. Le MM est l’étiologie de loin la fréquente dans ce
cadre nosologique.
Type et objectif de l’étude : il s’agit d’une étude rétrospective descriptive, portant sur les cas
de gammapathies monoclonales colligés, sur une période de 19 ans, au laboratoire de
Biochimie-Toxicologie de l’HMIMV. L’objectif est de décrire les caractéristiques
épidémiologiques, cliniques et biologiques des cas de MM et de MGW.
Résultats : 516 cas de gammapathies monoclonales, pour lesquels un diagnostic a été établi,
ont fait l’objet de notre étude. Les gammapathies monoclonales malignes prédominaient, avec
59% des patients contre 37% pour les MGUS. En ce qui concerne le MM; l’âge moyen était
de 60,90 ans avec un sex-ratio (H/F) de 2,68. Les douleurs osseuses étaient les signes
révélateurs les plus fréquents (42%). Le pic monoclonal était évocateur dans 83% des cas
avec une nette prédilection pour la zone gammaglobuline (71%). Une prédominance des
Myélomes à IgG a été observée (53,45%).
La MGW ne représente que 5% des cas. L’âge moyen était de 63 ans, avec un sexe ratio (H/F)
de 1,70. La symptomatologie clinique est dominée par le syndrome anémique (23%). Une
prédominance des IgMK a été objectivée (74%).
Conclusion : Les gammapathies monoclonales malignes représentent plus de 50 % des cas.
Compte tenu de leur fréquence croissante, il paraît important de définir une stratégie
diagnostique et de surveillance adaptée.Numéro (Thèse ou Mémoire) : P0502021 Président : Kamal DOGHMI Directeur : Zohra OUZZIF Juge : Khalid ENNIBI Juge : Abdellah DAMI Juge : Mounya BOUABDELLAH RĂ©servation
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Code barre Cote Support Localisation Section DisponibilitĂ© P0502021 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesPharm2021 Disponible P0502021-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesPharm2021 Disponible Documents numĂ©riques
P0502021URL LES IMMUNOGLOBULINOPATHIES MONOCLONALES : ETUDE EPIDEMIOLOGIQUE, BIOCHIMIQUE ET ETIOLOGIQUE DâUNE COHORTE DE 214 CAS / KHADIJA SADOUKE
Titre : LES IMMUNOGLOBULINOPATHIES MONOCLONALES : ETUDE EPIDEMIOLOGIQUE, BIOCHIMIQUE ET ETIOLOGIQUE DâUNE COHORTE DE 214 CAS Type de document : thĂšse Auteurs : KHADIJA SADOUKE, Auteur AnnĂ©e de publication : 2009 Langues : Français (fre) Mots-clĂ©s : IMMUNOGLOBULINE MONOCLONALE GAMMAPATHIE MONOCLONALE EXPLORATION BIOCHIMIQUE ETIOLOGIE Index. dĂ©cimale : WA SANTE PUBLIQUE - PROFESSION MEDICALE RĂ©sumĂ© : Les immunoglobulinopathies monoclonales (IM), improprement appelées gammapathies monoclonales (GM) regroupent des pathologies diverses pouvant relever d’étiologies malignes ou bénignes. Assez fréquentes dans la population générale surtout d’un âge avancé, elles représentent un problème quotidien en pratique clinique.
En vue d’étudier les caractéristiques épidémiologiques, biochimiques et étiologiques des IM, nous avons mené un travail rétrospectif portant sur une cohorte de 214 cas colligés à L’HMIMV de Rabat, durant une période de 9 ans (Janvier 2000 à Décembre 2008). Nous avons tenté de comparer nos résultats avec ceux de nombreuses autres études menées dans le même cadre que la nôtre.
Notre population inclut 153 hommes et 61 femmes, d’âge moyen de 59.87±12.46 ans, avec des extrêmes à 23 et 97 ans. Elle comporte 81 cas de MGUS et 133 cas d’IMM, dont 113 observations de myélome et les 20 restants sont des cas de MGW (n =8), de Lymphomes (n =9) et de LLC (n =3).
Sur le plan clinique, les douleurs osseuses et l’AEG représentent dans près de 50% des cas, les signes révélateurs de ces pathologies surtout dans le groupe des IMM. Les MGUS sont le plus souvent, associées aux maladies rhumatismales, à l’IR, aux affections hépatobiliaires et au diabète (plus de 50%).
Sur le plan biologique on note :
• Une augmentation significative de la protidémie chez les IMM par rapport aux MGUS.
• L’absence de pic à l’électrophorèse des protéines sériques chez 13.55% de nos patients. La mise en évidence du composant monoclonal est plus difficile dans le cas des chaines légères libres monoclonales: 25faux négatifs sur 30 (soit 83%). Chez les 185 patients, où le pic était présent à l’électrophorèse, celui-ci était le plus souvent dans la zone γ (82.16%) et rarement dans la zone β (17.84 %).
• Une sensibilité de 88.1% et une spécificité de 100% de l’EPP lorsque l’IF est prise comme technique de référence,
• Une sensibilité 98.68% et une spécificité de 20% du rapport κ/λ lorsque l’IF est prise comme technique de référence,
• Une augmentation significative du taux du composant monoclonal et une répression de synthèse des Ig polyclonales objectivées dans les I MM comparativement aux MGUS,
• La prédominance de l’isotype IgG (55.61%), encore plus dans les MGUS (72.8%),
• La présence d’une PBJ chez 35.6 % des cas, généralement des I MM.
Ainsi, par rapport à la plupart des grandes séries internationales, notre étude révèle des résultats concordants quant à la prédominance masculine et de l’iso type Ig ainsi que l’âge avancé. Elle s’en distingue en revanche par :
o La faible fréquence de la macroglobulinémie de Waldenström,
o La fréquence relativement élevé des MM à chaines légères,
o Le retard dans le diagnostic des IMM, particulièrement du MM, expliquant la lourdeur de la prise en charge des patients.
L’amélioration des techniques, allant de pair avec l’évolution de la biologie, joue sans doute un rôle prépondérant dans la mise en évidence de profils diversifiés.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : P0462009 Président : LAYACHI CHABRAOUI Directeur : ZOUHRA OUZZIF Juge : ABDERRAHMANI RHORFI ISMAIL LES IMMUNOGLOBULINOPATHIES MONOCLONALES : ETUDE EPIDEMIOLOGIQUE, BIOCHIMIQUE ET ETIOLOGIQUE DâUNE COHORTE DE 214 CAS [thĂšse] / KHADIJA SADOUKE, Auteur . - 2009.
Langues : Français (fre)
Mots-clĂ©s : IMMUNOGLOBULINE MONOCLONALE GAMMAPATHIE MONOCLONALE EXPLORATION BIOCHIMIQUE ETIOLOGIE Index. dĂ©cimale : WA SANTE PUBLIQUE - PROFESSION MEDICALE RĂ©sumĂ© : Les immunoglobulinopathies monoclonales (IM), improprement appelées gammapathies monoclonales (GM) regroupent des pathologies diverses pouvant relever d’étiologies malignes ou bénignes. Assez fréquentes dans la population générale surtout d’un âge avancé, elles représentent un problème quotidien en pratique clinique.
En vue d’étudier les caractéristiques épidémiologiques, biochimiques et étiologiques des IM, nous avons mené un travail rétrospectif portant sur une cohorte de 214 cas colligés à L’HMIMV de Rabat, durant une période de 9 ans (Janvier 2000 à Décembre 2008). Nous avons tenté de comparer nos résultats avec ceux de nombreuses autres études menées dans le même cadre que la nôtre.
Notre population inclut 153 hommes et 61 femmes, d’âge moyen de 59.87±12.46 ans, avec des extrêmes à 23 et 97 ans. Elle comporte 81 cas de MGUS et 133 cas d’IMM, dont 113 observations de myélome et les 20 restants sont des cas de MGW (n =8), de Lymphomes (n =9) et de LLC (n =3).
Sur le plan clinique, les douleurs osseuses et l’AEG représentent dans près de 50% des cas, les signes révélateurs de ces pathologies surtout dans le groupe des IMM. Les MGUS sont le plus souvent, associées aux maladies rhumatismales, à l’IR, aux affections hépatobiliaires et au diabète (plus de 50%).
Sur le plan biologique on note :
• Une augmentation significative de la protidémie chez les IMM par rapport aux MGUS.
• L’absence de pic à l’électrophorèse des protéines sériques chez 13.55% de nos patients. La mise en évidence du composant monoclonal est plus difficile dans le cas des chaines légères libres monoclonales: 25faux négatifs sur 30 (soit 83%). Chez les 185 patients, où le pic était présent à l’électrophorèse, celui-ci était le plus souvent dans la zone γ (82.16%) et rarement dans la zone β (17.84 %).
• Une sensibilité de 88.1% et une spécificité de 100% de l’EPP lorsque l’IF est prise comme technique de référence,
• Une sensibilité 98.68% et une spécificité de 20% du rapport κ/λ lorsque l’IF est prise comme technique de référence,
• Une augmentation significative du taux du composant monoclonal et une répression de synthèse des Ig polyclonales objectivées dans les I MM comparativement aux MGUS,
• La prédominance de l’isotype IgG (55.61%), encore plus dans les MGUS (72.8%),
• La présence d’une PBJ chez 35.6 % des cas, généralement des I MM.
Ainsi, par rapport à la plupart des grandes séries internationales, notre étude révèle des résultats concordants quant à la prédominance masculine et de l’iso type Ig ainsi que l’âge avancé. Elle s’en distingue en revanche par :
o La faible fréquence de la macroglobulinémie de Waldenström,
o La fréquence relativement élevé des MM à chaines légères,
o Le retard dans le diagnostic des IMM, particulièrement du MM, expliquant la lourdeur de la prise en charge des patients.
L’amélioration des techniques, allant de pair avec l’évolution de la biologie, joue sans doute un rôle prépondérant dans la mise en évidence de profils diversifiés.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : P0462009 Président : LAYACHI CHABRAOUI Directeur : ZOUHRA OUZZIF Juge : ABDERRAHMANI RHORFI ISMAIL RĂ©servation
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Code barre Cote Support Localisation Section DisponibilitĂ© P0462009 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesPharm2009 Disponible
Titre : MYELOME MULTIPLE :APPORT DE LA CLASSIFICATION OMS 2016 Type de document : thĂšse Auteurs : EL FASSI Ibtissam, Auteur AnnĂ©e de publication : 2019 Langues : Français (fre) Mots-clĂ©s : MyĂ©lome Immunoglobuline monoclonale OstĂ©olyse ElectrophorĂšse des protĂ©ines ChimiothĂ©rapie RĂ©sumĂ© : Le myélome multiple ou maladie de kahler est une hémopathie caractérisée par une prolifération plasmocytaire maligne monoclonale. Elle représente 10% des hémopathies malignes et 1 à 2% de l’ensemble des cancers. Bien qu’encore incurable, l’avènement des nouvelles thérapies semble améliorer considérablement le pronostic de cette maladie.
L’actualité du myélome multiple est marquée par l’apparition,depuis 2005,d’un nouveau système de classification pronostique,l’InternationalStaging System (ISS) qu’est devenu plus largement utilisé après la démonstration de son efficacité sur des patients de moins de 65ans bénéficiant d’un traitement standard ou d’une autogreffe par rapport au système Durie et Salmon.
En effet, le traitement du myélome a longtemps reposé sur des traitements alkylants (melphalan, cyclophosphamide), doxorubicine et corticoïdes. De nouveaux traitements ont fait leur apparition et ont révolutionné la prise en charge du myélome, et à repenser totalement la stratégie thérapeutique avec obtention d’une amélioration de la survie globale. Il s’agit des agents immunomodulateurs (imide) comme le thalidomide le lénalidomide et le pomalidomide de structure voisine mais plus puissants, et du bortézomib et carfilzomib inhibiteurs sélectifs du protéasome. L’inhibition du protéasome entraîne un arrêt du cycle cellulaire et une apoptose.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M1782019 Président : BENKIRANE.S Directeur : MASRAR.A Juge : NAZIH.M Juge : JEAIDI.A MYELOME MULTIPLE :APPORT DE LA CLASSIFICATION OMS 2016 [thĂšse] / EL FASSI Ibtissam, Auteur . - 2019.
Langues : Français (fre)
Mots-clĂ©s : MyĂ©lome Immunoglobuline monoclonale OstĂ©olyse ElectrophorĂšse des protĂ©ines ChimiothĂ©rapie RĂ©sumĂ© : Le myélome multiple ou maladie de kahler est une hémopathie caractérisée par une prolifération plasmocytaire maligne monoclonale. Elle représente 10% des hémopathies malignes et 1 à 2% de l’ensemble des cancers. Bien qu’encore incurable, l’avènement des nouvelles thérapies semble améliorer considérablement le pronostic de cette maladie.
L’actualité du myélome multiple est marquée par l’apparition,depuis 2005,d’un nouveau système de classification pronostique,l’InternationalStaging System (ISS) qu’est devenu plus largement utilisé après la démonstration de son efficacité sur des patients de moins de 65ans bénéficiant d’un traitement standard ou d’une autogreffe par rapport au système Durie et Salmon.
En effet, le traitement du myélome a longtemps reposé sur des traitements alkylants (melphalan, cyclophosphamide), doxorubicine et corticoïdes. De nouveaux traitements ont fait leur apparition et ont révolutionné la prise en charge du myélome, et à repenser totalement la stratégie thérapeutique avec obtention d’une amélioration de la survie globale. Il s’agit des agents immunomodulateurs (imide) comme le thalidomide le lénalidomide et le pomalidomide de structure voisine mais plus puissants, et du bortézomib et carfilzomib inhibiteurs sélectifs du protéasome. L’inhibition du protéasome entraîne un arrêt du cycle cellulaire et une apoptose.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M1782019 Président : BENKIRANE.S Directeur : MASRAR.A Juge : NAZIH.M Juge : JEAIDI.A RĂ©servation
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Code barre Cote Support Localisation Section DisponibilitĂ© M1782019 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2019 Disponible M1782019-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2019 Disponible Documents numĂ©riques
M1782019URL MyĂ©lome multiple Ă IgD : CaractĂ©ristiques cliniques et paracliniques. A propos de 3 cas colligĂ©s au laboratoire de Biochimie de lâHMIMV. / JABIRI Amra.
Titre : MyĂ©lome multiple Ă IgD : CaractĂ©ristiques cliniques et paracliniques. A propos de 3 cas colligĂ©s au laboratoire de Biochimie de lâHMIMV. Type de document : thĂšse Auteurs : JABIRI Amra., Auteur AnnĂ©e de publication : 2016 Langues : Français (fre) Mots-clĂ©s : MyĂ©lome Ă IgD myĂ©lome multiple immunoglobuline monoclonale diagnostic pronostic. RĂ©sumĂ© : Introduction
Le myélome à IgD est exceptionnel, ne représentant que 1 à 2% de l’ensemble des myélomes. Nous nous proposons d’étudier les caractéristiques épidémiologiques, cliniques et paracliniques de cette forme rare de gammapathie monoclonale.
Matériels et méthodes
Nous rapportons trois observations de myélome multiple à immunoglobuline D diagnostiquées à l’HMIMV de Rabat au Maroc sur une période de 16 ans (2000-2016).
Résultats
À travers les cas rapportés,ce myélome représente 2% du myélome multiple. Il est caractérisé par une nette prédominance masculine et un âge médian de 64 ans.
Son aspect clinique se distingue par la fréquence élevée des manifestations osseuses et extra-osseuses dont l’altération de la fonction rénale.
Sur le plan biologique, tous les patients présentent une anémie, et une protéinurie de Bence-Jones, avec une prédominance des chaînes légères lambda. Une hypercalcémie est également fréquemment rapportée. La moelle est envahie par des plasmocytes dans des proportions très variables pouvant aller jusqu’à 82 %.
Il s’agit d’une entité clinique difficile à diagnostiquer, particulièrement lorsque la faible bande homogène passe inaperçue à l’électrophorèse pour un œil peu expérimenté ou quand l’immun sérum anti-IgD n’a pas été utilisé au moment de l’immunotypage.
Discussion-Conclusion
Par rapport à la plupart des séries de la littérature, notre étude révèle des résultats concordants quant à la prédominance masculine et celle des chaînes légères λ, la fréquence élevée de l’anémie, l’atteinte rénale, et des lésions ostéolytiques. Elle s’en distingue par l’âge médian avancé. En conclusion, le myélome multiple à IgD revêt des aspects cliniques et biologiques particuliers, confirmés dans notre série.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : P0722016 Président : DOGHMI.K Directeur : OUZZIF.Z Juge : BELMEKKI.A Juge : BENKIRANE.S Juge : EL KABBAJ.D-EL MACHTANI IDRISSI.S MyĂ©lome multiple Ă IgD : CaractĂ©ristiques cliniques et paracliniques. A propos de 3 cas colligĂ©s au laboratoire de Biochimie de lâHMIMV. [thĂšse] / JABIRI Amra., Auteur . - 2016.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Myélome à IgD myélome multiple immunoglobuline monoclonale diagnostic pronostic. Résumé : Introduction
Le myélome à IgD est exceptionnel, ne représentant que 1 à 2% de l’ensemble des myélomes. Nous nous proposons d’étudier les caractéristiques épidémiologiques, cliniques et paracliniques de cette forme rare de gammapathie monoclonale.
Matériels et méthodes
Nous rapportons trois observations de myélome multiple à immunoglobuline D diagnostiquées à l’HMIMV de Rabat au Maroc sur une période de 16 ans (2000-2016).
Résultats
À travers les cas rapportés,ce myélome représente 2% du myélome multiple. Il est caractérisé par une nette prédominance masculine et un âge médian de 64 ans.
Son aspect clinique se distingue par la fréquence élevée des manifestations osseuses et extra-osseuses dont l’altération de la fonction rénale.
Sur le plan biologique, tous les patients présentent une anémie, et une protéinurie de Bence-Jones, avec une prédominance des chaînes légères lambda. Une hypercalcémie est également fréquemment rapportée. La moelle est envahie par des plasmocytes dans des proportions très variables pouvant aller jusqu’à 82 %.
Il s’agit d’une entité clinique difficile à diagnostiquer, particulièrement lorsque la faible bande homogène passe inaperçue à l’électrophorèse pour un œil peu expérimenté ou quand l’immun sérum anti-IgD n’a pas été utilisé au moment de l’immunotypage.
Discussion-Conclusion
Par rapport à la plupart des séries de la littérature, notre étude révèle des résultats concordants quant à la prédominance masculine et celle des chaînes légères λ, la fréquence élevée de l’anémie, l’atteinte rénale, et des lésions ostéolytiques. Elle s’en distingue par l’âge médian avancé. En conclusion, le myélome multiple à IgD revêt des aspects cliniques et biologiques particuliers, confirmés dans notre série.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : P0722016 Président : DOGHMI.K Directeur : OUZZIF.Z Juge : BELMEKKI.A Juge : BENKIRANE.S Juge : EL KABBAJ.D-EL MACHTANI IDRISSI.S RĂ©servation
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Code barre Cote Support Localisation Section DisponibilitĂ© P0722016 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesPharm2016 Disponible P0722016-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesPharm2016 Disponible LE MYĂLOME MULTIPLE A IGD , A PROPOS DâUNE SĂRIE DE CAS DU LABORATOIRE CENTRAL DE BIOCHIMIE DU CENTRE HOSPITALOUNIVERSITAIRE IBN SINA DE RABAT. / Ilyass BEHILIL
Titre : LE MYĂLOME MULTIPLE A IGD , A PROPOS DâUNE SĂRIE DE CAS DU LABORATOIRE CENTRAL DE BIOCHIMIE DU CENTRE HOSPITALOUNIVERSITAIRE IBN SINA DE RABAT. Type de document : thĂšse Auteurs : Ilyass BEHILIL, Auteur AnnĂ©e de publication : 2024 Langues : Français (fre) Mots-clĂ©s : MyĂ©lome Ă IgD myĂ©lome multiple immunoglobuline monoclonale diagnostic
biologiqueRĂ©sumĂ© : Le Le myélome multiple à IgD est une forme rare de la maladie, ne représentant que 1 à
2 % de tous les cas. Notre étude, menée sur une période de 10 ans à l'hôpital Ibn Sina de
Rabat, au Maroc, a examiné sept cas de cette variante spécifique, qui constitue 0,55 % de
l'ensemble des cas de gammapathies monoclonales. Les patients atteints sont principalement
des hommes, avec un âge médian de 48 ans. Cette forme de myélome se caractérise par une
présentation clinique marquée par des manifestations osseuses et extra-osseuses, incluant
souvent des problèmes rénaux.
Sur le plan biologique, tous les patients présentaient une anémie et une protéinurie de
Bence-Jones, avec une prédominance des chaînes légères lambda. L'hypercalcémie était
également fréquente. L'infiltration de la moelle osseuse par des plasmocytes était constante,
bien que variable en proportion. Le diagnostic biologique peut être complexe, nécessitant
parfois une expertise pour identifier les caractéristiques spécifiques à l'électrophorèse.
Comparativement à d'autres études, notre recherche confirme plusieurs caractéristiques
courantes du myélome à IgD, telles que la prévalence chez les hommes, la fréquence élevée
des chaînes légères lambda, et les manifestations de l'anémie et de l'atteinte rénale.
Cependant, nous notons un âge médian plus bas dans notre cohorte. En somme, le myélome
multiple à IgD présente des aspects cliniques et biologiques distincts, comme mis en évidence
dans notre étude.Numéro (Thèse ou Mémoire) : M1162024 Président : BENKIRANE SOUAD Directeur : BENCHEKROUN LAILA Juge : EL MACHTANI IDRISSI SAMIRA Juge : BOUABDELLAH MOUNYA Juge : KHIBRI HAJAR LE MYĂLOME MULTIPLE A IGD , A PROPOS DâUNE SĂRIE DE CAS DU LABORATOIRE CENTRAL DE BIOCHIMIE DU CENTRE HOSPITALOUNIVERSITAIRE IBN SINA DE RABAT. [thĂšse] / Ilyass BEHILIL, Auteur . - 2024.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Myélome à IgD myélome multiple immunoglobuline monoclonale diagnostic
biologiqueRĂ©sumĂ© : Le Le myélome multiple à IgD est une forme rare de la maladie, ne représentant que 1 à
2 % de tous les cas. Notre étude, menée sur une période de 10 ans à l'hôpital Ibn Sina de
Rabat, au Maroc, a examiné sept cas de cette variante spécifique, qui constitue 0,55 % de
l'ensemble des cas de gammapathies monoclonales. Les patients atteints sont principalement
des hommes, avec un âge médian de 48 ans. Cette forme de myélome se caractérise par une
présentation clinique marquée par des manifestations osseuses et extra-osseuses, incluant
souvent des problèmes rénaux.
Sur le plan biologique, tous les patients présentaient une anémie et une protéinurie de
Bence-Jones, avec une prédominance des chaînes légères lambda. L'hypercalcémie était
également fréquente. L'infiltration de la moelle osseuse par des plasmocytes était constante,
bien que variable en proportion. Le diagnostic biologique peut être complexe, nécessitant
parfois une expertise pour identifier les caractéristiques spécifiques à l'électrophorèse.
Comparativement à d'autres études, notre recherche confirme plusieurs caractéristiques
courantes du myélome à IgD, telles que la prévalence chez les hommes, la fréquence élevée
des chaînes légères lambda, et les manifestations de l'anémie et de l'atteinte rénale.
Cependant, nous notons un âge médian plus bas dans notre cohorte. En somme, le myélome
multiple à IgD présente des aspects cliniques et biologiques distincts, comme mis en évidence
dans notre étude.Numéro (Thèse ou Mémoire) : M1162024 Président : BENKIRANE SOUAD Directeur : BENCHEKROUN LAILA Juge : EL MACHTANI IDRISSI SAMIRA Juge : BOUABDELLAH MOUNYA Juge : KHIBRI HAJAR RĂ©servation
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Code barre Cote Support Localisation Section DisponibilitĂ© M1162024 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2024 Disponible MYELOME MULTIPLE DES OS : ANALYSE EPIDEMIOLOGIQUE ET BIOCHIMIQUE DâUNE COHORTE DE 144 CAS (ETUDE RETROSPECTIVE, HMIMV RABAT) / SIHAM FILALI MOUHIM
Titre : MYELOME MULTIPLE DES OS : ANALYSE EPIDEMIOLOGIQUE ET BIOCHIMIQUE DâUNE COHORTE DE 144 CAS (ETUDE RETROSPECTIVE, HMIMV RABAT) Type de document : thĂšse Auteurs : SIHAM FILALI MOUHIM, Auteur AnnĂ©e de publication : 2011 Langues : Français (fre) Mots-clĂ©s : MYELOME MULTIPLE IMMUNOGLOBULINE MONOCLONALE ELECTROPHORESES DES PROTEINES IMMUNOFIXATION RĂ©sumĂ© : Introduction :
Le myélome multiple des os (MM) se définit par la prolifération maligne d’un clone plasmocytaire dans la moelle osseuse s’accompagnant de la sécrétion d’une immunoglobuline monoclonale (Igm) intacte ou de l’un de ses fragments.
Matériels et méthodes :
En vue d’étudier les caractéristiques épidémiologiques, biologiques notamment biochimiques du MM, nous avons mené un travail rétrospectif portant sur une cohorte de 144 cas colligés à l’HMIMV de Rabat, durant une période de 11 ans (de Janvier 2000 à Décembre 2010).
Résultats :
 Sur le plan épidémiologique, la population étudiée inclut 107 hommes et 37 femmes, d’âge moyen de 60.30±11.58 ans, avec des extrêmes à 31 et 84 ans.
 Sur le plan clinique, les douleurs osseuses et l’AEG représentent dans plus de 50% des cas, les signes révélateurs de cette pathologie.
 Sur le plan biologique :
• Un pic d’allure monoclonal est révélé à l’électrophorèse des protéines sériques situé le plus souvent dans la zone γ (71.40%) ;
• L’absence de pic monoclonal à l’électrophorèse est notée dans 22.20% des cas ;
• Une prédominance de l’isotype Ig G/ κ (51.4%),
• Une PBJ retrouvée chez 76 patients, soit 60.8% des cas.
Discussion :
Par rapport à la plupart des grandes séries internationales, notre étude révèle des résultats concordants quant à la prédominance masculine et de l’isotype de l’Ig ainsi que l’âge avancé. Elle s’en distingue en revanche par la fréquence élevé des MM à chaines légères, Le retard dans le diagnostic, expliquant les complications et la lourdeur de la prise en charge des patients.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : P0522011 Président : MOHAMMED MEKDAM Directeur : ZOUHRA OUZZIF Juge : KAMAL DOGHMI Juge : ABDELLAH DAMI MYELOME MULTIPLE DES OS : ANALYSE EPIDEMIOLOGIQUE ET BIOCHIMIQUE DâUNE COHORTE DE 144 CAS (ETUDE RETROSPECTIVE, HMIMV RABAT) [thĂšse] / SIHAM FILALI MOUHIM, Auteur . - 2011.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : MYELOME MULTIPLE IMMUNOGLOBULINE MONOCLONALE ELECTROPHORESES DES PROTEINES IMMUNOFIXATION Résumé : Introduction :
Le myélome multiple des os (MM) se définit par la prolifération maligne d’un clone plasmocytaire dans la moelle osseuse s’accompagnant de la sécrétion d’une immunoglobuline monoclonale (Igm) intacte ou de l’un de ses fragments.
Matériels et méthodes :
En vue d’étudier les caractéristiques épidémiologiques, biologiques notamment biochimiques du MM, nous avons mené un travail rétrospectif portant sur une cohorte de 144 cas colligés à l’HMIMV de Rabat, durant une période de 11 ans (de Janvier 2000 à Décembre 2010).
Résultats :
 Sur le plan épidémiologique, la population étudiée inclut 107 hommes et 37 femmes, d’âge moyen de 60.30±11.58 ans, avec des extrêmes à 31 et 84 ans.
 Sur le plan clinique, les douleurs osseuses et l’AEG représentent dans plus de 50% des cas, les signes révélateurs de cette pathologie.
 Sur le plan biologique :
• Un pic d’allure monoclonal est révélé à l’électrophorèse des protéines sériques situé le plus souvent dans la zone γ (71.40%) ;
• L’absence de pic monoclonal à l’électrophorèse est notée dans 22.20% des cas ;
• Une prédominance de l’isotype Ig G/ κ (51.4%),
• Une PBJ retrouvée chez 76 patients, soit 60.8% des cas.
Discussion :
Par rapport à la plupart des grandes séries internationales, notre étude révèle des résultats concordants quant à la prédominance masculine et de l’isotype de l’Ig ainsi que l’âge avancé. Elle s’en distingue en revanche par la fréquence élevé des MM à chaines légères, Le retard dans le diagnostic, expliquant les complications et la lourdeur de la prise en charge des patients.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : P0522011 Président : MOHAMMED MEKDAM Directeur : ZOUHRA OUZZIF Juge : KAMAL DOGHMI Juge : ABDELLAH DAMI RĂ©servation
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Exemplaires
Code barre Cote Support Localisation Section DisponibilitĂ© P0522011 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesPharm2011 Disponible